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Fusions/Acquisitions

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(16/02/2011 09:21:58)

Les dernières activités d'Arès finalement cédées à GFI

L'interminable feuilleton Arès a pris fin lundi soir à l'issue du jugement prononcé par le Tribunal de commerce d'Evry. Comme nous l'avancions, le 20 janvier dernier, c'est GFI qui reprend les dernières activités d'Arès : Arès : une reprise casse-tête

Exceptionnellement dans ce genre de dossier, GFI donne des chiffres. La SSII a payé 2,9 millions d'euros (ME) pour reprendre le fonds de commerce d'Ares en France (et au Luxembourg). Ce qui représente 433 salariés, dont 404 en France et 29 au Luxembourg (le personnel administratif n'est pas repris). Et un chiffre d'affaires de 28 ME sur dix mois en 2011. En année pleine, en 2012, ce CA serait de 32 ME prévoit GFI. Cette activité sera logée dans la division « application services et infrastructure services » de GFI. La direction de GFI souligne la complémentarité des offres rachetées par rapport à celles de GFI notamment dans le secteur public et celui de la retraite.

Arès, créée en 1985, fut placée en redressement judiciaire le 18 juillet 2008 et en liquidation judiciaire le 25 novembre 2010. Son histoire récente est celle d'un lent dépeçage.

Crédit photo : D.R. (...)

(15/02/2011 17:01:48)

HP entame ses achats dans l'analytique avec Vertica

Hewlett-Packard va racheter Vertica, une société spécialisée dans les solutions de datawarehouse et qui prône le stockage des données en colonnes. Le montant proposé pour le rachat n'a pas été communiqué. Cette initiative intervient peu de temps après de HP ait décidé d'arrêter progressivement la plateforme d'entrepôt de données Neoview qui n'a pas réussi à gagner des parts de marché suffisantes depuis son lancement en 2007.

La technologie de Vertica va permettre à HP de proposer « des solutions analytiques avancées, en temps réel, portant sur d'importants jeux de données sur des environnements physiques, virtuels et dans le cloud », a déclaré dans un communiqué le numéro 1 mondial de l'informatique.

Cette acquisition est probablement à mettre au crédit du tout récent PDG, Léo Apotheker, qui a pris ses fonctions le 1er novembre en expliquant d'emblée qu'il comptait étendre la part du logiciel dans le chiffre d'affaires du groupe. Un rachat sur le marché du décisionnel semblait dès lors le choix le plus probable pour celui qui était quelques mois plus tôt le PDG de l'éditeur SAP. A ce poste, il avait directement participé au rachat fort judicieux du Français Business Objects et de ses logiciels de BI (Business Intelligence). Il est prévu que Léo Apotheker détaille ses projets pour HP, lors d'une conférence programmée pour le 14 mars prochain. On s'attend en particulier à ce qu'il y aborde les investissements qu'il projette dans le domaine des logiciels.

Créée par Mike Stonebraker, architecte d'Ingres et Postgres

Installée à Billerica, dans le Massachusetts, la société Vertica a été co-fondée en 2005 par Mike Stonebraker, une figure du monde des bases de données et l'un des principaux architectes d'Ingres et PostgreSQL. Parmi les concurrents qu'on lui trouve encore (plusieurs spécialistes des datawarehouses ont déjà été rachetés, notamment DATAllegro par Microsoft, Netezza par IBM et Greenplum par EMC) figurent des sociétés comme Infobright et Aster Data Systems, qui sont également perçues comme des cibles de rachat potentielles. Sur ce marché évolue aussi l'éditeur Kognitio (fondé comme Vertica en 2005), sans oublier un éditeur renommé et bien installé comme Teradata, qui a pris son indépendance de NCR en 2007.

« Vertica se présente comme un innovateur dans le domaine du traitement parallèle tout autant que sur les technologies de base de données et HP doit le penser également, a commenté Curt Monash, du cabinet Monash Research, interrogé par nos confrères d'IDG News Service. Toutefois, je ne vois pas Vertica aller, avant longtemps, au-delà des bases de données et des technologies associées, par exemple les solutions analytiques avancées. Mais même en se bornant à cela, il s'agit déjà d'un plan de croissance très agressif pour cette société ». Les développements engagés par Vertica sont solides et cet éditeur a rencontré un succès commercial plus rapidement que certains de ces concurrents, a ajouté Curt Monash.

Un prochain rachat dans le CEP ?

HP mène en ce moment une vaste stratégie sur le terrain de l'analytique, notamment avec le lancement d'appliances en collaboration avec Microsoft. Quoi qu'il en soit, la direction prise par le groupe dirigé par Léo Apotheker ne surprend pas, non seulement à cause du background de ce dernier, mais aussi parce que les ventes de solutions BI sont restées soutenues, même pendant la récession économique.

