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(26/09/2007 11:03:42)
Le rachat par Yahoo consterne les utilisateurs de Zimbra
Les utilisateurs des logiciels de collaboration et de messagerie de Zimbra sont consternés de voir Yahoo mettre la main sur leurs outils. Le rachat du premier par le second devrait être effectif dès le mois prochain ce qui ne laisse pas de les chagriner. Un sentiment partagé d'inquiétude et de contrariété se dégage clairement d'un forum de discussion ouvert par Zimbra pour recueillir les réactions de ses utilisateurs sur cette acquisition. Sur près d'une dizaine de pages, le fil n'a pratiquement enregistré que des impressions négatives. Zimbra a organisé la semaine dernière une conférence téléphonique ouverte à tous ses clients afin d'apaiser les craintes. Mais, pas plus cette conférence que les propos rassurants des collaborateurs de Zimbra sur le forum n'ont pu calmer les clients interrogés par nos confrères d'IDG News Service. Qu'est-ce qu'un acteur grand public peut bien faire d'un outil professionnel ? Matthew Day, responsable informatique de Langs Building Supplies, à Brisbane (Australie) juge l'avenir très incertain : « il y a beaucoup d'inquiétudes et de doutes autour de Zimbra en ce moment ». Dans son entreprise, 400 personnes utilisent cette suite, choisie de préférence à Microsoft Exchange et Xandos, de Scalix. Matthew Day comptait renouveler son contrat pour trois ans. Il se limitera à un an. Trop de questions restent sans réponse à son goût. Il se demande notamment si Yahoo, axé essentiellement sur le grand public, sera capable de comprendre les besoins des utilisateurs en entreprise. « En tant que responsable informatique, je n'imaginais pas un jour devoir utiliser un produit Yahoo. » Il s'inquiète aussi de l'influence négative du rachat sur les développements futurs de la suite de Zimbra. Un souci partagé par Dan Phillips, responsable informatique de Other World Computing, installé dans l'Illinois. « Jusque là, le principal souci de Zimbra, c'était de faire le meilleur produit. » Il redoute que ce ne soit plus l'objectif principal. Engagé depuis six mois seulement, il vient tout juste d'installer la version Open Source de Zimbra. « L'annonce du rachat par Yahoo m'a atterré et je suis loin d'être le seul dans ce cas. » Le PDG de Zimbra se veut rassurant Certains utilisateurs s'inquiètent de voir Yahoo désarticuler la suite pour l'insérer pièce par pièce dans Yahoo Mail. D'autres ne voient pas comment Zimbra pourra s'adapter au modèle économique de son acquéreur. Quant aux partenaires hébergeurs qui ont développé des services autour de la suite, ils s'interrogent aussi sur l'opportunité de poursuivre sur cette voie. Satish Dharmaraj, co-fondateur et PDG de Zimbra, tente de rassurer son monde. « Nous allons continuer à exister en tant qu'entité commerciale et nous allons dérouler notre stratégie comme prévu. » Le démantèlement de la messagerie de Zimbra ? Une crainte infondée qu'il qualifie de « paranoïaque ». Il rappelle que Yahoo Mail supporte 250 millions de clients alors que Zimbra s'adresse aux entreprises. Selon lui, l'équipe de Zimbra va aider à redéfinir et améliorer certaines portions de Yahoo Mail, au cas par cas. En commençant, apparemment, par Yahoo Calendar. Pour le reste, les versions hébergées de Zimbra seront maintenues. Ses utilisateurs peuvent donc se rasséréner, enjoint le patron de Zimbra, y compris ceux qui ont signé un contrat sur cinq ans. (...)
(26/09/2007 09:58:43)Le marché français de la GRC consolide sa reprise
Selon IDC, le marché français de la GRC (Licences et maintenance) a progressé de 7,3% l'an passé comparé à 2005, générant ainsi 275 M€ de chiffre d'affaires. Pour 2007, le cabinet d'études est optimiste puisqu'il s'attend à une hausse de 6,4% des investissements des entreprises. Cette tendance actuelle à la hausse confirme la reprise entamée timidement par cette industrie depuis 2004 (+2,6% en 2004 ; +4,4% en 2005) après les trois années de recul qu'elle a connues entre 2001 et 2003. La hausse des ventes de licences et de prestations de maintenance profite en outre au marché des services autour des solutions de GRC. Il a cru de 7,4% à 1,3 Md€ en 2006. Avec une augmentation de 10,1% de ses dépenses en licences et en maintenance, le segment des entreprises de 500 à 2000 salariés est le plus dynamique. En 2006, ces dernières ont généré 28% des recettes du secteur. Les sociétés de moins de 500 personnes y ont contribué de leur côté à hauteur de 12%, grâce à une croissance de leurs investissements de 8,4%. Pilier du marché des logiciels et des services de maintenance liés à la GRC (60% des dépenses totales), les entreprises de plus de 2000 salariés n'ont toutefois vu leurs investissements progresser que de 5,8% l'année dernière. Les disparités dans l'augmentation des budgets constatées en fonction des tailles d'entreprises sont également observables par secteur d'activité. Ainsi, le monde de la banque-finance-assurance, qui représente 29% des débouchés du marché français de la GRC, est l'un des plus dynamiques avec des investissements en hausse de 7,9%. IDC pointe en revanche le fait qu'avec une croissance de 7% de ses dépenses, le secteur de l'industrie est un de ceux qui a enregistré la plus faible progression en 2006. (...)
