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(11/10/2007 10:39:38)

Oracle se renforce dans la gouvernance

Oracle annonce le rachat de LogicalApps, spécialiste de la gestion automatisée des risques, des politiques de conformité et de la gouvernance, pour un montant non communiqué. Cette acquisition doit renforcer la mise en place de politique de conformité en temps réel, indique l'éditeur dans un communiqué. Très axée gouvernance, l'offre de LogicalApps permet notamment l'implémentation automatisée de politiques de contrôle dans la gestion des processus métier ainsi que dans les transactions. Comme par exemple, la mise en place de rôles et privilèges (SoD - segregation of duties) dans la gestion des applications. Elle autorise également l'évaluation et le reporting des risques. Oracle rappelle que la solution de LogicalApps est déjà optimisée pour ses applications, et possède "plusieurs centaines de déploiements actifs". La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée d'ici à novembre. (...)

(11/10/2007 09:38:32)

Les utilisateurs de SAP craignent une migration vers SAP ERP

Lors de la convention annuelle 2007 de l'USF, club des utilisateurs francophones de SAP, une étude réalisée par cette association, SAP et Bearing Point sur la migration vers SAP ERP a été publiée et commentée. Face à la fin de la maintenance standard de SAP R/3 au 1er janvier 2007 et celle de la maintenance étendue au 1er janvier 2009, cette migration semble nécessaire mais pas forcément si évidente dans un paysage très conservateur. Rappelons tout d'abord que SAP ERP est l'actuel nom commercial de l'offre qui était jadis connue sous la dénomination « mySAP ERP 2005 - ECC6 ». Le propre de cette version majeure de SAP est de remplacer SAP R/3 en adoptant une nouvelle architecture technique orientée services (SOA) au-dessus de la plateforme middleware Netweaver. Réalisée auprès d'adhérents de l'USF, l'enquête se base sur 89 réponses à un questionnaire et une dizaine d'interviews, la plupart des répondants étant de niveau DSI ou en charge des applications SAP. Le module le plus présent dans la configuration installée est bien entendu celui destiné à la fonction financière (93% des répondants), suivi par la logistique (82%) et la business intelligence (58%). Un peu moins des deux-tiers des répondants admettent ne plus avoir fait de migration SAP depuis au moins deux ans, ce qui correspond, à quelques pourcents près, à un parc utilisant des versions R/3 3.11 à 4.6C. Un petit tiers des répondants utilisent un SAP R/3 4.7, plus récent. Tandis que 13% des répondants admettent déjà utiliser une version de SAP ERP. Bien entendu, plus l'entreprise utilise une version standard de SAP, plus sa migration sera facilitée, notamment en termes d'interfaces avec d'autres applicatifs. 38% des répondants auront ainsi moins de vingt interfaces applicatives à reconstruire lors de la migration, mais 18% en auront plus de cent. Une migration subie Sans surprise, la fin de la maintenance de SAP R/3 est la motivation essentielle de la migration vers SAP ERP (72% des répondants). De ce fait, [[page]]la migration est clairement subie : 34% seulement des répondants savent justifier sur le plan fonctionnel la migration, mais 56% n'ont pas une perception claire des bénéfices de la migration, en dehors, malgré tout, de l'architecture Netweaver dont les apports techniques semblent compris. Du coup, la justification budgétaire du projet de migration est problématique. Et ce, même si la stabilité technique, le choix de la SOA et les apports fonctionnels à terme des nouveaux modules semblent clairs pour les DSI. Si le « pourquoi migrer » n'est pas sans poser de questions, le « comment migrer » n'est pas plus clair. Un tiers des répondants ignorent s'ils vont privilégier ou non une migration isofonctionnelle purement technique. Un quart n'a pas du tout défini son calendrier de migration contre 15% qui l'ont déjà réalisé. Les ressources humaines nécessaires à la migration ne constituent pas le moindre des problèmes. Tant chez les intégrateurs que chez les clients, la pénurie semble la règle alors même que la migration absorbe un grand volant ponctuel de compétences. La formation de ces compétences est en soi problématique mais SAP, qui assure lui-même les formations à ses produits, a développé une offre de e-learning pour tenter de parer au problème dans un délai raisonnable. Outre la formation, le coût de la migration comprend bien entendu le travail technique à faire et les licences des nouveaux produits. Les tarifs de celles-ci tiennent compte de l'ancienneté de l'investissement précédent : plus une implémentation est récente, moins son évolution sera onéreuse en termes de licences. SAP a insisté sur le fait que le principe restait que, à isofonctionnalités, la maintenance payait les évolutions des produits. Pour suivre l'évolution des migrations, l'USF, Bearing Point et SAP ont créé un « observatoire de la migration » qui réalisera une étude annuelle sur le sujet. (...)

