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Fusions/Acquisitions

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(19/05/2011 12:45:58)

Yahoo achète la plate-forme publicitaire 5to1

Pour renforcer les revenus de ses annonces publicitaires en ligne de type Premium, Yahoo vient d'acquérir 5to1, une start-up fondée en 2009 par les anciens dirigeants de Fox Interactive Media (FIM), division de News Corp spécialisée dans les services interactifs.  Située à Los Angeles, 5to1, se décrit comme une «alliance de publicité en ligne » constituée d'un portefeuille de 20 grands annonceurs. En misant sur la technologie 5to1, sur sa liste de partenaires publicitaires et sur ses annonceurs, la firme de Sunnyvale entend accroître les ventes de ses annonces publicitaires de type premium.

La transaction devrait être finalisée au cours du deuxième trimestre de cette année. Le montant de cette transaction n'a pas été officiellement annoncé. Toutefois, le site Techcrunch avance le chiffre de 28 millions de dollars, en indiquant que 5to1 a levé 13 millions de dollars depuis sa création Les collaborateurs  de la start-up rejoindront les équipes du groupe Ad Marketplaces de Yahoo. 5to1 a été crée par les anciens dirigeants de Fox Interactive, James Heckman, PDG de la start-up  et Ross Levinsohn, qui a quitté l'entreprise pour rejoindre Yahoo au poste de vice-président pour la région Amérique, en octobre, l'année dernière.

Google leader sur le marché grâce à son moteur de recherche

Yahoo a toujours été un acteur important sur le  marché des annonces publicitaires en ligne, qui sont peut-être plus chères, mais qui possèdent une plus grande richesse graphique et qui sont très bien placées, si l'on effectue la comparaison avec d'autres formats d'annonces en ligne. Les clients de ces annonces sont généralement les grandes entreprises aux marques fortes qui mènent des campagnes en ligne pour commercialiser leurs produits et services, comme des films, des boissons gazeuses ou des voitures auprès des consommateurs.

De son côté, Google  domine sur le terrain des annonces via son moteur de recherche, qui reviennent moins cher, et dont les publicités plein texte sont reliées à un site web de destination, avec un affichage déclenché par le sujet des requêtes ou par les pages web des sites des annonceurs.
Pourtant, la firme de MoutainView a essayé pendant des années de donner une impulsion forte à ses services de  publicité de haut de gamme et a investi des milliards  pour y parvenir, en s'offrant des sociétés comme DoubleClick ou YouTube. Elle a d'ailleurs commencé à progressé dans cette voie au cours de l'année passée.

Du coup, il n'est pas surprenant de voir Yahoo réaliser ce type d'acquisitions pour l'aider à se protéger, à renforcer sa présence dans ce domaine et ainsi lui permettre d'asseoir sa stabilité financière et d'augmenter son potentiel en termes de croissance.
Cette opération intervient aussi dans le cadre de l'accord avec Microsoft, qui fait de Yahoo la régie publicitaire de la firme de Redmond.

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(19/05/2011 10:04:31)

Avnet en passe d'acquérir Amosdec, grossiste spécialisé dans le cloud computing

Le rachat du grossiste français Amosdec par le géant américain Avnet est une quasi certitude et sera effectif en juillet après approbation des autorités. Pourquoi Amosdec ? Il faut savoir que le distributeur IT américain a engagé un virage vers les marchés les plus dynamiques, tels que le cloud computing. Si ce repositionnement commence à être perceptible aux Etats-Unis et dans certaines grandes filiales, Avnet reste considéré en France comme un grossiste spécialisé dans les composants et les accessoires. Le rachat de Bell Microproducts, qui ne date que du printemps 2011 (600 millions de dollars tout de même) n'a pas réellement modifié l'image de la filiale française.

French exception ?

La nouvelle entité française pourrait ainsi compter plus de 100 salariés à la rentrée, pour un chiffre d'affaires qui est soigneusement tu (« Nous sommes cotés en bourse et ne pouvons pas communiquer ce type de données », indique Orlane Marin, Directrice Générale France d'Avnet). Quoi qu'il en soit, cette acquisition permettrait à Avnet France de se positionner sur le marché très porteur du cloud computing, sur lequel Amosdec entend jouer parmi les premiers rôles (Amosdec se présentait dès 2009 comme le 1er acteur français pour la distribution de solutions de virtualisation, voir Disitributique du 20 octobre 2009). « Cette acquisition doit encore être annoncée au conditionnel, mais elle permettrait à Avnet de compléter en France et en Europe son offre de produits et de compétences, sans oublier que cela permettra d'améliorer sensiblement la rentabilité », conclut Orlane Marin.

 

Illustration: Siège social d'Avnet

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(18/05/2011 14:59:34)

Autonomy s'offre une partie d'Iron Mountain

La GED subit aussi la loi des concentrations. Autonomy a annoncé l'acquisition de certaines activités d'Iron Moutain. Il s'agit des solutions de sauvegarde et de restauration de données en ligne, d'archivage numérique et d'eDiscovery (logiciel maison sur les documents faisant office de preuves). Le coût de l'opération est estimé à 380 millions de dollars. Cette démarche s'inscrit dans un plan stratégique sur 3 ans conçu par Richard Reese,  CEO d'Iron Mountain, qui passe par la cession de certaines activités. L'entreprise américaine conserve deux activités, l'enterciement de logiciel (contrat de protection de la licence du code source d'un programme) et ses centres d'archivage numérique pour l'imagerie médicale. Pour mémoire, Iron Mountain a obtenu récemment en France l'agrément pour l'archivage public, l'opération avec Autonomy ne devrait pas avoir d'impact dans ce domaine.

Pour Autonomy, cette opération va renforcer son activité cloud et lui apporter une base clients d'un millier d'entreprises, ainsi qu'un volume de données de 25 Petaoctets.

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(17/05/2011 10:40:14)

VMware acquiert Shavlik, spécialiste du cloud pour PME-PMI

Les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été communiqués, mais l'emplette devrait être finalisée plus tard ce trimestre, selon un communiqué. VMware et Shavlik se connaissent déjà. Les deux sociétés ont déjà travaillé sur le développement de VMware Go, un service d'accompagnement vers le cloud qui a d'abord été annoncé en 2009 et se décline en version standard et Pro.

La version standard est un service gratuit en ligne qui guide les entreprises dans l'installation et la configuration de la plate-forme de virtualisation vSphere. La version Go Pro ajoute la gestion IT en sécurisant les infrastructures physiques et virtuelles. Avec cette acquisition, VMware renforce sa stratégie vis-à-vis des PME-PMI, car en plus de l'offre Go, le spécialiste de la virtualisation propose également Essentials vSphere pour ce segment de marché.

L'accord permettra également à Shavlik d'étendre sa présence sur les marchés mondiaux beaucoup plus rapidement explique le fondateur de la société Mark Shavlik dans un billet de blog.

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(13/05/2011 15:08:34)

Rambus acquiert Cryptography Research pour intégrer de la sécurité on chip

Rambus, qui développe et commercialise notamment des mémoires, a annoncé l'acquisition de Cryptography Research (CRI) pour 342,5 millions de dollars. Cette opération élargira son portefeuille en intégrant l'expertise et le savoir-faire de CRI pour la protection des contenus, la sécurité des réseaux et la lutte contre la contrefaçon.

CRI est dirigé par le célèbre chercheur Paul Kocher, qui a aidé à la création du standard sur le protocole SSL (Secure Sockets Layer) 3.0. Les clients de CRI comprennent Samsung, Toshiba, Infineon, Microsoft, et NXP. Rambus a déclaré que plus de cinq milliards de produits semi-conducteurs sont délivrés annuellement sous licence de CRI.

Rambus est surtout connue comme un fabricant de mémoire pour les PC et serveurs. La société a récemment étendu sa gamme d'offres d'inclure une activité éclairage avec des LEDs, ainsi que des solutions pour les téléphones mobiles.  Le CEO de Rambus Harold Hughes a déclaré à propos de ce rachat « avec plusieurs milliards d'appareils connectés capables d'effectuer des transactions électroniques, de stocker un volume important de données personnelles et de fournir des contenus protégés par copyright, les besoins de sécurité sont primordiales ».

Cette opération intervient dans un environnement où les fabricants de puces sont de plus intéressés par l'ajout de fonctionnalités de sécurité directement dans les composants. Pour mémoire, Intel a finalisé en février dernier l'acquisition de la société de sécurité McAfee pour 7,68 milliards de dollars. Le fondeur a fait part récemment de son intention d'intégrer les solutions de sécurité directement sur les puces.

