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(07/05/2007 17:03:39)
L'Institut européen de technologie opérationnel dès 2008
Un an pour ouvrir officiellement l'Institut européen de technologie (IET). Le 2 mai, à Strasbourg et à Bruxelles, un nouveau pas conséquent a été franchi vers la concrétisation de ce nouvel instrument de soutien à l'innovation en Europe. Selon le compte rendu de l'audience publique qui s'est tenue mercredi dernier au Parlement européen, le débat sur l'IET progresse du « si » au «comment ». Et pour les ministres présents lors d'une réunion informelle du conseil « Compétitivité », ce 2 mai, les décisions concernant notamment le financement et la gouvernance de cette nouvelle structure devraient être prises d'ici à fin juin, avant la fin de la mandature allemande à la présidence de l'Union. Ce qui impliquerait donc un sérieux coup d'accélérateur, après le flottement entourant ce projet, proposé au printemps 2005 par la Commission et officialisé en octobre 2006 par le président Barroso, après large consultation. L'idée étant, avec ce nouveau support, d'encourager la constitution de communautés de la connaissance et de l'innovation (CCI) regroupant chercheurs, enseignants et professionnels exerçant en entreprises, et de les fédérer ainsi sous la bannière d'Institut européen. Un réseau de réseaux en quelque sorte, fonctionnant sur fond de priorités définies démocratiquement et entérinées par un comité directeur et par des financements communautaires. Un financement de 2,4 Md€ sur 2008-2013 Le concept à la base de cette meta-structure, tout au long de sa gestation, s'est heurté à l'éventualité d'un chevauchement avec d'autres mécanismes de soutien à l'innovation déjà en place qui pourraient en pâtir. Tels que les programmes-cadres (7e PCRD pour la recherche et la R&D, PIC pour l'innovation et la compétitivité), les initiatives technologiques communes (ITC), les plateformes technologiques et autres soutiens au programme d'apprentissage tout au long de la vie. Mais un début de consensus commence à poindre autour d'un financement de l'IET « résultant d'un éventail complet de ressources » qui devrait atteindre 2,4 milliards d'euros pour la période 2008-2013. Dont près du quart escompté venir de financement privé (fondation) et des prêts de la Banque européenne d'investissement. Au delà de ce financement déjà contesté pour son insuffisance, bien des questions restent à régler avant l'officialisation de cet Institut en réseau. Dont la question de l'habilité à décerner des diplômes qui ancrerait un peu plus dans les relations universités-entreprises le bien-fondé de cet institut. A la suite des débats de ce mercredi 2 mai, la ministre allemande de l'Education et de la Recherche, Annette Shavan, a déclaré préférer, pour sa part, que les universités contribuant aux futures Communautés de connaissance et d'innovation (CCI) puissent ajouter le label européen IET à leurs diplômes. (...)
(07/05/2007 15:21:49)Risques informatiques : le manque d'information des utilisateurs encore pointé du doigt
Audit après audit, l'examen des politiques de sécurité informatique montre que les entreprises persistent à sous-estimer le risque venu de l'intérieur. Selon l'étude de l'éditeur Promisec effectuée sur les parcs informatiques d'une trentaine de grandes entreprises, sur 193 000 PC, plus de 25 000 (soit 13%) étaient connectés à des périphériques USB non autorisés, causant des risques de pertes de données, d'intrusion de virus et autres codes malveillants. Des extensions « peer-to-peer » tournaient sur 4% des postes de travail ; et 1582 postes (0 ,8%) étaient soumis à des logiciels de prise de contrôle à distance et/ou à des sharewares non autorisés. Pour 1,7% des postes de ces parcs, la protection anti-virus n'était pas à jour. « Les entreprises sont aujourd'hui mieux armées pour identifier les menaces contre la sécurité de leurs réseaux externes. En revanche, les problèmes de sécurité interne demeurent considérables pour les entreprises devant prévenir la fuite de propriété intellectuelle et l'infiltration de leurs réseaux par des codes malveillants introduits par inadvertance par des collaborateurs ou partenaires », commente Amir Kotler, directeur général (CEO) de Promisec, éditeur du logiciel de surveillance Spectator. Et d'ajouter : « La réponse à ce problème consiste tout d'abord à en appréhender l'ampleur ». Un an plus tôt, au printemps 2006, une étude conduite par Pointsec (éditeur de solutions de cryptage pour terminaux mobiles) auprès de 300 cadres britanniques montrait, de même, que si 90% des personnes sont conscientes du danger potentiel que présente l'utilisation de supports amovibles, deux-tiers des utilisateurs de clés USB admettent ne pas les protéger. Et ce, avec l'approbation tacite des entreprises, puisque la plupart d'entre elles reconnaissent qu'il est impossible d'empêcher les salariés d'introduire des supports mobiles non autorisés dans l'entreprise. Mais aussi, que quatre fois sur dix, ces professionnels ignorent qu'il est facile de protéger les données enregistrées par un simple dispositif de cryptage. (...)
