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Formation
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(27/03/2006 17:48:45)
Gestion de carrières : un mastère pour mettre l'informatique au service des bio-industries et de la santé
L'Eisti (Ecole internationale des sciences du traitement de l'information) étoffe son éventail de mastères en lançant pour la prochaine rentrée (octobre 2006) un cursus spécialisé dans la bio-informatique. L'objectif est de former des professionnels de niveau Bac +6 capables d'analyser, de modéliser et de traiter sur un plan informatique tous types d'informations biologiques ou médicales. Il s'adresse à des ingénieurs de niveau Bac +5 en formation initiale ou continue - les salariés peuvent financer cette formation par l'organisme collecteur de leur branche- Il se déroulera sur quinze mois, avec des cours et des conférences, des ateliers, un stage (de juillet à novembre) et une soutenance de thèse en décembre. Ce mastère est accrédité par la conférence des grandes écoles. (...)
(27/03/2006 17:48:10)Technologie : une offre de formation certifiante sur Microsoft.net pour décrocher un emploi
Les informaticiens qui souhaitent travailler dans l'environnement Microsoft.net pourraient s'emparer de l'offre "Harmonie" pour convaincre une SSII de les embaucher. Elle permet en effet de proposer à un employeur potentiel ayant un besoin de compétences sur .net d'y répondre à moindre frais.
Harmonie est une offre que viennent de lancer conjointement la société Force RH (aide au projet de recrutement et de formation) et le groupe de formation en informatique Avolys, deux partenaires de Microsoft. Elle marie un appui à la recherche de compétences (avec les services de Microsoft, MS Emploi) une formation certifiante sur Microsoft.net et une aide à l'obtention de financement pour la prendre en charge. L'objectif est de favoriser le recrutement de compétences sur.net pour des entreprises qui en ont la volonté mais qui ne disposent pas des moyens suffisants pour prendre en charge la formation de leurs recrues sur les plans administratifs et financiers.
Les financements peuvent provenir de différentes sources pour les formations, notamment de l'Etat et de Fonds européens. Pour l'instant, Force RH et Avolys profitent de l'opportunité qu'offrent les périodes de professionnalisation (dispositif de formation proposé par la réforme de la formation professionnelle) pour obtenir un soutien financier pour des formations longues. Ils ont conçu un cursus éligible aux critères de ce dispositif - d'une durée de 600 heures et qui vise le maintien dans l'emploi "en développant des compétences souhaitées par le marché"- afin d'obtenir pour leurs clients les aides financières prévues à ce titre et que ces derniers puissent couvrir la quasi-totalité des frais engagés : les coûts de la prestation, les frais pédagogiques et les coûts des salaires chargés des informaticiens pendant la durée de la formation. Force RH s'occupe de la constitution des dossiers administratifs, des demandes de prises en charge et de leur suivi. (...)
Technologies : Adobe, Microsoft Cisco et Citrix présentent leurs certifications à Nice
Les informaticiens pourront découvrir les stratégies de formation et les certifications des éditeurs Microsoft, Citrix, Cisco et Adobe le 28 mars à Nice chez Global Computer Formation. Ce centre de formation vient de décrocher le plus haut niveau de certification Microsoft (Microsoft Gold Certified Partner Learning Solutions). Il organise à cette occasion une journée portes ouvertes pour les informaticiens avec son partenaire Azlan Formation. Deux cent personnes sont pour l'heure inscrites, essentiellement des représentants des clients de Global Computer Formation. Tous ceux qui sont intéressés par la formation en informatique peuvent toutefois s'y rendre. L'entrée est libre. Les informaticiens pourront échanger avec les éditeurs présents. Des interventions sont aussi prévues sur le droit individuel à la formation (Dif), la gestion de compétences et la méthode Itil. Cette journée intervient deux semaines après le rachat d'Azlan par l'organisme de formation informatique Global Knowledge. Chadli Tabib, directeur Général de Global Knowledge - Azlan Training fera partie des intervenants. (...)
