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Externalisation
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(05/09/2006 09:34:25)
Selon Ovum, la main d'oeuvre externalisée des entreprises anglaises va doubler d'ici trois ans
Selon un rapport publié par le cabinet d'études Ovum pour le département britannique du commerce et de l'industrie, le recours massif à l'offshore par l'industrie anglaise du logiciel et des services informatiques devrait se traduire par un recul annuel de près de 6% des effectifs du secteur entre 2006 et 2008. Au cours de la même période le nombre de travailleurs "offshore" employés au service de l'industrie informatique britannique devrait doubler à près de 130 000. Selon Ovum, la part de l'offshore dans les services rendus par la plupart des grandes SSII britanniques devrait dépasser les 20% en 2008 et, dans certains cas, elle devrait même atteindre 50%. Cette proportion pourrait encore s'accroître si le secteur public anglais autorise ses fournisseurs à recourir à l'offshore. (...)
(04/09/2006 17:55:05)Gartner: ralentissement mondial de l'externalisation RH
Selon Gartner, le marché mondial de l'externalisation des processus métiers (Business Process Outsourcing, ou BPO) doit progresser de 8,3 % cette année pour représenter un chiffre d'affaires de 134,7 Md$. Le domaine des ressources humaines, qui représente 18,7 % du marché, selon le cabinet, doit, quant à lui, afficher une croissance de 4,7 % par rapport à 2005 pour atteindre 23,5 Md$. Selon Gartner, le domaine des RH doit atteindre cette année un tournant : « certains prestataires peinent à rester rentables et se retirent pour préserver leurs résultats». Le cabinet estime que le marché américain devrait être le premier frappé par cette tendance, en 2007. En cause, un nombre croissant d'entreprises qui ont déjà externalisé certains processus métiers liés aux ressources humaines et qui cherchent désormais de nouveaux prestataires, tant pour réduire un peu plus leurs coûts, que pour obtenir des niveaux de service supérieurs. (...)
(24/08/2006 18:12:01)Capgemini France licencie dans son activité Outsourcing
Le CCE (comité central d'entreprise) de Capgemini et le CE(comité d'entreprise) d'Outsourcing Services, sa filiale consacrée à l'Outsourcing, assignent la direction de la SSII en justice. Il ont lancé une action en référé pour demander l'annulation ou du moins le report, de la procédure du plan de sauvegarde de l'emploi lancée le 17 juillet dernier. Cette requête sera examinée le 29 août par le juge des référés. Celui-ci devra se prononcer sur la procédure du plan baptisé « sauvegarde de la compétitivité d'Outsourcing Services » par Capgemini, qui prévoit la suppression de 210 postes au sein de la division IM (Infrastructure Management ) d'Outsourcing Services, sur 720 emplois au total. Le centre IM de Lille (33 personnes) devrait notamment fermer ses portes. La SSII affirme, par la voie de son DRH France, Jean-Michel Estrade, que ces mesures visent à résorber le sureffectif de cette activité pour préserver sa compétitivité. Il ajoute que ce projet s'inscrit dans le plan global de redressement de la rentabilité de l'infogérance annoncé par la direction générale de Capgemini, il y a quelques mois. Selon Les Echos du 10 novembre 2005, Paul Spence, responsable de l'infogérance, prévoyait que ce plan permettrait de dégager « entre 5 et 7 points de marge à moyen terme ». Face à cette situation, Capgemini lance un appel aux départs volontaires. Jean-Michel Estrade affirme qu'il n'est pas question d'atteindre ses objectifs de baisse d'effectifs autrement que par un appel aux volontariats. Les personnes qui évoluent sur le centre IM de Lille et qui ne souhaitent pas quitter la société devraient se voir proposer des reclassements sur une autre antenne. Le CCE et le CE OS rejettent le plan proposé par la direction. Ils souhaitent rallier les partenaires sociaux à l'action qu'ils ont lancée. Ils dénoncent le principe du volontariat comme étant galvaudé, ainsi que la non application par les directions du groupe et d'Outsourcing Services d'une partie de l'accord GPEC (Gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) signé en mai 2005. « Celui-ci prévoyait justement des mesures destinées à maintenir l'employabilité des salariés, notamment sur les métiers à risque et à éviter des licenciements », souligne Frédéric Boloré, délégué syndical CFDT UES Capgemini. Quelques soient les suites de la procédure, la priorité sera pour ce dernier de s'assurer que les personnes qui partent soient en situation de retrouver un emploi au plus vite en obtenant des conditions de reclassement qu'il souhaite plus favorables que lors du dernier plan social. (...)