(04/05/2007 17:47:51)Rencontre à l'IUT de Paris 5 le 31 mai autour de « la diffusion des PGI »
Sage organise le 31 mai prochain, avec l'IUT de Paris 5 une conférence-débat sur la diffusion des PGI (progiciels de gestion intégrée) avec pour thème : « quels changements pour l'enseignement, l'exercice des métiers et l'organisation des entreprises ? ». Sage est partenaire d'une cinquantaine d'écoles et d'universités en France (8 000 étudiants environ), qui ont fait suite aux deux premiers accords conclus en 2001 avec l'IUT de Paris 5 et le Cesi de Rouen. « Nous sommes très impliqués dans ces partenariats, nous avons monté une offre « spéciale école » qui est différente des offres clients traditionnelles. Nous proposons des kits d'animation pédagogiques prêts à l'emploi et nous nous impliquons dans la formation qui peut aller jusqu'à la notation, lorsque l'école le souhaite. Les cas pratiques sont abordés, avec Sage X3 Entreprise. L'enjeu est très important car des milliers d'emplois vont se créer autour des PGI », souligne Pascal Boursier, chef de marché sur les PGI chez Sage et chargé du développement des partenariats avec les écoles. En effet, si les formations PGI se développent pour répondre aux nouveaux besoins du marché, le profil des jeunes diplômés et leur rôle au sein des entreprises évoluent. D'où l'idée d'une rencontre pour appréhender l'impact des formations ERP dans l'exercice des métiers et l'organisation des entreprises. Ce rendez-vous sera également l'occasion pour Paris 5 et Sage de revenir sur un partenariat, à l'origine de la création d'un parcours « paramétreur ERP » au sein de la licence professionnelle Génie Logiciel Système d'Information de l'IUT. Les étudiants sont attendus pour faire une connaissance avec une filière en plein développement, ainsi que les autres écoles et les entreprises désireuses d'en savoir davantage sur les possibilités offertes aujourd'hui par les PGI et leur simplicité de mise en oeuvre. (...)
(03/05/2007 16:49:32)Les femmes ingénieurs et scientifiques informent leurs cadettes sur les métiers techno
Face à la désaffection des filières scientifiques, les femmes montent au créneau avec un samedi après-midi d' «amphi-retape» au féminin, le 12 mai, pour débattre avec des lycéennes et collégiennes de l'intérêt des métiers scientifiques et techniques qu'elles exercent. La rencontre, organisée par le réseau « Connected Women » regroupant des ingénieurs de Cisco, cible les adolescentes. Avec un écho immédiat : « dès le premier mail d'annonce de cette réunion, nous étions assurées d'avoir quasiment salle comble avec près de 150 inscriptions », témoigne Anne Lange, responsable du groupement « Women Access Network » et manager du groupe Internet Business Solution de Cisco France. « A l'évidence, notre initiative touche un point sensible. » Au delà d'une information utile au choix d'orientation scolaire, le programme des ateliers proposés - sur la base de témoignages - met en exergue la diversité des débouchés : du métier d'ingénieur à la médecine en passant par la recherche scientifique et la création d'entreprise. Avec, en ouverture, une intervention d'Isabelle Juppé, conseillère d'Arnaud Lagardère pour la veille numérique. Pour l'association « Connected Women » qui se présente comme un « réseau de solidarité professionnelle », cet après-midi d'échanges est aussi l'occasion de valider le besoin réel des femmes de tous âges de prendre position face aux impacts de la montée en puissance de la société numérique. « Notre initiative est en lien avec le risque de pénurie de main d'oeuvre qualifiée dans le domaine des technologies de l'information », remarque Anne Lange, faisant référence à l'étude publiée par Cisco en septembre 2005 qui évaluait à 350 000 le nombre de professionnels réseaux exigés pour satisfaire les besoins du marché européen à l'horizon 2008 (Etude IDC). Mais réfléchir au féminin sur les métiers concernés est aussi une façon d'amener sur le devant de la scène ce qu'induisent les différentiels de comportements hommes-femmes au travail. « Non seulement les femmes s'affirment en tant que consommatrices de technologie, mais ce sont elles qui font progresser des modalités nouvelles, comme le télétravail, le développement de nouveaux types de business et de services moins traditionnels », glisse Anne Lange. Pour donner suite à cet après-midi d'échanges, les suffragettes de Cisco ont déjà dans leurs cartons une série d'initiatives en vue pour animer leur réseau de solidarité dès la rentrée de septembre. Sur le même sujet : La femme est aussi l'avenir de l'informatique Miser sur la complémentarité hommes-femmes devient essentiel pour le secteur informatique, selon Gartner (...)
(02/05/2007 16:45:39)Filières scientifiques : le déclin de l'empire américain
« We are still losing the competitive advantage. Now is the time to act » (Nous continuons à perdre notre avantage compétitif. Maintenant, il est temps d'agir). Le rapport a été écrit en mars par l'AEA (American Electronic Association), groupe de pression américain fondé en 1943 par David Packard et qui représente 2 500 entreprises et 1,8 million d'employés liés au monde des hautes technologies. Il fait suite à une autre étude écrite il y a deux ans et déjà intitulée : « Perdre l'avantage compétitif ? Le défi de la science et de la technologie aux USA. » Selon la source US National Science Education, les Etats-Unis arrivent en 7e position mondiale en nombre de diplômés niveau licence (Bachelor) en science et ingénierie, représentant 5% seulement de la part mondiale, légèrement dépassés par la Corée du Sud, l'Inde et la Russie (7%). Le tiercé gagnant revient à la Chine (28%), l'UE (16%) et le Japon (8%). Les trois derniers du Top 10 sont le Mexique, Taïwan et le Brésil. La même source indique qu'entre 1993 et 2003, les Etats-Unis ont stagné (1%) dans le domaine des doctorats en science et technologie, tandis que dans la même période l'Allemagne progressait de 6%, le Royaume-Uni de 44% et le Japon de 71%. Moins d'investissements en R&D que dans les années 80 Laissés sur place, les Américains redoutent maintenant d'être dépassés par leurs concurrents. C'est déjà le cas dans la production d'articles scientifiques : de 177 700 en 1988 à 211 200 en 2003 pour les USA, 143 900 articles en 1988 contre 240 900 en 2003 pour l'Europe de l'Ouest (67% d'augmentation en 15 ans, en tête des publications selon l'US National Science Education). Autres motifs d'inquiétude : la part de financement de l'Etat fédéral dans le financement total de la R&D a diminué, passant de 48% en 1982 à 32% en 2005 alors que l'augmentation de la R&D réalisée par les multinationales américaines hors des frontières des Etats-Unis a progressé de 72% entre 1999 et 2005 (US National Science Education). Tout en ayant à l'esprit que la Chine a doublé son effort de R&D depuis 10 ans. L'AEA préconise donc une politique volontariste : des bourses pour inciter les étudiants à se diriger vers les domaines scientifiques et technologiques. Des aides pour que les universités gagnent le défi de la R&D. Enfin, l'AEA fait voler en éclat la très sensible question des visas et de la carte verte et plaide pour attirer les étrangers hautement qualifiés sur le sol américain, afin d'obtenir les forces nécessaires en vue de reconquérir une place attractive en science et technologie. (...)
