Flux RSS

Formation

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

704 documents trouvés, affichage des résultats 471 à 480.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/04/2007 15:41:12)

Ingénierie@Lyon: sous label Carnot, un potentiel de recherche et d'innovation ouvert aux PME

Parmi les treize groupements de laboratoires ayant reçu récemment le label d'Institut Carnot attribué par le ministère de la Recherche et de l'Enseignement supérieur (liste présentée le 15 mars), le pôle lyonnais constitué par l'Insa, l'école Centrale et l'université Claude Bernard (Lyon1) porte la bannière de la recherche en sciences de l'ingénierie avec un vivier de 500 chercheurs et de 500 doctorants. De la conception à l'optimisation des systèmes et des procédés, en passant par le dimensionnement, les sciences de l'ingénierie requièrent la coordination et la combinaison de compétences pluri-disciplinaires particulièrement propices à des recherches conduites en partenariat, entre le monde académique et celui des entreprises. « Il s'agit d'apporter des solutions intégrées aux questions posées par des industriels, et de leur proposer une offre d'expertise large, qui améliore leur compétitivité tout en diminuant les risques sociaux et environnementaux », expliquent les promoteurs de ce groupement baptisé Ingénierie@Lyon. Un objectif auquel la perspective d'abondement financier de l'Etat liée au label Carnot apporte ainsi une justification supplémentaire. Pour les onze laboratoires lyonnais concernés, la recherche partenariale contribue déjà à hauteur de 20% à leur budget annuel (54 M€ en consolidé). Dans la série des groupements nouvellement labellisés Carnot, figurent celui des équipes de recherche grenobloises travaillant sur la thématique « Logiciels et systèmes intelligents » (Inria, INPG, CNRS, Université Joseph Fourier, soit 162 chercheurs) pour lesquelles la recherche partenariale constitue déjà 43% du budget annuel. Et en région parisienne, le groupement C3S de l'école Centrale et de Supélec constitue un groupement de 276 chercheurs travaillant sur les technologies de l'information, de la communication, de l'énergie et des procédés. (...)

(11/04/2007 16:30:01)

Quinze propositions pour relancer la création d'entreprise chez les jeunes diplômés

Les grandes écoles : un vivier d'entrepreneurs ? Allons donc. Parmi les jeunes passant directement du statut d'étudiant à celui de créateur d'entreprises, à l'origine de près de 7000 nouvelles entreprises en 2004, les bac+2 sont quasiment aussi nombreux (48% des jeunes entrepreneurs) que les ingénieurs (1,5% des promos sortantes) et les diplômés des écoles de commerce ou des formations au management (3,3% des promos, cursus universitaires inclus). Au delà de ce bilan quantitatif, l'étude commanditée au réseau d'innovation Retis (incubateurs et technopoles) et remise au ministre de l'Industrie ce 5 avril, résume la situation par deux autres constats de faiblesse : d'une part, l'insuffisance des collaborations tripartites entre les écoles d'ingénieurs, les cursus de management et les réseaux d'appui à l'innovation ; d'autre part, l'insuffisance des ressources mobilisables pour le développement du capital humain des jeunes entreprises innovantes. Ainsi, de la concertation organisée autour de ce rapport (250 personnes impliquées, questionnaire proposé à 150 écoles d'ingénieurs et une trentaine de cursus de gestion), trois séries de mesures ont émergé, susceptibles de remédier à cet état de fait. Des stages dans les PME innovantes Parmi la quinzaine de propositions présentées le 5 avril par Francis Bécard, directeur de l'ESC Troyes et président du réseau Retis, le ministre François Loos s'est dit particulièrement réceptif à celles visant directement le développement de l'esprit entrepreneurial des jeunes durant leurs études. A savoir : -la mise en place d'un parcours « Entrepreneurs-Etudes », à l'image des parcours « Sports-Etudes », qui serait proposé aux étudiants ayant fait preuve de certaines pré-dispositions dans leurs activités extra-scolaires ; -la promotion de stages et de missions amenant les étudiants intéressés au contact de la réalité des PME innovantes ; -l'attribution d'un label aux cursus axés sur l'entrepreneuriat étudiant qui associent écoles d'ingénieurs et de management ; -l'organisation d'un concours de l'entrepreneuriat étudiant (à la manière des concours de créateurs d'entreprises et autres tremplins de l'innovation, déjà organisés par l'Etat). Le rapport met l'accent, par ailleurs, sur l'un des paradoxes souvent signalé au sujet du fonctionnement des jeunes pousses dont les investissements sont principalement canalisés vers le R&D et le déploiement des compétences techniques au détriment des compétences managériales. D'où la suggestion d'attirer l'attention des étudiants au plus tôt, mais aussi celle de leurs enseignants et des dirigeants de start-up, sur les risques liés à ce déséquilibre. Et ce, par des mesures bien concrètes, allant de l'organisation de stages et de missions, facilitée dès lors que les étudiants les effectuent auprès de jeunes entreprises innovantes ou dans les structures d'appui (incubateurs, etc), jusqu'à la création d'un statut de dirigeant apprenant. (...)

