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(14/08/2007 11:46:06)

Les étudiants d'In'Tech Info apprennent l'anglais sur Second Life

Trop souvent encore, les informaticiens français sont pénalisés par leur faible niveau linguistique. Considérant que la maîtrise de l'anglais est un impératif pour ses étudiants, l'école supérieure d'informatique In'Tech Info a misé sur le potentiel de Second Life pour dispenser ses cours en anglais. Dans cette aventure, les étudiants ont intégré l'établissement virtuel « English Village », en collaboration avec des interlocuteurs allemands et coréens. La classe expérimentale dans laquelle une trentaine d'étudiants évoluent avec leur avatar est retransmise sur un écran géant dans la salle de cours. « Pas de doutes, les barrières de l'espace et du temps disparaissent, les étudiants pénètrent dans une nouvelle dimension qui favorise leur apprentissage de la langue », commente Graham Tullis, enseignant d'anglais à l'école d'informatique francilienne. Aujourd'hui la classe est répartie en huit équipes projets. Les étudiants auront à fournir une synthèse en anglais de leurs activités dans Second Life ainsi qu'une présentation de leurs projets de recherche documentaire, dans le monde virtuel du village anglais proposé sur Second Life, ainsi qu'en cours, devant la classe entière. (...)

(13/08/2007 18:14:53)

Les Français en bonne place sur le podium de l'Imagine Cup 2007

Vendredi dernier, les résultats de la finale de l'Imagine Cup 2007 sont tombés. La grande victoire revient à l'équipe thaïlandaise, qui rafle le premier prix de l'épreuve Conception logicielle, et qui empoche, de ce fait, 25 000 dollars. Mais la délégation française occupe une bonne place sur le podium. Le concours international imaginé il y a quatre ans par Microsoft, et exclusivement réservé aux étudiants, a en effet permis aux équipes françaises de se distinguer parmi 344 finalistes. L'équipe APB remporte ainsi la première place dans la catégorie développement Web, le pool Arenium termine second dans la catégorie Project Hoshimi (dont l'objectif vise à programmer la stratégie de plusieurs nanorobots virtuels 3D). Egalement second dans la catégorie IT Challenge, Romain Larmet, et une place de troisième pour l'équipe Atomnium, dans la catégorie conception d'interface. Même si ce concours a pour vocation la programmation de logiciels, trois nouvelles disciplines ont fait leur apparition cette année : les systèmes embarqués, le design et le développement Web. En ajoutant ces épreuves, Microsoft souhaite élargir les compétences requises pour les participants mais également susciter des vocations. L'ajout de la partie design est aussi l'occasion pour l'éditeur de rapprocher développeurs et designers, évoluant encore trop chacun de leur côté d'après le géant de Redmond (en synchronisation parfaite avec son discours marketing pour sa nouvelle suite d'outils Expression). La France retenue pour la finale de 2008 Cette année, l'édition 2007 de l'Imagine Cup a réuni à Séoul (Corée du Sud) quelque 100 000 participants de plus d'une centaine de pays. C'est à ce jour le plus grand nombre de participants d'une finale internationale, réunissant les futurs créateurs de logiciels sous toutes ses formes : « L'énergie de jeunes étudiants et lycéens associée à la force des nouvelles technologies peut à terme améliorer la vie quotidienne de millions de personnes, a déclaré Craig Mundie, responsable de la recherche et de la stratégie chez Microsoft. Par ailleurs, le niveau particulièrement élevé des candidats et de leurs projets illustre leur potentiel à devenir des professionnels des nouvelles technologies. » Après l'Espagne, le Brésil, le Japon, l'Inde et la Corée, ce sera au tour de la France en 2008 d'accueillir les équipes finalistes, issues des sélections, pour relever ce défi logiciel qui sera alors consacré à l'environnement : « L'Imagine Cup est un véritable vivier de futurs leaders technologiques. Nous sommes fiers et heureux d'organiser la sixième édition de cette compétition internationale en France », commente Eric Boustouller, président de Microsoft France et vice-président de Microsoft International. (...)

