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(20/09/2007 17:42:45)
Sword relie Google Appliance et outils de GED
En partenariat avec Google, le Français Sword met la dernière main au connecteur qui permettra de relier Google Search Appliance aux logiciels de gestion documentaire comme ceux d'Open Text, Livelink, Documentum ou encore Filenet. « Notre connecteur permettra à ces logiciels de chercher dans la base de connaissance de l'entreprise en se servant de l'algorithme de recherche fourni par Google Appliance », nous explique Fabrice Lienar, directeur de Sword. D'ici la fin de l'année, Google rendra disponible en téléchargement une version ²light² du connecteur de Sword. Réduite en fonctionnalités, cette version gratuite ne pourra, par exemple, pas permettre de gérer des ressources documentaires de plusieurs bases de données, ni permettre à l'utilisateur de définir des degrés de confidentialité à assigner à ses documents. Sword, de son côté, commercialisera une version payante, et modulable selon le projet, pour environ 14 000 €. (...)
(20/09/2007 17:26:33)Qualité des données : Informatica ajoute un service en ligne pour Salesforce
Informatica vient d'ajouter la gestion de la qualité des données à son offre en ligne destinée aux utilisateurs de Salesforce, l'application hébergée de gestion de la relation client (GRC). Dans la même catégorie, l'éditeur proposait déjà un service de réplication des données permettant aux utilisateurs de copier sur une base interne à l'entreprise, les données gérées en ligne sur Salesforce (à des fins d'analyse, d'archivage ou de communication). Le nouveau service, Informatica Data Quality Assessment, servira cette fois à rechercher dans une base de données, à partir de règles prédéfinies, les informations manquantes, inexactes ou en doublon afin de pouvoir les corriger. L'offre sera accessible à partir du 6 octobre prochain, pour un prix de départ de 1 000 $ par mois. Informatica a, par ailleurs, annoncé un pack d'intégration pour faire le lien entre la plateforme Salesforce et le système d'information d'une entreprise afin, par exemple, de synchroniser des informations entre applications. Cette offre s'appuie sur Informatica PowerCenter 8. Le pack Informatica Integration pour Salesforce est proposé à 2 500 $ par mois. (...)
(20/09/2007 11:02:12)Dreamforce : Salesforce Ideas, source d'inspiration communautaire
Lors de la conférence utilisateurs Dreamforce (16-19 septembre, San Francisco), Marc Benioff, PDG de Salesforce.com, a présenté Ideas, une application qui viendra s'ajouter à son offre « à la demande » lors de sa prochaine et vingt-quatrième mise à jour, Winter '08. Bâtie sur la plateforme Force.com, Salesforce Ideas apporte un cadre permettant de tirer parti des idées soumises en ligne par une communauté. Ce peut être une communauté interne à une entreprise qui permettra d'échanger autour du développement des produits, des marques, de la politique de prix ou des marchés à aborder, etc. La communauté peut également être constituée des clients et partenaires d'une entreprise. A la manière de Digg ou d'IdeaStorm Marc Benioff cite en exemple le site IdeaStorm, lancé par Dell en février dernier pour recueillir les suggestions de ses clients et qui a notamment conduit le constructeur à sortir, à la suite de demandes répétées, des ordinateurs sous Linux Ubuntu. Ou encore, toujours chez Dell et sur le même principe, Employeestorm, destiné à recueillir les commentaires des salariés. Le PDG de Salesforce.com fait aussi référence à Digg, site communautaire qui illustre bien l'univers du Web 2.0 en proposant à ses visiteurs de partager du contenu Web qu'il affichera dans l'ordre déterminé par le vote des internautes. Salesforce Ideas permettra donc de partager des informations, de poster des contributions pouvant inclure du contenu graphique et de voter en ligne pour faire remonter, parmi les idées soumises, les suggestions les plus séduisantes. 700 applications sur AppExchange Au cours de la même intervention, Marc Benioff a également rappelé la prochaine livraison, dans Winter '08, de l'application de gestion de contenus Salesforce Content, issue de son rachat de Koral. Le dirigeant a par ailleurs annoncé la disponibilité de la 700e application sur la place AppExchange. Il s'agit d'une solution de gestion des ressources humaines développé par Fairsail, l'un des 350 partenaires à proposer un logiciel sur AppExchange. Salesforce compare la recherche d'applications sur cet espace à l'utilisation d'un répertoire à la iTunes. Depuis son lancement, 34 000 applications auraient été installées par quelque 12 000 clients dans 74 pays. (...)
(19/09/2007 21:46:58)PGI "à la demande" : SAP A1S s'appelle SAP Business ByDesign
L'offre de gestion « à la demande » de SAP s'appellera donc SAP Business ByDesign. Cette mystérieuse offre hébergée pour PME, qui a déjà fait couler beaucoup d'encre, était jusque-là connue sous le nom de code A1S. L'éditeur allemand, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés (PGI), vient tout juste de la présenter à l'occasion d'une conférence très attendue, qui a débuté à New-York à 11 heures (17 heures, heure de Paris). Cette présentation a été retransmise en direct sur le Web afin que tout un chacun puisse simultanément découvrir le produit qui, selon les propres mots de Léo Apotheker, PDG délégué de l'éditeur, ouvre « une nouvelle ère pour SAP ». Un produit sur lequel la société a commencé à travailler il y a quatre ans, de l'aveu même d'Henning Kagermann, son PDG. Des services Web pour façonner l'application à sa mesure Avec cette offre de gestion intégrée, très novatrice pour le fournisseur et assortie d'un modèle économique totalement différent du sien jusqu'à présent, SAP prétend hardiment changer la donne dans sa propre industrie. Basée sur la plateforme d'infrastructure Netweaver, SAP Business ByDesign repose sur une architecture orientée services (SOA), ce qui va permettre au client de façonner une application à sa mesure qu'il pourra ensuite enrichir au gré de ses besoins. Des services Web externes, comme Google Maps (présenté lors de l'annonce), pourront également être appelés. La PME pourra juger de l'adéquation entre son activité et les processus métiers de l'offre en testant celle-ci en ligne, avec ses propres données, avant de l'acheter. Linux, MaxDB, virtualisation et « megatenancy » SAP Business ByDesign s'insère entre les deux offres PME déjà disponibles de l'éditeur (All-in-one et Business One). Elle propose, en ligne, une solution couvrant tous les processus de gestion y compris la relation client. L'offre se veut simple à utiliser car elle vise des entreprises de 100 à 500 personnes qui ne sont pas forcément férues d'informatique. Pas de cannibalisation, donc, des deux produits PME déjà lancés, assure Léo Apotheker. Le coût d'accès à l'application, dont la disponibilité générale est véritablement prévue pour 2008, est fixée à 149 dollars (environ 133 euros) par utilisateur et par mois, avec un minimum de vingt-cinq utilisateurs. Accessoirement, mais c'est transparent pour l'entreprise cliente, Business ByDesign fonctionne sous Linux avec la base de données maison, MaxDB. L'application est pour l'instant hébergée par SAP (à terme, des partenaires hébergeurs sont prévus). L'éditeur fait appel aux technologies de virtualisation de serveurs (en l'occurrence celle de VMware) et exploite une architecture « megatenancy » (différant du multitenancy) qui permet de mettre à jour séparément les applications de chaque client. Une démarche indispensable puisque chaque PME aura personnalisé ses processus. Vingt clients en test, une disponibilité réelle en 2008 Vingt clients utilisent déjà SAP Business ByDesign : dix en Allemagne et dix aux Etats-Unis. Quatre d'entre eux sont venus soutenir SAP sur sa scène new-yorkaise. Vingt autres clients s'apprêtent à passer en exploitation, en France, en Angleterre et en Chine. Et plusieurs dizaines d'autres entreprises y songent. Il s'agit toutefois de clients sélectionnés car SAP souhaite prolonger encore sa phase de test pour bien rôder son modèle avant l'ouverture du produit à tous. « L'offre prendra sa vraie vitesse à partir du 2ème semestre 2008 », confirme Walter Lenarduzzi, responsable de la division PME de SAP France. La France, un marché significatif pour SAP Les PME hexagonales les plus curieuses n'auront toutefois qu'un mois à attendre pour découvrir le produit dans sa version française puisque celle-ci sera disponible le 15 octobre prochain. La France constitue donc pour SAP un marché cible significatif pour déployer SAP Business ByDesign. Un marché sur lequel, en outre, un produit comme SAP Business One a apparemment plus de mal à se répandre que dans d'autres pays (l'Inde notamment), en partie à cause d'une concurrence locale forte sur les PGI pour PME. D'ici fin 2008, la filiale hexagonale espère qu'elle devra à SAP Business ByDesign 15 à 20 % de son chiffre d'affaires PME (qui devrait représenter alors la moitié des ventes françaises globales). Entre temps, SAP France se sera employé à constituer un réseau de partenaires en puisant parmi ceux qu'il compte déjà et en recrutant aussi de nouveaux profils, cette fois plus axés sur la vente que sur l'intégration, avec une offre de service se bornant à accompagner le client dans sa conduite du changement et la migration de ses données. A ces distributeurs s'ajouteront d'autres types de partenaires, fournisseurs d'infrastructure et de services Web. (...)
(19/09/2007 08:44:51)Mobilité et clients légers tirent les projets informatiques en France
Les investissements high-tech des entreprises françaises repartent à la hausse. C'est en tout cas l'analyse de la société d'études Comm'Back qui a mesuré une croissance de 12% du nombre de projets informatiques et télécoms déclarés dans les entreprises française de plus de 50 salariés au cours du premier semestre 2007 par rapport à la même période de l'an dernier. Ce résultat a été obtenu sur la base d'une enquête réalisée par téléphone auprès des responsables informatiques de 15 000 entreprises. Par comparaison, le nombre de projets déclarés au premier semestre 2006 était en baisse de 23%. Bien entendu, cette croissance varie selon les catégories de projets. Ainsi les plus grosses croissances concernent le référencement de sites Web (+145%), la mise en oeuvre d'applications pour informatique mobile (+106%), l'acquisition de solutions de stockage RAID (+88%), la mise en place d'un réseau sans fil (+61%) et l'achat de terminaux (+49%). D'une manière générale tout ce qui concerne le client léger (+20% pour les serveurs OS400), la mobilité (+12% pour l'informatique mobile, +33% pour les portables...) les projets de Worflow (+35%) et les communications unifiées (+27% pour la VOIP, +29% pour la visio, + 23% pour l'XDSL...) a le vent en poupe. En revanche, la gestion commerciale (-23%), les systèmes de gestion de bases de données (-57%), les imprimantes poste de travail (-30%), les projets Intranet (-23%) et les audits sécurité réseaux (-53%) sont en déclin. Selon Alain Perez, directeur général de Comm'Back, ces résultats montrent que « le marché des technologies de l'information arrive à maturité avec une nette progression des projets de consolidation ». D'autre part, « l'engouement autour des communications montre que les entreprises réalisent qu'Internet joue un rôle de plus en plus important dans l'apport de nouveau business ». Ces analyses sont corroborées par la répartition des projets par régions. Les régions les plus avancées en matière de technologies de l'information, Ile-de-France, Rhône-Alpes et PACA, sont aujourd'hui celles qui enregistrent la croissance la plus faible. « Le business se déplace actuellement en région », estime Alain Perez. (...)
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