(10/04/2007 15:41:00)

Des cursus pour le DIF orientés SOA

Le DIF (droit individuel à la formation) se décline pour les architectures orientées services (SOA), chez Softeam. La SSII, spécialisée dans les technologies objets et les nouvelles architectures logicielles, propose également de nombreuses formations (notamment en UML, Java/J2EE, .Net) dans ses centres de Paris, Nantes, Rennes et Sophia-Antipolis. Souhaitant répondre à la réglementation sur le DIF pour ses propres collaborateurs, Softeam a élaboré des cursus orientés SOA et frameworks J2EE. Elle les propose désormais en intra-entreprise ou dans ses centres. Selon François Salaun, président de Softeam, « les entreprises sont à la recherche de formations qui permettent aux ingénieurs de travailler en cycle court. Nous avons choisi des solutions pro-actives. Le DIF offre cette possibilité de former en permanence les informaticiens. Nos cursus correspondent à des besoins identifiés, très demandés ». D'où la mise en place de cycles courts de deux jours : méthodologie pour SOA (formation généraliste présentant les fondamentaux de la démarche SOA et les bonnes pratiques à mettre en ?uvre) et architecture SOA (acquisition des connaissances indispensables pour établir une stratégie de mise en place de SOA en entreprise et son impact sur les infrastructures existantes). Softeam propose également des framewoks J2EE avec une journée par framework : Struts, Spring, JSF (interface homme-machine) et Hibernate (base de données). Les formateurs sont des consultants qui ont la connaissance du terrain et Softeam, qui voudrait également continuer à recruter « entre 8 et 10 collaborateurs par mois sur un an », planche sur un cursus DIF autour de l'UML, « qui existe en formation normale en 4 ou 5 jours, mais qui sera synthétisé en 2 jours ». (...)

(06/04/2007 16:48:58)

Présidentielle : les Français veulent des candidats plus convaincants sur le thème de l'emploi

