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Formation

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(31/05/2007 18:03:13)
Après Dubaï, IBM inaugure un second centre mondial d'expertise SOA sur la Côte d'Azur
« Dans les deux ans à venir, 50% des projets de transformation des systèmes d'information qu'assisteront les équipes d'IBM Global Business Services au niveau mondial vont reposer sur une approche SOA», avance Philippe Hedde, directeur général de cette entité GBS pour IBM France, reprenant en cela les propos de l'état-major de la société. C'est dire l'importance que prend, à ses yeux, le choix de la compagnie de fixer en France l'un des deux centres d'expertise servant de tête de pont pour les opérations sur ce terrain. Et pas seulement pour l'Europe. A La Gaude, dans l'arrière-pays niçois, la vitrine et les « démos » sont prêtes. De même que les équipes d'architectes, habituées (depuis la transformation d'une partie du centre de R&D en « e-business Solution Center » qui date de 2000) à recevoir les équipes projets d'entreprises du monde entier (80% d'Europe, 10% Amérique du Nord, 10% Asie) pour des prototypages de projets mêlant problématiques d'infrastructures et d'applicatifs. De l'avis des troupes françaises, pour l'heure, la reprise des investissements pour la refonte des systèmes d'information ou le lancement de projets ex-nihilo SOA en est encore à ses frémissements : moins de 10% des projets accompagnés et des revenus d'IBM GBS de ce côté-ci de l'Atlantique. Sachant que, selon une étude auprès des dirigeants de 250 entreprises (IBM Global CEO Survey, 2006), pour 56% des directions informatiques, le manque de compétences est l'inhibiteur numéro 1 dans l'adoption d'une démarche SOA, le fonctionnement de ce centre d'expertise mondial mise sur la complicité implicite entre entreprises clientes, pionnières de la démarche SOA, et les experts des diverses entités d'IBM (IBM GBS, pour le conseil et les études, IBM GTS pour les aspects techniques, infrastructures, outsourcing, maintenance, IBM Software pour l'expertise autour des technologies revampées SOA) mais aussi, le cas échéant, avec les fournisseurs et intégrateurs partenaires. Et l'exemplarité de certains projets d'ores et déjà bouclés (dans le domaine bancaire) ou en préparation (dans le secteur santé) permet d'exploiter une certaine verticalisation des démos et de l'offre de services (par secteur d'activité, par métier, donc par brique de services, de web services, pour certains avec « appliances » à l'appui). Pour l'heure, la demande se situe surtout en termes de mise au point de feuille de route avec les équipes projets. Par quoi commencer, dès lors que l'on s'intéresse à l'apport de l'orienté services? Avec un petit semestre de recul, Jean-Michel Corrieu, responsable du centre SOA de la Gaude depuis janvier 2007, constate que cette demande est plus avancée dans les secteurs de l'assurance (en quête d'agilité pour la mise sur le marché de nouveaux produits), dans le domaine de l'énergie (systèmes d'information dans les coulisses des réseaux de transport intelligents), chez certains grands industriels (automobile, aéronautique avec l'extension du PLM, gestion du cycle de vie du produit), mais aussi face à des problématiques plus génériques (contrôle de l'usurpation d'identité, par exemple). Pour Olivier Chaffard Luçon, directeur de l'entité IBM Software France, le mouvement est bel et bien lancé, avec une croissance (au niveau mondial) de 42% assurée autour des produits revus et « taggés SOA », soit trois fois plus forte que la progression des revenus logiciels de la société. « Pour le volet services et infrastructures, ce qui relève d'IBM GTS ou des intégrateurs, la percée de l'approche SOA est plus difficile à mesurer, sachant qu'un projet SOA s'appuyant sur un existant n'implique pas forcément rupture », explique Olivier Bérard, architecte senior de IBM GTS. Quoi qu'il en soit, pour le centre de La Gaude, l'accompagnement proposé aux équipes des entreprises clientes se concrétise en trois étapes : une journée de « briefing » (débroussaillage de la question) avec des experts ; un atelier de préparation de la feuille de route (un ou deux jours), un atelier de prototypage (Business Pilot) de 3 à 4 jours. Les trois étapes rapprochant, à divers degrés mais systématiquement, les aspects fonctionnels (et les représentants des métiers concernés) et les aspects techniques (évaluation de la prise de risque). (...)
