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Formation

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(25/10/2006 17:46:07)

Encore quelques places pour une formation de consultant en PGI

Une formation (financée par l'Assedic) pour ceux qui connaissent les outils de base des PGI est organisée à Paris entre le 7 novembre 2006 et le 19 avril 2007. Son originalité ? C'est un centre de formation auvergnat, l'Apta, qui l'organise à Paris. « Le redémarrage fort de l'activité en Auvergne et sur l'ensemble du territoire conduit les SSII à nous demander de former des spécialistes. Les besoins en compétences opérationnelles sur les PGI de type SAP sont nombreux », indique Jean-François Léger, fondateur et directeur d'Apta, qui annonce un taux de retour à l'emploi compris entre 85% et 100% après un passage par ses centres. « Plusieurs formations sont en cours à Clermont-Ferrand et à Lyon, la prochaine aura lieu à Paris. Elle est ouverte aux bac + 4/5 minimum en gestion et/ou gestion de production, logistique, management et organisation des entreprises, qui veulent évoluer en SAP », poursuit-il. Les candidats ont jusqu'au 3 novembre pour s'inscrire (recrute75@aptaconseil.com). (...)

(25/10/2006 08:50:29)

Des paramétreurs de progiciels formés à l'université

L'IUT de Paris-5 (Université René Descartes, Paris 16e), en association avec l'IUT de Villetaneuse (Paris-13, Seine-Saint-Denis), a profité de la réforme LMD (licence, mastère, doctorat) pour donner une tournure "progiciel" à ses enseignements. Les bac+2 diplômés (DUT, BTS) peuvent compléter leur bagage par une année de licence professionnelle qui les mène aux métiers de développeurs (parcours applications informatiques et internet) ou de paramétreur de progiciels de gestion (parcours PGI/ERP). Pour ces derniers, le cursus d'un an, qui comporte dix-huit modules d'enseignement de 25 heures, dédie une centaine d'heures (quatre modules) aux aspects de cartographie, de conduite du changement, de modélisation des processus de gestion, de cadrage des projets et de paramétrage de progiciels de gestion intégrés. Pour Daniel Alban, professeur de l'IUT parisien, "l'approche pratique liée au paramétrage, qui correspond par ailleurs à une demande croissante des entreprises, est une expérience positive pour les étudiants qui se sentent plus en confiance lorsqu'ils abordent le monde de l'entreprise". Avec ce projet pédagogique, l'IUT parisien met à profit un partenariat développé depuis septembre 2005 avec l'éditeur Sage autour de la gamme Adonix X3, implantée principalement dans les entreprises de taille moyenne. Un partenariat qui fait partie du programme "Education" initié dès 1999 par l'éditeur avec une école d'ingénieurs, le Cesi de Rouen, puis en 2001 avec l'IUT de Paris-5 (mise à disposition des logiciels et intervention de consultants Sage). Dans le cadre de cette licence professionnelle, la formation de développeur/paramétreur est ouverte aux étudiants selon la modalité classique (trois trimestres d'enseignement, avec projet tutoré) puis un stage d'un trimestre, ou en formule d'apprentissage (alternance de trois semaines de cours et de cinq semaines en entreprise) avec le Centre de formation par apprentissage CFA-Sup2000. Le même programme est proposé aux professionnels en formation continue (sélection sur CV et dossier de Validation des Acquis, VAE) par les deux IUT (Paris-5 et Paris-13) (...)

(24/10/2006 17:45:08)

L'éditique recrute et finance des formations de reconversion

Au carrefour des industries graphiques et de la dématérialisation/gestion/conception/fabrication des documents d'entreprise, les PME de l'éditique, spécialistes de la production de documents en volume et néanmoins personnalisée, sont à l'origine d'une opération de reconversion originale financée par leur association professionnelle Xplor France et par les Assedic de Paris. Depuis début octobre et jusqu'en janvier 2007, quatorze stagiaires demandeurs d'emploi alternent formation au centre parisien Audigny Formation et mise en pratique dans l'entreprise, en l'occurrence chez Aspheria, Asterion et Inforsud Editique, prestataires de production de documents de gestion. Au menu de la formation préparée par le cabinet Audigny et par l'éditeur de logiciels dédiés Sefas Innovation, une plongée dans les processus métiers (relation clients incluse) impliqués dans les flux documentaires et la production de documents de tous types. Cas pratiques à l'appui. A l'issue de cette formation/action financée, les stagiaires sont assurés d'une embauche en CDI (par l'une des trois PME d'accueil ou au sein des projets initiés par les grands comptes clients de Sefas Innovation). "A Paris comme en régions, le secteur est en forte demande de compétences pour gérer et piloter l'ensemble des équipements de production éditique - matériels et logiciels - qui sont en général très chers et qui réclament des personnels motivés et formés en conséquence", témoigne Elvire Del Fondo, responsable et fondatrice du cabinet de recrutement Audigny. Il est déjà prévu de réitérer l'opération, en décembre prochain puis en février 2007, pour des groupes d'une quinzaine de demandeurs d'emploi, en fonction du soutien des Assedic. (...)

(20/10/2006 17:20:13)

L'intelligence ambiante au menu des élèves-ingénieurs de l'Isep

Un marché naissant, qui a déjà suscité 7 milliards d'euros d'investissement en R&D au sein de l'Union européenne, ne peut laisser indifférent les écoles et universités préparant les futurs cadres. A la croisée de l'informatique, de l'électronique et des télécoms, l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris) prend ses marques dès à présent pour ajouter, à la rentrée 2007, un cursus dédié à l'intelligence ambiante en option de troisième année (parmi les sept options proposées au choix des élèves, dont cinq enseignées en anglais, et en collaboration avec cinq autres écoles d'ingénieurs). Au delà du déferlement médiatique autour des technologies de RFID, la notion d'intelligence ambiante fait allusion aux multiples composants électroniques interconnectés et autonomes, implantés dans note environnement quotidien (automobiles, bâtiments, routes) qui interviennent dans les domaines de la prévention (incendies, accidents), l'assistance (guidage, contrôle à distance), la logistique. Un fort essor des applications sous cette bannière est attendu dès 2010 dans les domaines des transports, de la santé, de la communication, de la sécurité civile, de la domotique. Première du genre, du moins jusqu'à ce jour, l'option de l'Isep fera large place aux projets (quatre dans l'année) et études de cas, comme celle déjà mise en place pour l'approche des systèmes embarqués avec des professionnels de Astrium, Peugeot, Renault et Thales, ou pour l'intégration de systèmes et le management de projet (enseignée en anglais). Au total, une option de dernière année de cycle d'ingénieur représente 350 heures de cours et de projets, suivies d'un stage de cinq mois minimum. (...)

(19/10/2006 17:33:43)

Université.Net : une bonne piste pour évoluer !

Si Java et J2EE restent des compétences extrêmement recherchées sur le marché de l'emploi en France, les spécialistes en .Net reçoivent aujourd'hui pléthore d'offres. Une bonne nouvelle ? Pas forcément pour les entreprises qui recrutent. « Nous constatons depuis plusieurs mois une multiplication du nombre de projets en entreprise autour de .Net. Il se profile une pénurie de compétences .Net que nous nous devons d'anticiper », indique Frédéric Bojman, responsable marketing, audience développeurs chez Microsoft France. L'éditeur a donc pris la mesure de la demande et mis en place Université.Net. Les informaticiens peuvent postuler via le site msemploi, ou lors de salons organisés par Microsoft. Les entreprises partenaires du programme s'engagent à recruter des candidats et leur permettre de suivre une formation .Net dans un centre agréé, à Paris ou en province. Celle-ci dure de 3 semaines (informaticiens proches de l'environnement Microsoft) à 4 mois (partenariat avec l'Unedic pour le programme long, destiné à des personnes en recherche d'emploi). Aucune connaissance en .Net n'est requise, mais une expérience minimale en développement est exigée. Autres profils concernés : développeurs en poste, spécialisés dans d'autres technologies et souhaitant se mettre à .Net, ou jeunes diplômés n'ayant pas cette compétence. « Le programme a été ouvert en juin en phase pilote. Déjà 90 informaticiens ont été formés. Les entreprises partenaires sont très satisfaites. Aujourd'hui, Université.Net sort de la phase expérimentale pour devenir pérenne », conclut Frédéric Bojman. (...)

(18/10/2006 17:41:22)

Des polytechniciens branchés "règles métiers", mais c'est à Singapour

Les systèmes de gestion de règles métiers d'Ilog servent de support à une initiative originale de formation visant une population de 2100 élèves-ingénieurs de Singapour à former dans les trois ans à venir. Avec l'école Polytechnique de Nanyang et la société Singapore Computer Systems, le champion français du BRMS (Business Rules Management Systems) se propose d'initier ces futurs diplômés au développement et à la maintenance d'applications sur la base de cas pratiques. "L'une des missions essentielles du nouveau centre de formation sera de monter des projets « proof-of-concept », qui démontreront la valeur économique et opérationnelle des technologies de BRMS. A mesure que ces « proof-of-concept » seront réalisés et validés, les règles métier des différents secteurs seront stockées dans un référentiel centralisé, afin d'aider les entreprises à accélérer les premières étapes de la création de leurs nouvelles applications", explique l'éditeur. Depuis cet été, une vingtaine de maîtres de conférence de cette école polytechnique ont été formés à Gentilly et à Mountain View, les sièges français et américains de l'éditeur. Pour preuve de faisabilité (proof of concept), trois des enseignants singapouriens déjà formés ont développé, en trois mois, une application de gestion des demandes d'achats pour une banque locale, soit la moitié du temps nécessaire à des programmeurs pour coder en dur l'application. Une initative justifiée par le fait que "dans de nombreux secteurs, les BRMS sont considérés comme des solutions de base pour relever les défis engendrés par l'accélération des cycles opérationnels et par le vieillissement des architectures logicielles qui ne peuvent plus faire face au changement suffisamment rapidement". Selon le cabinet IDC, le segment de marché des BMRS devrait poursuivre sa croissance à un taux de croissance annuelle composite de 16,6% d'ici à 2009, pour atteindre un chiffre d'affaires supérieur à 300 millions de dollars en 2009. A quand des X (ou des Gadzarts ou des Enarques) branchés sur les systèmes de règles métiers? (...)

(17/10/2006 17:42:05)

Augmentation des licenciements dans le domaine IT aux USA

Décidément, les études se suivent et ne se ressemblent pas ! Dernière en date, réalisée par le cabinet de réinsertion professionnelle Challenger Gray & Christmas : les licenciements aux Etats-Unis dans l'informatique auraient augmenté de 74% au troisième trimestre, alors qu'au trimestre précédent ils avait chuté à leur plus bas niveau depuis 2000. L'analyse indique que les coupes sont plus importantes de 23% par rapport à celles annoncées il y a un an dans les télécommunications, l'électronique, l'informatique (secteur le plus touché) et le E-commerce. A noter toutefois que ces pertes d'emplois seraient un phénomène conjoncturel, essentiellement liées aux réductions de coûts, aux restructurations ou fusions. (...)

(17/10/2006 17:41:39)

Droit individuel à la formation : 4 cursus supplémentaires

Adhara (45 centres et 424 formations) complète son offre liée au DIF (droit individuel à la formation) avec quatre nouveaux cursus. Le premier concerne la bureautique avec « l'essentiel de la bureautique » (modulable, 1-4 jours). Le second est axé mobilité avec une introduction aux WiFi (2 jours) pour les administrateurs réseaux. Le cursus aborde les notions fondamentales de réseaux sans fil, l'étude des normes 802.11b et 802.11g, l'étude de la couverture radio, l'installation d'un réseau WiFi sécurisé et la mise en place de Hotspots. Le troisième est orienté gouvernance avec Itil (2 jours + 1 jour optionnel pour certification). Cette formation est destinée au management du service informatique et offre la possibilité de découvrir des concepts fondamentaux du référentiel de bonnes pratiques Itil et de l'IT service Management. Il permet aussi de comprendre Itil dans la fourniture de services IT et d'éviter les difficultés rencontrées lors de la mise en place du processus. Le dernier cursus est orienté base de données : mise à jour des compétences d'administrateur vers Microsoft SQL Server 2005 (3 jours). Autres profils concernés : consultants souhaitant découvrir les nouveautés de SSL Server 2005, développeurs ayant besoin de prendre en charge des tâches de DBA. Pour rappel, le DIF est une composante de la loi du 4 mai 2004 relative à la formation professionnelle tout au long de la vie. Reconnu à tout salarié en CDI ayant au moins un an d'ancienneté dans l'entreprise, il est de 20h par an ou 120h sur 6 ans. Pour les salariés en temps partiel et pour les CDD, il est au prorata temporis. (...)

(16/10/2006 18:26:54)

Des cours en ligne gratuits pour les "pro" des salles machines

Du calcul des besoins en refroidissement et en alimentation, jusqu'à la planification financière d'une infrastructure d'un centre de données, en passant par les bases de la sécurité physique et les bonnes pratiques de câblage: le menu de la formation en ligne, en anglais, présenté par les experts de APC (American Power Conversion, fabricant d'onduleurs), s'est enrichi cet été d'une quinzaine de modules. Depuis le lancement de cette "Data Center University", au printemps dernier pour la France, quelques 2500 connexions de "pro" de l'installation et de l'exploitation des salles de serveurs et de l'infrastructure réseau ont été enregistrés. En français, les "pro" ont aussi accès aux formations/informations en ligne (web séminaires d'une heure environ, hebdomadaire) pour faire le point sur les avancées de ces problématiques multi-facettes. A titre d'exemple le prochain rendez-vous, ce 25 octobre, porte sur "le courant électrique: coup de foudre ou union à double tranchant". (...)

(20/09/2006 18:10:50)

« Je souhaite lancer le débat sur la clause de dédit formation »

Votre politique de formation a évolué depuis deux ans. Quelles sont ses orientations et les nouveautés ? Sylvain Breuzard : La formation peut-être à l'origine d'un cercle vertueux. Pour répondre aux évolutions technologiques et de la demande, il faut se remettre en question et anticiper. Dans ce cadre, si l'on ose voir la formation comme un investissement, on peut espérer un retour sur investissement grâce à des ressources mieux formées et compétentes sur les nouvelles technologies. Nous pourrons donc facturer plus cher des prestations à plus forte valeur ajoutée. C'est dans cette logique que je souhaite inscrire la formation. Parallèlement, nous avons mis en place des nouveautés en se basant sur l'idée qu'il y a d'autres façons d'apprendre que dans ses sessions de formation traditionnelles. Et nous sommes plutôt à l'âge de pierre dans ce domaine. Premièrement, il est par exemple possible d'apprendre par des processus de partage d'expériences et de bonnes pratiques avec une démarche pédagogique qui part de l'entreprise et capitalise sur son savoir-faire. Deuxièmement, on peut travailler sur des problématiques qui se posent à l'échelle d'une société et imaginer des solutions pour y répondre avec ses pairs - les collaborateurs exerçant les mêmes fonctions-, ce qui est très générateur de progression. Troisième voie d'apprentissage, on peut faire des travaux de recherche, de veille, en s'appuyant sur le patrimoine de l'entreprise et en se projetant dans l'avenir pour le faire progresser. Chez Norsys nous avons déjà mis en place certains de ces leviers d'apprentissage dans notre université d'entreprise. Comment cela se concrétise ? Nous avons monté des filières de formation permanentes pour les managers, pour les directeurs de projet -et bientôt pour les consultants- qui incluent des démarches d'apprentissage. L'une de ces démarches consiste à s'interroger sur un cas de gestion difficile rencontré et sur la recherche de solutions. Dans la filière managers, que j'anime, nous avons travaillé pour améliorer la satisfaction des salariés. Fin 2004, ceux-ci sont en effet apparus déçus du management. En nous penchant sur ce constat, nous avons abouti à la création d'un outil dédié à assurer un bon suivi des demandes de nos collaborateurs. Il s'agit d'un baromètre trimestriel qui permet de rappeler les engagements pris pour le salarié lors de l'entretien annuel. Ce baromètre est rempli par le manager, il lui permet d'évaluer le niveau de réalisation de ses engagements et de noter des situations positives (actions remarquables réalisées) ou négatives. Par exemple la démotivation d'un salarié. Le service ressources humaines s'attache à l'analyser et envisager des actions avec le manager selon les situations décrites. Ce baromètre a été construit avec les managers. La démarche a constitué un levier de progression collectif très important pour cette population. Il a aussi permis de progresser avec les salariés qui témoignent aujourd'hui d'un management de proximité. Quelle part de vos salariés suit une formation chaque année ? Comment faites vous pour conjuguer investissement en formation et le risque de voir partir des collaborateurs formés, suite à la reprise du marché. Chaque année, 60 à 70% de nos salariés suivent une formation. En trois ans, il faudrait que tous aient suivi au moins une formation. Cela doit avoir du sens pour l'entreprise. Ce sens s'appuie théoriquement sur trois données avec lesquelles on compose pour bâtir les plans de formation : les souhaits du salarié, notre stratégie d'évolution, notre visibilité sur nos projets. Avec la volatilité des candidats, il est vrai que nous nous sommes un peu remis en question car nous ne souhaitons pas investir en formation sur un collaborateur qui risque de partir juste après à la concurrence. Nous essayons donc d'investir d'abord sur des personnes ayant prouvé leur attachement à l'entreprise. Pour les jeunes qui sont là depuis moins de trois ans, nous préférons prévoir des formations opérationnelles qui permettent un retour sur investissement à moins d'un an. Nous sommes un peu obligés de raisonner comme cela aujourd'hui. Je souhaiterais même que le débat soit relancé sur la clause de dédit formation (clause intégrée au contrat de travail qui incombe une période de fidélité à un salarié en contrepartie des dépenses engagées pour lui en formation par son employeur, NDLR). Vous souhaitez que cette clause puisse être appliquée dans les SSII ? Je voudrais ouvrir la réflexion à ce sujet en vue de protéger nos investissements en formation. Je pense qu'il est intéressant de se poser la question afin de motiver les entreprises qui font des efforts dans ce domaine et qu'elles ne se découragent pas. Car cela rejaillirat aussi sur les salariés qui en pâtiraient. Parallèlement, je voudrais que l'on crée un groupe de travail qui réfléchisse et admette qu'il y a plusieurs types de formation possibles, comme je l'ai mentionné plus haut. Il faudrait pouvoir faire reconnaître ces modes d'apprentissage du point de vue de la loi et des Opca (organismes de collecte et de répartition des budgets formation, NDLR) qui assurent une partie de leur financement car elles ont un coût. J'estime qu'il y a une vraie réflexion à avoir. (...)

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