Il y a cinq ans, le thème sécurité/insécurité s'était invité dans la campagne présidentielle. Aujourd'hui, le débat a évolué vers l'emploi : deux enquêtes (Appei et Cadremploi) sont concordantes sur une nette préoccupation (obsession ?) des Français envers l'emploi qu'ils ont ou qu'ils recherchent. Selon l'enquête de l'Appei, 30% des personnes interviewées font de l'emploi la priorité absolue de la campagne (40% pour celles sans emploi). Pour 57% d'entre elles, ce thème est « l'une des priorités », 13% seulement en font « un thème parmi d'autres. » Pour faire baisser le chômage : baisser les charges des entreprises et mieux former les étudiants Parmi les méthodes préconisées pour doper l'emploi, l'Appei indique que « l'exonération des charges sur deux emplois crées dans les TPE/PME pendant 5 ans influencerait positivement la création d'emploi pour 81% des répondants, et ce de manière très homogène pour les répondants sans emploi ou en poste. » Cette solution est en partie seulement (54%) partagée par les cadres interrogés par Cadremploi, idée davantage plébiscitée à droite qu'à gauche. Pour Cadremploi, d'autres solutions recueillent l'approbation des cadres, comme l'offre de formation continue (44%). Mais parmi les solutions proposées pour faire baisser le chômage, l'amélioration de la formation des étudiants remporte de manière très nette la préférence des cadres : 68% d'entre eux déclarent qu'il faudrait davantage adapter la formation des étudiants aux besoins des entreprises, une solution qui met d'accord les cadres sympathisants PS et UMP. Une grosse surprise néanmoins à prendre en compte dans l'analyse : selon l'Appei, 36% des chercheurs d'emploi estiment que la préférence nationale à l'embauche favoriserait la création d'emplois, même si 40% répondent que cela aurait un effet négatif pour l'emploi. Quant aux cadres interrogés par Cadremploi, ils ne sont que 27% à déclarer qu'il faudrait permettre aux employeurs d'embaucher et de licencier plus. Des divergences sur le meilleur profil du candidat pour répondre aux préoccupations du chômage Les sondages de l'Appei et de Cadremploi montrent cependant des réactions extrêmement contrastées sur la question du profil du candidat idoine. Parmi les personnes sondées par l'Appei, celles sans emploi placent Royal (29%) en tête, suivie par Sarkozy (27%) et Bayrou (26%). Celles en poste plébiscitent Sarkozy à près de 41%. Selon Cadremploi, 84% des cadres ont le sentiment que les principaux candidats à l'élection présidentielle ne proposent pas vraiment d'idées neuves et convaincantes pour lutter contre le chômage. Toutefois, François Bayrou est le plus convaincant pour améliorer la situation de l'emploi : pour 31% des cadres, il est celui qui leur inspire le plus confiance pour améliorer la situation de l'emploi en France et devance de cinq points Nicolas Sarkozy. Cette enquête rejoint les résultats du sondage flash fait sur notre site : avec 32,8% d'intentions de votes au premier tour de la présidentielle, François Bayrou tient la corde. (...)

(03/04/2007 16:45:30)

Les métiers de l'informatique domestique entrent à l'argus officiel des diplômes

Signe des temps. Désormais, les lycées professionnels et les centres de formation d'apprentis ne prépareront plus leurs étudiants au métier de câbleur, ni aux « métiers de l'électronique », mais à un parcours professionnel de « technicien en systèmes électroniques industriels et domestiques ». Depuis le 20 mars (arrêté paru au Journal officiel du 30 mars) est rendue officielle la fin programmée des brevets professionnels « électronique » et « installations en télécommunication ». La dernière session d'examen de ces deux brevets aura lieu en 2008, avec session de rattrapage en 2009. Par ailleurs, l'édition du 31 mars du JO rend compte de la création (par arrêté également daté du 20 mars) d'un nouveau brevet qui entérine en quelque sorte la reconnaissance de l'essor de l'informatique domestique parallèlement à celui de l'équipement informatique, télécom et réseaux des entreprises. Avis aux employeurs. La préparation de ce nouveau brevet d'études professionnelles « systèmes électroniques industriels et domestiques » inclut, selon l'arrêté en question, un stage de trois semaines en entreprise. L'obtention du diplôme passe par un dispositif de contrôle continu des connaissances couronné par un examen final (en sept épreuves) dont la première session aura lieu en 2009. Les détails de ce nouveau programme (cursus et diplôme) seront publiés au bulletin officiel du ministère de l'Education nationale en date du 3 mai 2007. Et diffusés en ligne sur le site du Centre national de documentation pédagogique. (...)

(02/04/2007 18:16:47)

"Innovative Teachers Forum 2007": à l'Unesco et au Louvre, les TIC se mettent au service de la pédagogie