(31/05/2007 15:48:25)Bull ouvre un centre de formation à Massy
Après avoir récemment créé un espace de formation à Paris, situé à quelques minutes de la place d'Italie, Bull ouvre un nouveau centre d'expertise à Massy, au sud de Paris. Inauguré aujourd'hui en présence de Didier Lamouche, PDG du fournisseur pour la France, de Patrick Semlob, directeur de Bull Formation, et de Vincent Delahaye, maire de Massy, l'Open Campus, rassemble, sur une surface de 3 000 m2, 400 stations de travail, 35 plateformes de travaux pratiques et une salle de conférence. Avec plus de 450 stages inter-entreprises, les formations dispensées à l'Open Campus couvrent huit grands domaines de compétences techniques : le développement sur Internet (Eclipse, Java, Perl...), l'Open Source et Linux (Perl, Tomcat, JonAS, Jboss...), les technologies Microsoft (Visual Studio 2005, Exchange Server, SharePoint Portal Server...), les systèmes d'exploitation AIX, la business intelligence et les bases de données (Oraccle, SQL, Datastage, Jasper,etc.), la sécurité/réseaux/stockage, le management du système d'information, et les environnements Bull (serveurs Novascale, GCOS). Dispensées par une centaine de consultants et d'experts, ces formations sont certifiées ISO 9001. Elles sont évaluées à tous les échelons du processus : en amont, lors du déroulement du cursus, et à son issue, grâce à une valorisation des résultats et une mesure d'impact. (...)
(30/05/2007 17:06:32)DUT informatique : 71,9% de diplômés en trois ans d'études
La filière D.U.T (Diplôme universitaire de technologie) est une bonne piste pour ceux qui veulent commencer des études supérieures sans pour autant s'enliser dans des cycles sans fin. Une note du ministère de l'Education nationale indique qu'après trois années d'études, 76,1 % de cette cohorte d'étudiants a obtenu son diplôme (tous domaines d'études confondus). La réussite en deux ans diffère selon le secteur professionnel. Elle est plus élevée dans le secteur tertiaire (68,9 %) que dans le secondaire (62,3 %), quelle que soit la filière du baccalauréat obtenu. Avec 8 005 étudiants en 2005-2006 (dont 1 056 nouveaux bacheliers 2005 inscrits en première année de DUT), les effectifs dans la spécialité « informatique » arrivent au troisième rang du secteur tertiaire, précédé par les DUT gestion des entreprises et des administrations (19 772 étudiants dont 8 007 nouveaux inscrits) et techniques de commercialisation (18 965 étudiants dont 7 728 jeunes bacheliers). Le DUT « service et réseaux de communications » arrive en cinquième position, avec 3 005 étudiants dont 1 056 récents bacheliers dans la section (source : MEN - DEPP- SISE 2005-2006). Dans le secteur secondaire, le DUT « génie électrique et informatique industrielle » se place en tête des effectifs à la rentrée 2005-2006 avec 8 978 étudiants (dont 3 752 nouveaux bacheliers 2005 inscrits en première année de DUT en 2005-2006), tandis que le DUT « réseaux et télécoms » (appelé « génie des télécommunications et réseaux » avant 2005-2006) n'est qu'en septième position avec 3 162 étudiants dont 1 295 premières années (source : MEN -DEPP -SISE 2005-2006). Le « taux de réussite en IUT en deux ou trois ans des étudiants qui ne sont pas réorientés par spécialité » varie selon les sections : 78,6% d'étudiants ont obtenu leur D.U.T « service et réseaux de communications » en trois ans (72% de réussite en deux ans), 75% en trois ans en « génie des télécommunications et réseaux » (63,1% de réussite en deux ans), 71,9% d'étudiants ont obtenu leur D.U.T « informatique » en trois ans (59,1% de réussite en deux ans) et 67,5% en « génie électrique et informatique industrielle » en trois ans (52,7% de réussite en deux ans, source : MEN - DEPP- SISE). (...)
