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(28/03/2008 16:59:21)

SAP réajuste son catalogue décisionnel après l'absorption de BO

Quelque trois mois après avoir finalisé l'acquisition de Business Objects, SAP a été amené à prendre quelques difficiles décisions, en particulier sur les recouvrements applicatifs induits par le rapprochement des deux catalogues de solutions décisionnelles. C'est principalement sur les solutions de gestion de la performance que le nouveau portefeuille applicatif est le plus fourni, en raison des nombreux rachats effectués dans ce domaine, tant par SAP que par BO : Pilot Software et OutlookSoft pour l'un, ALG, SRC et Cartesis pour l'autre. L'offre Outlooksoft continuera d'être développée « Evidemment, certains arbitrages ont été délicats dans la mesure où chacun des produits a ses mérites, une base installée de clients, ainsi qu'une équipe qui le défend passionnément, a confié à nos confrères d'IDG News Service John Schwarz, ancien PDG de BO, désormais responsable des offres décisionnelles de SAP. Comme vous pouvez l'imaginer, les débats ont donc été plutôt animés. » Avant toute chose, SAP indique qu'il supportera pendant au moins trois ans les produits dont il ne poursuivra pas le développement. Cela signifie que leurs utilisateurs recevront les correctifs nécessaires et bénéficieront d'un support limité. En revanche, ils ne doivent pas s'attendre à voir les fonctionnalités des logiciels enrichies. Dans le domaine de la planification, SAP a décidé de poursuivre le développement de l'offre OutlookSoft, devenu SAP Business Planning and Consolidation (SAP-BPC). Les clients de l'offre BO héritée du rachat de SRC devraient donc être encouragés à migrer vers SAP-BPC.[[page]] Sur la gestion des coûts et de la profitabilité, SAP va conserver l'offre d'ALG Software, que Business Objects a rebaptisée Activity Analysis. Ce n'est pas surprenant puisque, dans cette catégorie, SAP revendait l'offre d'un éditeur tiers (Acorn Systems), sous l'appellation SAP Business Profitability Management. Du côté des outils de consolidation financière, la situation est un peu plus compliquée. SAP a choisi l'offre de Cartesis (rachetée par BO en avril 2007) comme solution principale. Toutefois, les clients préférant opter pour un produit associant planification et consolidation pourront utiliser SAP-BPC, auquel SAP conservera son interface à la Excel, précise John Schwarz. Les outils de Pilot Software préférés à ceux de BO Un porte-parole de SAP décrit Cartesis comme un produit «Cadillac» destiné aux consolidations financières complexes qui impliquent de prendre en compte de nombreuses contraintes réglementaires. Et si SAP prévoit des améliorations cette année sur son propre logiciel de consolidation, SEM BCS, ses utilisateurs devraient se voir conseiller de migrer un jour ou l'autre vers les applications Cartesis. Sur les solutions de pilotage stratégiques, incluant les tableaux de bord et les outils de scorecard, SAP va garder les produits qu'il a rachetés avec Pilot Software et qui s'appellent SAP Strategy Management. Les nouveaux développements devraient donc bientôt s'arrêter sur l'ancien produit de gestion de la performance de BO.[[page]] « Je suis assez impressionné de les voir faire ces choix difficiles, a commenté Boris Evelson, analyste de Forrester Research, spécialisé sur le décisionnel. A l'inverse de certains de leurs concurrents qui abandonnent tous les produits qu'ils achètent en annonçant "nous ne laisserons rien tomber", Business Objects et SAP prennent des décisions. » D'autres choix délicats à faire Boris Evelson pense que SAP devra sans doute procéder à d'autres choix délicats. Il lui faut encore arbitrer entre Crystal Reports, Web Intelligence, Dashboard Builder, Voyager et d'autres produits, du côté BO, et Visual Analyzer et BEx BI du côté de SAP. Les analystes pensent que les produits de BO devraient l'emporter dans la majorité des cas. L'ancien PDG de BO, John Schwarz, a fourni quelques détails sur la façon dont les choix se sont déroulés : « En dernier lieu, nous avons regardé quel était le produit qui avait la plus large base installée, celui qui avait les meilleurs retours d'expérience, celui qui évoluait le pus vite sur le marché et celui qui disposait de l'architecture la mieux adaptée pour l'intégration d'autres composants. Et ces éléments guidaient notre choix définitif. » Selon John Schwarz, SAP cherche à minimiser les perturbations que ces évolutions pourraient entraîner chez les clients. Par exemple, il va importer les modèles de données de l'offre SRC vers celle d'OutlookSoft. Il fera de même pour les solutions métiers développées pour le secteur médical, la banque, la distribution... de façon à ce que ces applications spécifiques ne soient pas perdues. (...)