(09/08/2007 16:05:28)

Un cursus pour former des ingénieurs-entrepreneurs

Conscientes qu'une double compétence constitue un atout majeur pour une carrière, l'Ecole des Mines d'Alès (Ema) et l'Ecole supérieure de commerce (ESC) de Clermont-Ferrand viennent de signer une convention officialisant la création d'un double diplôme d'ingénieur-entrepreneur. Dès la rentrée prochaine, les élèves ingénieurs de l'Ema en fin de 3ème année pourront, dans le cadre de leur année de césure, intégrer la 3ème année du programme Graduate (bac + 5) de l'école de commerce de Clermont-Ferrand. S'ils satisfont aux conditions d'attribution du diplôme, ils obtiendront le grade de Master de l'ESC Clermont. Il leur appartiendra, au terme de cette année de césure, de rejoindre l'école d'ingénieurs généralistes pour y effectuer leur dernière année et obtenir leur diplôme d'ingénieur. Ils seront alors titulaires des diplômes des deux institutions, et pourront faire valoir une double compétence à la fois technique et managériale. (...)

(09/08/2007 13:50:29)

Le Cnam ouvre un forum de la formation en septembre

Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) organise dans ses locaux à Paris, du 6 au 22 septembre 2007, un forum de formation, d'orientation et d'inscription. L'occasion, pour tous les actifs - salariés, demandeurs d'emploi, professions libérales - ou étudiants à la recherche d'une formation complémentaire, de découvrir l'ensemble des cursus - soit 1 200 unités d'enseignement - présentés à travers les quatre pôles d'enseignement et de recherche du Cnam qui occupent chacun un espace dédié: économie et gestion, sciences et techniques industrielles, sciences et technologies de l'information et de la communication et travail et société. Outre de la documentation et des informations sur les modalités d'organisation et de financement, les visiteurs auront la possibilité de s'entretenir individuellement avec des conseillers d'orientation et/ou des enseignants pour définir ou préciser un projet, évaluer sa faisabilité, choisir une formation ou construire un parcours. Des conférences et des ateliers (programme mis en ligne début septembre sur le site du Cnam), permettront de s'informer sur les contenus des cours et d'obtenir des éléments sur des dispositifs tels que la validation des acquis de l'expérience (VAE), le bilan de compétences, le droit individuel à la formation (DIF) et le congé individuel de formation (CIF). Cette année, pour simplifier l'inscription et raccourcir le délai d'attente du public, le Cnam recommande aux visiteurs du forum de se pré-inscrire sur Internet. (...)

(07/08/2007 19:17:54)

Wikiversity veut explorer de nouvelles méthodes pédagogiques

Les initiateurs de Wikiversity, université virtuelle communautaire, libre et gratuite, explorent de nouvelles pistes pour développer leur projet de cours et d'outils éducatifs en ligne, soutenu par la fondation Wikimedia. Samedi dernier, à l'occasion de la conférence internationale et annuelle Wikimania, Cormac Lawler et Teemu Leinonen, deux coordinateurs du projet, ont dressé un état des lieux de cette communauté pédagogique. « Wikiversity devrait connaître de l'ampleur, d'ici deux à trois ans, ont-ils estimé. Il s'agit donc d'aller plus loin dans les méthodes d'apprentissage en ne se bornant pas à fournir des informations, mais en testant aussi différentes théories pédagogiques pour juger de ce qui fonctionne vraiment. » Si la communauté des utilisateurs et les coordinateurs du projet décident de la direction suivie par Wikiversity, en revanche n'importe qui peut y dispenser des cours, et de la même manière, n'importe qui peut les suivre. "Or certains professeurs commencent leurs cours, puis disparaissent, abandonnant ainsi leurs élèves," déplore Cormac Lawler. Avec le développement de Wikiversity, il devient nécessaire de trouver des remèdes à ce type de problème. La collaboration avec d'autres projets d'apprentissage basés sur Internet présente aussi des inconvénients car les universités qui les proposent n'ont pas toujours la même vision des choses. Par exemple, le projet MIT OpenCourseWare du Massachusetts Institute of Technology n'est pas jugé assez « libre » pour Wikiversity. Quoi qu'il en soit, le projet se développe et Cormac Lawler a confirmé que de nouvelles fonctionnalités allaient progressivement être mises à disposition. (...)