(09/10/2007 10:56:13)

La RFID, un semi-échec chez Wal-Mart

Retour sur investissement catastrophique, inflation incontrôlée des stocks, coûts d'exploitation prohibitifs... la pilule RFID passe mal chez Wal Mart. Baseline consacre tout un dossier à ce pionnier du RFID dans le domaine de la grande distribution. Les étiquettes « intelligentes » devaient, si l'on en croit les nombreuses analyses et études de cas, supprimer tout risque de rupture de stock, tout en assurant une diminution des immobilisations, grâce à une meilleure gestion en « flux tendu » de tout le « supply chain management ». En fait de réduction, les stocks ont augmenté entre 5 et 9% selon les trimestres. Les coûts d'exploitation eux-même ont subit une inflation très nette par rapport aux années précédentes « sans RFID ». Pourtant, malgré ces cafouillages, « il n'est pas question d'abandonner le projet, le train à quitté la gare, nous ne reviendrons pas en arrière », insiste la Direction. Cette aventure est un véritable « cas d'école », d'autant plus emblématique que Wal-Mart est considéré comme LA plateforme-test pour tous les fournisseurs de spychips. Une plateforme qui a servi de cible aux attaques des associations de défense de consommateurs, des spécialistes du hacking, tel que RFIdiot ainsi qu'aux critiques des lobbies anti-rfid tels que le Caspian. Restons encore un instant dans le domaine des RFID pour rappeler l'existence du projet Open Source européen OpenBeacon.org, qui tente de lancer un maillage constitué de micro-transmetteurs RFID sur 2400 MHz. Espérons que cette initiative, quoique fort louable, ne viendra pas alourdir le niveau de perturbation de cette bande de fréquence déjà fortement surchargée. (...)

(08/10/2007 18:26:34)

SAP/BO : Bernard Liautaud s'explique

Toute amicale qu'elle soit, l'OPA de SAP sur Business Objects surprend en raison de la personnalité de l'éditeur racheté, une société fondée par un Bernard Liautaud farouchement attaché à l'indépendance de son entreprise et à l'oecuménisme de ses solutions. A l'occasion d'une conférence de presse donnée aujourd'hui 08 octobre, à Paris, conjointement avec Léo Apotheker, PDG délégué de SAP, l'entrepreneur français s'en est expliqué. « Pendant 17 ans, j'ai été l'avocat de l'indépendance de BO, reconnaît Bernard Liautaud. Pourquoi ce revirement ? C'est assez simple, le marché des logiciels a fortement évolué, notamment au cours de la dernière année. Nous avons entendu nos clients demander un alignement fort entre les applications et la Business Intelligence (BI). Une tension s'était créée sur le marché. Avec la proposition de SAP, nous avons trouvé le moyen d'accorder notre volonté d'ouverture et d'indépendance et la demande d'alignement de nos clients. » Bernard Liautaud dément avoir voulu vendre Interrogé sur les multiples rumeurs de mise en vente et de rachat, Bernard Liautaud n'a pas souhaité épiloguer sur les acteurs qui se sont intéressés à sa société. « Il y en a eu un certain nombre et c'est bien normal puisque, comme l'a dit Léo Apotheker, la BI est devenue la priorité des investissements informatiques ». Le marché des outils de BI et de gestion de performance devrait atteindre 20 Md$ en 2010. Le fondateur de Business Objects réfute en revanche catégoriquement avoir souhaité voir un jour sa société rachetée. Il relate les faits. « En juillet, nous avons répondu à une approche non sollicitée émanant de SAP. Nous avons écouté et, après avoir eu tous les paramètres, décidé de faire un choix. Les discussions se sont accélérées au cours des dernières semaines, avec un dialogue très efficace et très ouvert. » Une adéquation culturelle importante Le fondateur de BO considère qu'il y a une adéquation culturelle très importante entre les deux sociétés. D'origine européenne toutes les deux, bien qu'implantées de façon internationale, elles ont une culture entrepreneuriale ancrée dans leur organisation avec, pour l'une et l'autre, des fondateurs très impliqués dans l'entreprise. Bernard Liautaud juge que SAP a bien compris que la valeur des solutions de BO était dans l'ouverture, d'où la décision de laisser son autonomie à l'éditeur racheté. Mais le dirigeant estime aussi que la combinaison entre les deux offres a beaucoup de sens. « Nous allons profiter des technologies de SAP, de leur base de données en mémoire, de leur MDM, et travailler ensemble pour intégrer nos produits. Nous allons apporter de l'intelligence dans les processus de SAP et offrir, de loin, la meilleure offre de gestion de la performance sur le marché. » (...)

(08/10/2007 18:04:46)

SAP/BO : « un virage stratégique pour l'éditeur allemand »

Suite au rachat de Business Objects par SAP, nous continuons à interroger les experts du marché. « J'interprète cette acquisition comme un véritable virage pour SAP, un changement important dans sa stratégie », estime Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Décision et ancien collaborateur de l'éditeur allemand. Pour lui, ce rachat constitue d'abord pour SAP la première véritable acquisition d'une base de clients (NDLR : Business Objects en compte 44 000 dans le monde). « C'est un des éléments importants de cette annonce. Pendant longtemps, SAP n'a acheté que des technologies. Puis, il y a eu un premier point d'inflexion avec la tentative de rachat de Retek (NDLR : finalement soufflé au nez de SAP par Oracle). Ensuite, même si l'acquisition d'OutlookSoft, au printemps, pouvait se lire comme une acquisition technologique, il s'agissait aussi de la plus grande base installée rachetée par SAP, avec des clients importants dans des comptes Microsoft. » Des synergies sur certains marchés Ce rachat signifie aussi que SAP cherche à avoir d'autres points d'entrée sur le marché, hors du progiciel de gestion intégré (PGI ou ERP). « Sur des projets décisionnels, il est possible d'entrer par la petite porte dans une entreprise, contrairement au projet d'ERP classique », rappelle Jean-Michel Franco. Il considère par ailleurs qu'il existe, en France, des synergies sur certains marchés entre BO et SAP, dans le secteur public, notamment. L'implantation de Business Objects dans les PME est également un élément important, à un moment où SAP cherche à conquérir ces entreprises. « BO a un bon réseau de distribution indirecte et a réalisé un bon travail d'insertion dans les régions », estime Jean-Michel Franco. Que Business Objects se maintienne comme entité indépendante ne l'étonne pas. « Ce serait très surprenant qu'il n'en soit pas ainsi », commente le directeur de B&D. « C'est effectivement un rachat différent des autres qui apporte à SAP plusieurs points d'entrée dans les comptes. Cela a du sens que BO reste autonome, tant pour les nouveaux clients que pour la base installée auprès de laquelle il faudra justifier l'ajout de fonctionnalités en étant plus pointu qu'avant. » Pour lui, les applications analytiques seront l'un des principaux enjeux. « Dans l'offre de BO, il y a quatre ou cinq axes -notamment sur la qualité des données, l'ABC (activity based costing), la consolidation, qui se positionnent clairement en complémentarité de l'offre de SAP sans qu'il y ait besoin de gros travaux. » Quid d'IBM, de HP et de l'Open Source ? Interrogé sur la concurrence de Microsoft, Jean-Michel Franco voit l'éditeur de Redmond avancer à petits pas sur ce marché. « Jusqu'à présent, il a été très patient dans ce domaine, une acquisition serait pour lui un changement stratégique ». En revanche, il s'interroge sur les intentions d'IBM. Va-t-il rentrer dans la course ? « Beaucoup d'observateurs considèrent qu'IBM va devenir un acteur de la BI. » Sur ce terrain, un fournisseur comme HP pourrait avoir aussi son mot à dire. « Les autres offreurs se positionneraient alors comme spécialistes apportant des solutions complémentaires. » Enfin, Business & Décision regarde de très près les offres BI en Open Source qui arrivent, celle d'Ingres, notamment. « L'Open Source peut être un modèle de rupture intéressant », pronostique Jean-Michel Franco. Il cite en exemple le cas du CRM, un marché qui, en se consolidant (rachat de Siebel par Oracle, notamment) a donné du champ à un éditeur comme Salesforce qui proposait un nouveau modèle. « Il a clairement bénéficié de la concentration. » A suivre, donc. (...)

(08/10/2007 12:32:01)

SAP/BO : "SAP devient numéro 1 du marché de la BI en France"

Le rachat de Business Objects propulse SAP à la première place du marché français de la Business Intelligence (outils et applications d'analyse décisionnelle), devant SAS. C'est la constatation que fait Yasmina Benjelloun, analyste logiciels chez IDC France. Jusqu'à présent, SAS, BO et IBM (avec l'offre d'Ascential) occupaient les trois premières places. SAP, cinq fois moins important que BO en France, était encore un petit acteur dans le monde hexagonal du décisionnel, néanmoins présent dans le Top 10 des éditeurs. « Pour concurrencer Oracle, SAP procède comme lui à des opérations de croissance externe », commente l'analyste d'IDC France. « Business Objects avait plutôt souffert, l'an dernier en France, enregistrant l'une des plus faibles performances du marché de la BI », évoque Yasmina Benjelloun. Elle rappelle aussi les récentes fuites d'information, laissant entendre que BO cherchait un repreneur. De la même façon, en début d'année, des rumeurs de vente couraient autour de l'éditeur français. Et lorsqu'Oracle a finalement repris Hyperion, beaucoup d'observateurs ont alors pensé que la proie aurait tout aussi bien pu être BO. - Lire l'article : « SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros » (...)

(08/10/2007 11:30:25)

SAP/BO : "Il finira pas ne rester que deux grands acteurs sur ce marché"

Un rachat un peu déroutant De prime abord, cette acquisition apparaît « un peu déroutante », considère Vincent Lieffroy, analyste au CXP, spécialisé sur les PGI (ERP) et les solutions de gestion financière, en réaction à l'annonce du rachat, hier soir, de Business Objects par l'éditeur allemand SAP. L'analyste rappelle que SAP avait rompu un accord commercial avec BO l'an dernier, mais reconnaît que le rapprochement entre les deux éditeurs va dans le sens de l'évolution actuelle : « Il finira pas ne rester que deux grands acteurs sur ce marché, Oracle et SAP ». En dépit des recouvrements entre les offres décisionnelles, notamment dans le domaine de la gestion de la performance financière (consolidation, planning, gestion de budget), spécialités de Cartesis et d'OutlookSoft, sans compter les propres offres de BO et de SAP, « la décision de l'éditeur allemand a sans doute été prise il y a quelques temps déjà, poursuit Vincent Lieffroy, avec une logique, tant sur l'intégration que sur le recouvrement des offres ». Lire l'article : « SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros » (...)