(27/03/2008 18:04:44)

Le ralentissement des ventes d'applicatifs affecte le trimestre d'Oracle

3e trimestre 2008 (clôture le 29 février 2007) Chiffre d'affaires : 5,34 Md$ (+21%) Bénéfices nets : 1,34 Md$ (+30%) Neuf mois Chiffre d'affaires : 15,19 Md$ (+25%) Bénéfices nets : 3,48 Md$ (+23%) Oracle, qui se croyait hors de portée de la crise économique qui secoue les Etats-Unis, vient de reprendre contact avec la réalité. Sur un chiffre d'affaires en hausse de 21%, à 5,3 Md$, les ventes de nouvelles licences, qui représentent 30% du chiffre d'affaires total, n'ont progressé que de 16%. Un retournement de tendance dû à un coup d'arrêt sur les installations d'applicatifs, les ventes de nouvelles licences dans ce domaine n'ayant augmenté que de 7%. Une activité sur laquelle Oracle comptait pour compenser la saturation du secteur des SGBD, son marché historique. Certes, cela n'empêche pas la marge brute trimestrielle d'atteindre 35% du CA et le résultat net d'augmenter de 30% à 1,34 Md$. Mais ces résultats sont en deçà des attentes de Wall Street qui s'était laissé prendre à l'auto-satisfaction affichée par Larry Ellison, PDG d'Oracle. Et, surtout, ils montrent que les clients nord-américains diffèrent leurs investissements. Sur ce continent, les ventes d'applicatifs (tous les logiciels à l'exception des SGBD et du middleware) n'ont augmenté que de 1% sur le trimestre contre +57% au trimestre précédent. Corrigée de l'inflation, cette activité baisse même de 1%. Et les SGBD eux-mêmes marquent le pas : +24% contre +32% trois mois auparavant. Le marché européen des applicatifs résiste à peine mieux si l'on tient compte de la dévalorisation de la monnaie américaine qui gonfle artificiellement les ventes en euros : +6% contre +58%. Etant donné le positionnement des logiciels d'Oracle, on peut craindre que ses déboires indiquent un ralentissement général des investissements en logiciel des entreprises. C'est donc tout le secteur du logiciel professionnel qui risque d'être mis au ban par les boursiers. (...)

(27/03/2008 17:48:57)

SAS acquiert Teragram pour ses outils de traitement du langage

L'éditeur américain SAS, spécialistes des solutions décisionnelles, vient d'acquérir son compatriote Teragram pour sa technologie de traitement des informations en langage naturel (NLP). « Cette technologie va nous permettre de renforcer notre capacité à combiner les données structurées et non structurées, a indiqué Jim Goodnight, PDG fondateur de SAS. Pas seulement sur nos solutions de text mining, mais sur l'ensemble de notre plateforme décisionnelle d'entreprise, afin d'améliorer encore la pertinence et la rapidité des réponses fournies ». Teragram a développé des outils permettant de transformer les textes (disponibles en différentes langues et issues de diverses sources) en informations exploitables. Cette société de quarante personnes a constitué et maintient d'importants dictionnaires annotés contenant plusieurs centaines de millions de mots dans plus de trente langues. Elle compte parmi ses clients des entreprises telles que CNN, Forbes.com, Sony, WashingtonPost.com, Yahoo ! ou encore NYTimes Digital. Gartner rappelle que la grande majorité des informations gérées dans une entreprise sont constituées de données non structurées, créées à partir de traitement de texte, d'outils de présentation, de tableurs, etc. Teragram deviendra une entité de SAS. Les termes de l'acquisition n'ont pas été précisés. (...)