(30/04/2007 17:32:08)Désaffection des filières scientifiques : le HCST préconise une meilleure formation des professeurs
Quelques mois après son installation, le HCST (Haut conseil des sciences et de la technologie) a rendu un premier avis sur la désaffection des jeunes pour les études scientifiques supérieures (hors professions de la santé). Sans surprise, le HCST va dans un sens semblable aux différentes études qui montrent le peu d'entrain pour les élèves pour les sciences et les technologies. A l'instar de l'analyse du Syntec Informatique qui a tiré la sonnette d'alarme en mars dernier en lançant une campagne destinée aux 15-24 ans et intitulée « changeurs de monde » (pour inciter les jeunes à rejoindre le monde informatique), le HCST déplore le manque d'attractivité des sciences et de la technologie auprès des jeunes. Trois raisons majeures : une image de la science et des scientifiques « peu flatteuse voire assez dégradée » ; des programmes inadaptés et « une démarche pédagogique plus orientée vers la sélection que vers la formation à la pratique scientifique » ; des perspectives professionnelles peu attractives au vu d'études longues et difficiles. Et d'une manière transverse, la présence des filles dans les filières scientifiques est préoccupante : 58% de femmes présentes à l'université en 2006 mais 25% seulement dans les sciences fondamentales et dans celles de l'ingénieur. La filière technologique : la solution de remplacement en cas d'échec dans la filière générale Pourtant, le HCST est convaincu que cette désaffection n'est pas une spécificité française puisque sur le plan européen, le nombre d'étudiants dans les facultés de sciences a baissé de 10% en 10 ans - alors que dans le même temps le nombre total des étudiants connaissait une légère croissance. De plus, la France aurait même un net avantage. Selon le HCST en effet, « si dans les autres pays développés cette désaffection apparaît dès le collège, elle semble ne se manifester en France qu'à l'entrée de l'enseignement supérieur, le nombre de bacheliers dans la section scientifique de la voie générale étant pratiquement stable depuis 10 ans. » Le problème est que les meilleurs élèves diplômés d'un baccalauréat scientifique se servent de ce sésame pour aller dans les filières santé ou dans les classes préparatoires. Mais, indique le rapport, « les formations dispensées et les débouchés traditionnels des écoles, y compris celles qui forment des ingénieurs, conduisent rarement leurs élèves à choisir des carrières scientifiques, si l'on excepte les Ecoles normales supérieures. On doit s'interroger sur la séparation propre en France entre universités et grandes écoles. » Quant aux filières technologiques, elles sont encore le reflet d'un élitisme à la française, roues de secours lorsque l'étudiant ne réussit pas ailleurs : « les élèves ne se dirigent vers les séries technologiques du second cycle général et technologique, ou vers le second cycle professionnel, qu'en cas d'échec dans les disciplines d'enseignement général. » Le HCST préconise une meilleure formation en sciences des professeurs des écoles puisque les deux tiers des élèves du primaire ne reçoivent aucune exposition à la science ou à la technologie. Il prône également une revalorisation des métiers scientifiques, pour donner aux élèves de meilleures perspectives professionnelles qu'aujourd'hui. (...)
(30/04/2007 17:30:31)Ouverture des inscriptions pour participer au 15e salon des ingénieurs
La 15e édition du salon des ingénieurs co-organisée par l'Apec (association pour l'emploi des cadres) et le CNISF (Conseil national des ingénieurs et scientifiques de France) se déroulera le 7 juin prochain au parc des expositions de la Porte de Versailles. D'ores et déjà, 4 500 recrutements (il y en avait 4 000 en décembre 2006 lors de la précédente édition) sont annoncés et 111 entreprises ont confirmé ce rendez-vous. Cette rencontre est destinée non seulement aux jeunes diplômés mais aussi à ceux qui ont une expérience professionnelle, longue ou moins longue, en poste ou en recherche d'emploi. La pré-inscription (jusqu'au 13 mai 2007) permet, aux entreprises participantes, de fixer des rendez-vous aux candidats dont les profils les intéressent. Pour les personnes en poste, il ne semble donc pas inutile de prendre sa journée pour aller à un ou plusieurs entretiens professionnels, sur un même lieu. D'autres activités sont prévues : une table ronde sur le thème « les pôles de compétitivité et l'emploi » ou la découverte de 4 « ateliers » de 30 minutes (« réussir mon entretien » ou « suis-je prêt pour un bilan de compétences ? »), permettant aux candidats de mieux préparer entretiens et prospections sur le salon. Enfin, des consultants Apec seront mis à la disposition des candidats pour des conseils individuels. Pré-inscription sur le site du CNISF (...)
(20/04/2007 15:55:22)Premier IBM break Open Source autour d'Apache/Geronimo
IBM, Anaska (spécialiste des formations Open Source), Objis et le guide share s'associent pour organiser le premier IBM Break Open Source consacré au serveur d'application Apache Geronimo. « Nous avions organisé un événement semblable il y a quelques semaines. Le succès a été au rendez-vous. IBM a été convaincu et nous a rejoint pour cette nouvelle rencontre », indique Cyril Pierre de Geyer, directeur technique d'Anaska. S'il est vrai qu'IBM n'est pas novice sur le secteur de l'Open Source, l'entreprise n'est surtout connue que par l'écosystème. Cette rencontre pourrait être une façon de lutter contre le déficit de notoriété dans le domaine des standards ouverts et de l'interopérabilité où IBM est pourtant très impliquée. Ce break (qui suivra l'ApacheCon Europe du 2 Mai à Amsterdam) permettra de faire le point à la fois sur l'évolution des fonctions et des plug-ins de Geronimo et sur l'offre Websphere AS Community Edition, dont la modularité et l'interface d'administration expliquent un intérêt soutenu. (...)
