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Fusions/Acquisitions
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(06/01/2010 16:28:06)
Avec le rachat de Quattro Wireless, Apple accentue sa concurrence avec Google
Apple envisage de racheter Quattro Wireless, une entreprise spécialisée dans la publicité mobile, pour 275 millions de dollars, peut-on lire sur le blog All Things Digital appartenant au Wall Street Journal. Ce positionnement va intensifier encore plus la concurrence d'Apple sur le terrain de Google. On se souvient que Eric Schmidt, le PDG de Google, avait démissionné l'an dernier du conseil d'administration d'Apple constatant que Google était en concurrence de plus en plus marquée avec Apple dans ses principales activités, y compris celle des smartphones. Citant des sources anonymes, le blog indique que Apple pourrait rendre sa décision publique mardi au plus tôt. Cette nouvelle arrive peu après l'annonce faite en novembre du rachat par Google de AdMob, un autre fournisseur de publicité pour mobiles, pour 750 millions de dollars. AdMob comme Quattro propose des systèmes d'annonces s'affichant sur des smartphones type iPhone ou autres fonctionnant sous système d'exploitation Android de Google. Les autorités antitrust américaines examinent de près le rachat d'AdMob par Google. Des groupes de consommateurs se sont même mobilisés pour exhorter l'administration à empêcher ce rapprochement. (...)
(05/01/2010 16:26:45)Gartner croque Burton Group un mois après avoir avalé AMR Research
Gartner a découvert qu'il existait une forme de vie en-dehors des CIO. La cabinet d'analystes a donc choisi de racheter un confrère s'adressant aux informaticiens d'en bas, Burton Group, qui compte une quarantaine d'analystes. Gene Hall, PDG de Gartner, explique dans un communiqué que l'acquisition de Burton « devrait permettre d'offrir une solution plus complète à chaque niveau au sein des organisations informatiques ». Burton anticipe un chiffre d'affaires pour son exercice fiscal 2009 d'environ 30 M$. Gartner - qui pèse 1,2 Md$ de chiffre d'affaires - procède au rachat pour 56 M$, en cash. Il y a un mois, l'incontournable cabinet prenait le contrôle d'AMR Research pour 64 M$. Là encore, il s'agissait de combler un manque, en l'occurrence l'expertise du domaine de la gestion de la chaîne logistique. (...)
(05/01/2010 15:46:27)EMC acquiert Archer Technologies pour ses outils de conformité
EMC fait un premier pas important vers une stratégie globale de GRC (Governance, risk & compliance - gouvernance, risque et conformité) avec l'annonce du rachat d'Archer Technologies. Petit éditeur privé, Archer Technologies propose une suite d'outils permettant d'évaluer les risques, de mettre en place des règles, de surveiller leur application, de rapporter les incidents, de réaliser des audits, etc. Ces fonctionnalités seront intégrées au sein des produits de la divisions RSA Security. Vice-président responsable de la stratégie produit de RSA, Sam Curry écrit sur le blog du spécialiste de la sécurité que la cible visée par ce rachat est de se rapprocher des gens du métier, sachant que jusqu'à présent, RSA s'est focalisé sur les solutions techniques ; au contraire, Archer fournit « un ensemble d'outils rapprochant la sécurité du business, la rendant plus simple à gérer ». Archer compterait aujourd'hui 6 millions d'utilisateurs enregistrés, et 25 clients parmi les entreprises du Fortune 100. (...)
(05/01/2010 12:07:20)Oracle acquiert Silver Creek Systems, spécialiste du nettoyage de données
La première emplette d'Oracle pour 2010 a lieu dans le domaine de la qualité des données : l'éditeur rachète Silver Creek Systems, un spécialiste du nettoyage de données produits, pour un montant non communiqué. L'éclosion du marché de la gestion des données de référence (MDM, Master Data Management), surtout représenté par le PIM (Product Information Management, gestion des données produits), son segment le plus porteur, a porté une attention particulière sur ces outils capables de nettoyer et réconcilier les données. De fait, sans cette étape visant à renforcer la qualité des données d'une base, son exploitation n'aura aucun intérêt. La plupart des outils de ce domaine savent ainsi comparer les identités entre deux systèmes, et détecter les doublons potentiels. Il s'agit de la fonction la plus simple, les identités étant déterminées par des champs précis et des noms se retrouvant facilement d'une base à l'autre. En revanche, pour ce qui est des produits, les appellations peuvent varier beaucoup plus considérablement. Dans un rapport écrit en mai dernier, Bloor Research indiquait que très peu d'acteurs savaient composer avec cette difficulté. Dans ce domaine, peut-on lire dans le document, Silver Creek Systems « dépasse le reste du marché de la tête et des épaules ». L'éditeur s'est en effet spécialisé dans ce domaine spécifique de la qualité des données, grâce à une technologie d'analyse sémantique. Son plus proche concurrent à cet égard est Zoomix, qui a été racheté il y a un an et demi par Microsoft, pour son offre MDM intégrée à SQL Server 2010. Oracle compte inclure le fruit de son acquisition, DataLens System, à son outil de PIM et quelques autres offres progicielles. Mais cela ne devrait pas changer grand chose pour ses clients, Oracle proposant déjà le logiciel de Silver Creek en OEM. (...)
