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Formation
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(31/08/2007 11:11:54)
L'Ensta s'engage à tenir 4 objectifs d'ici à 2011
L'Ecole Nationale Supérieure de Techniques Avancées (ENSTA) vient de signer avec sa tutelle - le ministère de la Défense - son contrat pluriannuel pour la période 2007 - 2011. L'école d'ingénieurs s'est ainsi engagée sur quatre objectifs : tout d'abord, elle va accentuer son positionnement à l'international, tout en maintenant ses partenariats avec ParisTech et l'ENPC (Les Ponts). L'école va aussi intensifier sa politique de recherche scientifique : doubler le nombre d'HDR (habilitation à diriger des recherches), accroître de près de 50 % le nombre de ses doctorants et collaborer davantage avec les laboratoires de l'Ecole polytechnique et plus généralement avec ceux du plateau de Saclay (Essonne). L'Ensta devra aussi accroître ses ressources propres (passer de 17% aujourd'hui à 24% en 2011), en mettant en place des cycles de formation payants et en développant son activité de recherche contractuelle. Enfin l'école d'ingénieurs doit préparer son transfert à Palaiseau, dans l'Essonne, prévu pour 2012. (...)
(30/08/2007 17:55:44)La création d'entreprise entre à l'Ecole des Mines de Paris
A l'Ecole des Mines de Paris, la recherche mène à la création d'entreprise. Au cours des cinq dernière années, les travaux de recherche menés au sein de l'établissement ont permis à une trentaine d'entreprises innovantes de voir le jour. Les trois-quart d'entre elles ont été créées grâce aux travaux conduits par les enseignants-chercheurs ou aux résultats des thèses présentées par les doctorants. Le dernier quart est dû à des élèves ingénieurs qui, après leur diplôme, ont décidé de tenter cette aventure. Le taux de défaillance de ces entreprises serait très faible (moins de 10 %), selon l'école d'ingénieurs, qui précise qu'une demi-douzaine d'entre elles ont aujourd'hui franchi la barre des 10 salariés. (...)
(30/08/2007 14:06:58)L'IAE d'Aix-en-Provence s'internationalise
A l'Institut d'administration des entreprises (IAE) d'Aix-en-Provence, la rentrée 2007 se place sous le signe de l'internationalisation. Le nouveau Master international en technologies de l'information, dispensé par l'établissement dès septembre prochain, a ainsi été réalisé avec deux partenaires européens, Tilburg University (Pays Bas) et Turku University (Finlande). L'Immit (International Master in Management of Information Technology) s'étale sur une durée de deux ans. Les 40 étudiants sélectionnés passeront un semestre à l'IAE d'Aix-en-Provence, un semestre en Finlande, et autre au Pays-Bas, avant de suivre un stage de six mois en Europe. A l'issue de leur formation, ils recevront trois diplômes, dont le Master Management et Technologie de l'Information de l'institut d'administration. L'établissement des Bouches-du-Rhône poursuit son ouverture vers l'étranger, avec le lancement d'un site international de recrutement, en collaboration avec le réseau Carnet. Celui-ci regroupe onze Business Schools européennes et .vise à relier les partenaires et étudiants de chaque école-membre pour faciliter la rencontre entre des entreprises internationales - employeurs potentiels - et des étudiants en Master et MBA. (...)
(28/08/2007 17:07:34)Des formations aux outils Eclipse en Europe et aux Etats-Unis
Depuis quelques années, la fondation Eclipse essaye de promouvoir Eclipse RCP (Rich Client Platform), la plateforme Open Source qui permet de construire des applications riches. Aujourd'hui, la communauté poursuit son action de soutien, en s'unissant à l'« Eclipse Training Alliance », une association d'entreprises européennes délivrant des formations dédiées aux outils Eclipse. Grâce à ce partenariat, une série de formations autour de l'environnement de développement pourront voir le jour à partir de la rentrée, dans plusieurs grandes villes d'Europe et également outre-Atlantique. Ainsi, entre septembre et octobre prochain, des sessions ouvriront à Paris, Bruxelles, Berlin, Stuttgart, Luxembourg, Boston et San Francisco. En France et en Belgique, les prestations seront assurées par Anyware Technologies, une PME toulousaine membre de la fondation Eclipse et de la Eclipse Training Alliance. Conçues autour d'un programme commun d'une durée de quatre jours, les sessions aborderont les fondamentaux de développement des plug-ins Eclipse et Eclipse RCP, architecture client riche de la plateforme open source. Destinées à des développeurs maîtrisant Java, elles devraient permettre aux participants de maîtriser le développement d' Eclipse, de manière autonome. (...)