(27/03/2008 12:28:40)

SAP poursuivi par le numéro un américain des déchets

Waste Management, numéro un américain de la gestion des déchets, pense qu'il va devoir mettre à la poubelle le module SAP censé assurer la gestion et le suivi réglementaire de ses déchets. Il lui ferait « perdre de l'argent ». Du coup Waste Management réclame 100 M$ à SAP. Ce module "Waste and Recycling" a été conçu par SAP pour répondre aux contraintes réglementaires de la gestion des déchets aux Etats-Unis. Il est supposé assurer la facturation, la logistique des déchets, la gestion des bennes et l'informatique embarquée. Waste Management, qui qualifie son déploiement de « désastre complet », envisage d'inscrire une perte à son bilan. Parmi les accusations qui étayent son procès contre SAP, la société affirme que la version pour les Etats-Unis de ce module est « mal développée, mal testée et défectueuse ». Sur son exercice 2007, clos en décembre, Waste Management a réalisé un CA de 13,31 Md$ (-1%), assorti d'un résultat net de 1,16 Md$ (+1%). SAP s'est refusé à tout commentaire. (...)

(26/03/2008 09:32:42)

Microsoft teste l'archivage légal des mails

Microsoft teste en ce moment une solution qui pourrait permettre aux entreprises de mieux gérer l'archivage des courriels échangés par leurs collaborateurs afin de se conformer aux réglementations légales. Adoubé de façon informelle « Employee Managed Mailbox » (EMM), la solution est actuellement utilisée en interne par l'éditeur et, selon Joel Freedman, directeur financier de Microsoft Canada, il pourrait être transformé en produit commercial. « Les courriels sont gérés sur un serveur plutôt que sur le disque dur local », explique-t-il, ce qui, pour l'entreprise, facilite sensiblement la mise en place de procédures de récupération des archives pour les produire dans le cadre d'une demande légale (e-discovery). Bien que les éditeurs spécialisés dans la gestion des contenus d'entreprise proposent des solutions permettant de se conformer aux dispositions réglementaires (notamment aux exigences de la loi Sarbanes-Oxley), de nombreuses entreprises - parmi lesquelles Microsoft- essaient de se débrouiller au mieux avec leurs outils de productivité bureautique pour éviter les problèmes. « Beaucoup n'utilisent qu'Office et la messagerie, relate Jeff Dunmall, co-fondateur de la société de conseil iMason, basée à Toronto et spécialisée dans les technologies Microsoft. Or, si un utilisateur envoie, par courriel, un document à cinq destinataires pour correction ou approbation, il se retrouve d'un seul coup avec cinq versions différentes du document. » La meilleure approche, selon lui, serait plutôt, en l'occurrence, d'utiliser le portail Microsoft SharePoint pour échanger et stocker les commentaires sur le document. (...)

(25/03/2008 16:58:05)

L'Inde rejette de nouveau la candidature d'OOXML

Le comité technique constitué par l'organisme indien de standardisation vient de rendre un avis négatif sur la normalisation ISO du standard de fichier bureautique Office Open XML (OOXML) de Microsoft. L'Inde avait déjà rejeté cette candidature en août 2007. Treize de ses membres ont voté « non », tandis que cinq membres ont accordé leur voix au format d'Office. Parmi les votes favorables à la standardisation d'Open XML figurent celui de la Nasscom (National Association of Software and Service Companies). L'association regroupant éditeurs et SSII se déclare en faveur de multiples standards, parmi lesquels le format proposé par Microsoft ainsi qu'ODF (Open Document Format, soutenu par IBM et Sun), arguant que la neutralité technologique et la concurrence conduiront à faire chuter les prix des produits informatiques. Les membres de l'ISO ont jusqu'au 29 mars pour reconsidérer leur vote s'ils le souhaitent. (...)