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(12/05/2011 12:21:40)

Microsoft a-t-il payé Skype beaucoup trop cher

Les investisseurs ont exprimé collectivement leur opinion sur ce rachat en "faisant dégringoler le cours de l'action Microsoft de plus d'un pour cent dans l'après-midi", d'après l'édition en ligne du New York Times. De nombreux blogs consacrés aux nouvelles technologies ainsi que leurs lecteurs pensent que Microsoft a payé trop cher pour acquérir Skype, puisque c'est "le rachat le plus cher de l'histoire du géant des logiciels".

Un sondage en ligne sur le blog Mashable demande actuellement à ses utilisateurs si Microsoft a payé le juste prix pour Skype. A l'heure de publication de cet article, près de 65% des lecteurs (1048 personnes sur 1 620) estiment que Microsoft a payé trop cher. 29% des sondés (476 votes) trouvent le prix honnête, et seuls 6% d'entre eux (95 personnes) pensent que Microsoft aurait dû payer plus cher. "Le montant de cette transaction est tout bonnement hallucinant", juge un utilisateur de Twitter.

La fin de Skype ?

"Microsoft va détruire Skype quasi-instantanément, comme il a détruit Hotmail et tous les autres services qu'il a acquis", commente un microblogueur en partageant une opinion largement répandue sur le site. Certains se montrent plus optimistes, à l'instar des 1 500 utilisateurs de smartphones interrogés par le service géolocalisé d'opinion publique Qriously au sujet de l'acquisition. Devant décider si le rachat était une victoire ("win") ou une défaite ("fail"), 60% des sondés ont opté pour la victoire. Le blog The Next Web ajoute que sur ces réponses, environ 30% des personnes interrogées étaient d'avis qu'il s'agissait d'une "grande" victoire".

Mais que va devenir Skype? Les utilisateurs de Twitter abordent l'avenir du service avec humour: "Skype [sera] rebaptisé Microsoft Windows Live Hotmail MSN Video Chat Bing".

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(11/05/2011 09:34:13)

Pourquoi Ozitem rachète Owentis

En 20 ans d'existence, Ozitem n'a jamais fait parler d'elle. Cette SSII classique, basée sur l'ingénierie et le conseil, aux deux tiers dans le secteur bancaire, vient de faire sa première acquisition : Owentis. Une autre SSII qui possède trois activités complémentaires : réseau, sécurité, hébergement. Owentis, à l'inverse d'Ozitem est à 90% dans l'industrie, à 10% dans la banque. Les deux entreprises sont rentables, Ozitem réalisant un peu plus de 18 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, Owentis un peu moins de 6 ME.

Une acquisition réalisée de manière très pacifique. Sans volonté farouche de croissance externe, le recours a des cabinets spécialisés n'ayant rien donné, Laurent Soulie, le PDG fondateur d'Ozitem a laissé faire le relationnel. En clientèle, ses équipes ont rencontré celles de Owentis, après plusieurs épisodes, le contact aboutit à un accord de rachat. « On s'est rencontrés, on s'est reconnus, on s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue, on s'est retrouvés » dit joliment Laurent Soulie.

Ne faut pas casser la dynamique

Les structures d'Owentis sont conservées, en particulier tout le front office, « Il ne faut pas casser la dynamique » de chacune des entreprises » souligne Laurent Soulie. Les référencements de Ozitem seront ouverts aux équipes d'Owentis. Le rapprochement et la rentabilité du nouvel ensemble occuperont l'année 2011.

Cette croissance externe ne correspond pas à un plan strictement défini, « il fallait le faire, c'était dans notre dynamique, nous avions franchi un palier, celui des 200 collaborateurs, un rachat nous permettait de passer les 300, une vraie dynamique entrepreneuriale nous tire vers l'avant » commente Laurent Soulie. « Les clients attendent ce type de démarche, même les directions achats sont attentives à notre parcours et à nos ambitions ».

Illustration principale : Répartition de l'activité d'Ozitem

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(10/05/2011 15:10:42)

Microsoft va racheter Skype pour 8,5 milliards de dollars

(mise à jour) Comme on s'y attendait depuis quelques heures, Steve Ballmer (en photo) et Tony Bates, respectivement PDG de Microsoft et Skype, s'apprêtent à tenir une conférence de presse commune (à 17 heures, heure française). Le groupe créé par Bill Gates a donc bien l'intention de racheter la société qui s'est fait un nom dans la téléphonie sur IP et fut un temps filiale d'eBay : Skype. L'offre de rachat s'élève à 8,5 milliards de dollars.

Les conseils d'administration de deux sociétés se sont mis d'accord sur l'acquisition. Tony Bates sera sous la responsabilité directe de Steve Ballmer, en tant que président de la division Skype de Microsoft, ce qui vient illustrer l'importance de l'opération pour le groupe.

Lorsque la transaction sera réalisée, Microsoft prévoit d'ajouter le support de Skype à ses équipements de jeux, la console Xbox et son capteur Kinect, ainsi qu'à son système d'exploitation mobile Windows Phone. Il permettre aux utilisateurs de Skype de se connecter à ses propres outils de communication Lync et Outlook, ainsi qu'à ses services Xbox Live.

La semaine dernière, on disait que Skype discutait d'une acquisition ou d'un partenariat avec Cisco, Facebook et Google.

Fondée par Niklas Zennström et Janus Friss, le fournisseur de services de voix et vidéo sur IP avait été racheté par eBay en 2005. Après avoir échoué à l'intégrer à ses activités de vente en ligne, ce dernier avait revendu la majorité de ses parts à un consortium d'investissement où l'on retrouvait ses fondateurs et Silver Lake.

Des offres pour les entreprises

Skype s'est fait connaître pour sa capacité à établir des appels gratuits de PC à PC. Plus tard, il a ajouté à ses services les discussions en vidéo et, plus récemment, proposé des logiciels clients pour les smartphones. Microsoft de son côté dispose d'un service PC-téléphone similaire sous le nom de Windows Live Call et il permet des discussions en ligne, via texte, voix et vidéo, avec son service Windows Live Messenger.

Tant Skype que Microsoft dépassent la sphère grand public et s'adressent également aux entreprises avec ces offres de communication. La société de Steve Ballmer possède une solution serveur pour les communications unifiées qui relie les PC à un PBX pour offrir des services de voix sur IP, de la messagerie instantanée et de la vidéoconférence. Auparavant dénommée Communications Server, cette offre s'appelle aujourd'hui Lync, le versant Lync Online se présentant sous la forme d'un service cloud aux fonctionnalités similaires. Quant à Skype Connect, il s'agit d'un service permettant aux entreprises de connecter leur PBX à Skype pour gérer les appels téléphoniques entrants et sortants. Un outil d'administration, Skype Manager, est proposé pour contrôler les coûts des appels.

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(10/05/2011 11:02:04)

Microsoft sur le point d'acquérir Skype

Microsoft est en passe de finaliser un accord pour racheter le spécialiste de la téléphonie sur Internet Skype Technologies pour plus de 7 milliards de dollars. Le rachat pourrait être annoncé dans la journée, selon différentes informations publiées un peu partout dans la presse. En absorbant Skype, l'éditeur de Windows  disposera d'une marque reconnue sur Internet à un moment où la firme se bat pour obtenir davantage de parts sur le marché grand public, a indiqué le Wall Street Journal dans un article publié lundi soir.

Selon le quotidien économique, les deux sociétés ont toutes deux refusé de commenter cette information. Trois autres géants de la high-tech, à savoir Facebook, Cisco et Google auraient également envisagé de s'allier pour s'offrir Skype, selon d'autres informations.

Skype, 686 M$ de dette à long terme

En dépit d'être une marque bien connue sur le Net auprès des internautes, Skype a affiché des pertes l'an dernier. La société, qui a été fondée en 2003, a totalisé  860 M$ de revenus en 2010, dégagé 264 M$ de bénéfices d'exploitation, mais a encore perdu 7 M$ dollars.  Au 31 décembre 2010, la dette à long terme du groupe s'élevait à quelque 686 M$.

En août dernier, Skype avait déposé une offre d'introduction en bourse auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission). Le projet avait été mis en attente après la nomination, en octobre, d'un nouveau dirigeant, Tony Bates, auparavant vice-président chez Cisco. La société est actuellement détenue par un groupe d'investisseurs dirigé par Silver Lake, et qui comprend entre autres eBay et les fondateurs de Skype, Niklas Zennstrom et Janus Friis.

Illustration : Tony Bates, CEO de Skype Technologies. Crédit photo : D.R

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