(30/05/2007 15:18:32)Jusqu'à 6000 € de subvention pour la formation des salariés des petites SSII
Rares sont parmi les bénéficiaires des programmes de formation et de certification financés par la branche professionnelle de l'ingénierie, du conseil et des services informatique, les salariés des très petites SSII et cabinets de moins de dix salariés. Et pourtant, leurs employeurs, qui constituent 80% de la troupe des chefs d'entreprise de ce secteur, cotisent, pour la plupart d'entre eux, au même pot commun que les grandes et moyennes SSII. Sur ce constat de difficulté d'accès des salariés des TPE à la formation, le Fafiec, Opca (organisme paritaire collecteur des fonds de formation) de la branche Syntec, a lancé pour l'année 2007 une démarche globale d'accompagnement des TPE. « En 2006, l'accent a été mis sur la simplification des démarches administratives », explique Roland Sirieix, responsable de la communication du Fafiec. « Cette année, les partenaires sociaux ont orienté l'action vers un plan pluriannuel spécial TPE, en débloquant un financement dédié à l'accompagnement de l'effort de formation de ces petites structures, passant par une activité de conseil de proximité et de facilitation des démarches ». La subvention peut aller jusqu'à 6000 € (sur trois ans et selon le projet de l'entreprise) pour couvrir les dépenses en organisation de la formation, en plus de la prise en charge habituelle des stages. L'opération TPE lancée à titre expérimental pour l'année 2007 est dotée d'une enveloppe permettant de couvrir 450 dossiers de TPE (selon une simulation effectuée par l'équipe du Fafiec). Un seul critère de départ : que l'entreprise n'ait pas bénéficié d'un financement de l'Opca au cours des deux dernières années. «Un bilan d'étape sera fait à fin 2007, pour voir si ce genre d'accompagnement correspond bien aux besoins des TPE et comment faire évoluer le dispositif », ajoute Roland Sirieix. Mais déjà, après un premier mailing lancé début mai, le Fafiec a recensé en une semaine plus de 200 retours et demandes d'information. La démarche, pour les chefs d'entreprise concernés, passe par un contact avec l'un des quarante conseillers du Fafiec répartis dans l'hexagone, en quatre antennes régionales (Ile-de-France, Ouest, Sud-Ouest et Sud-Est). L'idée étant de mettre dès que possible la puce à l'oreille de ces dirigeants de petites équipes, souvent fort occupés, concernant la possibilité de recourir pour l'organisation et pour le financement de la formation de leur personnel aux actions collectives de la branche (formations clés en main, répondant aux besoins d'évolution de compétences décelés par les partenaires sociaux) et/ou selon des thématiques prioritaires, parmi lesquelles figurent, pour les informaticiens les certifications Cisco, .net, ou SAP. Pilote de formation Plus original, car spécifiquement destiné à couvrir le manque d'information et de disponibilité des cadres de TPE, dans la région Pays-de-Loire, une action de formation de trois jours est organisée à leur intention sur le thème du pilotage de la formation . « Et ce, abordé sous un angle opérationnel, très terre à terre, correspondant à des questions du genre : j'ai un recrutement ou une formation à organiser pour mes salariés. Comment dois-je m'y prendre ? Comment financer ? », commente Roland Sirieix. Un axe plutôt pragmatique auquel les intéressés semblent plutôt sensibles si l'on en croit l'afflux de candidatures à Nantes pour les quatre sessions déjà organisées depuis avril sur ce thème. « Preuve, s'il en est besoin, que l'information ne suffit pas, et que le Fafiec est bien dans son rôle d'organisme paritaire, et de conseil de proximité, avec ces actions d'accompagnement et de mise en situation adaptées à la situation des entreprises », plaide le responsable de la communication du Fafiec. (...)