(28/08/2007 15:24:32)Grenoble Ecole de management aide les PME à vendre leur technologie
En portant le projet de recherche européen Eubbsi (European business to business sales institute) Grenoble Ecole de Management s'est fixé l'ambition de développer un programme de formation commun à l'attention de professionnels de la vente de solutions technologiques intervenant sur le marché B-To-B. Qu'il s'agisse de dirigeants, de cadres de PME technologiques ou de créateurs de start-up: tous sont concernés. Développé avec le soutien de trois partenaires académiques, en Grande-Bretagne, en Grèce, et en Hongrie, et d'un spécialiste du e-learning, l'Eubbsi se concrétise par la création d'une formation individualisée, qui mixe enseignement à distance et présentiel sur une période de 6 mois. Au commencement du programme, le participant réalise un diagnostic de ses compétences commerciales, à l'aide d'un tuteur qui le suivra durant sa formation. En fonction de ses besoins, il pourra choisir cinq modules en e-learning (dans un catalogue de 45 cours disponibles) et suivre cinq séminaires thématiques portant sur les principales étapes du processus de vente à l'école. A l'issue du programme, le participant recevra une certification attestant de l'acquisition de ses nouvelles compétences. Une première session de 10 participants a déjà débuté en juin . D'autres dates sont d'ores et déjà prévues pour le dernier trimestre 2007. Le tarif de cette formation se situe autour de 800 € par participant. (...)
(24/08/2007 12:03:52)L'Enseeiht ouvre trois mastères spécialisés en septembre
L'École nationale supérieure d'électrotechnique, d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications de Toulouse (Enseeiht) ouvrira trois nouveaux Mastères spécialisés (MS), à la rentrée. S'adressant aux Bacs +4 et Bac +5 (ou équivalent par validation des acquis de l'expérience), et labellisés par la Conférence des grandes écoles, les MS « Système embarqué », (en partenariat avec Supaéro) et « Système de télécommunications spatiales » (soutenu par Supaéro, l'Enst Bretagne et Télécom INT), ont un lien direct avec le pôle de compétitivité Aerospace Valley. Le MS « Nouvelles technologies de l'énergie » a été lancé en en partenariat avec l'Ecole nationale supérieure des ingénieurs en arts chimiques et technologiques de Toulouse (Ensiacet). La formation, dure une année complète et dispense des enseignements théoriques et pratiques. Un stage de 4 mois minimum est intégré et donne lieu à un mémoire et à une soutenance orale. (...)
(20/08/2007 12:57:09)Les informaticiens britanniques parmi les mieux formés en Europe
En Europe, et à l'exception des Danois, les Britanniques sont les plus gros fournisseurs de formations destinées aux professionnels de l'informatique, indique une enquête menée par E-Skills, une organisation gouvernementale spécialisée dans les compétences IT. Au Royaume-Uni, plus d'un informaticien sur quatre (26%) a pu suivre un cursus au cours du dernier mois, un chiffre plus élevé que la moyenne européenne qui s'établit à une personne formée sur six. L'enquête, qui a été menée auprès de 15 états membres de l'Union, indique également que, dans l'informatique, les hommes représentent la majorité des effectifs, alors que seulement une femme sur cinq travaille dans le secteur des technologies de l'information. Dans des pays comme la Belgique, la Grèce, le Luxembourg et le Portugal, la proportion des femmes employées dans l'informatique est particulièrement faible et s'établit seulement à une sur dix. Pour Karen Price, CEO de E-Skills UK, les bonnes performances du Royaume-Uni en matière de formation sont, certes, encourageantes. Mais il ne faut pas s'endormir sur ses lauriers. Les informaticiens sont essentiels à la prospérité économique du pays. Dans un contexte où les connaissances doivent évoluer rapidement, Il faut veiller à ce qu'ils puissent continuer à développer les compétences dont ils ont et auront besoin. (...)