Le programme Innovative Teachers Forum est né en 2002 et pour la quatrième édition, la France a été choisie pour cette rencontre de deux jours (29 et 30 mars) qui vise à relier entre eux des enseignants d'horizons et de pays différents, afin de former une sorte de communauté de réflexion pédagogique grâce aux Tice (Technologies de l'information et de la communication dans l'éducation). A l'initiative de cette opération, Microsoft. Mais l'éditeur s'est volontairement mis en retrait pour promouvoir l'aspect éducatif de ce rendez-vous international et évoquer d'autres partenaires comme l'Unesco, les ministères français de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, le Louvre, France5, le Café Pédagogique, Projetice et les Clionautes (ces associations du monde enseignant réfléchissent de manière complémentaire à l'usage des Tice) ainsi que Samsung (prêt des tablets PC). Les enseignants se sont retrouvés autour de l'exposition des « Virtual Classroom Tour » (VCT) destinée à présenter les projets conçus dans leurs établissements. Les meilleurs ont été récompensés à l'issue de cette rencontre. Autre moment fort : sur un thème donné (le Louvre), des équipes ont concocté des sujets filmés, à but pédagogique et exploitant toutes les palettes qu'offre l'interactivité. Ces sujets ont ensuite été montés par des élèves de l'Eisti (Ecole internationale des sciences du traitement de l'information) avant d'être présentés. Des Tice pour faire évoluer le partage et l'érudition Thierry de Vulpillières est directeur des partenariats éducation chez Microsoft. Il a en charge le développement des partenariats avec l'ensemble des acteurs du monde de l'éducation (enseignants, établissements scolaires, associations, syndicats, encadrements, éditeurs) dans le but de faciliter le développement des usages des Tice : « Microsoft est l'initiateur de cette opération, l'an dernier nous étions à Tallin. Tous les ans, des partenaires se rajoutent ou se substituent. Cette année, avec le Louvre, nous avons monté un projet très intéressant. Des coachs accompagnaient les enseignants présents et le montage a été fait avec des ingénieurs. Il est très important de mettre les Tice au service de l'éducation et des communautés enseignantes, mais il ne faut pas se tromper : Innovative Teachers Forum n'a pas pour ambition de transformer les professeurs en informaticiens, c'est pourquoi des ingénieurs avaient pour mission de monter les travaux réalisés pendant les ateliers. » Des éléments des travaux multimédias à vocation pédagogique ont été projetés avant la remise des prix des Virtual Classroom Tour : ils sont consultables sur le site de France 5. C'est un véritable laboratoire d'idées qui devrait inspirer d'autres enseignants et faire évoluer l'usage des Tice, de la maternelle au supérieur. (...)

(30/03/2007 16:55:27)