(03/08/2006 15:03:17)SAP investit 1 Md$ sur cinq ans en Inde
En visite à New Delhi, capitale de l'Inde, Henning Kagermann, PDG de SAP, a affirmé que l'éditeur allemand de PGI prévoyait d'investir 1 Md$ d'ici 5 ans dans le sous-continent indien. Selon lui, d'ici la fin de l'exercice 2006, près de 20% des développements et de la recherche SAP proviendront des équipes basées en Inde. Le centre de recherche installé à Bangalore est ainsi le plus important hors Allemagne. Il abrite actuellement 2 750 employés, chiffre qui devrait se monter à 3 500 à la fin de l'année. SAP n'est pas le seul à prévoir une augmentation de ses investissements en Inde. Nombre de fournisseurs IT tablent sur l'aubaine que représente un pays à la main d'oeuvre à la fois très qualifiée et bon marché et qui s'avère qui plus est l'un des principaux marchés émergeants, fort de plus d'un milliard de consommateurs potentiels. IBM a ainsi annoncé cette année la mise en place d'un programme d'investissement sur 3 ans d'un montant de 6 Md$. (...)
(27/07/2006 15:30:31)Business Objects : Benoît Fouilland, vice-président finances, détaille les résultats T2
:Lemondeinformatique.fr : Vos résultats du deuxième trimestre dépassent les fourchettes annoncées dans l'avertissement lancée le 10 juillet. Etes-vous finalement satisfait des performances réalisées au cours de la période ? Benoît Fouilland : Avec un chiffre d'affaires en progression de 12%, et une bonne croissance dans les nouveaux marchés que nous investissons, on peut juger le trimestre comme satisfaisant. Néanmoins, les ventes de licences sont décevantes. Nous y voyons deux grandes causes. La première concerne la contribution de l'Europe (-8%, à 107 M$) et, dans une moindre mesure, de l'Asie (-10%, à 20 M$), qui s'avèrent décevantes alors que la performance réalisée en Amérique est exceptionnelle (+ 36%, à 168 M$). L'autre explication tient aux taux de signature des grands contrats. En toute fin de trimestre, des contrats importants sur lesquels on comptait n'ont pas été finalisés et ont glissé sur la période suivante. C'est un phénomène que l'on a observé de manière globale, et pas seulement en Europe. La déception vient également du bénéfice net : il passe de 23 M$ à 7,9 M$ en un an. Comment expliquez-vous ce recul ? Il y a des éléments de comparaisons importants à prendre en considération pour analyser ce résultat. La prise en compte de charges de rémunération en action a eu effectivement un impact important sur les données Gaap, de l'ordre de 11 M$. Mais sur une base pro format, le bénéfice par action s'inscrit dans le bas de la fourchette précédemment communiquée. La marge opérationnelle n'est certes pas au niveau de ce que l'on attendait, mais cela ne remet pas en cause notre modèle. Quelles mesures comptez-vous prendre pour améliorer vos performances sur les prochains trimestres ? Au troisième trimestre, l'effet de saisonnalité devrait peser sur les ventes de licences et le chiffre d'affaires total restera vraisemblablement stable. Nous allons poursuivre la mise en oeuvre d'outils d'excellence opérationnelle, commencée depuis la fin de l'an dernier. Cela concerne les secteurs des achats, des dépenses informatiques et le recours à l'offshoring. En outre, nous prévoyons des actions spécifiques de contraction des coûts au troisième trimestre sur les postes de dépenses variables. En particulier sur l'utilisation des contracteurs, sur la contraction des dépenses en personnel temporaire et sur les embauches nouvelles hors commercial. Enfin, certaines actions symboliques seront entreprises. Ainsi notre projet de rénovation du siège américain de San José est reporté. Comment envisagez-vous l'ensemble de l'exercice fiscal ? Nous ne faisons pas de prévision en terme de marge opérationnelle. Nous prévoyons un chiffre d'affaires en recul de 25 à 30 M$, une baisse qui prend en compte la décroissance des ventes de licences sur le deuxième trimestre. Les marchés financiers ont peut-être eu une réaction disproportionnée à la suite de notre pré-annonce mais Business Objects reste clairement une entreprise leader sur son marché. Le groupe a certes connu un à-coup mais l'équipe a su prendre la mesure des actions à mettre en place. (...)
(19/07/2006 17:14:48)Les spécialistes indiens de l'offshore ont le vent en poupe
Résultats premier trimestre Wipro Chiffre d'affaires : 677 M$ (+37%) Bénéfice : 132,8 M$ (+44%) Résultats premier trimestre Tata Consultancy Services Chiffre d'affaires : 900 M$ (+42%) Bénéfice : 187 M$ (+33%) Les spécialistes indiens de l'externalisation affichent une exubérante santé, au moment où les acteurs IT occidentaux connaissent une période délicate, à l'image de BO, Yahoo ou AMD qui ont publié ou annoncé des performances inférieures aux estimations. Tata Consultancy Services, le spécialiste numéro un de l'externalisation dans le Sous-continent, réalise clôt ainsi son premier trimestre sur un chiffre d'affaires en hausse de 42 %, à 900 M$.Il profite de la demande mondiale galopante pour les services offshore - les exportations indiennes de logiciels et services sont attendus en hausse de 27% à 30% en 2006 - et de la dépréciation de la roupie indienne. Son bénéfice s'élève à 187 M$, et croît de 33 % par rapport à la même période de l'année précédente. Plus de la moitié des revenus du groupe (53%) proviennent des exportations à destination de l'Amérique du Nord, contre 27% pour l'Europe. Tata a recruté 4 698 nouveaux salariés au cours du trimestre, portant son total à 71 190 au 30 juin. Même niveau de performances pour Wipro, le troisième principal acteur de l'industrie offshore indienne. Son chiffre d'affaires s'élève à 677 M$, en hausse de 37%, et son bénéfice bondit de 44% pour atteindre 132,8 M$. Si Wipro s'adresse à la fois au marché domestique indien et aux entreprises IT à travers la planète, c'est auprès de ces dernières qu'il réalise la très grande majorité de ses revenus. Sa division Global IT Services & Products - axée sur l'offshore - réalise ainsi un CA de 530 M$ et progresse de 42 % sur un an. Le groupe a embauché 2 693 salariés supplémentaire au cours de la période considérée et compte désormais 56 435 employés. Il y a quelques jours, Infosys - le numéro deux indiens de l'externalisation - avait publié des résultats en ligne avec ceux de Tata et Wipro. (...)
(13/07/2006 12:37:50)Etude : les DSI américains regrettent l'externalisation
Et si l'externalisation n'était pas l'Eldorado tant vanté ? Si l'étude publiée par DiamondCluster International ne met en lumière aucune révolution, elle illustre néanmoins le ralentissement du recours à l'externalisation par les entreprises IT. Selon l'institut, les DSI américains sont de plus en plus nombreux à réaliser qu'ils font une erreur en recourant à l'outsourcing de façon prématurée. Certains se mettent même à rapatrier une partie des tâches précédemment confiées à des tiers. C'est le cas de Nissan Amérique du Nord : le constructeur s'était tourné vers IBM en 1999 pour un contrat d'externalisation estimé à 1 Md$. En avril 2006, Nissan indiquait qu'une partie des postes confiés à Big Blue étaient retournés dans son propre giron. La même étude avait été réalisée il y a deux ans. A l'époque, aucun responsable IT ne songeait à diminuer le recours à l'externalisation. En 2006, ils sont 9 % à envisager cette possibilité. Les raisons de ce léger revirement sont variées : certains groupes externalisent trop rapidement et ne confient pas les bonnes activités à leurs co-contractants, d'autres n'étaient simplement pas préparés à franchir le cap, d'autres enfin choisissent des prestataires inadaptés. Reste que le recours à l'externalisation continue de progresser, certes à un rythme qui s'essouffle. 64 % des DSI interrogés indiquent qu'ils entendent augmenter la part de leur activité confiée à un prestataire dans les prochains mois. En 2004, ils étaient 86 % à faire la même réponse. Autre élément intéressant : 47 % des sondés ont mis une fin prématurée, au cours de l'année écoulée, à un contrat d'externalisation. Ils n'étaient que 21 % en 2004. (...)
(13/07/2006 12:38:33)Infosys démarre fort son exercice 2007
Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 660 M$ (+39 %) Bénéfice net : 174 M$ (+43 %) Infosys, le numéro deux indien de l'externalisation derrière Tata Consultancy Services, a bouclé son premier trimestre fiscal sur la même tendance barométrique qu'au cours des périodes précédentes : le temps est au beau fixe. Le chiffre d'affaires atteint ainsi 660 M$, selon les normes Gaap, et progresse de 39% sur un an. "Au cours du trimestre, la croissance de notre activité en Europe est restée forte. La progression du chiffre d'affaires provient essentiellement des secteurs télécoms, financiers et industriels", a expliqué le responsable des ventes mondiales, SD Shibulal. Le bénéfice net bondit de 43%, à 174 M$. Il profite de la dépréciation de la roupie par rapport aux principales monnaies étrangères. Une dépréciation qui a permis au groupe de conserver un niveau de marge intact, en dépit d'une augmentation des charges salariales et de visa. Au cours de la période, le spécialiste de l'externalisation a recruté 5 694 salariés, portant son effectif total à 58 409. Il prévoit d'en embaucher 25 000 autres d'ici à la fin de l'exercice en cours. Fort de ces bons résultats, et de l'excellente santé du secteur de l'outsourcing en Inde - les exportations de logiciels et services devraient croître de 27 à 30% cette année et générer des revenus compris entre 29 et 31 Md$ selon l'India's National Association of Software and Service Companies - Infosys table sur un chiffre d'affaires en hausse de 36% pour l'exercice fiscal en cours, à 2,91 Md$. (...)
(26/06/2006 18:16:42)Externalisation : les prestataires français délaissés
La France perd du terrain sur ses concurrents européens en tant que pays hôte de contrats d'externalisation au premier trimestre 2006. Une étude Forrester* met en lumière l'intérêt décroissant que représentent les entreprises françaises comme prestataires d'outsourcing au profit de leurs concurrentes allemandes et, surtout, britanniques. Plus que jamais, les groupes originaires du Royaume-Uni s'imposent comme les partenaires privilégiés sur un marché EMEA dont la valeur est estimée, par le cabinet d'études, à 2,76 Md€. Pour le neuvième trimestre consécutif, les prestataires britanniques dominent les débats, et accroissent même leur avance - avec 43 % des contrats signés au cours du T1 - sur leurs poursuivants. Fait notable ce trimestre : l'Allemagne s'arroge la deuxième place et relègue la France en troisième position. Si la progression de la présence des entreprises d'outre-Rhin reste modeste - elles s'octroient 12 % des contrats d'externalisation contre 10 % un an auparavant - la dégringolade de la France est nettement plus spectaculaire. Elle est d'ailleurs le pays européen à subir la plus importante perte d'influence, ne remportant que 8 % des contrats, contre 17 % sur la même période de l'année précédente. Forrester résume cette tendance par une formule sans appel : "l'activité des entreprises française s'évanouit". Conséquence de ce qui précède, rares sont les prestataires hexagonaux à figurer dans le classement des 28 entreprises de la zone EMEA à avoir revendiqué la signature d'au moins un contrat d'une valeur supérieure à 10 M€. Le premier représentant français - Atos Origin - n'arrive qu'en septième position, avec trois contrats et 150 M€, très loin derrière Capita, le spécialiste britannique du BPO, et ses 539 M€. Steria, Capgemini et France Télécom complètent le palmarès français et se classent respectivement 13e, 19e et 23e. Si les entreprises françaises ne semblent guère attirer les convoitises étrangères désireuses d'externaliser une partie de leur activité, elles contribuent, à l'inverse, au succès des groupes étrangers en les choisissant comme prestataires. C'est notamment le cas d'EDS, qui signe quatre de ses douze contrats supérieurs à 10 M€ avec des clients français. Forrester note pourtant que les acteurs français avaient, jusqu'alors, démontré une préférence pour les co-contractants hexagonaux. Par ailleurs, l'institut Forrester prévoit une croissance annuelle des dépenses d'externalisation en Europe - dans les 25 Etats membres de l'UE, la Suisse et la Norvège - de 10 % jusqu'en 2011. Dans cinq ans, les entreprises européennes devrait ainsi dépenser 27,5 Md€ en outsourcing, contre 17 Md€ cette année. * EMEA IT Outsourcing Deals : Q1 2006 (...)
(12/06/2006 12:35:00)CapGemini fait de l'Inde le poste avancé de sa stratégie offshore
CapGemini s'implique de plus en plus en Inde et devrait largement y augmenter ses effectifs d'ici l'année prochaine. La SSII, qui emploie actuellement 4600 personnes dans le sous-continent, a l'intention d'en recruter localement 6000 de plus d'ici la fin de l'année et de procéder à 10 000 recrutements supplément en Inde d'ici la fin 2007. CapGemini estime que son implantation en Inde permet à ses clients de réaliser des économies de l'ordre 30 %. Malgré des frais annexes d'installation - amélioration du réseau électrique, transport du personnel, etc. - CapGemini estime les investissements rentables. Le français possède des implantations offshore en Chine et en Pologne mais donne la priorité à l'Inde : ses effectifs y ont progressé de 80 % par an au cours des deux dernières années. Les équipes de CapGemini en Inde sont majoritairement spécialisées dans les services et l'externalisation de processus métier majoritairement pour les clients américains de la SSII. (...)
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