(04/01/2010 16:47:00)Plus de 16 000 signatures pour la pétition « sauvez MySQL »
L'appel lancé par Monty Widenius, père de MySQL, pour empêcher Oracle de mettre la main sans conditions sur MySQL, porte ses fruits. En une semaine, en pleine trêve des confiseurs, le texte a recueilli plus de 14 000 signatures (en milieu de journée lundi, la pétition dépassait les 16 000 signatures). La pétition a été présentée aux régulateurs de la commission européenne, au ministère chinois du commerce (Mofcom), au service fédéral russe de lutte contre les monopoles (FAS) et auprès de la commission suisse (Weko). Elle sera ensuite représentée au rythme de une à deux fois par semaine, annoncent les organisateurs, au fur et à mesure des votes. La pétition conseille aux régulateurs de mettre en place des mesures que Monty Widenius juge à même de sauver MySQL et son écosystème, pour le bien des utilisateurs de la base de données Open Source. Trois solutions sont proposées (les signataires pouvant opter pour une ou plusieurs de ces solutions). La plus populaire (93,5% des votes) demande que MySQL soit confié à un éditeur tiers, qui continuerait le développement en GPL, comme le faisait MySQL AB. A 60,2%, les pétitionnaires proposent que les autorités de régulation imposent à Oracle, pour valider son rachat de Sun, de passer la base de données sous Apache, licence plus permissive. Enfin, à 58,7%, ils se contenteraient d'une exception, prévue par la licence GPL, qui permettrait de lier le code de la base avec du code sous une autre licence, sans que ce dernier passe automatiquement en GPL. A noter qu'indépendants et utilisateurs de la base à titre personnel constituent l'essentiel des signataires, avec respectivement 37,1% et 26,7%. Les utilisateurs professionnels de MySQL en entreprise représentent 24,8% des pétitionnaires. (...)
(29/12/2009 13:37:57)Monty Widenius lance une pétition pour « sauver MySQL »
« Sauvez MySQL ! » C'est un appel au monde entier que lance Monty Widenius. Le père de MySQL a en effet mis en place un site appelant les internautes à signer une pétition, dont une première version sera remise dès le 4 janvier prochain aux autorités de régulation de l'Union européenne. Plusieurs pages, traduites en français, expliquent pourquoi la base Open Source, et partant ses utilisateurs, auraient à souffrir si l'UE autorisait en l'état l'acquisition de Sun par Oracle. Michael 'Monty' Widenius prend d'ailleurs largement le temps de répondre à l'argument numéro un de Larry Ellison, le patron d'Oracle, qui soutient que puisque MySQL est Open Source, il n'y a aucune inquiétude à avoir. Chacun est libre de créer un 'fork' (une version dérivée), reconnaît le développeur et homme d'affaires finlandais, mais il ne pourrait bénéficier du nom (Monty Widenius a d'ailleurs lui-même repris le code de MySQL dans MariaDB) et donc de la notoriété de la marque, et serait condamné à gagner sa vie sur les services, alors que MySQL proposait aussi des outils associés vendus sous licence propriétaire. C'est pourquoi, explique-t-il, personne n'a concurrencé MySQL avec un 'fork', et pourquoi Sun a dépensé un milliard de dollars pour racheter un éditeur Open Source. « MySQL doit être cédé à une tierce partie ou publié sous licence Apache » A l'inverse, dit-il, une licence plus permissive que la GPL, telle qu'une licence Apache, permettrait vraiment à l'écosystème de se maintenir. On peut bien sûr objecter à Monty Widenius qu'il a lui-même choisi la GPL au départ. Mais les circonstances ont changé, dans la mesure où Oracle réalise la majeure partie de ses astronomiques bénéfices avec sa base de données. Quel intérêt aurait-il à promouvoir MySQL, interrogeait Monty Widenius dans un entretien publié le mois dernier sur LeMondeInformatique.fr. La pétition laisse les gens libres de choisir une ou plusieurs options permettant d'assurer un meilleur avenir à MySQL. Trois propositions sont formulées : « MySQL doit être cédé à une partie tierce appropriée qui pourra continuer son développement sous les termes de la GPL », ou « Oracle doit s'engager à permettre une exception de linkage pour les logiciels qui utilisent MySQL avec des librairies clientes (pour tous les langages de programmation), pour les greffons et libmysqld. MySQL en lui même reste sous licence GPL », ou encore « Oracle doit publier toutes les versions précédentes et futures de MySQL (jusqu'en décembre 2012) sous la licence Apache Software License 2.0 ou une licence permissive similaire afin que les développeurs de logiciels et de versions dérivées (forks) puissent avoir une flexibilité concernant leur code ». (...)