(25/03/2008 13:04:22)

L'informatique décisionnelle s'émancipe des DSI

A en croire Gartner, les DSI pourraient bien être à leur tour victimes du progrès technologique. Les analystes de ce cabinet prédisent que, d'ici à 2012, l'évolution des technologies qui permettent de s'adonner à l'informatique décisionnelle (alias Business Intelligence) aura été telle que les utilisateurs pourront mettre en place eux-mêmes les outils dont ils auront besoin. Sans avoir à faire appel à la DSI... Cette mutation profitera bien sûr à l'informatique décisionnelle. Aujourd'hui, elle souffre d'une réputation, somme toute méritée, de complexité. Du coup, seulement 15% à 20% des utilisateurs exploitent pleinement ses possibilités. Demain, prédit Gartner, les technologies de visualisation interactive, les moteurs de recherche, les architectures orientées services, voire les offres de logiciels en ligne concourront à faciliter la mise en place et l'usage d'outils décisionnels. Gartner est convaincu que ces progrès technologiques et ergonomiques permettront de toucher les 80% d'utilisateurs potentiels restants. Ils devraient y trouver doublement leur compte. En effet, ils pourront enfin se débarrasser des fastidieuses tâches de mise à jour de tableaux de bord personnels, seul moyen à leur portée aujourd'hui pour disposer d'indicateurs. Les DSI ne doivent pas s'illusionner : la tendance est irréversible. Gartner leur déconseille d'adopter une attitude de résistance - comment détourner des utilisateurs d'interfaces et d'outils qui vont modifier leur façon de travailler autant que les tableurs en leur temps ? La bonne attitude est celle de l'accompagnement de la démarche. (...)

(21/03/2008 15:26:55)

Le club des utilisateurs de SAP étudie le développement durable

Le Printemps de l'USF a réuni les utilisateurs francophones de SAP le 20 mars 2008 à l'Eurosites George V (Paris). Ce fut l'occasion de se pencher sur la question du développement durable. Chez l'éditeur, la démarche est prise en charge à travers l'offre SAP GRC. L'acronyme GRC signifie ici, Governance Risk Compliance, c'est-à-dire, mise en conformité réglementaire dans le cadre de la gestion des risques (et non pas gestion de la relation client). Outre la responsabilité environnementale et sociétale des entreprises, le sujet impacte les sociétés à cause du principe de précaution (avec les risques juridiques associés) et de la nécessité de respecter les réglementations. L'offre SAP GRC, qui permet notamment de gérer les substances au lieu des seuls produits, est confiée à la commission « finances » de l'USF. Il s'agit en fait de neuf modules ou groupes de modules pour le contrôle des processus ; le management des risques ; le contrôle de la conformité des pratiques aux réglementations financières, douanières ou sur le transport ; les inventaires REACH ; le suivi des conditions de travail (y compris la médecine du travail) ; etc. Ces modules gèrent les informations requises mais permettent également d'effectuer toutes les déclarations obligatoires. Réduire la production de CO2 Christophe Stener, secrétaire général de HP France a rappelé que 2% de la production de CO2 était liée à l'informatique, c'est-à-dire autant que le transport aérien. Une bonne part peut être réduite mais l'informatique peut aider à réduire les 98 autres pour-cent, par exemple en évitant les déplacements grâce aux vidéo-conférences. Mark Hurd, PDG de HP, a d'ailleurs fixé comme objectif à sa propre entreprise de baisser son impact CO2 de 20%. De plus, en application de la D3E (directive européenne sur la récupération des déchets électroniques), HP recycle chaque année un demi-milliard de tonnes de matériels. Lire la suite de l'article sur CIO-Online.com (...)

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