(07/08/2007 18:01:56)

En France, 22 universités font partie des 500 meilleures mondiales

Les chercheurs de l'Université Jiao Tong de Shangaï de Shangaï viennent de publier l'édition 2007 du classement des 500 premières universités mondiales les plus performantes. Cette année, la France améliore un peu son score. Rappelons que le palmarès est réalisé à partir de cinq critères : les lauréats du prix Nobel, le nombre de chercheurs de haut niveau, les articles parus dans Nature et Sciences et dans l'Index des citations (scientifiques et sciences sociales) et la performance universitaire de chaque faculté. Si ce sont les universités américaines qui s'octroient les premières places du palmarès, avec dans le trio de tête Harvard, Stanford, et l'université de Californie et Berkeley, 22 établissements de l'Hexagone figurent parmi les 500 meilleurs mondiaux. Trois des quatre premières universités françaises gagnent des points supplémentaires, et deux établissements provinciaux (Lille-1 et Rennes-1), font désormais leur apparition dans le Top 500. Obtenant le meilleur score des facultés françaises, l'université de Paris VI occupe le 39ème rang (contre une place de 45ème l'année dernière). Paris- XI obtient la 52ème place, l'ENSP se situe en 83eme position et Strasbourg-1, en 99ème. Seul établissement ne figurant plus au classement, l'Ecole supérieure de physique et chimie industrielle. Reste que la France devra se contenter d'une sixième place, derrière les Etats-Unis, la Grande Bretagne, le Japon et l'Allemagne et le Canada. (...)

(06/08/2007 19:02:37)

L'Esigelec monte un projet de recherche autour des systèmes embarqués

Le projet «Campus Integration Systèmes embarqués », porté par l'Esigelec, est un partenariat de recherche, de transfert et de formation à caractère industriel, qui répond aux besoins des filières aéronautique et automobile. Le dispositif, lancé à l'initiative de l'école d'ingénieurs de Haute-Normandie, nécessite l'acquisition d'une nouvelle plate-forme d'équipements dédiés aux systèmes embarqués pour la motorisation (électroniques, électriques et mécatroniques). Il permettra à l'établissement supérieur de se positionner en tant qu'acteur du Technopole du Madrillet et de la Haute-Normandie, et du pôle de compétitivité Mov'eo. La méthode consiste, à partir des besoins industriels, en déterminant des axes de travail fédérateurs, à concevoir des projets structurants multi-acteurs (industriels, recherche et enseignement supérieur, institutions) intervenant au travers d'un comité de pilotage, et à participer aux programmes de recherche, financés par les acteurs régionaux. Un coût total de 16 M€ L'objectif est de concevoir un projet qui s'articule selon plusieurs volets : une première brique, représentée par le centre de compétence électronique, actuellement opérationnel, une idée directrice visant l'intégration des systèmes embarqués, une approche globale combinant la recherche, la formation, et l'animation industrielle, et une cohérence des thématiques de recherche, basées sur le diagnostic, le CEM (tests de comptabilité électromagnétique), et la mécatronique. Le projet, qui s'étend jusqu'en 2009, et dont le coût total est estimé à un peu plus de 16 M€, a déjà reçu le soutien et le portage de la Chambre de commerce et d 'industrie de Rouen, de l'agglomération de Rouen, des acteurs du technopôle, de la région Haute-Normandie et de l'Etat. Il a également été labellisé par le pôle Mov'éo comme projet structurant. (...)

(06/08/2007 16:50:12)

Le gouvernement crée un titre de technicien supérieur en SIG

Le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi vient d'annoncer, par arrêté du 16 juillet 2007, la création du titre professionnel de technicien supérieur en système d'information géographique (SIG). Ce dernier sera délivré dans les conditions prévues par l'arrêté du 9 mars 2006, qui visent notamment à simplifier les parcours de validation des acquis de l'expérience pour développer et diversifier l'accès des publics aux titres professionnels par cette voie, et sera réexaminé par la commission professionnelle consultative compétente, dans un délai de cinq ans. Le nouveau titre de technicien supérieur en SIG se compose de deux unités pouvant être sanctionnées par des certificats de compétences professionnelles : la première, axée sur la conception, la création et la mise à jour des bases de données, la seconde se rapportant à l'exploitation d'un système d'information géographique. Le référentiel emploi, activités et compétences et le référentiel de certification de ce titre professionnel seront disponibles dans les centres Afpa (Association pour la formation professionnelle des adultes) ou agréés. (...)

(03/08/2007 17:12:19)

Les grandes écoles plébiscitées par les futurs bacheliers

La réputation des grandes écoles de commerce et d'ingénieurs n'est plus à faire auprès des élèves de Terminale. C'est ce que montre le Baromètre Etudiants 2007 réalisé par l'institut de sondage Trendence pour Microsoft Education et Hobsons (spécialiste des services de recrutement d'étudiants et de jeunes diplômés) auprès de 4 800 lycéens qui passaient leur bac cette année. Les principaux points forts identifiés par les futurs bacheliers à propos des grandes écoles touchent à la formation elle-même. Qu'ils considèrent « intellectuellement exigeante et valorisante, préparant bien au monde du travail et proposant un enseignement de qualité grâce à un excellent corps professoral. » Sur chacun de ces points, les répondants à l'enquête estiment que la grande école est supérieure à l'université. Ce qui ne veut pas dire que l'univers des grandes écoles est un monde parfait aux yeux de certains futurs bacheliers, qui y voient plusieurs zones d'ombre : le coût élevé des études, une propension à l'individualisme, pas nécessairement épanouissante, et un modèle pas vraiment en phase avec le modèle européen de l'enseignement supérieur, le fameux LMD (Licence-Master-Doctorat) issu de la réforme de Bologne. En dépit de ces points négatifs, les grandes écoles remportent haut la main le match de l'efficacité face à l'université. Mais elles doivent encore gagner la "bataille du coeur" et pour cela changer l'image d'univers peu ouvert qui leur colle à la peau. Par ailleurs, si les futurs bacheliers s'accordent à reconnaître la très forte internationalisation des grandes écoles, ils s'interrogent sur ce modèle qu'ils estiment assez français et qui devra donc évoluer pour se mettre en phase avec le reste de l'Europe. (...)

(03/08/2007 12:12:50)

Hausse de 16% pour les salaires des doctorants en entreprise

A partir du 1er septembre, le niveau de rémunération minimum des doctorants financés par les entreprises sera relevé de 16%. Souhaitant participer à l'extension et à la revalorisation des Cifre (Conventions industrielles de formation par la recherche), le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, fera passer, dès la rentrée 2007, le salaire minimum de 1 684 € bruts par mois à 1 957 € brut par mois pour tous les nouveaux contrats. Pour y parvenir, l'Etat renforce son accompagnement aux entreprises : celui-ci passe de 14 635 € par an et par doctorant à 17 000 €. Le nombre de bénéficiaires de conventions Cifre augmentera quant à lui de 10%, passant de 1 155 réalisées en 2006 à 1259 proposées en 2007. Grâce à un partenariat gagnant associant doctorants, laboratoires publics et entreprises, le dispositif Cifre permet à des jeunes chercheurs de réaliser leur thèse en entreprise en menant un programme de recherche et développement en liaison avec une équipe du secteur académique. Ces conventions de formations sont mises en place depuis 1982 par l'Association nationale de la recherche technique (ANRT) qui gère les procédures administratives et assure la promotion du dispositif auprès des entreprises. (...)

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