(25/05/2007 16:59:40)Un bon cru 2006 pour l'emploi et les salaires des jeunes diplômés
La livraison 2007 de l'étude annuelle sur l'insertion des jeunes diplômés publiée par la conférence des grandes écoles (CGE) ne fait que confirmer le retour actif des chargés de recrutement sur les campus. Parmi les promos 2006 des écoles d'ingénieurs et de gestion, 85% des diplômés ont trouvé employeur dans un délai de quatre mois (contre 80% pour la précédente promo), dont 82% dans les deux mois (76% l'an dernier), c'est-à-dire juste après s'être accordé un mois de vacances avec le diplôme en poche. Pour 79% d'entre eux, il s'agit d'un contrat à durée indéterminé. Le CNE a encore moins de prise que l'an dernier: 1,3% contre 2% lors de l'enquête 2006. La moyenne des salaires d'embauche est également en progression de plus de trois points: 31 910 euros cette année, contre 30 900 euros l'an dernier. Des résultats plus détaillés de l'étude feront l'objet d'une présentation à la presse le 12 juin. Un rapide tour des plans d'embauche de sociétés du secteur informatique montre que cette priorité accordée à l'accueil de sang neuf n'est pas l'apanage des seules grandes SSII. Par centaines, Accenture, Astek, EDS, Sodifrance, Micropole-Univers, Net2S, SCC, Resadia, Solucom, Teamlog... regarnissent leurs rangs de jeunes recrues. Il y a aussi les petits contingents : Mega, Netfective, Advyso, Smile, Ooodrive, Soltim-Proval, Seriacom, JNC Diffusion qui visent quelques dizaines de recrues en renfort. Retour en régions Pour assurer cette relance (du business et de l'embauche), la tendance est au retour en régions. Avec des campagnes orchestrées au niveau national comme l'opération portes ouvertes de Teamlog qui s'est tenue cette semaine simultanément à Lannion, Lyon, Grenoble, Rennes, Nantes et à Paris. Ou carrément ciblée sur une localisation, comme JNC Diffusion qui promeut les solutions et services de sécurisation des données sur un axe Bordeaux-Toulouse-Montpellier-Marseille. Des campagnes ponctuées de rendez-vous marquants comme la « garden party » organisée ce vendredi 25 mai par Solucom en quête de 250 jeunes recrues, ou le marathon de blog emploi vidéo organisé par Adecco Ingénierie (le 11 mai) parallèlement au marathon Shell Eco (compétition entre véhicules qui consomment le moins possible), ou plus classique, l'inauguration d'agences promises à un fort développement dans l'année, comme l'ont fait récemment Smile à Lyon, SCC ou Niji à Lille, Umanis avec l'ouverture d'un centre de services à Tours (une neuvième localisation pour cette société qui compte 800 personnes). Des relations écoles-entreprises re-dynamisées Les salons et forums refont le plein, d'employeurs et de jeunes candidats, y compris pour les doctorants comme en témoigne l'opération Déclic (Doctorants-Entreprises, Combinons les initiatives de chacun) de ce jeudi 24 mai à Sophia Antipolis (organisé par l'ADSTIC et l'ADSFA, deux associations de thésards en informatique et en sciences fondamentales et appliquées). Et en amont, les relations écoles-entreprises retrouvent du peps. Certaines écoles en profitent pour conforter des dispositifs qui commencent à faire leurs preuves en matière de facilitation de l'insertion, comme le livret numérique de l'étudiant (IAE de Caen) au travers duquel le futur diplômé affine son itinéraire d'étudiant et son projet professionnel. Ainsi pour la deuxième rencontres R2E organisée du 30 mai au 1er juin à Maffliers (Val d'Oise), une cinquantaine d'écoles (15 écoles d'ingénieurs, 35 écoles de commerce) et six universités délèguent leurs chargés de relations entreprises et responsables de services carrières pour débattre avec leurs correspondants dans le monde professionnel. Au programme de ces journées concoctées par Keljob et Hobsons, les aménagements de l'offre de stages, un focus sur les partenariats exemplaires, l'aide apportée aux étudiants pour le choix de l'employeur, les actions menées à l'encontre de la discrimination à l'embauche, le financement de ces initiatives. (...)
(22/05/2007 17:58:50)Adhara se lance dans les formations Vista, Office 2007 et Exchange Server 2007
« Nous sommes prêts à former sur les environnements Vista, Office 2007 et Exchange Server 2007 dans nos 48 centres répartis sur l'ensemble du territoire ou chez le client ! » Hubert Barkate, Président du groupe Adhara est aujourd'hui soulagé. Se lançant dans une course contre la montre lorsque Microsoft a sorti ses derniers produits afin de pouvoir proposer aux entreprises des formations opérationnelles (entre 2 et 10 jours) et « Difables » (c'est-à-dire dans le cadre du Droit Individuel de Formation), Adhara propose désormais une gamme de formations complète et personnalisable. 150 formateurs dédiés à la montée en puissance de projets dans un environnement Microsoft « La demande est très forte sur le terrain. Pour l'instant, les élections ont ralenti les projets mais déjà les entreprises nous ont demandé de former leur personnel car tout repart en juin. Sur les trois formations, c'est Office 2007 qui est en tête, » poursuit le DG d'Adhara. Les formations Microsoft Office System 2007 (de 2 à 7 jours) s'adressent aux utilisateurs souhaitant intégrer les fondamentaux liés à l'environnement Office, ainsi qu'aux administrateurs qui souhaitent maîtriser les technologies SharePoint et déployer Office 2007 en entreprise. Pour Visa, 3 cursus complémentaires de 5 jours sont dispensés, destinés aux utilisateurs qui souhaitent intégrer les fondamentaux liés à l'environnement Vista mais aussi le paramétrer et l'administrer. Enfin, la nouvelle version de l'environnement Exchange Server 2007 est ouverte aux administrateurs et se décline sur différentes sessions (entre 5 et 10 jours). (...)