(25/09/2007 18:19:03)Premiers pas avec Symphony : les testeurs restent sur leur faim
Lotus Symphony essuie les critiques de ses premiers utilisateurs. Certes, ceux-ci saluent l'interface, impeccable, de la suite bureautique d'IBM basée sur la solution en Open Source OpenOffice. En revanche, ils pointent du doigt des problèmes de performances et de mise en place fonctionnelle, selon l'enquête menée par nos confrères de Computerworld. Symphony se lancerait et fonctionnerait avec lenteur, en réclamant plus de place en mémoire et sur le disque dur qu'OpenOffice. Elle offrirait en outre moins de fonctionnalités que son modèle ou que sa soeur, StarOffice, vendue 70 $ par Sun. Le blogueur Udo Schroeter, par exemple, estime qu'à telle enseigne, une nouvelle interface ne suffit pas pour passer d'OpenOffice à Symphony. Un autre testeur ajoute ne pas y voir non plus un « Office killer ». Rien de surprenant selon John McCreesh, responsable marketing du projet OpenOffice.org. Pour lui, les imperfections de Symphony doivent être imputées à l'utilisation d'un code source OpenOffice obsolète. Et sur son blog, il s'interroge sur les raisons qui ont amené « une entreprise de la stature d'IBM à essayer de faire passer pour nouveau un produit à la date de péremption dépassée ». Basée sur OpenOffice 1.1.4 La dernière version d'OpenOffice (2.3) a été livrée la semaine dernière et OpenOffice.org prévoit de fournir la 3.0 au printemps ou à l'été prochains, selon les indications fournies par Louis Suarez-Potts, responsable de la communauté OpenOffice.org, à l'occasion de la conférence annuelle des développeurs qui s'est tenue la semaine dernière à Barcelone. StarOffice, de Sun, est basé sur le code de l'actuelle version 2.x, initialement livrée il y a deux ans. La suite Symphony, elle, s'appuie sur OpenOffice 1.1.4, livrée en décembre 2004. « Le code a été considérablement réécrit depuis lors », se défend Don Harbison, directeur de l'initiative ODF pour IBM. « Symphony est en version bêta. Le travail n'est pas achevé, » reconnaît-il en soulignant néanmoins les travers d'une comparaison point à point avec d'autres suites. « Symphony est puissante, simple et elle se focalise sur l'essentiel. Elle procure les outils dont toute entreprise a besoin sans semer de confusion avec des fonctions qui ne sont pas demandées. En d'autres termes, rien de plus, rien de moins que ce qui est nécessaire. » (...)
(25/09/2007 17:40:15)+20% pour les formations en logiciels libres en 2007
La formation est un bon indicateur de l'adoption d'une technologie par les entreprises. D'après la seconde édition de l'Observatoire des logiciels libres créé par deux spécialistes de la formation, Anaska et ib-groupe Cegos, le nombre de personnes formées aux logiciels libres a progressé de 20% entre 2006 et 2007. Preuve que les environnements ouverts séduisent toujours plus. Le succès de la plate-forme LAMP (Linux Apache MySQL PHP), notamment, ne se dément pas. Par ailleurs, le catalogue de formations s'enrichit désormais de sessions dédiées à un public moins technique : c'est le cas des outils de gestion de la relation client (comme SugarCRM,) et de solutions de reporting/décisionnel (comme JasperSoft et l'ETL de Talend). L'Observatoire note un engouement indéniable pour des formations autour du langage de développement Ajax et des outils du Web 2.0. Il montre aussi que si les sessions PHP portaient à l'origine sur le langage en lui-même, les entreprises cherchant désormais à se former aux techniques et architectures avancées. Elles sont demandeuses de cursus sur des frameworks comme Symfony et le Zend Framework, qui s'imposent peu à peu. Les formations aux outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent également un certain succès. Parmi les leaders, des solutions comme JasperSoft et Talend. Anaska et ib-groupe Cegos indiquent aussi que le nombre de personnes formées aux bases de données Open Source comme MySQL a progressé de 40% cette année, et que les entreprises s'intéressent à des contenus toujours plus pointus. Enfin, ils notent que le nombre de formations autour de Linux reste stable, les universités et les écoles d'ingénieurs proposant toujours plus de formations initiales. Et que les entreprises forment de plus en plus en interne sur la suite bureautique OpenOffice.org, dont les téléchargements ont progressé de 46% entre 2006 et 2007. (...)
(24/09/2007 17:52:06)Forrester juge SAP Business ByDesign perfectible
Il reste à SAP une marge de progrès pour faire de Business ByDesign un produit vraiment séduisant. C'est en tout cas l'avis que Paul Hamerman, analyste de Forrester, a exprimé sur son blog à l'issue de la présentation, mercredi dernier, de l'offre de gestion en ligne pour PME de l'éditeur allemand, jusque-là connue sous le nom de A1S. Outre diverses considérations sur le travail restant à accomplir pour affiner les politiques de distribution, de partenariat et d'hébergement associées à SAP Business ByDesign, l'expert juge l'ergonomie du produit « peu intéressante ». Il regrette l'utilisation de polices de caractères trop petites et la présentation des données transactionnelles qui, à son goût, reprend trop celle du progiciel intégré phare de l'éditeur. Un autre point chagrine Paul Hamerman. Il s'étonne du prix unique (149 $ par utilisateur et par mois) alors que la solution est destinée à fonctionner sur la base de rôles différents suivant le type d'utilisateurs (même s'il note l'existence d'un prix réduit pour les utilisations limitées du produit). L'analyste appelle de ses voeux une stratégie de tarification qui s'adapterait aux différents rôles d'utilisateurs possibles, suggérant qu'une telle politique devrait susciter une adoption bien plus large du produit. Au-delà de ces remarques, Paul Hamerman reconnaît par ailleurs de nombreuses qualités à SAP Business ByDesign, notamment le caractère innovant de ses outils de configuration de processus métier. (...)
(24/09/2007 14:46:48)BO étend son offre « on demand » et ouvre une boutique en ligne
Business Objects, qui dit compter déjà 50 000 abonnés à son offre décisionnelle en ligne, ouvre un accès « on demand » sur l'ensemble de sa suite d'analyse de données (ou suite BI, Business Intelligence), avec une première solution destinée aux utilisateurs de Salesforce. Business Intelligence OnDemand for Salesforce est disponible sur la place de marché AppExchange. BO avait ouvert le feu en avril 2006 avec le lancement de Crystalreports.com, son premier logiciel fourni comme un service (mode SaaS, software as a service). L'éditeur indique que la nouvelle offre en ligne repose sur ce socle. En gérant une copie de ses informations sur le centre de données Business Objects OnDemand, une entreprise peut ainsi donner facilement accès à ses utilisateurs à des rapports formatés, des tableaux de bord, des requêtes ad hoc et des analyses (réalisés à l'aide des logiciels Crystal Reports, Crystal Xcelsius et Web Intelligence). BO a par ailleurs annoncé l'ouverture d'Information OnDemand, une boutique en ligne sur laquelle on trouve des données marché prêtes à l'analyse pour aider les entreprises à mesurer la concurrence ou à réaliser un benchmarking pour évaluer leur position sur leur secteur industriel. Sur cette boutique, BO propose notamment les données rassemblées par eBay sur le commerce électronique, grâce à un partenariat avec Data Unison, l'un des principaux distributeurs de ces données. Rappelons que, dans le cadre de sa stratégie online, Business Objects a également racheté, en décembre dernier, l'éditeur Nsite et sa plateforme de services à la demande. (...)
(24/09/2007 10:52:10)Le processeur Cell Broadband Engine utilisée dans la recherche sismique
L'université de Houston a annoncé le 19 septembre qu'IBM allait soutenir les campagnes de recherche de pétrole et de gaz lancées par les chercheurs texans. Big blue leur fournira en effet un super calculateur dont la technologie est directement issue de l'industrie du jeu vidéo. La puissance de cette machines reposera sur le microprocesseur Cell Broadband Engine, le même qu'IBM a mis au point pour alimenter la console nouvelle génération de Sony, la Playstation 3. Le projet prévoit de monter un noyau de 34 de ses puces, dont le rôle sera d'analyser le retour d'ondes lors des sondages de terrains, et d'en éliminer le bruit de fond. Lors de cette campagne, les scientifiques vont tester de nouveaux algorithmes de traitement des ondes sismiques. Ces nouveaux algorithmes devrait être à même de différencier une poche d'hydrocarbures des artéfacts souterrains qui tenaient les algorithmes précédents en échec. Si elles sont censées permettre une analyse plus fine, ces méthodes de calculs sont aussi plus compliquées et réclament davantage d'opérations à la seconde. IBM compte sur ce partenariat pour prouver la polyvalence et la puissance de ses puces. (...)
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