Pour Curt Monash, HP serait sans doute bien servi s'il complétait le rachat de Vertica par une acquisition dans les technologies de gestion des événements complexes (CEP, complex event processing), par exemple en s'offrant StreamBase. Une société qui a été également fondée par Mike Stonebraker. C'est une option qu'a en tout cas retenu SAP. L'éditeur allemand s'apprête à lancer la version 4.0 de sa plateforme décisionnelle Business Objects BI qui, justement, s'intègre avec les fonctions de CEP développées par sa dernière conquête d'importance, Sybase.
Oracle, IBM et Microsoft disposent eux aussi de leurs fonctionnalités de CEP.

Illustration : La technologie Vertica présentée par son éditeur.

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(10/02/2011 17:32:25)

Rackspace acquiert Anso Lab

Rackspace, basée au Texas, a co-fondé OpenStack avec la NASA en tant que projet Open Source de cloud. Cette initiative comprend plus de 50 membres, dont Dell et Citrix Systems. Il s'est intéressé  à Anso Labs, car le fournisseur de logiciel pour les infrastructures de cloud privé basé à San Francisco a également contribué à OpenStack.

Rackspace souhaite créer un environnement donnant aux clients les moyens de déplacer des  charges de travail d'un prestataire de services cloud à l'autre sans être verrouillé. Les besoins d'expertises et de contributions externes sont cruciales pour le développement et la reconnaissance d'OpenStack face à des logiciels comme vCloud de VMware et Eucalyptus, qui sont compatibles avec Amazon Web Services.

« Anso Labs est un contributeur essentiel pour OpenStack », a déclaré Lew Moorman, CTO et PDG de Rackspace Cloud. « Grâce à cette acquisition stratégique de talents, nous allons accélérer le développement  de notre projet Open Source ».  La semaine dernière a vu le lancement de la version « Bexar » d'OpenStack, qui améliore le stockage et ajoute des fonctionnalités de sauvegarde des images.

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(10/02/2011 12:53:50)

Les fusions-acquisitions dans l'IT ont redémarré en 2010

Selon le baromètre IT du cabinet AP Management, le marché français des fusions-acquisitions est reparti à la hausse en 2010 après deux années de baisse consécutives. Ce n'est pas tant le nombre d'opérations réalisées sur des sociétés de l'Hexagone, passé de 107 en 2009 à 119 l'an dernier, qui illustre le mieux cette conclusion. La donnée la plus probante réside plutôt dans le montant des chiffres d'affaires cumulés des entreprises rachetées qui s'est apprécié de 26% à 924 M€. Ce qui porte, pour 2010, le montant moyen des fusions et acquisitions à 7,7 M€ contre 7 M€ environ un an plus tôt.

Dans 82% des cas, les entreprises se font racheter par des sociétés de même nationalité. Leurs homologues européennes (britanniques et allemandes principalement) et d'Amérique du Nord ne représentent respectivement que 11% et 5% des acquéreurs. Autre constat, les sociétés rachetées sont en majorité des SSII (58% des cas), les éditeurs ne représentant donc que 42% des 119 fusions et acquisitions recensées par le baromètre IT d'AP Management. Cependant, le poids des éditeurs s'est renforcé puisque ils ne furent les cibles que de 40 transactions en 2009 contre 50 en 2010. C'est d'ailleurs en très grande partie grâce à eux que le nombre total des rachats de sociétés IT françaises a progressé en 2010. Reste que sur les 924 M€ de revenus cumulés que généraient les entreprises françaises acquises l'an dernier, 69% (638 M€) étaient réalisés par des SSII contre 31% (286 M€) par des éditeurs.

75% des rachats ciblent de sociétés  de moins de 7,5 M€ de CA


Preuve en est que ces derniers font l'objet de transactions d'un montant moindre (5,8 M€ en moyenne) que les SSII (9,3 M€). Mais qu'elles soient SSII ou éditeur, les entreprises rachetées sont en général de petites cibles. De fait, 75% des transactions réalisées en 2010 portaient sur des sociétés réalisant un chiffre d'affaires inférieur à 7,5 M€. En comparaison, 7% d'entre elles affichaient des revenus compris entre 7,5 et 15 M€, contre 15% pour celles ayant dégagé un volume d'activité compris entre 15 et 75 M€. Aucune société réalisant plus de 75 M€ de chiffre d'affaires n'a en revanche été acquise l'an dernier, tout comme ce fut le cas en 2008.