(17/08/2007 16:17:28)Un label européen pour les formations d'ingénieurs
Queste, le nouveau label européen pour les formations d'ingénieurs, se définit comme un système de qualité. Il est proposé par l'Enqheei (European Network for Quality of Higher Engineering Education for Industry) et l'EFMD (European Foundation for Management Development). L'idée est de créer une accréditation européenne et de comparer les différentes écoles d'ingénieurs. L'enjeu d'un tel processus est de les amener à devenir les acteurs d'un système plus homogène, en les incitant à former des alliances stratégiques et à rationaliser leur offre de formation. A l'inverse du processus Equis pour les écoles de management, Queste n'est pas décerné à l'ensemble des formations d'une école, mais seulement à une unité disciplinaire ou à un département. Le processus qualité se déroule sur quatre phases, à l'issue desquelles le département (de formation, par exemple) peut obtenir le label pour une durée de cinq ans. Condition sine qua non pour les écoles ou universités candidates : être membres de l'EFEED (European Foundation for Engineering Education Development) et mettre en valeur leur stratégie de positionnement ainsi que leurs objectifs à long terme, tout en faisant valoir leur volonté d'amélioration. Une procédure jugée lourde et coûteuse Les écoles doivent ensuite procéder à une auto-évaluation de leurs formations, grâce à un référentiel spécifique qui insiste sur la cohérence de leur démarche de progrès en portant à la fois sur la qualité des formations, le recrutement des élèves, les relations avec les entreprises, l'innovation et la recherche, l'esprit d'entreprise ou encore la dimension internationale et la mise en oeuvre d'une assurance qualité. Si en France, certains établissements comme l'Insa de Lyon, Supélec, et ParisTech, ont d'ores et déjà initié des démarches afin d'obtenir ce label, d'autres s'interrogent face à une procédure qu'ils estiment lourde et coûteuse. Des réserves sont également émises sur l'utilité du label et sa démarche, par rapport aux évaluations réalisées par la CTI (Commission des titres ingénieurs) Ils redoutent notamment de nouvelles contraintes administratives, certains effets pervers favorisant la recherche au détriment de la professionnalisation, un découpage par spécialités qui ne prendrait pas en compte les écoles généralistes et le référentiel métier, tel qu'il est défini actuellement. (...)
(16/08/2007 17:14:07)Un étudiant de Grande école reçoit neuf offres de stages
Dans un contexte où le marché de l'emploi des jeunes diplômés (de niveau bac+5) est sous tension, la concurrence entre recruteurs a tendance à se déplacer du jeune diplômé vers le stagiaire. D'après une enquête menée récemment par l'éditeur Hobsons et le moteur de recherche Kelformation auprès d'une centaine d'écoles de commerce et d'ingénieurs, un élève de dernière année a le choix entre neuf offres différentes. Un choix rendu possible en raison de l'augmentation du volume de stages proposés. Ainsi, en deux ans, le nombre d'offres de stage transmises aux Grandes écoles par les entreprises a progressé de 59%. Sur l'année 2005-2006, les grandes écoles avaient reçu en moyenne 2 555 offres de stages pour leurs étudiants, contre 1 915 pour l'année 2004-2005 et 1 607 pour l'année 2003-2004. Selon les premières tendances, la hausse se poursuit pour l'année 2006-2007 pour 84% des écoles interrogées. Si les écoles de commerce/management reçoivent en moyenne quatre fois plus d'offres que les écoles d'ingénieurs (6 000 contre 1 500), les établissements les plus prestigieux peuvent compter sur plus de 10 000 offres par an ! Deux tiers des stages visent les fin de cycle Alors que la quasi-totalité des écoles proposent aux entreprises des stages de 1ère et 2ème année, 67% des offres sont destinées aux étudiants de 3ème année. « Les entreprises souhaitent avoir des stagiaires en passe d'être diplômés, sans doute parce qu'ils sont plus opérationnels, mais surtout parce qu'ils sont directement employables à l'issue du stage » explique Arnaud Gastaud, responsable de la marque Kelformation. Les étudiants qui signent un contrat avec une entreprise avant la fin de leur scolarité sont également de plus en nombreux. Ainsi, dans une école sur cinq, plus de la moitié de la promotion est recrutée à l'issue du stage de fin de cycle. Dans quatre écoles sur 10, cela concerne plus d'un tiers de la promotion. Du côté des Grandes écoles, on se réjouit de ces sollicitations, tout en émettant quelques réserves. Elles souhaiteraient davantage d'offres pour les 1ère et 2ème année, plus de stages courts (trois mois quand les entreprises recherchent des stagiaires pour une durée de six mois) et un nombre plus élevé de missions à l'étranger. (...)
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