(19/04/2007 18:15:12)Des formations (presque) gratuites pour les informaticiens au chômage
Après l'accord passé avec l'éditeur Nat System il y a trois semaines, le spécialiste du décisionnel SAS vient de signer avec le Munci (association d'informaticiens) le même type de partenariat pour ouvrir une partie de ses formations aux informaticiens chômeurs à des conditions tarifaires adaptées. Soit une réduction de 90% pour les inscrits à l'ANPE et une remise de 30% pour les informaticiens indépendants. « Le complément de financement pour les demandeurs d'emploi peut éventuellement être pris en charge par les Assedic », précise Régis Granorolo, porte-parole du Munci. L'association servant d'intermédiaire pour valider la motivation du demandeur de formation, l'accès à cette offre passe par une adhésion au Munci (soit 10 euros à l'année) et une ancienneté de plus de six mois de cette adhésion. Ce qui en réduit la portée immédiate. Depuis la signature de l'accord avec Nat Systems, il y a trois semaines, une seule demande de personne susceptible de correspondre à ces conditions a été enregistrée. Néanmoins, l'orientation des stages de courte durée proposés, qu'il s'agisse de l'environnement d'informatique décisionnelle de SAS ou des environnements de développement de Nat System, peut concerner une cible assez large de profils, à moyen terme. Recyclage sur.Net ou sur J2EE Pour rappel, concernant l'environnement .net de Microsoft, l'initiative de la société d'Avolys ayant la même intention d'aider les demandeurs d'emploi à remettre leur bagage au goût du jour, grâce à un accès à la formation à des conditions financières adaptées (frais d'entrée correspondant à moins de 10% du coût du stage) a concerné entre décembre 2006 et février 2007, une quinzaine de personnes. Alors que le dirigeant d'Avolys, Pierre François, affichait son intention d'ouvrir 180 places à ces conditions sur l'année 2007. Du côté de Nat System, promoteur des ateliers logiciels pour applications distribuées NatStar et NS-DK (applications graphiques), l'offre couverte par l'accord avec le Munci va de la mise à jour sur ces environnements, du cours de deux jours jusqu'à une semaine, au cours de trois jours introduisant à l'atelier NatJxt de développement J2EE/Eclipse/Ajax. « Nous avons par ailleurs des accords de mise à disposition gratuite de l'atelier pour la formation (initiale et continue) dispensée par l'Afpa et par certains Greta, prolongée dans certains cas par l'accueil de stagiaires pour deux à trois mois », précise Juliette Salomé, responsable de la communication de Nat System. (...)
(18/04/2007 17:39:10)« Pour un nouveau pacte avec la jeunesse », le futur de l'université en question
La réforme des universités serait-elle en marche ? Le 27 mars dernier, le professeur Pierre Lunel, délégué interministériel à l'orientation, a présenté le schéma national de l'orientation et de l'insertion professionnelle, sous-titré « Pour un nouveau pacte avec la jeunesse. » L'idée forte : que les jeunes soient informés le plus tôt possible sur les formations et leurs débouchés professionnels. Quatre axes sont développés via 28 mesures. Parmi elles : un dossier unique d'inscription, le tutorat d'étudiants plus avancés pour aider les « primo-entrants », ou la « la maison des anciens étudiants », définie comme « le lieu où s'organisent des réseaux pour agir efficacement, en matière de recherche de stages, de parrainage ou de conseils pour l'insertion professionnelle ainsi que, plus généralement, pour faire bénéficier les étudiants de l'expérience des anciens, prendre en compte la réalité du terrain et de la vie professionnelle. » Enfin, comme cela avait été évoqué avant la remise officielle du rapport de Pierre Lunel, les universités seront incitées à introduire des modules professionnalisants de base, où l'informatique aura sa place, aux côtés des « langues, connaissance du monde économique, techniques de recherche d'emploi, portefeuille de compétences. » A noter encore que ces propositions n'ont qu'un rôle indicatif et pourront être, ou non, suivies par le prochain gouvernement. (...)
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