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Formation
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(17/03/2006 00:00:00)
Gestion de carrières : pour développer des compétences en applications temps réel sous Linux.
L'intégrateur spécialisé dans les logiciels libres Open Wide, étoffe son catalogue de formation. Il propose parallèlement à sa session « Linux embarqué » animée par Pierre Ficheux, auteur d'un ouvrage sur le sujet, deux cursus complémentaires de 3 à 5 jours chacun. Le premier aborde le développement autour du noyau Linux et pour l'élaboration de pilotes. L'objet est de permettre aux participants d'intervenir sur le système et les briques logicielles. Le second est dédié au développement d'applications Linux temps réel (pour de l'acquisition de données, des appareils de mesure, des capteurs, etc). Ils s'adressent à ingénieurs en développement et des chefs de projets. (...)
(16/03/2006 00:00:00)Premier emploi : une filière d'apprentis ingénieurs architecte réseaux
Les opérateurs, les fournisseurs et les sociétés de services qui souhaitent prendre des apprentis pour former leurs ingénieurs de demain, peuvent s'adresser à l'Esiee (Ecole Supérieure d'Ingénieurs en Electronique et Electrotechnique). Cet établissement propose une nouvelle filière d'architecte réseaux informatiques et télécommunications par la voie de l'apprentissage pour la rentrée 2006. Elle l'ouvre à 24 diplômés titulaires d'un BTS en électronique ou Iris ( informatique réseaux pour les services techniques) ou d'un DUT en réseaux et télécoms, informatique ou génie électrique et informatique industrielle, qui seront sélectionnés sur concours (1er avril) et entretien. Ils devront avoir moins de 26 ans à la signature du contrat et seront aidés par l'école si nécessaire, pour trouver une entreprise contractante. Ils suivront ensuite trois ans de formation en alternant des cours et des périodes de travail en entreprise, ce qui les conduira à l'obtention du diplôme d'ingénieur de l'Esiee. Quatre semestres les emmènera au niveau d'ingénieur réseaux, un semestre supplémentaire au métier d'administrateur réseaux et le dernier semestre préparera à la mission d'architecte réseaux. L'objectif est de former des jeunes qui seront en mesure d'assurer le déploiement des architectures réseaux au sein des entreprises en en maîtrisant les enjeux techniques et financiers. L'Esiee ouvre ses portes aux visiteurs le 25 mars pour présenter cette formation, dans le cadre de la journée portes ouvertes des écoles de la chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP). Elle parlera aussi de l'Este (Ecole Supérieure de Technologie Electronique), une formation de niveau Bac + 3, et de ses mastères spécialisés. L'ISTM ( institut supérieur de technologie et management) autre établissement de la CCIP fera de même ce jour là. Il propose de son côté des diplômes de Bac+5 en Management et Biotechnologies/Bioindustries et Management et Informatique/Communications Numériques. (...)
(16/03/2006 00:00:00)Gestion de carrières : ESR crée une pépinière sécurité.
La demande des clients s'accentue en matière de sécurité et ESR souhaite renforcer son expertise dans ce domaine. Dans cette optique, le groupe spécialisé dans l'évolution des infrastructures informatiques et télécom et l'infogérance vient de monter un cycle de formation long pour développer les compétences de ses collaborateurs. Il leur propose un cursus intensif qui s'étale sur cinq semaines et se découpe en deux parties; Quelque 126 heures sont d'abord consacrées à des enseignements techniques. Ces derniers visent notamment à l'obtention de certifications sur des solutions déployées par ESR chez des clients, telles que les labels CCSA et CCSE (Check Point certified security administrator et expert) du spécialiste de l'antivirus Check Point Software ; 35 heures sont ensuite dédiées à des cours en gestion de projet. Une dizaine de stagiaires participent à la première session lancée le 6 mars. Quatre d'entre eux sont des jeunes recrues. Les six autres sont des collaborateurs d'ESR qui le suivent dans le cadre de périodes de professionnalisation et dans une optique d'évolution professionnelle. Ils ont en général des formations initiales de niveau Bac + 2, exercent depuis deux à trois ans dans une équipe de production réseaux. Ils ont pour objectif d'occuper des postes d'ingénieurs réseaux et sécurité, d'abord dans des fonctions techniques, ensuite vers de l'assistance à maîtrise d'ouvrage pour ceux qui le souhaitent. Deux d'entre eux visent aussi des mobilités géographiques. Le groupe envisage de mettre en place un second parcours du même type l'été prochain. Il profite notamment du cadre réglementaire et financier que lui offrent les périodes de professionnalisation pour entrer dans une phase plus industrielle d'accompagnement des souhaits de mobilité professionnelle de ses collaborateurs. (...)
(15/03/2006 16:39:48)Rencontres entre experts-comptables et chefs d'entreprises
L'Ordre des experts-comptables de Paris et de l'Ile-de-France, l'Agefos PME d'Ile-de-France et la CGPME d'Ile-de-France se sont associés pour proposer aux experts-comptables et aux chefs d'entreprises franciliens deux fois par an des sessions d'information ou de formation animées par les experts-comptables. Les sujets seront choisis parmi des thèmes d'actualité touchant concrètement les entreprises. La première rencontre se déroulera le mardi 21 mars à Paris et aura pour thème « Actualité 2006 : aspects financiers et gestion d'entreprises ». Plus d'informations sur : www.agefos-pme-iledefrance.org. P.D. (...)
(14/03/2006 00:00:00)Grandes Ecoles : L'Esigelec promeut la diversité pour l'accès à ses enseignements.
L'Esigelec (école supérieure d'ingénieurs en génie électronique) réfléchit à l'ouverture de deux bourses d'études pour la rentrée 2006 pour accueillir des étudiants « ayant un fort potentiel » et un besoin de soutien financier. Cette initiative répond à souci de cohérence avec d'autres actions menées par l'Esigelec, pour s'inscrire dans l'aide à l'ouverture sociale. L'établissement participe au programme régional de Haute-Normandie baptisé « Lumières des cités » qui s'adresse à des jeunes habitants de zones urbaines sensibles (Zus). Il vise à les encourager à poursuivre leur scolarité et à lutter contre l'échec en première année d'études supérieures par un soutien financier (issu de fonds mutualisés), matériel et un accompagnement. L'Esigelec fait notamment partie du jury qui a sélectionné, en février, les 62 candidats qui vont profiter de ce programme. Elle pourrait envisager la mise en place de tutorats. 28% d'enfants d'ouvriers et d'employés, contre 17% dans le cursus classique Parallèlement, l'école développe l'apprentissage (financé à 70% par la taxe d'apprentissage et 30% par le Conseil régional) ce qui ouvre sa filière d'ingénieur à des jeunes d'origines plus diverses qu'auparavant. « Sur 90 étudiants en apprentissage, 28% sont des enfants d'ouvriers et d'employés, contre 17% dans notre cursus classique », explique son directeur général, Claude Guillermet, à ce sujet. Il ajoute que « 65% de ces jeunes sont titulaires de diplômes de Bac+2, (BTS ou un DUT). Ce qui montre qu'un cursus d'ingénieur est accessible par d'autres voies que les classiques classes préparatoires ». L'école s'emploie d'ailleurs à expliquer cette diversité aux lycéens. Elle vient de signer des conventions de partenariats pour un support technique et pédagogique, avec deux lycées (Marcel Sembat à Sotteville-les-Rouen et Jules Verne de Mondeville). Et l'un des objectifs est de favoriser les échanges entre ses étudiants et les lycéens, afin d'expliquer à ces derniers ce qu'est un cursus d'ingénieur et les différentes formules d'accès possibles. L'école prépare certes ses futurs recrutements. Mais c'est aussi « une façon de relancer l'ascenseur social », estime Claude Guillermet. Dans la même logique, le directeur de l'Esigelec réfléchit à proposer des interventions dans les lycées, avec l'IUT de Rouen pour promouvoir la filière IUT/Ecole d'ingénieurs. (...)
(10/03/2006 00:00:00)Gestion de carrières : Oracle et ses partenaires créent une université commune
Oracle et quatre partenaires intégrateurs, BearingPoint, Capgemini, Kurt Salmon&Associates et Steria montent un programme de formation commun, baptisé l'Executive University d'Oracle. Il est conçu pour des professionnels des ressources humaines et de la finance en entreprise qui souhaitent intégrer des projets de déploiement des solutions de gestion intégrées d'Oracle ( Oracle Ebusiness Suite Finances, Peoplesoft Finances, PeopleSoft Ressources Humaines). Sa première promotion démarre le 3 juillet 2006. Elle sera composée de 50 étudiants, embauchés par les sociétés de conseil et de service mentionnées plus haut, à l'issue d'une journée de recrutement qui se déroule le 30 mars chez Oracle. Pendant 22 jours, ces étudiants bénéficieront d'un apprentissage qui abordera le paramétrage, l'adaptation aux besoins des utilisateurs, les méthodes d'implémentation et les aspects liés à la réussite des projets. Ils seront ensuite immergés dans des projets d'intégration de PGI et pourront obtenir au bout de deux ans une certification sanctionnant leurs compétences de consultant métier Oracle Applications. Cette promotion sera suivie par 5 ou 6 autres sessions de formation. L'objectif est de former dans ce cadre, 300 nouveaux consultants métier chez les partenaires Oracle à l'ensemble de l'offre applicative de l'américain. Le fournisseur et ses partenaires ont pris cette initiative commune afin de capitaliser sur leur savoir-faire pour former rapidement un grand nombre de consultants. Cette université leur permet d'industrialiser un processus de formation jusque là mis en ?uvre plus ponctuellement, au fil des besoins et en fonction des opportunités client. Il vise aussi à élargir les potentialités de recrutement en s'adressant à des profils non techniques. Et de trouver une alternative au marché de l'emploi des informaticiens passé au peigne de fin par la plupart des recruteurs, et tournant quelque peu en circuit fermé avec la mobilité professionnelle existant entre ses acteurs. C'est enfin une façon de compenser la déperdition de profils expérimentés que subissent les SSII au profit de leurs clients. Les professionnels ciblés sont en effet des personnes ayant 3 à 7 ans d'expérience dans leur métier. (...)
(08/03/2006 00:00:00)Recrutement : Normaction embauche et prévoit de créer une école interne
La société parisienne Normaction, spécialisée dans la gestion des communications téléphoniques et dans la sécurité informatique pour les PME, propose une vingtaine de postes de commerciaux et de techniciens spécialisés en téléphonie pour ses bureaux parisiens, normand (Evreux) et belges (Bruxelles). Elle prévoit parallèlement de créer un centre de formation interne dans ses locaux bruxellois cette année pour aider à la création d'une culture commune à l'ensemble de ses collaborateurs. Cette société, créée en 1997 connaît en effet une croissance de plus de 100% par an depuis deux ans. Elle a vu ses effectifs passer de 33 à 157 personnes entre décembre 2004 et décembre 2005 et prévoit d'employer 187 personnes d'ici la fin de l'année 2006. Cette progression est notamment le fruit d'opérations de croissance externe (à hauteur de 30% environ) qui ont amené des populations issues d'univers professionnels différents, certaines venant de la téléphonie et des réseaux, d'autres de l'informatique. Le centre de formation interne visera donc à réunir, échanger des compétences et créer des méthodes communes à tout le monde en vue de s'imposer sur le secteur de la convergence entre la téléphonie et l'informatique. (...)
(07/03/2006 00:00:00)Gestion de carrières : des sessions pour de futurs correspondants informatique et libertés
Parallèlement au lancement d'un mastère en «Management & protection des données à caractère personnel pour la rentrée 2006, l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris) élabore des formations courtes dans le même domaine, à l'attention des professionnels. Elles se déclinent en quatre modules qui abordent les aspects pratiques, techniques (usages et portée des technologies, cybersurveillance, etc), juridiques et les spécificités sectorielles (étude des spécificités des secteurs de la santé, de la banque assurances, et des métiers de la prospection et de la vente à distance,) de la protection de données personnelles, à travers plusieurs cursus de formation de un à deux jours. Tous doivent être prêts d'ici à la fin de l'année. Pour l'heure, sont opérationnels les cursus « pratiques ». Les sessions « Culture Informatique et Libertés », et « Pratique du métier de correspondant » peuvent être mises en place dès qu'il y a un nombre de candidats suffisants. Y sont abordés les grands principes de l'approche informatique et libertés, les points législatifs à retenir et le quotidien du correspondant en entreprise. Une opportunité d'évolution de carrière Globalement, l'Isep a souhaité créé une boîte à outils pour les futurs référents sur ces questions informatique et liberté et/ou à la protection de données personnelles. Son objectif est de répondre à la tendance émergeante de mise en place de correspondants identifiés dans les entreprises ». Selon Denis Beauthier, enseignant et responsable des formations entreprise, à l'Isep, cette tendance constitue un axe d'évolution de carrière pour les informaticiens. « Nous pensons qu'elle va très largement se développer via quatre axes : des postes à temps partiel pour des personnes qui continueront parallèlement d'assumer d'autres fonctions, des postes à temps plein dans les grands groupes, pour des fédérations de petites structures, ou dans des structures de conseils spécialisées». Jusqu'à présent, l'Isep a été contacté en particulier par des ingénieurs et des responsables de la sécurité informatique pour ses formations. (...)