(21/12/2009 18:38:55)« Il faut développer la prise de risque vis-à-vis de l'innovation » (Interview de la députée Laure de la Raudière)
A l'initiative de l'éditeur de Blu-Age Netfective, une quinzaine de DSI et de dirigeants d'entreprises ont déjeuné avec Jacques Attali et Laure de la Raudière, Députée d'Eure-et-Loir, Vice-Présidente de la commission des affaires économiques à l'Assemblée Nationale, autour du sujet du financement des entreprises innovantes en général et des éditeurs de logiciels en particulier.
Cette ingénieur télécoms et ancienne chef d'entreprise s'est récemment lancée en politique. Si elle constate la fracture entre le monde politique et celui des chefs d'entreprises, elle veut le combattre afin, notamment, de permettre aux entreprises françaises innovantes de réussir sur le marché national et international.
Co-présidente du groupe d'étude UMP du Grand Emprunt, elle s'est réjouie que le Grand Emprunt apportera 4,5 milliards d'euros pour le numérique (dont deux milliards pour les infrastructures et 700 millions pour la numérisation du patrimoine culturel) et 6 milliards d'euros pour les PME innovantes, dont les PME du numérique.
Elle nous a accordé une interview exclusive en vidéo.
L'interview de Laure de la Raudière en vidéo
La députée concède qu'il y a un risque à financer sur fonds publics des PME qui pourront, demain, être rachetées par des grands groupes internationaux mais précise qu'il y a des possibilités de contrôle. Surtout, il est aussi possible que des entreprises françaises rachètent des firmes étrangères, à condition qu'elles disposent des fonds propres nécessaires.
L'un des problèmes majeurs rencontrés par les entreprises françaises, c'est de ne pas pouvoir se battre à armes égales avec les entreprises américaines. L'exemple le plus criant est celui des éditeurs de distributions Linux, comme Mandriva, qui se heurte à la vente liée PC-Microsoft Windows. Laure de la Raudière considère que le parlement est désormais davantage sensibilisé à ce genre de problèmes mais que ce n'est pas là le plus grave problème. Pour elle, le premier coupable est l'absence de la culture du risque en France : choisir une entreprise innovante française est rarement envisagé face à un mastodonte américain, même si les innovations sont porteuses de valeur ajoutée ou de moindre coût.
L'Etat peut bien sûr jouer son rôle dans le soutien aux entreprises innovantes, comme cela a été dit lors du déjeuner Netfective. Même si les élus ne peuvent pas intervenir dans l'attribution de marchés publics, ils doivent agir pour que certaines mauvaises habitudes changent, par exemple le fait d'exiger les bilans de trois exercices comptables pour admettre un candidat à un marché public, ce qui est évidemment impossible pour une jeune entreprise innovante. Cette réflexion est très lente et l'Etat devrait montrer l'exemple aux collectivités locales, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
L'interview de Laure de la Raudière en vidéo (...)
