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Formation

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(28/09/2007 09:57:22)
Les formations Linux de Linagora certifiées LPI
Le Linux Professionnal Institute (LPI) a conçu un programme de certification de compétence en administration de systèmes Linux, échelonné sur trois niveaux successifs : administration junior (LPIC 1), administration intermédiaire (LPIC 2) et un niveau de spécialisation. Le groupe français Linagora est le premier dans notre pays à devenir partenaire du LPI pour dispenser des formations agréées par cet organisme. Les trois centres de formation (Paris, Lyon et Toulouse) vont délivrer les formations et assurer le passage des examens des niveaux 1 et 2. Le catalogue Linagora a été ainsi refondu et comprend désormais 46 modules pour lesquels plus de 500 sessions ont été d'ores et déjà planifiées pour la période 2008-2009. Les formations LPI sont indépendantes de toutes les distributions Linux du marché. (...)
(27/09/2007 17:42:48)Cinq grandes écoles françaises dans le top 10 de l'Ecole des Mines
Le palmarès mondial des établissements d'enseignement supérieur publié par l'Ecole des Mines de Paris devrait rassurer les dirigeants des grandes écoles de l'Hexagone. Et gommer la mauvaise image de la France donnée par le classement de l'Université de Shanghai. En effet, cinq grandes écoles françaises figurent désormais parmi les 10 établissements qu'ont fréquentés le plus grand nombre de dirigeants des 500 plus grandes entreprises mondiales recensées par le "Fortune Global 500". L'Ecole polytechnique s'octroie la 4e position du palmarès, suivie par HEC (5e), Sciences Po Paris (8e), l'ENA (9e) et l'Ecole des Mines (10e). Cinq autres établissements, l'INSEAD, L'université Paris Dauphine, l'Ecole centrale Paris, l'Ecole nationale supérieure des arts et métiers, et l'Ecole nationale supérieure d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications apparaissent également dans la liste des cent premiers mondiaux. Alors que le classement de l'Université de Shanghai se fonde essentiellement sur les performances académiques des établissements de l'enseignement supérieur, celui de l'Ecole des Mines évalue la formation des grandes écoles et universités mondiales, en établissant la probabilité qu'ont les étudiants de devenir les dirigeants des entreprises de premier rang mondial. Ainsi, l'examen des parcours des dirigeants dans les 500 plus grandes entreprises comptabilisées par le Fortune Global 500 a permis de noter 338 établissements de l'enseignement supérieur. (...)
(27/09/2007 11:35:35)Les diplômés d'écoles d'ingénieurs, préférés des recruteurs
Dans le secteur de la high-tech, les conditions d'accès au premier emploi des jeunes diplômés, moins d'un an après l'obtention de leur diplôme, semblent des plus favorables. Mais la provenance du diplôme soulève encore de fortes inégalités. Les résultats de l'enquête sur les jeunes diplômés de 2006 et leur situation professionnelle en 2007, dévoilée aujourd'hui par l'Apec, montrent en effet que 90% des jeunes ayant obtenu un diplôme en informatique, télécommunications, et technologies multimédia, sont actuellement en poste. Pour autant, dans les disciplines informatiques, 8 points séparent aujourd'hui le taux d'emploi des jeunes universitaires de celui des diplômés des grandes écoles. Ainsi, près de 8 jeunes sur 10 sont en poste lorsqu'ils ont été formés dans une grande école, contre 6 sur 10 pour ceux issus du monde universitaire. Des salaires 1,2 fois supérieurs pour ceux des grandes écoles Les inégalités sont également visibles sur le plan de la rémunération, puisque les diplômés des grandes écoles touchent des salaires annuels moyens bruts 1,2 fois supérieurs à ceux perçus par leurs homologues universitaires. La nature du contrat de travail profite également aux grandes écoles : plus de trois quart des ingénieurs diplômés de ces établissements obtiennent un CDI, contre un jeune sur deux seulement, pour les universitaires. Les diplômés des grandes écoles se distinguent à nouveau sur le plan du statut : 91% d'entre eux bénéficient d'un statut de cadre, contre 50% d'étudiants provenant du milieu universitaire. Pour tenter de réduire ce fossé, l'Apec a décidé de renforcer son action auprès des universités de l'Hexagone, en mettant sur pied des services d'orientation, et des modules de formation d'accès à l'emploi, au sein des cursus. « Les jeunes issus de l'université méconnaissent encore trop souvent le fonctionnement du monde du travail, et la manière de l'appréhender pour trouver un premier emploi, déplore Gabriel Artero, président de l'Apec. Reste qu'une partie des recruteurs néglige, à tort, certaines formations, et accorde peu d'importance au potentiel des jeunes, recrutant davantage au diplôme. » (...)