Les informaticiens ont meilleur moral que les autres salariés

Heureux informaticiens, particulièrement sensibles au retour à une conjoncture favorable. Satisfaits globalement de la façon dont leurs employeurs les considèrent, ils estiment (dans près de 80% des cas) que leur entreprise est performante, réactive, innovante. Et que celle-ci traite bien ses clients, ses fournisseurs, ses actionnaires et ses salariés - sauf pour un tiers d'entre eux qui se montrent plus critiques. Ainsi, selon l'enquête réalisée en février pour l'Association nationale des informaticiens de France (Anif) par OpinionWay auprès d'un échantillon représentatif de 1184 informaticiens (échantillon représentatif des diverses catégories d'employeurs - SSII, entreprises utilisatrices, éditeurs, distributeurs, opérateurs -, des tranches d'âge, de la répartition géographique), le camp des optimistes est nettement plus fourni chez les professionnels de l'informatique que parmi les salariés cadres et non cadres (échantillon comparable de 1012 personnes travaillant dans des grandes entreprises, baromètre HR Tracking d'OpinionWay). Un optimisme manifeste, tant pour la pérennité de leur emploi (75% des informaticiens se disent optimistes, contre 63% pour l'ensemble des salariés), que pour l'intérêt de leur travail (65% contre 51%), ou pour l'évolution de leur parcours professionnel (62% contre 38% pour les salariés). Tout juste se montrent-ils plus critiques concernant la charge de travail (alourdie pour 46% d'entre eux), l'évolution de leur rémunération (en dessous de leurs espérances pour 56%) et sceptiques quant au niveau de leur future retraite (pour 74%). Une certaine fierté Le fait le plus marquant de cette enquête : en large majorité, les informaticiens ne doutent guère de leur valeur sur le marché de l'emploi. Ils se sentent capables d'intéresser d'autres employeurs (81%) et d'échapper à la discrimination à l'embauche (76%). « Sans doute, la conjoncture actuelle joue-t-elle à plein, commente Michèle Avelka, vice-présidente de l'Anif, et la même enquête faite trois ans plus tôt n'aurait pas donné les mêmes résultats ». D'ailleurs, à 90%, ils estiment que l'état actuel du marché est clairement en leur faveur. A 88%, ils sont plutôt fiers d'exercer ce métier qui, pensent-ils, conserve une bonne image (86%). Néanmoins, ils doutent un peu plus de leur capacité à garder un emploi jusqu'à la retraite (46% en doutent). [[page]] Et c'est là tout le paradoxe relevé par cette enquête d'opinion. Car si, globalement, l'optimisme l'emporte au vu de leur situation actuelle (avec de bonnes relations avec les collègues de travail, un travail de qualité, de bonnes conditions et une bonne ambiance de travail, une sécurité de l'emploi supérieure à la moyenne des salariés, etc.), l'avenir est pour eux beaucoup plus flou. Des besoins de formation non assumés Ainsi, près de la moitié note l'insuffisance des possibilités de formations (49%) et des perspectives d'évolution dans leur entreprise (57%). Et 36% des informaticiens interrogés se disent prêts à changer d'entreprise (contre 31% pour l'ensemble des salariés). Voire, si nécessaire, à changer de région (52%) ou de pays (41%). Ils reconnaissent (pour 83%) qu'être capable de mobilité fonctionnelle est un atout incontestable pour leur évolution professionnelle, mais que leur entreprise ne le leur propose pas (63%) et qu'ils ne comptent pas trop non plus sur leur entreprise pour le leur permettre (45%). De fait, pour plus d'un informaticien sur deux, les besoins de formation ne sont pas suffisamment couverts par l'entreprise. Un comble à l'heure du DIF (droit individuel à la formation), pour une profession qui dépend de façon quasi-existentielle de l'actualisation des compétences. De même, si les informaticiens ont pris conscience des risques de perdre de leur valeur sur le marché du travail (la fameuse employabilité), ces risques sont pour eux liés à l'externalisation (pour 56%), à l'offshore (54%), à l'évolution accélérée des technologies (49%) plus qu'à leur âge (28%, probablement du fait de la constitution de l'échantillon de l'enquête). Si, globalement, les informaticiens ont une critique à formuler à l'égard de la gestion des ressources humaines, c'est majoritairement sur le volet de la gestion des carrières (pour 63% d'entre eux) et de la prise en compte de leurs besoins de formation (pour 55%), plus que sur le volet des relations sociales (56% se disent satisfaits). Mais en prennent-ils leur parti ? Indifférents car opportunistes ou résignés, ou encore naïfs ? Toute la question est là, selon l'état major de l'Anif. Pour cette association qui a pour vocation d'aider les informaticiens à prendre en mains l'évolution de leur parcours professionnel, sur la base d'une information actualisée et concrète, la suite de ce relevé barométrique de l'état d'esprit et du moral des informaticiens passe par la mise à disposition sur le site de l'Anif du questionnaire qui a servi de base à l'enquête, afin que chacun puisse librement se « benchmarker ». Avec un relais assuré - probablement - par le site de Microsoft France. Et avec l'espoir de pouvoir renouveler, l'an prochain, le constat d'une profession consciente de ses atouts, mais aussi de ses risques. (...)

(30/03/2007 12:43:52)

Trois écoles en finale du concours de développement Ricoh-Sun

Aujourd'hui, 30 mars, trois équipes d'étudiants sélectionnées pour participer à la deuxième manche du concours européen de développement organisé par Ricoh et Sun, se confrontent au siège francilien du fournisseur de solutions d'impression Ricoh. Et les gagnants français de la première manche de sélection sont... les étudiants de l'université du Havre, de Supinfo et de l'IIE (Institut Informatique & Entreprises) de Valenciennes. L'épreuve d'aujourd'hui consiste à présenter les travaux de migration vers un périphérique multifonction de l'application innovante (application Java, développée à l'aide de l'atelier SDK/J) qui leur a permis de se distinguer. A savoir : - pour l'équipe de l'IEE Valenciennes, un « ChatTools » qui permet d'instaurer un dialogue en temps réel entre un client en difficulté sur un équipement multifonction et la hotline ; - pour l'équipe du Havre, l'application « Timager » qui permet d'automatiser des tâches sur une imprimante multifonctions, et modulaire, de façon à ce que l'utilisateur puisse configurer lui-même les fonctionnalités qu'il souhaite ; - pour l'équipe de Supinfo, l'application «Get&Print» qui permet de simplifier la gestion distribuée des documents de l'entreprise (en intégrant les connexions Samba et FTP) avec un suivi du parcours des documents sur les différentes connexions via un explorateur, doté de fonctions de filtrage et de recherche. Dans la sélection des projets-étudiants entrait également un critère pédagogique, notamment la confrontation aux contraintes du matériel, que ne manquent pas de souligner les enseignants qui ont encadré ces équipes. Avec de plus, en ligne de mire, une invitation à la grand-messe JavaOne de San Francisco. L'équipe gagnante de cette seconde manche nationale sera invitée à participer à l'épreuve de sélection européenne qui aura lieu les 19 et 20 avril à Prague, au Centre de développement de Sun Microsystems. (...)

