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(18/06/2007 17:49:16)

Adobe intègre la technologie Flex à LiveCycle Entreprise Suite

En ajoutant à son offre LiveCycle le support de la technologie Flex, Adobe élargit le champ d'application de cette gamme de logiciels destinée à créer des workflows documentaires diffusant des fichiers PDF sécurisés, à remplir en ligne. Avec LiveCycle Enterprise Suite (ES), actuellement proposé en version bêta, il est possible de développer des applications Flex proposant des interfaces plus attractives et une meilleure interactivité que le formulaire PDF pour saisir les informations. Flex est en effet destiné à concevoir des interfaces riches en Flash, pour des applications transactionnelles sur le Web. Dans le cas de procédures administratives accessibles sur un site Web, par exemple, remplir un questionnaire développé avec Flex sera moins fastidieux que de compléter un formulaire aride. L'ouverture d'un compte, le traitement de sinistres ou le libre-service assisté constituent quelques exemples d'applications possibles. Les administrations mais également le secteur financier comptent parmi les grands utilisateurs de LiveCycle. Les différentes composantes logicielles de la gamme étaient jusqu'à présent vendues de façon indépendante. Désormais, LiveCycle ES est proposé en deux éditions regroupant tout ou partie de ses composants. LiveCycle ES Data Capture Edition se concentre sur la collecte de données. Il rassemble Forms (création de formulaires), Data Services, Barcoded Forms (intégration des codes à barre) et Reader Extensions (fonctions autorisant un lecteur d'un fichier PDF de remplir un formulaire). L'édition la plus complète, LiveCycle ES Business Transformation, permettra de constituer des applications de récupération de données et d'orchestrer de bout en bout des circuits de circulation sécurisée de documents et de données. Elle dispose, en plus, des composants Process Management (pour la gestion de processus), Digital Signatures (signature numérique), Rights Management (gestion des droits numériques) et Output (pour la diffusion en masse des documents). (...)

(15/06/2007 17:44:41)

Sept universités et le Cnam basculeront sur SAP au 1er janvier 2008

Au 1er janvier prochain, dans le cadre du projet Sifac (système d'information financier), sept universités et le Cnam vont basculer leur gestion comptable sur un nouveau progiciel de gestion intégré (PGI), signé SAP : le CNAM, Lille 3, Nancy 1 et Nancy 2, Nantes, Paris 6, Paris 7 et Rennes 1. A l'issue d'un appel d'offres, l'Amue (l'agence de mutualisation des universités et des établissements d'enseignement supérieur et de recherche), qui pilote ce projet, a en effet retenu la solution de gestion comptable et financière de SAP pour équiper les universités françaises qui veulent renouveler leur système d'information. Les prestations de services associées sont assurées par l'intégrateur Steria, avec Accenture. Evoquant en toile de fond la perspective de l'autonomie renforcée des universités (un projet de loi se prépare), Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la conférence des présidents d'université a souligné, lors d'une conférence de presse à la Sorbonne, « la nécessité impérieuse de disposer dans les meilleurs délais d'un système d'information pour maîtriser les leviers comptables permettant de mener de nouvelles actions et, surtout, de disposer d'outils de pilotage. » D'autres universités vont emboîter le pas aux huit établissements qui ont choisi de se lancer les premiers dans la migration. « Des déploiements industriels se feront à partir de 2009 », a précisé Michel Lussault, président de l'Amue. Trois vagues sont prévues. Un coût consolidé de 19 millions d'euros D'ici à 2012, quatre-vingts établissements vont rejoindre le projet Sifac. « Le coût consolidé sera de 19 millions d'euros », a indiqué Jacques Bernard, directeur de l'Amue en précisant que 11 millions d'euros seront financés par le fond de réserve constitué par l'agence de mutualisation et que les huit autres millions seront à la charge des établissements, se répartissant entre l'achat de la licence et la redevance annuelle. Le directeur de l'Amue estime que, par la suite, d'autres universités devraient également faire le même choix. De son côté, Michel Lussault commente la nécessité d'un nouveau système de gestion en rappelant que les partenariats entre les établissements et toutes sortes d'opérateurs imposent de se connecter aux autres systèmes d'information, ainsi qu'à ceux de l'Etat. Les capacités d'interfaçage de SAP ont pesé dans la décision. « Les établissements connaissent très mal leurs coûts », a par ailleurs rappelé Pierre Dumaz, président de l'association des agents comptables d'université, illustrant l'importance de disposer d'outils de comptabilité analytique. La loi organique oblige notamment à quantifier par rapport à des objectifs. Limiter les coûts de déploiements Enfin, la démarche proposée par Steria a également compté dans le choix effectué par l'Amue. Pour réduire les coûts de déploiement, l'intégrateur a proposé de capitaliser sur des développements déjà réalisés, notamment pour les modules de gestion des marchés publics et de mission des agents. Il a également été décidé un paramétrage commun à l'ensemble des universités avant le déploiement. Ce paramétrage a été réalisé au cours d'ateliers (160 personnes de 17 universités y ont participé deux jours par semaine pendant six mois) et il n'empêchera pas chaque établissement de respecter ses spécificités d'organisation. (...)

(15/06/2007 16:04:54)

Une entreprise sur deux externalise ses applications et processus RH

La tendance à l'externalisation des fonctions d'entreprise, et plus particulièrement celles qui sont fortement répétitives et gourmandes en ressources, s'accélère. D'après une enquête menée par le société d'études Markess International auprès de 400 entreprises privées et publiques, la moitié d'entre elles déclare avoir déjà eu recours en 2006, ou envisage de recourir d'ici 2008, à une forme ou une autre d'externalisation de leurs applications et processus de ressources humaines (RH). Et ce de manière partielle ou totale, en recourant à des solutions RH en mode ASP, en externalisant une fonction RH complète dans le cadre de contrat de type BPO - Business Process Outsourcing - ou en s'orientant vers des services de traitement (infogérance d'application ou l'hébergement d'application RH). La réduction et la maîtrise des coûts restent les principales motivations poussant les entreprises à faire ce choix Parmi les deux autres apports majeurs cités figurent le recentrage sur le coeur de métier ou sur des tâches à valeur ajoutée (pour 42% des entreprises) et l'optimisation du « budget temps » (pour 16% des entreprises). Forte dynamique sur la paie, la formation et l'administration du personnel Tâche complexe, répétitive et à faible valeur ajoutée, le traitement de la paie est le premier domaine que les entreprises externalisent. Ainsi, 62% d'entre elles l'ont confié à un prestataire externe en 2006. Cette tendance va se poursuivre, pour concerner 68% des entreprises en 2008. Le deuxième domaine est celui de la formation et du développement des compétences (36% en 2008, contre 24% en 2006). Les évolutions légales et réglementaires, comme le DIF (droit individuel à la formation), constituant l'un des facteurs explicatifs de cette montée en charge. Enfin, l'administration du personnel, externalisée par 22% des entreprises interrogées en 2006, s'octroie la troisième position. Top 6 des applications et processus RH concernés par l'externalisation entre 2006 et 2008

Domaine applicatifTaux en 2006Taux en 2008
Paie 62%68%
Formation et développement 24%36%
Administration du personnel22%32%
Gestion du temps et des activités24%28%
Recrutement21%26%
Tableau de bord social et indicateurs15%19%
Source: Markess International (...)

(12/06/2007 09:27:20)

Les autorités antitrust soutiennent Microsoft face à une plainte de Google

Selon le New York Times, les procureurs des différents états américains auraient reçu de la part de l'autorité antitrust fédérale un mémo leur demandant de rejeter une plainte déposée par Google à l'encontre de Microsoft. Google a confirmé qu'il avait adressé au département américain de la Justice (DOJ), en avril dernier, un livre blanc d'une cinquantaine de pages dans lequel il explique pourquoi, selon lui, Windows Vista, la dernière version du système d'exploitation de Microsoft, enfreint un règlement de 2002 portant sur les pratiques anticoncurrentielles. Les griefs de Google portent sur le moteur de recherche utilisé sur le poste de travail. Cet outil permet de retrouver des informations stockées sur le disque dur, dans les courriels ou d'autres sources d'informations personnelles. Google estime que la mise en place de Windows Vista rend plus difficile l'utilisation, sur le poste de travail, d'applications de recherche concurrentes à celle de Microsoft. Un mémo qui surprend certains de ses destinataires Selon le quotidien new-yorkais, le mémo reçu par les procureurs des différents états a été rédigé par Thomas O.Barnett, procureur général adjoint du département antitrust. Cette note a surpris nombre de ses destinataires. Des représentants officiels de plusieurs états ont indiqué qu'ils pensaient que la plainte de Google était justifiée et qu'ils ne se souvenaient pas avoir reçu jusque-là de demande de cet ordre de la part du département antitrust du DOJ. Le New York Times mentionne aussi le fait que Thomas Barnett a été, jusqu'en 2004, partenaire d'un cabinet juridique ayant représenté Microsoft sur plusieurs procès antitrust. Toutefois, il n'aurait pas été lui-même impliqué sur ces affaires et s'en serait volontairement tenu éloigné pendant un an à la suite de son arrivée au département antitrust pour éviter d'éventuels problèmes de conflit d'intérêt. Quelques dix ans après les tentatives gouvernementales de démanteler Microsoft, l'administration Bush a sensiblement changé de direction. Elle a défendu à plusieurs reprises la société de Bill Gates, tant aux Etats-Unis qu'à l'étranger, contre les accusations de conduite anticoncurrentielle. Le rejet de la plainte de Google en est la plus récente illustration. Des performances ralenties par l'usage d'un autre moteur de recherche Dans son livre blanc, Google développe deux arguments. Premièrement, il établit que les menus et boîtes de recherche proposés par Vista (disponibles à divers endroits dont le menu de démarrage et le gestionnaire de fichiers) fonctionnent uniquement avec le moteur de recherche et d'indexation de Microsoft. Deuxièmement, il explique qu'il est presque impossible de désactiver les fonctions d'indexation de Vista et qu'ajouter un second outil d'indexation équivaut à ralentir les performances du PC. Ces plaintes sont différentes de celles de Netscape, qui dans les années 90 avait pâti de la concurrence de Microsoft sur les navigateurs Web, notamment lorsque l'éditeur d'Explorer avait conclu des accords avec les fabricants de PC. Selon Rob Helm, directeur de recherche chez Microsoft (à Kirkland, Washington), Google pourrait avoir du mal à prouver ses accusations. Il juge hasardeuses l'allégation établissant que si deux logiciels ne fonctionnent pas ensemble, il doit s'agir d'une tactique anticoncurrentielle de Microsoft. « Je ne me souviens pas d'affaires antitrust passées portant sur des affirmations aussi larges ». (...)

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