IBM s'offre Lombardi, spécialiste du BPM
IBM a enfin complété son portefeuille BPM (Business process management). Big Blue vient d'annoncer le rachat, pour un montant non communiqué, d'un spécialiste du domaine, Lombardi Software. IBM avait bien une offre de gestion des processus métier, mais il s'agissait de fonctionnalités réparties dans ses différents produits, son serveur d'applications et d'intégration WebSphere (module Dynamic Process) et l'outil de gestion de processus documentaires hérité de FileNet. Lors de la publication de son dernier quadrant magique sur les suites de BPM en février dernier, Gartner notait qu'il fallait s'attendre à ce qu'IBM fît une acquisition dans ce domaine. Lombardi figure depuis longtemps parmi la catégorie des leaders dans le quadrant Gartner, aux côtés de Pegasystems. L'éditeur texan peut aussi s'enorgueillir de références clients solides « parmi les plus avancées en maturité de BPM », note Gartner. Mais, malgré la communication d'IBM qui tend à positionner TeamWorks comme un outil départemental, l'offre de Lombardi est plus généralement considérée comme un outil d'entreprise relativement onéreux. C'est d'ailleurs cela qui permet à des petits acteurs d'émerger, en Open Source (comme BonitaSoft) ou en Saas (comme RunMyProcess). En plus de définir ce positionnement, IBM devra aussi intégrer ses offres. Or, Gartner estimait dès avant le rachat que le nombre de fonctionnalités et de possibilités d'intégration était déjà impressionnant, obligeant les clients à recourir à des prestataires de service. En France, Lombardi n'a ouvert sa filiale qu'en 2007. (...)
(11/12/2009 12:17:17)Top 10 des plus grosses acquisitions de 2009
Voici le top 10 des acquisitions de 2009 basé sur les valeurs de transaction divulguées au public, y compris certaines transactions qui sont toujours en cours et qui ne se termineront qu'en 2010. 1. Oracle-Sun: 7,4 milliards de dollars Il semble qu'il y a bien longtemps qu'Oracle a annoncé son rachat de Sun Microsystems. L'acquisition, toujours en cours, a été annoncée en avril et est bloquée car les régulateurs européens soutiennent que la combinaison de la technologie d'Oracle avec la base de données Open Source MySQL de Sun violerait les lois sur la concurrence. L'accord Oracle-Sun n'est pas un fait accompli, mais il donnerait à Larry Ellison, PDG d'Oracle de nouvelles munitions contre Microsoft (sur le marché des base de données) et contre les grands fournisseurs de matériel tels que IBM, HP et Dell. 2. Xerox et Affiliated Computer Services: 6,4 milliards de dollars D'un seul coup Xerox a été en mesure de tripler son chiffre d'affaires côté services en passant de 3,5 milliards à 10 milliards de dollars avec l'achat de Affiliated Computer Services (ACS), spécialiste du BPO (Business Process Outsourcer). L'accord, annoncé en septembre, combine 74.000 employés d'ACS avec les 54 000 employés de Xerox, spécialiste de la photocopieuse d'entreprise et de diverses technologies de gestion des documents et des services. Xerox estime qu'ACS l'aidera à pénétrer de nouveaux marchés, annonçant que seulement environ 20% des clients des deux compagnies sont communs. 3. Dell-Perot Systems: 3,9 milliards $ Quelques jours à peine avant le grand chambardement de Xerox, Dell avait annoncé un accord pour acheter Perot Systems, une autre grande société de services informatiques, fondée par Ross Perot. Dell fait le pari que Perot va l'aider à devenir un leader des services informatiques, et lui permettre de vendre plus de matériel à des clients de Perot, dont beaucoup sont dans la santé et les services gouvernementaux. L'achat de Dell peut aussi être perçu comme une réponse à l'acquisition pour 13,9 milliards de dollars d'EDS par HP l'année précédente - EDS une autre société de services créée par Perot. 4. Cisco-Tandberg: 3,4 milliards $ Cisco, déjà un acteur majeur dans les produits de la collaboration avec WebEx et la vidéoconférence en mode téléprésence, a signé un accord en Octobre afin d'acheter le vendeur de visioconférence Tandberg. L'usage accru de la vidéoconférence permettra d'augmenter le trafic réseau, entraînant de nouvelles ventes de commutateurs et de routeurs pour Cisco. 