(23/03/2006 18:19:32)Management : « l'accueil de la diversité est une question de survie pour l'entreprise»
Les entreprises vont devoir sensibiliser leurs équipes à la gestion de la diversité culturelle, ethnique et sociale au sein de leur structure et aux enjeux de la non-discrimination. Tel est le principal enseignement de la conférence d'ouverture du congrès de la gestion de ressources humaines HR'2006 (23-24 mars), au cours de laquelle trois signataires de la charte de la diversité (un texte qui propose des engagements pour favoriser le pluralisme)ont exposé leur vision de sa gestion en entreprise, Claude Bébéar, président de l'Institut Montaigne et du conseil de surveillance du groupe Axa, Cathy Kopp, membre de la Halde (Haute autorité de lutte contre la discrimination et pour l'égalité) et DRH du groupe Accor et Yves de Talhouet, président d'Oracle France. Ces intervenants ont insisté sur la responsabilité qu'ont les entreprises en matière de lutte contre la discrimination pour refléter la diversité de la société dans laquelle elles sont implantées et ne pas risquer de se priver de grands talents. « La diversité est une grande richesse. C'est aussi une question de survie pour évoluer dans un environnement global et multiculturel et apporter des regards toujours plus créatifs, différents et innovants aux problématiques de nos clients », résumait Yves de Talhouet. La question de l'action a ensuite été posée par le ministre de la cohésion sociale, Jean-Louis Borloo venu enfoncer le clou avec des propos sans équivoque pour renvoyer les entreprises à cette responsabilité. « A vous de savoir maintenant comment passer de la signature de la charte aux changements radicaux de mentalité» a-t-il lancé.
« deux fois plus de personnes des «minorités visibles» recrutées par voie anonyme ».
La tâche n'est pas mince. Comme le reflète ces propos, il est question d'un problème culturel. Sensibiliser sur les comportements discriminants et changer les mentalités nécessitent un travail de fond. Dans cette optique, les formations à la gestion de la diversité apparaissent comme l'un des piliers incontournable de la lutte contre la discrimination. Et ce « à tous les étages du management» ont insisté les intervenants. « Il faut en effet se rendre compte que les gens n'ont en général pas conscience qu'ils discriminent et qu'il faut d'abord les éveiller à ce sujet» expliquait Cathy Kopp qui lancé des formations à la diversité chez Accor, en les adaptant à chaque niveau de qualification.
Pour compléter les dispositifs de formation, les réponses varieront selon les entreprises et les secteurs professionnels. Axa a par exemple testé le CV anonyme pour mesurer la discrimination à l'embauche. Cette opération a été efficace. Elle a montré au bout d'un an que deux fois plus de personnes issues des « minorités visibles » étaient recrutées par voie anonyme. Chez Oracle, Yves Talhouet a estimé en revanche qu'une telle méthode n'était pas pertinente. « L'entreprise porte la diversité presque dans ses gènes », selon lui. Plus généralement, il estime que l'industrie informatique est caractérisée par une prime très forte à la compétence technique qui en fait un critère de recrutement primordial. Elle évolue par ailleurs dans un contexte de travail international, marqué par des échanges quotidiens avec des populations par exemple issues d'Inde, du Maroc et d'Asie, à cause de l'off-shore. Ce qui donne à ses collaborateurs des regards différents sur les étrangers et les rend moins susceptibles de discriminer sur un plan racial. Chez Oracle, la sensibilisation à la gestion de la diversité passe donc par d'autres voies : entre autre, un programme de e-learning qui intègre des modules sur le harcèlement sexuel et la détection de comportements discriminants et des comités chargés de recueillir des informations relatives à l'identification de tels comportements. (...)
Gestion de carrières : trois jours pour faire avancer son projet professionnel
Dois-je effectuer un bilan de compétences ? Comment négocier une formation avec mon entreprise? Comment financer ce projet? Quels sont mes droits ? Pour ceux qui veulent faire bouger leurs carrières, changer de cap professionnel et mener à bien un projet de formation, c'est le moment de se rendre au salon de la formation continue qui se déroule du 23 au 25 mars à Paris. Vingt-deux conférences seront consacrées à ces questions. Des ateliers en entrée libre seront proposés pour savoir « comment trouver une formation » et « bâtir un projet professionnel » et des acteurs de la formation continue de tous horizons seront présents : les départements de formation permanente des universités qui proposent des formations pour adultes, des structures publiques comme les Greta (groupement d'établissements publics locaux d'enseignement) et des centres de formation privés, des écoles de management et des instituts spécialisés dans l'informatique (une dizaine). Les visiteurs devraient y trouver des éléments de réponses à condition de ne pas avoir des attentes démesurées, comme construire un projet en une heure ou trouver la formation idéale. Ce salon est l'occasion de faire avancer une envie professionnelle en identifiant les pistes à suivre et les bons contacts. (...)
(22/03/2006 18:13:35)Premier emploi : IBM investit les écoles pour enseigner sur le mainframe
IBM innove en technologie pour doper et pérenniser les mainframe, il accompagne ce mouvement en investissant en formation. Le constructeur a passé un accord avec l'Esial (Ecole supérieure d'informatique et applications de Lorraine) pour proposer à ses étudiants des cycles d'enseignement sur sa plate-forme historique. Depuis le 20 mars, l'établissement accueille ainsi pour la première fois un cursus d'enseignement de 80 heures dédié aux grands systèmes d'IBM et dispensé par des formateurs du constructeur qui interviennent d'habitude chez des clients. Elle compte d'ores et déjà renouveler l'opération. L'intérêt des étudiants suscité Le cursus qui aborde les fondamentaux du Mainframe et l'utilisation des technologies linux et java sur la plate-forme, a visiblement séduit les étudiants. Une quarantaine d'entre eux -soit la moitié de la promotion de troisième année de l'Esial qui accueille 80 élèves- a en effet manifesté un intérêt pour suivre cette formation qui contenait vingt places. Vingt-quatre étudiants y participent finalement. Celle-ci ne revêt pourtant aucun caractère obligatoire pour l'obtention du diplôme. Cet attrait montre que les grands systèmes intéressent les jeunes et qu'ils peuvent y voir une valeur ajoutée en terme de compétences. Il n'entre pas en tout cas en résonance avec l'image surannée que l'on prête parfois au mainframe. « Les jeunes savent que cette plate-forme supporte les standards ouverts java et linux. Ils ont de surcroît envie de tester une technologie qui survit à tous les mouvements du marché depuis 40 ans », estime Patrick Kesler, directeur system z d'IBM France. Cet intérêt est aussi de bonne augure pour servir l'ambition d'IBM qui est de former 20 000 étudiants à sa plate-forme sur le plan mondial d'ici à 2010. Le constructeur entend répondre au décalage entre le renouveau de la demande qu'il constate chez ses clients pour cette technologie et des enseignements informatiques tournés essentiellement vers les architectures distribuées. En France, l'objectif est de former un millier d'étudiants sur trois ans. Pour l'atteindre, le constructeur prévoit de conclure des accords similaires à celui passé avec l'Esial avec trois ou quatre autres écoles d'ingénieurs dès cette année. (...)
(21/03/2006 17:35:56)Relations Ecoles : Sopra parraine les ingénieurs de l'Eisti
Le groupe Sopra parraine la promotion 2008 de l'Eisti (l'Ecole internationale des sciences du traitement de l'information), c'est-à-dire les élèves ingénieurs qui ont démarré leur cursus estudiantin cette année au sein de l'établissement. A ce titre, elle est prioritaire pour leur exposer ses projets et ses expériences. Le 13 avril prochain, elle participe d'ailleurs à une journée de présentation au cours de laquelle les étudiants pourront échanger avec des diplômés actuellement en poste au sein de la SSII. Avec cette initiative, Sopra prend la suite d'Unilog et de British Télécom qui ont été tour à tour les parrains des promotions 2006 et 2007. Elle pérennise aussi des relations qu'elle entretient depuis de nombreuses années avec l'Eisti. Leur collaboration se traduit par exemple par la prise en charge financière de deux ans d'études (deuxième et troisième années du cursus d'ingénieur) pour trois étudiants. Ces futurs ingénieurs s'engagent en échange à effectuer leur stage de deuxième année d'école et de fin d'études au sein de la SSII ainsi que de travailler deux ans pour elle après l'obtention de leur diplôme, si elle le souhaite. Sopra s'engage également dans l'organisation d'ateliers de simulation d'entretiens et le soutien d'associations d'étudiants comme le Raid Eisti, constituée pour une participation au « 4L Trophy » ( un raide humanitaire européen délivrant des fournitures scolaires à l'Unicef Maroc). (...)
(21/03/2006 17:37:59)Premier Emploi : Avolys ouvre des cursus professionnels à Nantes.
Le groupe Aftec Forteam (franchisé Avolys) ouvre deux nouvelles formations aux étudiants en formation initiale à Nantes, qui incluent des stages et qui pourraient intéresser dans ce cadre, les entreprises locales. Il s'agit de cursus qui étaient jusque-là réservés à des informaticiens en reconversion et destinés à l'obtention des titres professionnels(*) de Technicien supérieur de support en informatique (niveau bac+2) et de Responsable de projets en systèmes d'information (niveau bac+4). Les étudiants ne pourront pas avoir ces titres mais auront accès aux enseignements dispensés. D'une durée de quinze mois, ces formations démarreront en septembre à l'Esscom, l'enseigne nantaise dédiée à la formation initiale du groupe Aftec Forteam. Cette initiative lui permet de toucher plus de monde et de proposer aux jeunes de niveaux Bac à Bac+4 une alternative ou un complément de formation aux filières de l'éducation nationale. Selon Daniel Brégeon, le responsable du département informatique du groupe, "Un BTS d'informatique de gestion ou une licence universitaire dans ce domaine manquent parfois d'adéquation avec les exigences marché du travail, alors que ces cursus suivent de très près les besoins des métiers concernés". (*) Un titre professionnel est une certification professionnelle délivrée, au nom de l'Etat, par le ministre chargé de l'Emploi. Il est obtenu à l'issue d'un entretien avec un jury, constitué de professionnels. (...)
(20/03/2006 00:00:00)Premier Emploi : des administrateurs de réseau formés en professionnalisation
Le Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) Administrateur de Réseau d'Entreprise (ARE) -le premier de la branche Syntec pour les secteurs informatique, ingénierie et conseil- est accessible par une formation en alternance encadrée par un contrat de professionnalisation. Ce dispositif, promu par la réforme de la formation professionnelle, remplace les anciens contrats d'insertion en alternance ( contrats de qualification jeunes et adultes, contrat d'adaptation et d'orientation). Il est destiné aux jeunes de 16 à 25 ans et aux demandeurs d'emploi de 26 ans ou plus. Il vise l'obtention d'un diplôme, d'un titre à finalité professionnelle, d'un CQP ou d'une qualification professionnelle reconnue par la branche, pour son bénéficiaire. D'une durée de 6 à 12 mois, il doit inclure au moins 150 heures de formation pure (15 à 25% du temps passé) pour un salarié en CDI. Ce dernier perçoit 80% du minimum conventionnel correspondant au coefficient immédiatement inférieur au coefficient accessible par la qualification préparée. Ce montant peut être de 100% lorsque le titulaire occupe un poste nécessitant la mise en ?uvre des connaissances correspondant aux diplômes dont il est déjà détenteur. Les parcours de formation du CQP ARE s'adressent à des titulaires d'un diplôme de niveau Bac+2 en informatique. Il sont dispensés dans sept organismes de formation agréés, l'Afip, l'Afpa, l'Aftec, le Cesi, le Ciefa, Cml et IEF2I. Le texte initial prévoit que son titulaire soit payé au coefficient 450 de la grille employés (salaire minima brut : 1831 euros), s'il n'a pas d'expérience préalable. (...)
(20/03/2006 00:00:00)Professionnalisation : les rémunérations des futurs apprentis à l'administration de réseaux pourraient baisser.
Les salaires que les candidats au certificat de qualification professionnelle (CQP) « Administrateur de Réseau d'Entreprise » (ARE) touchent pendant leur formation pourraient être revus à la baisse. Les instances paritaires de la branche professionnelle du secteur vont engager la discussion à ce sujet à la fin du mois. Les échanges porteront notamment sur le coefficient de rémunération fixé pour le contrat de professionnalisation (contrat de formation en alternance) qui encadre la période de formation. Aujourd'hui fixé à 400 (sur la grille salariale « employés »), ce qui correspond à un salaire minimal brut de 1683 euros mensuels, il pourrait descendre aux alentours de 310, soit à un salaire brut de 1417 euros par mois. Ce débat est lancé parce que la branche a des difficultés à promouvoir son CQP « ARE » auprès des sociétés du secteur, bien qu'elle l'ait mis au point à leur demande. Sept établissements sont aujourd'hui habilités à le délivrer, mais certains ont du mal à remplir leurs sessions de formation, comme l'explique Daniel Brégeon, responsable du département informatique du groupe Aftec Forteam. «Le CQP coûte plus cher aux employeurs que les anciens contrats de qualification (rémunérés à 75 % du SMIC -1 357,07 euros) qui encadraient les jeunes formés en alternance. Le différentiel de coût est difficile à assumer en particulier pour les petites SSII. Il entraîne par ailleurs pour certaines,des écarts de salaires difficiles à justifier entre ces personnes en formation et des collaborateurs payés au Smic. Les sociétés sont donc tentées de contracter avec des centres qui proposent des formations équivalentes au CQP « ARE » non agréés par la branche et n'imposant pas de salaire minimaux». En fixant les niveaux de rémunération qui paraissent élevés pour de l'alternance, la branche a cherché à valoriser la formation et le métier d'administrateur de réseau d'entreprise. Ce qui est attractif pour les informaticiens concernés. Il s'avère cependant selon Daniel Brégeon en décalage avec les moyens et les besoins des SSII. Les organismes de formation qui ont investi pour proposer ce CQP en souffre et cela pourrait desservir les futurs candidats potentiels. Les instances paritaires devraient bientôt trancher sur la question. (...)
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