(06/03/2006 00:00:00)Gestion de carrières : un cursus de formation continue sur mesure chez Maltem
La société Maltem Consulting, spécialisée dans le conseil et l'intégration de systèmes d'information bancaires et financiers, a monté un centre de formation continue, le Maltem Training Center, pour accompagner le développement des compétences de ses collaborateurs. Il y propose quelque 400 heures de formation, avec des parcours qui s'articulent autour de de quatre axes: l'anglais, la gestion/l'organisation de projet, l'acquisition de compétences techniques (méthodologie, architecture, langages, etc) et fonctionnelles, en particulier dans le domaine de la finance de marché. Ces enseignements sont dispensés essentiellement par des consultants de Maltem. Ils sont suivis depuis le début de l'année par une trentaine de personnes qui se sont vus proposer le programme pour se perfectionner dans un domaine et /ou acquérir une double compétence technique et fonctionnelle. Ces derniers ont choisi des parcours qui représentent entre 100 à 200 heures sur l'année. La création de cette unité de formation a notamment fait suite au recrutement d'un professeur d'anglais à plein temps, il y a plus d'un an, chez Maltem. La société souhaitait proposer différentes formules de cours de langues aux salariés, en fonction de leurs besoins. La démarche ayant été convaincante, elle a étendu la démarche à des enseignements métier. Le Maltem Training Center lui permet de dispenser des formations maisons, correspondant à ses besoins et de déployer un service fédérateur pour ses consultants. Le fait de les réunir dans le cadre du centre de formation- situé dans les locaux de l'entreprise-, alors qu'ils évoluent au quotidien chez des clients est, selon elle, une occasion de créer du lien et de renforcer le sentiment d'appartenance à l'entreprise. La société peut enfin bénéficier de financements (de la part de l'opca de la branche) pour ses formations dans ce cadre, puisque les parcours proposés peuvent s'inscrire dans les critères des périodes de professionnalisation (le dispositif de formation proposé dans la réforme sur la formation professionnelle, NDLR). Elle a d'ailleurs utilisé le dispositif pour certains des cursus démarrés. (...)
(02/03/2006 00:00:00)Entretien : La professionnalisation risque d'être un dispositif à deux vitesses
Pascal Boisson, consultant formateur pour Demos, fait le point sur les principes à appliquer pour tirer parti des périodes de professionnalisation, l'un des dispositifs de la réforme de la formation professionnelle. Lemondeinformatique.fr : Quelles recommandations faites-vous aux entreprises pour s'approprier les périodes de professionnalisation ? Pascal Boisson : La période de professionnalisation doit être, comme les autres dispositifs de formation, un élément qui soit intégré et mis au service d'une politique globale de formation et de ressources humaines. Si ce n'est pas le cas, sa mise en ?uvre risque d'être ponctuelle et finalement conduire à ce qu'il soit peu utilisé. Pour qu'il ait une valeur ajoutée, les entreprises doivent aussi bien comprendre l'esprit du dispositif et se l'approprier. Il s'agit d'avoir la volonté de fidéliser ses collaborateurs, d'accompagner les plus fragilisés, et globalement l'évolution professionnelle des salariés, au regard des changements et des évolutions technologiques. L'enjeu est de savoir quelle place veut-on accorder à la formation, en lien avec la stratégie de l'entreprise ? C'est à partir des axes de formation définis par les employeurs et les actions à l'initiative des salariés que viendront s'intégrer les dispositifs et notamment la période de professionnalisation. La clef d'entrée n'est pas d'aborder le dispositif par lui même mais de partir d'un besoin individuel ou collectif identifié. L'enjeu des périodes de professionnalisation est aussi financier ? Comment profiter de cet avantage ? Effectivement, le principe de mise en oeuvre de la période de professionnalisation relève de l'articulation d'une problématique RH et d'une logique financière. Les entreprises ont compris qu'elles pouvait bénéficier de leurs cotisations de 0,5% de la masse salariale (pour la professionnalisation et du Droit individuel à la formation, NDLR) pour les accompagner financièrement dans le déploiement des périodes. L'optimisation de leurs ressources financières passe par un contact régulier avec leur Opca (organisme paritaire collecteur agréé de la branche professionnelle). Les entreprises doivent comprendre leur mode de fonctionnement, leurs priorités et leurs budgets et travailler en partenariat avec ces acteurs. Ils doivent aller au devant de l'information. Quels risques pose ce dispositif ? Le risque est qu'il ne soit mis en place que dans les grandes entreprises qui ont des organisations très structurées, par l'existence d'une fonction RH et/ou formation. Il implique en effet que les responsables de ces fonctions aient une maîtrise des dispositifs. Ceux-ci doivent être capables d'articuler, au regard des plans de formation annuels, la logique pédagogique et la logique financière, en travaillant en étroite collaboration avec leur opca. Or, est-ce qu'un chef d'entreprise d'une société de 50 à 100 personnes peut le faire et se transformer en expert de la formation ? Il pourrait donc y avoir deux vitesses dans l'adoption des périodes de professionnalisation, ce qui serait contraire à l'esprit de la réforme de formation, y compris dans le fait de profiter de l'enveloppe financière qui lui est dédiée. C'est pourquoi, une forte sensibilisation des Pme doit se poursuivre par un accompagnement .Tous les acteurs de la formation sont concernés pour jouer ce rôle de sensibilisation. Il contribuera à la réussite de la mise en place de cette nouvelle culture formation qui passe par la professionnalisation. (...)
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