(08/10/2007 07:56:12)

Salesforce.com prépare un service de partage d'informations

Salesforce.com prépare un service qui doit permettre aux utilisateurs de son application hébergée de GRC (gestion de la relation client) de partager directement leurs « leads » (prospects engagés), avec d'autres entreprises utilisant également son logiciel en ligne. Ce service tire avantage du fait que les milliers de clients de l'éditeur, spécialisé dans le mode SaaS (software as a service), stockent tous leurs informations sur leurs prospects et opportunités commerciales sur les mêmes serveurs distants, ceux de Salesforce.com. Ce qui facilite bien entendu le partage de données. Les utilisateurs pourraient mettre en place des règles qui autoriseraient la publication des informations qu'ils acceptent de partager. Les clients souhaitant y accéder devraient alors s'abonner au service, suggère l'éditeur sur son site IdeaExchange. Ces fonctions pourraient être mises en place avec la livraison de la version Winter 2008 de l'offre. Pour choisir un nom à ce service, l'éditeur a demandé à ses clients de l'aider, si l'on en croit un billet posté mardi sur son blog. Parmi les propositions figurent Salesforce Data Network, Salesforce to Salesforce (S2S) et Salesforce Partner Network. (...)

(08/10/2007 00:25:21)

SAP rachète Business Objects pour 4,8 milliards d'euros

L'éditeur français Business Objects vient d'accepter une offre d'achat « amicale » de l'Allemand SAP. Le numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) met 4,8 milliards d'euros (6,78 milliards de dollars) sur la table pour s'offrir le spécialiste des solutions d'analyse décisionnelle (dites aussi de Business Intelligence ou BI). Le fondateur de Business Objects, le Français Bernard Liautaud, va entrer au conseil de surveillance de SAP. La société qu'il a créée compte aujourd'hui 44 000 clients dans le monde. Pour mémoire, Oracle a racheté Hyperion en début d'année pour 3,3 milliards de dollars. Et Business Objects a lui-même racheté Cartesis, spécialiste des applications financières, au printemps dernier pour 225 M€. L'acquisition de BO va permettre à SAP d'avancer sur le marché de la BI et de proposer des solutions intégrées bien plus vite que la co-innovation ne le lui aurait permis, a déclaré Henning Kagermann, PDG de l'éditeur allemand, au cours d'une conférence de presse téléphonique. Le dirigeant a précisé que la transaction avait été acceptée aujourd'hui, dimanche 07 octobre, par les conseils d'administration des deux sociétés. « Les clients réclament un environnement constitué de processus métiers intégrés et gérés de bout en bout », a commenté Henning Kagermann, en estimant par ailleurs qu'il y avait peu de recouvrement entre les offres des deux éditeurs (réflexion qui paraît surprenante quand on considère les offres additionnées de SAP, BO, Cartesis et OutlookSoft). Il pense qu' « il ne sera pas nécessaire de faire d'importantes restructurations ». Business Objects conservera son autonomie Business Objects gardera son autonomie de fonctionnement. « Nous serons une entité indépendante au sein du groupe SAP », a confirmé John Schwarz, PDG de Business Objects, s'exprimant depuis le siège social allemand de SAP, situé à Walldorf. Néanmoins, BO va renforcer l'intégration de ses solutions avec celles de son acquéreur. « Nos offres BI seront disponibles sous une forme plus intégrée pour les clients de SAP et sous une forme plus indépendante pour les entreprises qui n'utilisent pas SAP, » a-t-il poursuivi. Le dirigeant de BO a également souligné la puissance combinée des réseaux de distribution des deux éditeurs : 5 000 partenaires. Ce qui, selon lui, devrait leur faciliter l'approche des entreprises de taille moyenne. Un marché sur lequel SAP a lancé sa suite hébergée, SAP Business ByDesign, il y a moins de trois semaines. Rappelons que, depuis le début de l'année, de nombreux rachats se sont produits sur le marché des solutions décisionnelles, plus particulièrement sur le secteur des outils de CPM (gestion de la performance économique). Après l'absorption d'Hyperion par Oracle, Business Objects avait en effet repris Cartesis et SAP lui-même avait ensuite racheté OutlookSoft. Plus récemment, Cognos a racheté Applix. (...)

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