« L'an dernier restera comme un millésime de reprise pour les fusions-acquisitions. 2011 s'amorce sur une note d'optimisme avec un premier trimestre qui voit le retour des fonds de private equity sur le marché. L'appétit retrouvé des industriels, le rebond attendu des dépenses IT des grands comptes et, surtout, un regain de confiance et de visibilité », conclut Pierre-Yves Dargaud, le président d'AP Management.

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(01/02/2011 09:49:40)

Annuels Proservia : Chiffre d'affaires en progression de 8,3%

La SSII Proservia a réalisé, en croissance organique, un chiffre d'affaires de 47,8 millions d'euros sur son exercice annuel 2010, en progression de 8,3%. L'activité a redémarré fortement au second semestre, qui progresse de 10,6%, alors que le 1er semestre affichait  6% de hausse. Les résultats complets et la rentabilité seront publiés le 6 avril prochain.

Sur l'exercice annuel précédent (2009), Proservia réalisait un chiffre d'affaires de 44,2 ME, quasi stable par rapport à 2008 et en recul de 6,16% à périmètre comparable. Un exercice 2009 fortement affecté par la situation économique « avec le gel de certains projets non prioritaires, une pression particulièrement forte sur les prix et une concurrence accrue ».

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(01/02/2011 09:48:51)

Aura tombe dans l'escarcelle d'Umanis

Umanis n'avait plus pratiqué de croissance externe depuis quatre ans. La SSII comble son appétit en rachetant 100% d'une société qui représente la moitié de sa taille. « Plusieurs raisons entrent en ligne de compte dans cette décision, nous explique Laurent Piepszownik, PDG du groupe Umanis. Nous voulons devenir un acteur français de référence, atteindre la zone des 100 à 150 millions d'euros de chiffre d'affaires, avec un fort maillage régional. Aura Group correspond à notre ambition. »  

Les sociétés se veulent complémentaires. Umanis, spécialiste de la Business Intelligence (BI), est essentiellement orienté grands comptes et détient une demi-douzaine d'implantations en région, tandis qu'Aura évolue uniquement en région parisienne. Le groupe racheté a réalisé 25,7 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2009, contre 55,6 M€ pour Umanis. « Aura avait besoin de s'adosser à une société plus importante », note Laurent Piepszownik.

La croissance externe peut se poursuivre

Aura compte plusieurs filiales : Ingénierie, Infrastructures (systèmes et réseaux), Computer (externalisation du service achats). « Ingénierie » réalisant la moitié de l'activité, « Infrastructures » un peu plus de 15%. La société est rentable, nous explique Laurent Piepszownik. Son intégration sera progressive. Umanis se définit comme une société hyper process avec, par exemple, le logiciel Gippssi. En comptabilité, elle utilise Cegid qui va s'appliquer à Aura, laquelle utilisait Sage.

D'autres opérations de croissance externe sont possibles chez Umanis. Le groupe n'a pas utilisé toutes ses lignes de crédit.

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(28/01/2011 13:01:15)

Verizon en passe d'acquérir Terremark, fournisseur de services cloud

L'opérateur américain devrait lancer une offre publique d'achat entre le 10 et le 17 février sur toutes les actions ordinaires de Terremark. Les conseils d'administration des deux sociétés ont approuvé la transaction, mais elle est soumise aux actionnaires de la société, ainsi que les avis des autorités de la concurrence. Trois actionnaires ont déjà accepté d'apporter un total de 27,6 % des actions. Verizon prévoit conclure la transaction à la fin de ce trimestre. Son offre de 19 $ par action représentant une prime de 35 % sur le prix l'action Terremark.

Terremark propose des offres de colocation, des infrastructures gérées et des services de cloud computing au sein de 13 datacenters basés aux États-Unis, en Europe et en Amérique latine. La société adresse les grandes entreprises et les agences du gouvernement américain avec des ressources informatiques à la demande. Verizon, avec 220 centres de calcul dans 23 pays, offre des services de cloud à travers sa division Business. L'opérateur a annoncé qu'il s'oriente vers un modèle de prestations basé sur « Everything as a Service ».

Un renforcement de l'offre cloud

Verizon Business fournit des réseaux de télécommunications autour du monde pour de nombreuses grandes entreprises et commence à utiliser cette connectivité et cette capillarité pour fournir des services. Par exemple, l'an dernier l'opérateur a annoncé un produit de Calcul as a Service, permettant aux abonnés de déplacer facilement des charges de travail entre leurs propres infrastructures et celles de Verizon. Au début 2010, il avait également lancé un service de stockage en mode cloud, en s'appuyant sur Nirvanix, un spécialiste dans le domaine. En France, Verizon dispose d'une entité qui vise principalement les grandes entreprises et qui fournit lui aussi des services cloud. Cette opération démontre la montée en puissance des opérateurs télécoms, qui souhaitent devenir les principaux prescripteurs du cloud en entreprise.

 

Illustration : Datacenter de Terremark

Crédit Photo: D.R

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(26/01/2011 12:44:01)

Google acquiert SayNow, plateforme sociale et vocale

Basée à Palo Alto, en Californie, SayNow propose des applications utilisées par des célébrités et des personnalités sportives pour communiquer avec des groupes. Par exemple, le rappeur Souljaboy utilise un numéro de téléphone SayNow pour laisser à ses fans des messages vocaux, éventuellement leur parler et d'interagir les uns avec les autres.

La jeune société a annoncé son acquisition par l'éditeur de Moutain View dans une note sur son site web. Elle explique que l'objectif est de combiner son savoir-faire avec les équipes de Google Voice. « Nous n'avons pas de stratégie produit à annoncer tout de suite, mais nous aurons des choses à dire sur notre feuille de route dès que nous aurons terminé notre intégration, alors restez à l'écoute», souligne la note.

Dans un communiqué, Google a déclaré qu'il était « très heureux » de cette opération. « Nous sommes impressionnés par les services qu'ils ont déjà construit, et nous sommes impatients de travailler ensemble pour développer nos technologies basées sur la voix afin de mieux connecter les personnes » précise l'éditeur. Récemment, Google a annoncé la portabilité des numéros mobiles sur son service Google Voice. Les utilisateurs pourront ainsi garder leur numéro et non celui attribué d'office par Google.

Les deux entreprises n'ont pas publié le montant de cette opération.

On notera que SayNow proposait aussi une application orientée vers les utilisateurs professionnels, mais elle n'est apparemment plus disponible. Ce service, appelé Big Call était une application de conférence téléphonique pour les utilisateurs d'iPhone et Android permettant au modérateur de choisir les participants depuis sa liste de contacts (sans que ces derniers aient besoin d'appeler un numéro spécifique) . (...)

(26/01/2011 10:45:52)

Fidelity Programs tombe dans l'escarcelle d'Amabis

Amabis, éditeur de logiciels pour la qualité des données marketing, rachète son partenaire Fidelity Programs, fournisseur de solutions CRM. Le rachat de la SSII Fidelity Programs par Amabis s'inscrit dans une logique industrielle pour ce dernier. La société était partenaire de Fidelity Programs depuis plus de 25 ans et leurs activités étaient complémentaires : Fidelity Programs fournissait et installait les logiciels créés par Amabis. Le dirigeant de la SSII, Jean-Paul Devai, a confié sa société à Valéry Frontère, dirigeant d'Amabis, pour « garantir à nos clients et nos équipes des évolutions positives »

En 2010, Amabis réalisait un chiffre d'affaires de 1,8 M€ et Fidelity Programs de 700 000 €. Avec ce rachat, le chiffre d'affaires s'élève à 2,5 M€ pour un effectif de 22 personnes. Il s'agit d'une cession à 100% et de ce fait, aucune suppression d'emploi n'a eu lieu et Amabis possède désormais la base de données clients et la technologie de Fidelity Programs.

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(24/01/2011 10:01:16)

Team Partners Group : dernière ligne droite avant reprise

Le calendrier s'accélère pour le groupe Team Partners. Deux administrateurs judiciaires sont désignés. Ils procèdent à trois appels d'offres différents pour trouver des repreneurs.

-          Deux sociétés, la holding (« Team Partners Group ») et une de ses filiales SSII (« Team Partners ») sont proposées par Maître Hélène Bourbouloux. Les repreneurs ont jusqu'au 2 février pour se manifester. La première compte 55 salariés et a réalisé 9,3 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010. La seconde a réalisé 51,6 ME en 2010 avec 691 salariés.

-          L'autre SSII, CGBI Team Partners, est traitée par Maître Francisque Gay. Les repreneurs ont jusqu'au lundi 31 janvier. Elle a réalisé 62 ME de CA en 2010 avec 682 salariés.

-          La partie Datem (gestion de fichiers et mailings) composée de 9 sociétés est gérée par Maître Bourbouloux, la date limite de dépôt des offres est fixée au mercredi 2 février. Ce sous-groupe représente 890 salariés et 62,6 ME de CA.

Le sous-groupe Datem est en cessation de paiement depuis le 1er octobre 2010, en redressement judiciaire depuis le 5 octobre, avec une période d'observation fixée à six mois. Le reste du groupe (holding et SSII) est en cessation de paiement depuis une semaine.

Sollicitée par notre rédaction, la direction de Team Partners Group, n'a pas eu le temps, ou pas souhaité, commenter les dernières évolutions de ce dossier.

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