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(03/10/2007 13:07:41)

TechEd : SAP propose aux développeurs de s'abonner à NetWeaver

Pour augmenter le nombre de développeurs familiers de son environnement NetWeaver, SAP propose désormais de s'abonner pendant un an à l'utilisation de ces outils d'infrastructure. Cette offre, présentée à l'occasion du TechEd de Las Vegas (01-05 octobre), est pour l'instant réservée aux Etats-Unis et à l'Allemagne (les autres pays y accéderont l'an prochain). L'abonnement annuel revient à 2 300 dollars aux Etats-Unis, ou 1 750 euros HT en Allemagne. Cela inclut l'accès au serveur d'application, au portail et aux applications décisionnelles, ainsi qu'aux différents outils, correctifs et mises à jour qui seront livrés pendant la période d'abonnement. Une réserve toutefois. Il s'agit d'une licence destinée à permettre d'évaluer NetWeaver. Des développements sont donc possibles, mais pas leur mise en production dans l'entreprise, en revanche. Des outils pour les applications composites et les processus métiers A Las Vegas, SAP a par ailleurs annoncé l'ajout, à sa plateforme NetWeaver, d'un jeu intégré d'outils (SAP NetWeaver Composition Environment) pour constituer et déployer des applications composites. Bien que ces dernières aient d'abord vocation à s'appuyer sur la suite de gestion intégrée, SAP Business Suite, elles pourront néanmoins emprunter à d'autres briques du marché, selon l'éditeur allemand. Ce dernier a également annoncé l'arrivée prochaine de nouveaux outils de gestion de processus métiers (BPM), ce qui devrait renforcer la concurrence avec des acteurs comme BEA Systems (WebLogic), IBM (WebSphere) ou WebMethods. Dans la foulée, les outils d'intégration NetWeaver Exchange Infrastructure changent de nom, devenant NetWeaver Process Integration. Désormais, les processus métiers pourront réagir en temps réel à un événement ou une alerte (la modification d'une donnée, par exemple). Une première version de cette offre sera livrée à quelques clients en décembre prochain. De l'importance du BPM Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Gary Barnett, associé du cabinet d'études britannique Bathwick, fait remarquer que « si les offres de BEA ou IBM présentent l'inconvénient d'être purement technologiques alors que celle de SAP a l'avantage d'associer la technologie et les applications, en revanche, l'offre d'infrastructure de SAP ne sera jamais aussi indépendante des applications sous-jacentes que peuvent l'être celles d'IBM ou de BEA. » Quoi qu'il en soit, Gary Barnett estime que SAP se devait d'étendre les capacités de NetWeaver pour suivre la demande autour des services Web et du BPM émanant de ses clients. « Tout se situe effectivement au niveau des processus métiers. Cela signifie qu'il n'est pas possible de laisser tout un chacun fournir les outils qui vont permettre de modifier les processus que vous exécutez. » Parmi les annonces faites à TechEd figure aussi la mise à jour d'Enterprise Services Repository, le référentiel destiné à gérer les services Web. Celui-ci supporte maintenant la version 3.0 du standard UDDI (Universal Description, Discovery and Integration). (...)

(01/10/2007 17:02:47)

Max 2007 : Adobe fait équipe avec BO pour affronter Microsoft

La conférence utilisateurs d'Adobe (Chicago, 30 septembre-03 octobre) apparaît riche en annonces, quinze jours avant sa déclinaison européenne, prévue à Barcelone. Après la révélation, ce lundi 1e octobre, du rachat de Virtual Ubiquity et de son traitement de texte en ligne Buzzword, l'éditeur d'Acrobat dévoile maintenant un partenariat avec Business Objects. Les deux acteurs prévoient de développer un connecteur Business Objects Xcelsius pour le produit Adobe LiveCycle Data Services qui sert à intégrer des applications Internet riches (RIA) dans un workflow documentaire. LiveCycle Data Services est l'une des composantes de la suite LiveCycle Enterprise, destinée à concevoir et orchestrer des processus de gestion de documents qui se déroulent à la fois dans l'entreprise, en s'appuyant sur les applications existantes, et au-delà du pare-feu, en recourant à des fichiers PDF sécurisés à remplir en ligne. L'offre Xcelcius de Business Objects (héritée d'un rachat) permet, quant à elle, d'améliorer l'affichage et la présentation de données provenant d'un système d'information, et de les intégrer à un document bureautique (MS PowerPoint ou Word), un fichier PDF ou une application Internet riche (RIA). Adobe espère ainsi renforcer ses atouts face à Microsoft, son principal concurrent sur le terrain des RIA. Intégrer Xcelsius à l'environnement Flex Adobe et Business Objects comptent également explorer les moyens d'intégrer Xcelsius à l'environnement de développement Flex. L'objectif est de faciliter la tâche des développeurs souhaitant créer des applications d'analyse de données pourvues de fonctions de visualisation avancées. Il serait également prévu d'apporter à Xcelsius les capacités d'exporter des applications vers AIR (Adobe integrated runtime), le lecteur universel d'Adobe -ancien nom de code, Apollo- conçu pour exécuter des applications riches en ligne et hors connexion. A Chicago, sur Max 2007, les deux éditeurs vont illustrer les bénéfices de leur association en montrant un prototype d'application décisionnelle pour poste de travail (issu du Business Objects Labs) ainsi qu'un nouvel environnement exploitant les technologies Flash et Flex pour naviguer dans les données à analyser. (...)

(01/10/2007 15:45:41)

La gestion de contenu dominée par IBM et EMC

C'est la ruée sur le "magic quadrant" 2007 du Gartner consacré à l'ECM (entreprise content management). IBM et EMC se sont empressés de claironner leur position en tête du classement du cabinet. Estimé à près de 3 Md$ pour cette année, le marché de la fourniture de solutions de gestion de contenus non structurés devrait croître de 12,9% par an jusqu'en 2011. Le secteur est en phase active de restructuration. La présence d'IBM et d'EMC en tête, celle d'Oracle juste derrière, aux côtés d'Open Text, le seul spécialiste qui reste dans le peloton de tête, montre que les généralistes s'attachent trop à contrôler l'infrastructure de leurs clients pour la laisser à des challengers. Si Microsoft est absent du peloton de tête, c'est qu'il est juste derrière avec une approche de masse. Pour l'instant, il laisse aux autres le marché haut de gamme pour proposer des outils de base au plus grand nombre. Le Gartner déplore le manque d'innovation qui caractérise ces généralistes. Le cabinet dénonce en particulier la fadeur de leur offre qui ne tient aucunement compte des outils collaboratifs et du web 2.0 (blog, wiki, IM, réseaux sociaux...). (...)

(01/10/2007 12:18:55)

Microsoft met Office sur le Web, Adobe suit en happant Buzzword

Pas de doute, le marché des outils de productivité à exploiter sur Internet est en train de s'emballer. Coup sur coup, Microsoft et Adobe viennent d'annoncer des solutions de partage de documents en ligne. Conformément à ce que laissait prévoir sa stratégie « software et services », décrite cet été par Ray Ozzie, son architecte logiciel en chef, Microsoft présente Microsoft Office Live Workspace, une déclinaison Web de Microsoft Office qui permet aux utilisateurs d'accéder à leurs documents en ligne et, aussi, de les partager. La philosophie du mode « software et services » défini par Microsoft est, rappelons-le, d'utiliser à la fois des logiciels installés localement et des services en ligne. Une offensive que l'éditeur fourbit depuis plusieurs mois déjà. La présente annonce le rapproche un peu plus de son concurrent Google qui propose depuis février dernier des applications en ligne, les Google Apps, incluant notamment un tableur et un traitement de texte (et bientôt un logiciel de présentation). Le tout nouvel Office Live Workspace est une version bêta ouverte gratuitement à toute personne prête à s'enregistrer. On peut y sauvegarder un millier de documents Office et inviter d'autres utilisateurs à y accéder, sous la protection d'un mot de passe, dans un espace de travail en ligne. Adobe arrive sur le marché Dans la foulée, Adobe qui, depuis des mois, ne cache pas son intérêt pour les applications Internet « riches » (RIA), entend lui aussi donner un bon coup d'accélération au modèle. Il vient de révéler le rachat de Virtual Ubiquity (Waltham, Massachusetts) et de son traitement de texte en ligne Buzzword. Une annonce faite à l'occasion de sa conférence utilisateurs Max 2007 (Chicago, 30 sept/03 octobre). Dans le même temps, l'éditeur prépare l'ajout d'un service à sa solution de gestion documentaire en ligne (pas encore disponible en France). Pour l'instant en version bêta, ce service (nom de code : Share) doit permettre de partager et d'organiser des documents sur le Web. Bâti avec Adobe Flex, il fonctionne avec Flash Player. Toujours sur le marché des outils bureautiques en ligne, IBM a annoncé le mois dernier sa suite Lotus Symphony qui repose sur le logiciel en Open Source du projet OpenOffice.org. Celle-ci a enregistré 100 000 téléchargements dès la première semaine de sa mise à disposition. (...)

(27/09/2007 11:20:43)

En 2007, le marché français des PGI pèsera 1,66 Md€, selon IDC

(mise à jour) En France, le marché global des logiciels de gestion d'entreprise aura généré un chiffre d'affaires de près de 2,3 Md€ en 2006, en additionnant les revenus des licences et de la maintenance. C'est ce qu'indique l'étude que vient de publier IDC France. Le cabinet d'analyse souligne que ce chiffre d'affaires correspond à plus de la moitié du marché des applications et représente près du quart du marché total des logiciels en France. Quant aux ventes directement liées aux ERP (PGI, en français, pour progiciels de gestion intégrés), elles ne pèsent que 40 % du marché des logiciels de gestion d'entreprise, ces derniers couvrant quatre fonctions majeures : la comptabilité/finance, les ressources humaines, la gestion commerciale et la gestion de production (GPAO). Si l'on considère les seuls ERP, IDC France note que le marché a progressé de 10 % entre 2005 et 2006 pour atteindre un chiffre d'affaires de 1,5 Md€ en cumulant les revenus des licences (422 M€), de la maintenance (490 M€) et des services (609 M€). Pour l'année en cours, le cabinet prévoit une croissance de 9 % portant le chiffre d'affaires à 1,66 Md€ avec une partie maintenance qui progresse davantage (+11%) que les services (+9%) et les ventes de licences (+8%). 60 % des investissements viennent de l'industrie et des services aux entreprises Sans surprise, c'est toujours le secteur industriel, très friand d'outils de GPAO, qui s'équipe le plus en ERP (41% des 913 M€ provenant des revenus de licences et de maintenance en 2006), même si IDC signale qu'il est moins dynamique (+7% des ventes de licences et de maintenance) que la moyenne du marché. Il est suivi par le secteur des services aux entreprises (19% du total), qui, au contraire, enregistre une croissance supérieure à la moyenne (+10 %), et par celui du commerce et de la distribution (14% du total). Le secteur bancaire et financier compte pour 7% (environ 66 M€ de revenus) et celui de la communication et de la distribution de services pour 6%. On tombe à 4 % pour le secteur public, les assurances ne représentant que 2% des revenus du marché ERP, de même que la Santé et les transports. Parmi les secteurs dynamiques, outre les services aux entreprises déjà évoqués, IDC remarque que la banque/finance et la santé ont également augmenté de 10 % leurs dépenses de licences et de maintenance sur les ERP. Les grandes entreprises ont augmenté de 14% leurs dépenses autour des ERP En 2006, ce sont les grands comptes (plus de 2 000 salariés) qui ont le plus augmenté leurs dépenses d'ERP. Avec une progression de 14%, ils pèsent 30 % (270 M€) du total des achats de licences et de maintenance. Les entreprises de 500 à 2 000 salariés, qui ont fait progresser leurs dépenses de 8,2%, représentent quant à elles 34 % (310 M€) du marché licences/maintenance. Enfin, les PME de 100 à 500 salariés (20 % des acheteurs d'ERP) et les PME de moins de 100 salariés (16%) ont respectivement fait progresser leurs dépenses ERP de 6,6% et 6,1%. (...)

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