5. Cisco Networks Starent: 2,9 milliards $ L'achat de plusieurs milliards de dollars de Starent par Cisco, annoncé en Octobre, dopera les savoirs faire de Cisco en infrastructure mobile pour plusieurs types de réseaux sans fil, dont le LTE et le WiMAX. Cisco avait déjà fait un investissement dans le WiMAX avec l'achat de 330 millions de dollars de Navini Networks en 2007, et un contrat d'approvisionnement avec Clearwire en 2009. Mais le LTE gagne du terrain ainsi, à la fois avec Verizon et AT & T qui annoncent qu'ils vont utiliser le LTE pour leurs réseaux 4G. La technologie de Starent a été déployée par plus de 100 opérateurs mobiles dans 45 pays. [[page]] 6. HP-3Com: 2,7 milliards $ HP se lance à l'assaut de Cisco dans la mise en réseau des centres informatiques et la convergence des marchés avec l'achat de 3Com, fabricant de commutateurs, de routeurs et de produits de sécurité. L'opération a été annoncée en novembre. HP récupère un commutateur de base, le H3C 12500, apte à rivaliser avec le Nexus 7000 de Cisco ainsi qu'une présence significative en Chine. Mais l'acquisition, qui fait face à une action de la part des actionnaires, souffre également du chevauchement en entrée de gamme de lignes de commutateurs et des équipements de réseau sans fil. 7. EMC-Data Domain: 2,1 milliards $ EMC a fait le forcing pour acquérir Data Domain pour de la dé-duplication. La dé-duplication aide les entreprises à économiser de l'argent en réduisant les besoins en stockage de données, ce qui explique pourquoi tant EMC que NetApp croient qu'elle jouera un rôle majeur sur le marché du stockage dans les années à venir. NetApp avait initialement proposé 1,5 milliard de dollars pour l'achat de Data Domain, mais EMC a fait irruption et a fait monter les prix jusqu'à ce que NetApp ne puisse plus se permettre de rester dans l'enchère. Le plus étonnant c'est que NetApp était crédité de la meilleure technologie de dé-duplication du marché. Comme quoi, il ne faut jamais croire ce que l'on lit tant que l'on n'a pas testé un produit. 8. Emerson-Avocent: 1,2 milliard $ Le fabricant d'onduleurs Emerson étend ses opérations informatiques avec l'ajout d'Avocent, qui conçoit des logiciels, du matériel et des technologies intégrées destinées à simplifier la gestion de centres de données complexes. Emerson affirme qu'Avocent et les technologies de surveillance sont complémentaires à ses propres produits, la gestion énergétique et les systèmes de refroidissement, et donc peut aider les clients à résoudre le problème grandissant de l'inefficacité énergétique. L'acquisition, qui permettra également d'accroître les capacités d'Emerson sur le marché de la commutation KVM, devrait se conclure autour de janvier 2010. 9. IBM-SPSS: 1,2 milliard de dollars IBM a dépensé plus de 1 milliard de dollars pour développer ses capacités d'analyse, avec SPSS et ses outils d'analyse prédictive qui aident les entreprises à explorer des données métiers historiques et identifier les tendances futures. "IBM voit des applications potentielles pour les outils de SPSS afin d'aider les sociétés de services financiers à fidéliser leur clientèle, prévenir le crime et choisir l'emplacement optimal pour un nouveau magasin ou une usine ». L'achat n'est que la dernière étape dans la stratégie d'IBM de renforcer sa gamme d'outils d'analyse. Auparavant, Big Blue avait acquis la technologie de découverte de données de Exeros et payé 5 milliards pour Cognos, spécialiste de la Business Intelligence. 10. Ericsson-actifs sans fil de Nortel Networks: 1,13 milliard de dollars Le suédois Ericsson, équipementier leader dans les réseaux 3G et potentiellement 4G, a remporté une guerre des enchères sur les actifs sans fil de Nortel Networks, l'emportant aux enchères contre Nokia Siemens Networks, la société de capital investissement MatlinPatterson et Research in Motion (fabricant du BlackBerry). Plus précisément, Ericsson a remporté le CDMA et le LTE de Nortel, permettant à la société suédoise de renforcer sa présence en Amérique du Nord. « Les clients de Nortel en Amérique du Nord seront désormais fournis par Ericsson, ce qui inclut Verizon Wireless, Sprint, US Cellular, Bell Canada, Telus et Leap,". En raison de l'achat de Nortel et d'autres accords stratégiques, Ericsson aura 14.000 employés et 5 milliards de dollars en recettes en Amérique du Nord (...)
(04/12/2009 17:10:58)Insistantes rumeurs sur un rachat de Vente-privée.com par Amazon
La rumeur courait depuis quelques heures, et le site TechCrunch, souvent bien informé dans ce domaine, estime qu'elle est fondée : Amazon pourrait racheter Vente-privée.com pour environ 2 Md€. Il s'agirait d'un montant record pour une entreprise française du secteur (si on excepte BO, racheté 4,8 Md€ par SAP). Vente-privée.com,créée en 2001 par Jacques-Antoine Granjon, son actuel PDG, organise des ventes à des clients sélectionnés pour le compte de grandes marques. L'entreprise, qui s'est développée ces dernières années en Europe, a réalisé un chiffre d'affaires de 510 M€ en 2008, et vise les 620 M€ en 2009. Elle constituerait donc une bonne tête de pont européenne pour Amazon. Les deux entreprises démentent, pour l'instant. (...)
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