(16/05/2007 17:15:21)Sopra Group et l'Esiee créent une « chaire d'entreprise » autour du génie logiciel
Sopra Group (conseils et services en technologies de l'information) vient de signer un accord avec l'Esiee (Ecole supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique) et l'ISTM (Institut supérieur de technologie et management, situé sur le même site et avec le même DG que l'Esiee). Le partenariat entérine la création d'une « chaire d'entreprise », un concept issu du monde du management et du commerce, autour du thème : « le génie logiciel ou comment maîtriser le développement des applications. » Les étudiants en dernière année de cursus de majeure informatique doivent en effet être préparés à intégrer des équipes projets au sein des SSII au terme de leur formation. Une expérience avec Sopra n'est pas négligeable sur le CV, même s'il s'agit de cours dans un cadre académique et non pas d'un stage. De son côté, un acteur majeur comme Sopra a tout intérêt à se faire connaître dans les écoles, à montrer ses méthodes de travail et également à « pré-sélectionner » sur place les futurs diplômés qui constituent un vivier de talents que se disputent aujourd'hui nombre de recruteurs. A partir de septembre 2007, des intervenants de Sopra Group animeront donc 30 heures d'enseignement théorique et pratique au sein de l'Esiee. « Cette chaire d'entreprise est une première et nous espérons mettre au point d'autres partenariats avec Sopra Group. Nous avons également un accord avec IMB. Il s'agit d'une unité de formation intitulée « infrastructures des systèmes d'information », au sein du cursus ingénieur. Ce partenariat a été signé en novembre et il sera reconduit à la rentrée prochaine », conclut Albin Morelle, responsable des relations entreprises à l'Esiee. Sur le même sujet : - Les partenariats entre entreprises et universités/écoles d'ingénieurs se multiplient (...)
(14/05/2007 17:35:08)90% des salariés ont entendu parler du DIF... mais la plupart ignorent ses subtilités
Petit à petit, le DIF (Droit individuel de formation) fait son chemin. Si l'on en croit une étude menée par Kelformation sur le thème « DIF : quelle réalité pour quels salariés ? », 90% des salariés auraient entendu parler de ce dispositif. Néanmoins, la plupart d'entre eux ignorent ses subtilités : 43% des salariés ne pensent pas que l'entreprise peut refuser une demande de DIF (ou ignorent la réponse) et 37% des personnes ayant répondu imaginent que le DIF n'est pas financé par l'entreprise. Plus ennuyeux, les modalités concernant la transférabilité du DIF sont mal connues dans l'informatique, où le turn-over est très important. La solution pour les pouvoirs publics, les entreprises et les syndicats/comités d'entreprises est donc de poursuivre des campagnes de communication en ce sens. Au-delà de cette sensibilisation qui doit être intensifiée, il existe un réel marché encore trop timidement investi par les organismes spécialisés en formations : l'étude indique que 56% des salariés souhaitent profiter du DIF dès qu'ils auront trouvé une formation qui correspondra à leurs besoins. (...)
(14/05/2007 17:31:32)Les partenariats entre entreprises et universités/écoles d'ingénieurs se multiplient
Les grandes entreprises sont définitivement entrées dans le giron des écoles d'ingénieurs pour indiquer les profils qu'ils recherchent tout en proposant des aides à leur formation. Par exemple, la Banque Postale et IBM dispensent depuis peu, au sein de l'école d'ingénieur en informatique Epita, des cours autour des technologies mainframe, à raison d'un cursus par an pour les trois années à venir. Ce ne sont pas moins de 28 étudiants en dernière année qui bénéficient d'une formation complémentaire à leur programme sur les aspects techniques et fonctionnels des plateformes mainframe IBM System z. Cette opération complète l'action lancée en France par IBM en 2005 avec plusieurs écoles d'ingénieurs, dont l'objectif annoncé est de former, à l'horizon 2010, 20 000 étudiants du monde entier au mainframe. Il en est de même pour EDS France qui travaille en étroite collaboration avec l'Epita, mais aussi avec l'IUT Descartes Paris V, 3IL, l'Esiee, l'Ensib, l'Esiea, Centrale Marseille, Polytech Nantes ou Supelec, en vue de mieux préparer les futurs ingénieurs au monde de l'entreprise et dans le but de soutenir sa politique de recrutement. Une surenchère auprès des jeunes diplômés ? L'objectif avoué pour EDS France, qui s'est engagée à déployer des plans d'actions spécifiques à chaque établissement, est de recruter ; 600 nouveaux collaborateurs sont recherchés cette année dont 30% de jeunes diplômés. Par une présence accrue sur les campus, les entreprises qui mettent en place des partenariats avec les écoles ou universités peuvent augmenter leurs chances de recrutement en individualisant des rencontres. Sur les salons d'emploi au contraire, elles sont noyées dans la masse des entreprises qui recrutent et ne parviennent pas nécessairement à se faire connaître. Certes, les SSII sont présentes sur tous les canaux de recrutement, mais elles tentent par tous les moyens de faire la différence en investissant dans la communication avec les écoles. De leur côté, la majorité des écoles d'ingénieurs en informatique ont choisi de dédier une personne aux relations avec les entreprises. Si cette nouvelle est bonne pour tous les étudiants qui veulent mettre en concurrence des employeurs potentiels, deux questions restent posées : d'une part, la génération qui les suit, c'est-à-dire les jeunes gens au collège et au lycée ont toujours du mal à embrasser les carrières scientifiques. La désaffection des filières informatiques pourrait poser des problèmes à moyen terme, et la campagne de sensibilisation du Syntec Informatique pour intéresser les 15-24 aux métiers du secteur est l'une des méthodes proposées pour tenter d'y remédier. D'autre part, il reste encore le syndrome ostracisant du chômage : de nombreux informaticiens en recherche d'emploi demeurent souvent en dehors de tout plan de formation. Quelques rares initiatives, comme celles menées par Microsoft ou le Munci tentent d'inverser cette tendance, mais elles sont encore trop marginales et montrent surtout que si la cote des jeunes diplômés est bonne, celle des expérimentés au chômage ne l'est pas. En savoir plus : Postuler à EDS France (...)
(10/05/2007 17:30:27)Rencontre le 14 mai avec Andi Gutmans sur le thème « PHP pour l'entreprise »
Le nom d'Andi Gutmans a dépassé les murs de la communauté Open Source et c'est en tant que co-architecte historique du PHP, co-fondateur de Zend Technologies et initiateur/coordinateur du projet collaboratif Zend Framework, qu'il sera le roi d'une soirée le 14 mai. Celle-ci marque la rencontre du monde de l'entreprise (de nombreux décideurs seront présents) avec celui de la communauté traditionnelle des développeurs PHP. Ouverte à tous, elle est co-organisée par l'Afup (Association française des utilisateurs de PHP), Anaska (formations Open Source) et Zend Technologies (produits et services associés au développement, au déploiement et à la gestion d'applications PHP pour l'entreprise). Le thème « PHP pour l'entreprise » sera abordé lors de ce rendez-vous, avec, au cours de la première partie, une analyse des enjeux stratégiques et la ligne d'évolution directrice du Zend Framework pour le monde de l'entreprise par Andi Gutmans. Il fera aussi le point sur l'état de PHP et les tendances émergentes pour la création d'applications web nouvelle génération, adaptées aux besoins des entreprises. Enfin, il présentera une nouvelle communauté francophone, lancée et animée par des acteurs français. Lors de la deuxième partie du rendez-vous, plusieurs thèmes seront traités par différents acteurs de la sphère PHP, comme le bridge PHP/Java (pour bénéficier de la complémentarité des deux technologies), le cadre applicatif Zend Framework MVC et le lancement de la campagne de certification PHP pour 2007-2008. (...)
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