(21/09/2007 17:20:21)A l'IE-Club, les éditeurs réclament des développeurs
Hier soir, l'IE-Club a tenu sa conférence de rentrée dans les locaux parisiens de Microsoft, rue de l'Université. Le thème de la soirée, « la révolution de l'Internet Software », a visiblement plu. Ce fut la meilleure audience depuis la création de l'IE-Club : 325 participants. L'assistance d'hier mêlait capitaux-risqueurs (environ 15 % de l'audience) et éditeurs de logiciels, tout autant aficionados de l'Internet que fournisseurs plus traditionnels. Rappelons que l'IE-Club a vocation à rapprocher les PME du secteur IT des acteurs susceptibles de les aider dans leur essor. La conférence, il est vrai, surfait sur une actualité plutôt chaude, de nombreux éditeurs ne parlant ces temps derniers que de SaaS (software as a service), de « on-demand » ou de « cloud computing ». « Nous avons observé que les nouveaux modes de consommation du logiciel - à partir d'un navigateur Web, d'un téléphone portable ou de widgets - généraient aussi de nouveaux modes de développement, de financement et de commercialisation », explique Julien Codorniou, responsable chez Microsoft France des partenariats avec les éditeurs innovants et organisateur de la conférence (en partenariat avec TechCrunch et l'Afdel). Un coût de développement divisé par dix en six ans En trois tables rondes, la soirée a donc posé les règles de cette nouvelle industrie, avec les acteurs français du logiciel « canal historique » (selon l'expression de Julien Codorniou) et avec les éditeurs pour qui le Web est la seule plate forme possible. Premier constat, il est beaucoup plus facile de créer une société qui fait de l'Internet qu'un éditeur traditionnel. Le coût de développement d'une application Web a été divisé par plus de dix en cinq ou six ans. Le fondateur de « Dis-moi où » a déboursé 350 euros pour [[page]]développer son « encyclopédie des lieux participative et réutilisable ». La richesse de l'Open Source contribue à cette accessibilité, mais les ténors du logiciel y participent aussi. « Chez Microsoft, nous avons un programme pour les start-up, rappelle Julien Codorniou. Pour 300 euros, elles accèdent à l'ensemble de nos outils pour cinq développeurs. » Deuxième constat, plus préoccupant, il y a une vraie pénurie de développeurs sur le marché, ceux-ci étant systématiquement happés par les SSII. Les jeunes sous-estiment l'intérêt de développer chez un éditeur. Pourtant, des acteurs comme Brainsonic et Yahoo souligne l'attrait du poste. Pour eux, cela revient purement et simplement à « intégrer une écurie de Formule 1 ». Contraint à l'innovation permanente Troisième constat, quand on se lance dans l'Internet Software, on est contraint à l'innovation permanente. A la moindre faiblesse, l'éditeur court le risque de voir le client le lâcher. Sur ce front, les nouvelles sont plutôt bonnes. Les intervenants de l'IE-Club jugent très bon le niveau des développeurs français en Europe. Un des atouts hexagonaux semble être la capacité à fabriquer de « la propriété intellectuelle », par rapport à d'autres pays, comme l'Inde, plus axés sur le développement de services. Enfin, les investisseurs soulignent la qualité des dossiers français. Il y a davantage de bons entrepreneurs, qui ont des idées et font du chiffre d'affaires, avec des acteurs à la pointe dans le commerce électronique. Une bonification que l'on doit sans doute en partie au crédit d'impôt recherche ou encore au soutien de l'Oséo et à son label Entreprise innovante. (...)
(21/09/2007 15:33:29)Global Knowledge forme les demandeurs d'emploi aux technologies Microsoft
Global Knowledge, organisme privé de formation IT, lance une offre qui vise les personnes en situation de reconversion professionnelle, et les demandeurs d'emploi. Ceux qui souhaitent changer de métier pourront ainsi avoir accès à trois cursus Microsoft, MCDST (technicien support), MCSA (administrateur) et MCSE (ingénieur), et obtenir le soutien financier du Fongécif, le fonds de gestion du congé individuel de formation. A partir de janvier 2008, les personnes au chômage auront elles aussi, la possibilité de suivre des cycles autour des technologies Microsoft : MCSE Windows 2003, Technicien support poste de travail (formation assortie d'une certification), Développeur .net, et Administrateur SQL Server 2005. Enfin, les particuliers, qui auront choisi de suivre les sessions dispensées par Global Knowledge en candidats libres, bénéficieront de tarifs préférentiels ainsi que d'un échelonnement des paiements. (...)
(20/09/2007 17:07:30)Les salaires des jeunes diplômés en IT augmentent sensiblement
S'il est une question cruciale dans le monde du travail, c'est bien celle du salaire. Dans une étude intitulée « Rémunérations 2007 », le site d'offres d'emploi Cadremploi.fr dresse une analyse des prétentions salariales et des niveaux de salaires perçus par les jeunes diplômés en 2007. Pour réaliser son enquête, le site a passé en revue un peu plus de 60 000 CV de jeunes présentant moins d'un an d'expérience et ayant une expérience professionnelle de un à deux ans. Côté prétentions, 36,6% des profils de niveau bac+5 souhaitent démarrer à des niveaux de salaires qui se situent entre 30 et 35 000 euros bruts annuels. « Cette année, les niveaux de salaires demandés par les étudiants ont augmenté, en raison des perspectives d'embauches particulièrement favorables », commente Sophie Ak, responsable du marketing et de la communication chez Cadremploi, et auteur de l'étude. Tendance à la hausse pour les ingénieurs systèmes, sécurité et réseaux Les salaires déclarés profitent eux aussi de l'embellie que connaît actuellement le marché de l'emploi : dans la fonction informatique, 45% des jeunes diplômés ayant moins d'un an d'expérience déclarent gagner un salaire brut qui se situe entre 25 000 et 35 000 euros bruts annuels. Et plus de 30% de ceux qui possèdent un à deux ans d'expérience perçoivent une rémunération annuelle brute annuelle allant de 30 000 à 35 000 euros bruts. « Le nombre de jeunes qui déclarent toucher un salaire annuel brut de 30 000 à 35 000 euros a doublé en deux ans, précise Sophie Ak. Cette tendance à la hausse profite surtout aux ingénieurs systèmes, sécurité et réseaux. Mais elle concerne aussi les techniciens de niveau bac+ 2 et bac+3, qui déclarent entre 25 000 à 30 000 euros bruts annuels. » La fonction études et recherches voit également croître son niveau de rémunération : 57% des Bac+ 5 ayant moins d'un an d'expérience, et 60% des jeunes disposant de un à deux ans d'expertise perçoivent un salaire brut annuel de 25 000 à 35 000 euros. « Cette filière est particulièrement convoitée par les jeunes diplômés, précise Sophie Ak. 20% d'entre eux souhaitent y faire leurs première armes. » Cadremploi.fr note cependant quelques décalages qui concernent l'ensemble de la fonction IT : des écarts de salaires qui persistent entre Paris et la Province (20% de différence) des prétentions salariales, côté candidats, parfois en deçà de la réalité du marché, et des niveaux de salaires revus à la hausse par les recruteurs, en raison d'une tension sur certains profils. (...)
(20/09/2007 13:29:51)HP Software s'associe à ses partenaires pour recruter et former 200 collaborateurs
HP Software, éditeur de logiciels de gestion d'infrastructures, lance avec ses partenaires un programme qui allie recrutement et formation. Le but est de recruter quelque 200 collaborateurs, qui viendront étoffer les équipes de consultants, chefs de projet et commerciaux. La plupart des recrutements se feront chez les partenaires (Devoteam, Neurones, Steria, Sopra...), HP choissant « d'insuffler une dynamique » pour pallier un souci de formation. « Il y a actuellement trop peu de compétences techniques et commerciales sur le marché, explique Laurent Queulvee, directeur des ventes partenaires d'HP Software. Or, nous voulons stopper le passage des compétences d'un partenaire à un autre. » Parmi les 200 postes à pourvoir, 90% concerneront des profils techniques et 10% des profils commerciaux. La particularité de ce programme réside dans le fait qu'il vise aussi les personnes qui n'ont pas d'expérience directe dans les domaines de qualification concernés et peut s'adresser à des professionnels du domaine de la comptabilité, ou du management. La formation des candidats non expérimentés se déroulera sur une durée de 45 jours. Les bénéficiaires possèderont ainsi un savoir-faire métier et acquerront des compétences sur les solutions d'HP Software, sur la gestion des services et actifs informatiques (Service Management & Asset management), le management des systèmes et réseaux (Network & System management), et la gestion de la qualité et de la performance des applications (Quality & Performance management). A l'issue de la formation, les candidats sélectionnés suivront un stage dans les entreprises partenaires d'HP Software, avant d'être recrutés. L'opération débutera le 11 octobre 2007 dans les locaux d'HP, à Issy-Les-Moulineaux. (...)
(18/09/2007 17:24:13)L'Epi veut renforcer l'apprentissage des TIC à l'école
Convaincue de la nécessité de promouvoir et de développer l'usage des technologies de l'information et de la communication dans les établissements scolaires, l'Epi, association pour l'enseignement public et informatique, a décidé de mettre sur pied un groupe de réflexion sur l'apprentissage de l'informatique et des TIC, du collège à l'enseignement supérieur. Ce groupe de travail sera créé au sein de l'Asti, la fédération des associations françaises des sciences et des technologies de l'information, dont l'association est membre. D'autres membres de l'Asti, comme la Specif ( Société des personnels enseignants et chercheurs en informatique de France), le Creis (Centre de coordination pour la recherche et l'enseignement en informatique et société) et l'April (association défendant les logiciels libres) viendront les rejoindre. Une première réunion se tiendra sur le campus universitaire de Jussieu, à la Maison des associations, le 28 septembre prochain (...)
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