(29/03/2007 12:23:21)

L'Apec explique les clefs du recrutement aux jeunes diplômés de France

L'Apec (Association pour l'emploi des cadres) organise la deuxième édition des semaines « jeunes diplômés » entre le 2 et le 27 avril, dans toute la France. A l'occasion de la première édition, ils étaient plus de 4 000 à se rendre au rendez-vous qui s'organise autour de conférences, de tables rondes et de discussions avec des experts de l'emploi. Des entreprises jouent également le jeu en expliquant leurs problématiques RH. Ces journées seront en fait des demi-journées thématiques, avec des présentations méthodologiques. L'idée est vraiment de sensibiliser des jeunes gens à une recherche d'emploi efficace en amont, et aux entretiens d'embauche en aval. Cette année, les rendez-vous se dérouleront dans 12 villes : Strasbourg les 2 et 3 avril ; Orléans les 5 et 6 avril ; Clermont-Ferrand les 17 et 18 avril ; Nancy les 18 et 19 avril ; Lille et Lyon du 23 au 25 avril ; Nantes les 23 et 24 avril ; Bordeaux, Montpellier et Toulouse du 24 au 26 avril ; Paris (boulevard Lenoir) du 25 au 27 avril ; Rennes, du 26 au 27 avril. (...)

(28/03/2007 12:50:03)

Le Get, groupement des écoles télécom, membre fondateur de deux PRES

C'est signé. Et publié par décret. Depuis le 21 mars 2007, neuf PRES (pôle de recherche et d'enseignement supérieur) sont constitués sous le statut d'Etablissement public de coopération scientifique (EPCS). Et à l'égard des deux agrégats d'établissements intitulés ParisTech et Université européenne de Bretagne (UEB), le GET, groupement des écoles d'ingénieurs en télécommunications, s'est empressé de faire savoir qu'il est, par ses établissements (Télécom Paris, et ENST Bretagne), membre fondateur de ces pôles. Avec, notamment, un siège au conseil d'administration du pôle ParisTech, permettant « d'inscrire le GET dans une dynamique forte susceptible de porter à l'international l'image de la capitale dans l'enseignement supérieur et la recherche ». Le ton est également donné dans l'intitulé du pôle breton : européen ET régional. L'UEB se veut, en effet, porteur d'une stratégie qui positionne clairement la Bretagne parmi les régions de référence pour l'enseignement supérieur et la recherche high tech. Et, pour cela, le PRES breton regroupe les universités de Bretagne occidentale, de Bretagne Sud, de Rennes-1 et 2, l'Inra, l'Insa de Rennes, l'ENS Cachan (antenne de Bretagne), l'ENSC de Rennes, et le GET. De quoi contredire, par ailleurs, le constat de frustration d'une partie des états-majors d'écoles d'ingénieurs qui, selon une enquête de la CDEFI (conférence des directeurs d'écoles d'ingénieurs), se disent mal informés au sujet de la mise en place des PRES, inquiets (28% des 77 écoles ayant répondu à l'enquête), car non impliqués directement (15%), tenues à l'écart (9%) ou mal associés (8%). Une situation que Paul Jacquet, premier vice-président de la CDEFI, résume ainsi : "Les PRES ont tout simplement un effet détonateur là où les écoles et les universités s'ignorent depuis longtemps, et là où les universités ne s'accordent pas entre elles." (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >