Flux RSS

Fusions/Acquisitions

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

545 documents trouvés, affichage des résultats 211 à 220.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(08/03/2011 11:18:27)

YouTube acquiert Next New Networks

Next New Networks sera un laboratoire d'expérimentation et d'innovation au sein de YouTube, avec un large éventail de partenaires. Cela permettra de découvrir de nouveaux talents et de les aider à réussir sur YouTube, a annoncé la filiale de Google dans un message sur son blog officiel.

La société rachetée propose en effet une plateforme capable de gérer le développement, la gestion de la marque et de l'audience de vidéo sur le web. Ce service attire plus de deux milliards de pages vues et six millions d'abonnés à travers ses réseaux de partenaires, précise YouTube. La société a été fondée en 2007 à New York. Les détails financiers de l'acquisition n'ont pas été divulgués.  Avec cette acquisition, la filiale de Google a mis en place une équipe, baptisée YouTube Next, qui sera en charge d'améliorer le développement du Creator Program et renforcer les partenariats. Cette opération s'inscrit aussi dans la stratégie de Google d'étoffer la partie contenu de la télévision connectée.

(...)

(07/03/2011 17:59:09)

Western Digital rachète l'activité disque dur d'Hitachi pour 4,3 milliards de dollars

Western Digital Corp, le plus grand fabricant de disques durs d'ordinateur va acheter l'activité de son concurrent Hitachi GTS (3ème constructeur mondial depuis la reprise de la division disques durs d'IBM) pour environ 4,3 milliards de dollars. Selon un étude IH Suppli cité par Bloomberg, WD a livré 52,2 millions d'unités contre 48,9 millions pour L'opération sera financée en cash et en actions. Pour expliquer cette acquisition, les protagonistes mettent en avant une évolution de la demande en matière de stockage et plus particulièrement sur les disques durs. L'avènement des tablettes, le développement du stockage en ligne via le cloud computing, l'intérêt pour les SSD devraient faire baisser la demande sur ces produits.

En 2010, Western Digital avait essayé de racheter Seagate, mais l'offre avait été déclinée par le constructeur. Pour certains analystes, le rachat de l'activité disque dur d'Hitachi GTS va permettre à WD d'être plus concurrentiel sur le marché entreprise.

(...)

(04/03/2011 14:31:57)

Teradata absorbe Aster Data pour analyser les Big Data

Après avoir acquis 11% du capital d'Aster Data l'an dernier, le spécialiste du datawarehousing Teradata a décidé d'acheter entièrement cette start-up de la Silicon Valley qui propose des appliances d'entrepôts de données. La société, co-fondée en 2005 par Mayank Bawa et Tasso Argyros, a développé des fonctions analytiques adaptées pour de très importants volumes de données, couramment appelés « Big Data ». Teradata déboursera 263 millions de dollars pour acquérir la totalité de l'entreprise. La transaction devrait être finalisée au deuxième trimestre.

Le terme « Big data » ne désigne pas uniquement le flux d'information qui s'accroît constamment, mais aussi la juxtaposition de données structurées et non structurées, ce qui induit des interrelations complexes qui ne peuvent pas s'analyser avec les techniques traditionnelles. En rachetant Aster Data,  Teradata, qui est lui-même l'un des principaux acteurs du datawarehouse, s'attaque donc au défi posé par ces nouveaux traitements. Cette acquisition est la deuxième en trois mois pour l'éditeur californien, ancienne filiale de NCR. En décembre, pour étendre son périmètre fonctionnel, il avait déboursé 525 M$ pour mettre la main sur l'éditeur de logiciels de marketing Aprimo.

Juxtaposer données structurées et non structurées

James Kobielus, analyste pour Forrester Research, voit d'un bon oeil l'absorption d'Aster Data, une société qui a remporté des clients et qui, d'une façon générale, tourne bien. Il rappelle que l'architecture technique qu'elle a développée peut prendre en charge en même temps, sur différents noeuds, des données venant d'environnements analytiques et d'environnements transactionnels. Cela apporte à Teradata une technologie clé à exploiter dans la bataille qui s'engage, notamment face à Oracle et sa plateforme Exadata, estime James Kobielius. Oracle a en effet insisté sur la capacité de son offre à prendre en compte indifféremment ces deux types de traitement.

SAP et IBM ne sont pas en reste sur ce terrain. Le premier a sorti fin 2010 l'appliance HANA pour exploiter d'importants volumes transactionnels en temps réel, et ce mois-ci il a lancé sa suite BI 4.0 qui peut s'utiliser en frontal de HANA et analyse à la fois les données structurées et non structurées. IBM travaille aussi sur la manipulation des Big Data et développe des offres analytiques basées sur Apache Hadoop et le framework MapReduce.

Réduire les temps d'apprentissage de MapReduce

Dans ce domaine, Teradata va bénéficier du travail réalisé par Aster Data pour supporter le framework MapReduce et traiter les gros volumes de données, souligne James Kobielus, de Forrester. Développer avec ce framework requiert des compétences spécialisées et Aster a conçu des outils qui réduisent de façon significative le temps d'apprentissage en rapprochant MapReduce du standard SQL, peut-on lire sur le site web de la start-up. Ces outils aideront Teradata à diffuser plus largement les capacités de MapReduce, a déclaré Darryl McDonald, vice-président exécutif des applications et directeur marketing, lors d'une conférence téléphonique.

La plateforme d'Aster Data peut aussi être déployée dans le cloud, sur Amazon Web Services, AppNexus, Data Cloud de Dell et Terremark. Jusqu'à présent, l'éditeur vendait son offre sous la forme de licences perpétuelles. Teradata envisage aussi de proposer une offre par abonnement, a indiqué l'un de ses porte-parole. Petit à petit, les spécialistes indépendants des technologies de datawarehouse et de fonctions analytiques avancées ont donc été rachetés par de grands acteurs. La dernière absorption en date remonte à deux semaines lorsque HP a mis la main sur Vertica. Mais les mois précédents, IBM avait acquis Netezza et EMC, Greenplum. Parmi les sociétés pouvant encore être rachetées, on trouve des éditeurs comme ParAccel, indique James Kobielus. Il reste aussi Infobright et Kognitio.

Illustration : L'appliance de datawarehouse MapReduce d'Aster Data permet d'exploiter des technologies massivement parallèles sur du matériel Dell peu coûteux.
(...)

(03/03/2011 10:56:11)

SQLI Méditerranée tombe dans le giron de Smile

Après son agence de Poitiers, vendue à son directeur en octobre 2010, SQLI se défait cette fois-ci de son agence Méditerranée au profit de Smile, un intégrateur spécialisée dans l'Open Source (e-commerce, Gestion de contenu, GED, BI, ERP...). L'entité cédée par la SSII emploie une vingtaine de collaborateurs dont une quinzaine est basée à Aix-en-Provence (13) et le reste à Montpellier (34).

Egalement présent dans la capitale de l'Hérault, Smile y exploite de longue date un centre de services au sein duquel il a intégré plus récemment une petite force commerciale. Celle-ci sera prochainement renforcée par les collaborateurs montpelliérains de SQLI Méditerranée dont les locaux ne seront pas conservés. 
En revanche, l'intégrateur n'était pas implanté à Aix-en-Provence. Et, la mise en vente de SQLI Méditerranée constitue d'autant plus une aubaine pour lui qu'il avait justement planifié de créer de toutes pièces une agence dans les Bouches-du-Rhône. Le gain de temps n'est donc pas négligeable. 

S'installer à Aix tout en élargissant les effectifs

« Outre le fait qu'elle renforce nos positions et nous dote d'un nouveau point de présence dans le sud, cette acquisition nous permet aussi d'accueillir de nouveaux collaborateurs,explique Marc Palazion, le PDG de Smile. Nous sommes dans une phase de croissance très forte [Ndlr : +27% de CA en 2010] qui nécessite de nombreux recrutements pour servir nos nouveaux clients ». Dans cette logique, l'entreprise qui emploie 350 personnes en France et 450 dans le monde a recruté 130 collaborateurs durant l'année 2010. 
Du côté de SQLI, on explique la cession de l'agence Méditerranée, comme celle de l'agence de Poitiers, par le fait qu'elle ne rentrent pas dans son plan stratégique 2010-2014. Il est toutefois difficile de dire pourquoi puisque la SSII ne devrait en communiquer les détails qu'à la fin mars, lors de la publication de ses résultats. Officieusement, il semblerait que l'objectif de SQLI soit de se délester de son activité d'intégration pour mieux se concentrer sur ses autres activités (conseil, ERP, web..). 

Il n'était toutefois pas évident que ce soit un acteur du Libre tel que Smile qui rachète des actifs d'une société non spécialiste de l'Open Source comme SQLI. Quid, en effet, de l'avenir des clients de SQLI Méditerranée que la SSII a le plus souvent équipés de technologies propriétaires ? « Avant 2002, nous ne faisions pas que de l'Open Source. De fait, nos équipes ainsi que celles issues de notre acquisition vont continuer de servir les clients de SQLI Méditerranée tout en faisant la promotion de l'offre de Smile », explique Marc Palazion. Selon lui, cette approche devrait permettre aux effectifs cumulés de Smile et de SQLI dans le sud de réaliser un chiffre d'affaires de 1,5 M€ lors des 12 prochains mois.
(...)

(03/03/2011 10:38:55)

Annuels Bouygues Telecom : Des bénéfices en recul de 6%

L'opérateur a enregistré pour son exercice 2010 une progression de 5% de son chiffre d'affaires, à 5,6 Md€. Son chiffre d'affaires réseau a cru quant à lui de 4%, à 5,06 Md€. Cependant, l'EBITDA (excédent brut d'exploitation) ne progresse que de 2% à 1,37 Md€. Bouygues Telecom impute cette faible croissance à la baisse du différentiel des terminaisons d'appel voix et SMS ainsi qu'à l'augmentation des taxes. Le résultat net de l'opérateur est en recul de 6% à 444 M€. Cette baisse s'explique par les efforts commerciaux importants fournis par l'opérateur pour élargir de 494 000 abonnées son parc clients ADSL qui en comptait 808 000 au 31 décembre 2010.

Le parc d'abonnés à la téléphonie mobile de Bouygues Telecom s'est enrichit quant à lui de 842 000 clients en 2010, soit 23% de la croissance nette du marché (source : Arcep). A la fin de l'année dernière, Bouygues Telecom disposait ainsi d'un parc total de 11 084 000 clients, dont 79% de clients au forfait (soit +2,5 points sur un an).
(...)

(03/03/2011 10:35:48)

Avec le rachat de WYNIWYG, TRSB affiche ses ambitions

« Nous sommes nés en 1997 dans les services IT et nous sommes depuis longtemps un adhérent du SYNTEC Informatique, mais nous avons un rôle à jouer dans le déploiement, l'intégration et la maintenance des infrastructures », explique d'emblée Philippe Guinchard, Président et fondateur de TRSB. Cette SSII a annoncé le 1er mars le rachat de la société d'ingénierie informatique WYNIWYG (acronyme de « What You Need Is What You Get », déclinaison du slogan d'Apple dans les années 80, « What You See Is What You Get », puisque c'était la première fois que ce qui sortait de l'imprimante ressemblait à ce qui était affiché à l'écran). TRSB change ainsi de taille avec un effectif qui dépasse désormais 800 salariés. LE groupe prévoit de réaliser un chiffre d'affaires de plus de 60 M€ en 2011.

Ce n'est pas la première fois que TRSB se développe avec des opérations de croissance externe : la SSII avait déjà depuis 2008 racheté les activités de l'assembleur de PC Elonex et le mainteneur EFS. Dans le même temps, la SSII affiche une croissance interne de plus de 20% en 2010 et s'attend à une progression du même ordre en 2011. 

D'autres achats à venir

TRSB va-t-il s'arrêter là ? « La priorité est de bien réussir l'intégration de WYNIWYG, qui représente un tiers de notre chiffre d'affaires, mais il n'est pas impossible que nous rachetions d'autres entreprises en 2011 », répond Philippe Guinchard. WYNIWYG permet également à TRSB de compléter sa présence géographique, avec ses implantations à Nantes, Rouen et Paris, qui viennent s'ajouter aux 5 agences commerciales du groupe (Lille, Aix-en-Provence, Montpellier, Lyon et Paris) et à ses deux centres de services de Palaiseau (91) et de Rousset (13).

TRSB n'est-il pas en train de créer un modèle hybride entre les SSII traditionnelles et les « corporate resellers » ? La nomination fin 2010 de Didier Fougeron au poste de Directeur Général adjoint du groupe TRSB est un élément de réponse : il a fait partie de l'équipe dirigeante de Computacenter ces 14 dernières années...

Illustration principale : Philippe Guinchard, président et fondateur de TRSB, crédit photo D.R.
(...)

(02/03/2011 15:46:53)

Facebook acquiert Beluga, spécialiste de la messagerie instantanée sur mobile

L'application proposée par Beluga donne la possibilité à des groupes d'amis de communiquer en privé via leurs smartphones. Dans un module, les utilisateurs peuvent envoyer des messages et partager des images et des lieux. L'application gratuite est disponible pour l'iPhone d'Apple et les smartphones sous Android. Pour l'instant, l'application de Beluga ne va pas être modifiée. Les comptes existants et les données ne seront pas perdus, assure la jeune société californienne.

Récemment, Facebook a renforcé son offre de messagerie push. La société a, par exemple, travaillé avec HTC et INQ pour proposer une version du réseau social plus intégrée. Aujourd'hui, il y a plus de 200 millions d'utilisateurs actifs accès Facebook via leur mobile.

Quels sont les plans de Facebook pour Beluga et ses trois fondateurs ? Il faudra attendre encore quelques semaines pour le savoir. La seule chose qui est sûre est que le réseau social recrute des anciens de chez Google, avec un certain savoir-faire.

(...)

(25/02/2011 10:28:46)

L'activité CRM de Team Partners repris par Everial

Après Feel Europe qui reprend la partie SSII, c'est le lyonnais Everial qui met la main sur l'autre partie de l'ex société Team Partners, la partie Datem (*). Ce sous-holding gérait neuf sociétés actives dans la gestion de fichiers, le routage et l'externalisation de la gestion des flux documentaires (BPO). De quoi compléter le portefeuille d'activités d'Everial, spécialisée dans l'archivage, qui reprend six filiales.

L'ex Datem va prendre, sous la gestion Everial, le nom de Hapy. 707 collaborateurs sont repris (647 en métropole, les 60 autres à Casablanca) ainsi que six sites opérationnels : Chantilly, Rouen, Paris, Blois, Rennes, Casablanca. Everial compte déjà neuf implantations en métropole. Everial va injecter 10 millions d'euros (ME) dans Hapy. Everial a réalisé 40 ME de chiffre d'affaires (CA) en 2010 (et 39,7 en 2009) avec un Ebitda de 3,79 ME.  Hapy représente pour sa part 50 ME de CA. Le nouveau groupe, Everial + Hapy, devrait atteindre les 100 ME en 2012.

Everial est une société familiale, fondée en 1989 (sous le nom de Archiv'Alpha) par Michel Garcia, déjà fondateur de la société de transports Jet Services. Everial est gérée par son fils, Lionel. Hapy sera détenue par Everial à 70% et à 30% par deux anciens dirigeants, Denis Marsault (ex PDG de Team Partners) Hervé Pagazani (son dg), qui restent en place, et un investisseur privé. Lionel Garcia devient également directeur général de Hapy.

 

(*) Ce dossier était géré par Maître Bourbouloux

(...)

(17/02/2011 09:29:29)

Osiatis se muscle dans la BI avec le rachat d'Alcion

Avec le retour de la croissance et celui de la rentabilité, Osiatis renoue avec la croissance externe. Au mois d'août dernier, il rachetait la partie Ile-de-France d'Astek, cette fois, il reprend la totalité de la société Alcion Group. Astek concernait la partie « historique » d'Osiatis, les infrastructures, qui représentent plus de 85% de son chiffre d'affaires (CA), Alcion concerne la partie ingénierie applicative.

Alcion intéresse Osiatis pour ses compétences (Java, JEE, DotNet et BI) et surtout son parc installé dans le secteur banque-finances. L'intégration des équipes sera rapide, elles rejoignent Osiatis Ingénierie, la filiale d'Osiatis spécialisée dans l'ingénierie applicative. Juridiquement, ce sera un peu plus long. Alcion est côté en bourse, au Marché Libre, Osiatis contrôle déjà 95,4% des actions Alcion, et souhaite racheter le solde. Dans ce cas, le titre sera retiré.

Alcion : un CA en chute régulière

Alcion présente un résultat positif en 2010. Pourtant la société a vu son chiffre d'affaires baisser d'année en année, passant de 12,12 millions d'euros en 2007, à 11,16 ME en 2008, 9 ME en 2009, 8 ME en 2010. Explication, cette activité applicative a souffert chez tous les acteurs du marché du fait de la crise économique et de la massification des commandes qui écartent les « petits » acteurs comme Alcion. Les recrutements ont également plus difficiles lorsque la croissance revient, plus difficiles que dans les « infra ». C'est la raison des difficultés rencontrées par Alcion.

Pour sa part, Osiatis renforce une activité, qui a débuté pour elle en 2005 avec le rachat de Focal. Cette dernière effectuait la moitié de son CA dans l'applicatif et l'autre dans les infrastructures. Aujourd'hui, l'ingénierie applicative représente 30 ME de CA pour Osiatis qui en a réalisé 243,6 en 2010, en croissance de 4,6%, supérieure à la moyenne du marché (1% selon Syntec Numérique).

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >