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Fusions/Acquisitions

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(03/12/2009 13:52:17)

Le Meccano des sociétés dans le secteur IT ne fait que commencer

( Source EuroTMT ) Depuis quelques mois, il ne se passe pas une semaine sans qu'un géant de la technologie américain n'annonce une acquisition représentant au moins plusieurs milliards de dollars. Forts d'une meilleure résistance à la crise que lors de l'éclatement de la bulle internet, d'une abondante trésorerie et de valorisations encore basses, les mastodontes du secteur ont lancé une course à la taille qui ne semble pas prête de se terminer. HP a lancé son offre de rachat du fabricant d'équipements de réseaux 3Com pour 2,7 milliards de dollars. Le premier fabricant mondial de PC, qui avait profité de cette annonce pour publier à l'avance des résultats trimestriels légèrement meilleurs que prévus et relever ses prévisions annuelles pour 2010, veut ainsi clairement concurrencer Cisco, le numéro un mondial des équipements réseaux, qui fait lui-même des incursions étonnantes sur le marché des serveurs que se disputent HP, IBM ou encore Dell. Le rachat de 3Com par HP fait suite, entre autres, à celui de Perot Systems par Dell, celui d'Affiliated Computer Systems par Xerox, celui de Sun Microsystems par Oracle. Cisco, société habituée à grossir par des opérations de croissance externe, a de son côté annoncé en octobre d'une part le projet de rachat de Starent Networks, un fabricant d'équipements mobiles, pour 2,9 milliards de dollars et une OPA sur Tandberg, spécialiste norvégien d'équipements pour visioconférences en mode téléprésence, pour un prix de 3,4 milliards de dollars. La concentration n'est pas encore terminée selon les analystes Selon plusieurs analystes, malgré l'abondance de projets de rachats, cette nouvelle phase de concentration n'en est qu'à ses débuts, chacun des grands noms du secteur redoutant de se retrouver sur la touche. Après la mode de la spécialisation extrême, c'est le grand retour d'une tendance poussant les groupes à être présent sur tous les maillons de la chaîne des produits et services informatiques. L'émergence récente de ce que les spécialistes appellent le « cloud computing » n'est certainement pas étrangère à cette évolution qui pousse les grands groupes à élargir les frontières de leurs activités. De plus, les dirigeants sont également poussés par les actionnaires à l'accroissement du périmètre afin de profiter au maximum de la reprise qui se profile. [[page]] Tous les regards sont désormais tournés vers IBM qui est le dernier à ne pas avoir annoncé de grosse acquisition. Big Blue est vu comme étant davantage intéressé par les logiciels que par les services et les équipements. Avec la vague de fusions et d'acquisition en cours, les acteurs de niche semblent également plus disposés à être rachetés, conscients qu'un adossement à IBM ou à Cisco leur permet de démultiplier les débouchés pour leurs produits. Des groupes comme Riverbed Technology (spécialiste de l'accélération télécoms) ou F5 Networks, spécialisé dans la sécurisation et l'amélioration d'applications en ligne, sont ainsi considérées comme les prochaines cibles de rachat. Malgré leur récents rachats ou annonces d'acquisitions, HP et Dell devraient continuer à être actifs en matière d'acquisitions, estiment les analystes financiers, qui voient également Juniper Networks entrer dans la danse afin de ne pas se laisser trop distancer par Cisco. Des rachats toujours difficiles à intégrer Le paradoxe de cette course à la taille est que, pour reprendre les déclarations de John Chambers, directeur général de Cisco, 90 % des acquisitions se révèlent être un échec. John Chambers - qui a su transformer le routeur en or sur ces dix dernières années - a par exemple toujours refusé de donner suite à des projets de rachat d'un grand équipementier télécoms traditionnel tel qu'Alcatel-Lucent, estimant qu'une acquisition ne peut marcher que si le racheté est de petite taille (quelques centaines de personnes), et d'une culture compatible avec celle de l'acquéreur. Cela ne l'avait toutefois pas empêché d'acheter Scientific Atlanta, poids lourd champion des modems câble. Mais son discours visait plutôt l'équipementier canadien traditionnel Nortel qui avait acquis le fabricant de routeurs Bay Networks. Il avait alors raison puisque Nortel est vendu par appartements depuis plusieurs mois. Durant la période faste, avant l'éclatement de la bulle internet, Cisco achetait une start up spécialisée (gigabit Ethernet, voix sur IP, connectivité optique, ...) par mois. « Lucent a ses Bell Labs pour la recherche, nous rachetons des start up » expliquait alors Mike Volpi, qui était le grand orchestrateur de ces rachats chez Cisco. Qui plus est à cette époque, Cisco réglait ses achats par émission d'actions, créant ainsi son propre papier monnaie. Ce qui ne lui coûtait pas grand-chose comparativement au rachat de Tandberg qui va s'effectuer en liquide. (...)

(02/12/2009 16:43:34)

Gartner absorbe AMR Research pour 64 M$

Les analystes d'AMR Research se présenteront bientôt sous l'étiquette Gartner : le mastodonte a annoncé l'acquisition du Petit Poucet, pour 64 M$. Comme l'a précisé le directeur de la recherche d'AMR Research Bruce Richardson sur son blog, cela ne changera rien pour les clients, qui conserveront aussi bien leurs contacts commerciaux que leurs contacts avec les analystes. De même, la liste des événements reste inchangée. Les deux sociétés prévoient de continuer leurs opérations séparément jusqu'à la fin de l'année, l'intégration démarrant début 2010. Forte d'une quarantaine d'analystes et d'autant de commerciaux, AMR Research est, avec ses 40 M$ à peine de chiffre d'affaire, un nain à côté de Gartner et ses 1 200 analystes, qui pèsent 1,28 Md$. Néanmoins, le cabinet a su développer une expertise, notamment dans le domaine de la gestion de la chaîne logistique, qui intéresse apparemment Gartner. La précédente acquisition de taille pour Gartner remonte à décembre 2004, quand le cabinet s'est offert le Meta Group pour 162 M$. (...)

(02/12/2009 10:16:19)

Cisco rallonge encore la date butoir pour finaliser le rachat de Tandberg

Les actionnaires de Tandberg, fournisseur de solutions de visioconférence en mode téléprésence, ont désormais jusqu'au 3 décembre pour accepter l'offre de rachat de Cisco s'élevant à 3,4 milliards de dollars. L'offre aurait dû s'arrêter le 30 novembre. A l'échéance du 3 décembre, Cisco annoncera s'il a réussi à convaincre 90% des actionnaires de Tandberg. Cisco avait d'abord proposé 3 milliards de dollars le 1er octobre avec l'appui du comité de direction de Tandberg. Puis Cisco avait dû faire face à des actionnaires représentant 30% des actions de Tandberg. Deux fonds d'investissement avaient écrit une lettre ouverte à Cisco expliquant pourquoi ils pensaient que son offre initiale sous évaluait Tandberg et déclaraient que les actionnaires à hauteur de 24% des parts de la société voteraient contre l'offre d'achat. Après avoir repoussé la limite de son offre au 9 novembre, Cisco avait monté son offre à 3,4 milliards le 16 novembre, et repoussé la réponse au 1er décembre. (...)

(25/11/2009 11:48:08)

Avec le rachat d'ICT, l'intégrateur Flow Line étoffe son offre sécurité

Créé en 2000, l'intégrateur informatique Flow Line se développe sur 2 pôles : les solutions de gestion et les infrastructures et la sécurité. ICT, intégrateur réseau lancé en 1987, était spécialisé sur les infrastructures et la sécurité (avec de l'hébergement) et une activité d'opérateur. « Nous sommes très complémentaires, nous explique Yann Jacquet, P-dg de Flow Line, avant on vendait un ERP, de plus en plus on vend cet ERP hébergé, avec de la sécurité, des accès et en réduisant les coûts. Le rachat d'ICT nous permet de répondre à ces besoins ». ICT disparaît en tant que nom de société, ses effectifs et ses agences sont intégrées dans Flow Line. Seule l'activité issue du rachat de DBB (boîtiers de sécurité) par ICT début 2008 n'est pas reprise. L'actionnariat d'ICT reçoit des actions de Flow Line, ce qui permet à Flow Line de ne pas sortir d'argent, Yann Jacquet gardant le contrôle de la société. Flow Line va se déployer en quatre pôles d'activité : systèmes de gestion, infrastructure et réseaux, hébergement, opérateur de télécoms. Les deux sociétés, basées en région lyonnaise, Flow Line à Bron et ICT à Vénissieux, sont également complémentaires géographiquement. ICT était implanté à Paris et à Marseille en plus de son centre lyonnais, Flow Line a développé des agences à Clermont Ferrand, Paris, en Suisse romande et il y a un mois à Nantes. D'autres agences seront ouvertes, la prochaine devrait être à Lille. Yann Jacquet n'exclut pas de croissance externe. Flow Line a une longue expérience en la matière. Avant ICT, elle s'est offert IGA et l'activité Adonix de Focal en 2004, Innetis Lyon en 2006, Progecia à Paris et MegaInfo en Suisse en 2008. (...)

(25/11/2009 11:02:18)

L'opérateur suisse Sunrise passe sous le contrôle de France Télécom

France Télécom acquiert l'opérateur suisse Sunrise, filiale du danois TDC, pour 1,5 milliard d'euros. La fusion de Orange suisse et de Sunrise constitue le premier opérateur de télécommunications alternatif en Suisse. A l'issue d'une série de transactions, Orange deviendra l'actionnaire à 75% de l'entité combinée, tandis que TDC détiendra les 25% restants. L'entité combinée détiendra environ 3,4 millions de clients mobiles et 1,1 million de clients haut débit, soit 38% du marché mobile et 13% du marché du haut débit fixe. L'entité combinée aurait réalisé en 2008 un chiffre d'affaires total pro-forma de 2 milliards d'euros. Ce nouvel opérateur intégré fixe et mobile disposera d'un réseau de plus de 100 boutiques. Thomas Sieber, PDG d'Orange Suisse, sera le Directeur Général de la nouvelle entité combinée. (...)

(20/11/2009 15:26:18)

eBay finalise la cession de Skype pour 1,9 Md$ en cash

Le service de téléphonie (et visioconférence) sur IP Skype vaut désormais 2,75 Md$, mais n'appartient qu'à 30% à eBay. Le site de vente aux enchères a finalisé la vente de 70% environ de sa filiale à un groupe d'investisseurs mené par Silver Lake. eBay, qui n'a jamais su rentabiliser l'acquisition de cette technologie (le groupe envisageait de faciliter ainsi la prise de contact entre vendeurs et acheteurs), avait acheté Skype en 2005 pour 2,6 Md$, mais le service de ToIP n'avait cessé de peser sur ses comptes. La cession avait été annoncée le 1er septembre dernier. Le processus avait été retardé du fait de problèmes de propriété intellectuelle, les sociétés Jotlid et Joost (fondées par les créateurs de Skype, Niklas Zennström et Janus Friis) détenant des technologies clés pour le fonctionnement de Skype. Ces dernières ont donc été associées au groupe d'investisseurs, à hauteur de 14%. (...)

(20/11/2009 15:25:26)

Antitrust : Oracle a finalement jusqu'au 27 janvier pour répondre à l'UE

Bruxelles a accordé une semaine de plus à Oracle pour peaufiner ses arguments, dans le cadre de l'examen par la Commission européenne du rachat de Sun par l'éditeur californien. Il y a une dizaine de jours, l'Europe a émis des objections, expliquant que cette fusion créerait une distorsion de concurrence sur le marché des bases de données, du fait que Sun possède MySQL. Oracle avait dans un premier temps balayé cet argument d'un revers de main. Mais alors que l'éditeur avait jusqu'au 19 novembre pour apporter une réponse à même de convaincre l'UE qu'elle se trompe, il a finalement demandé une extension de ce délai. La Commission européenne a donné suite à cette demande, lui accordant jusqu'au 27 janvier. Pour Florian Mueller, ex-conseiller stratégique de MySQL et militant Open Source coopérant avec Michael 'Monty' Widenius (le papa de MySQL) dans le but d'empêcher Oracle de mettre la main sur la base de données Open Source, cela démontre la faiblesse du dossier d'Oracle : « Si les objections de l'Union européenne étaient sans fondement, Oracle n'aurait pas besoin de davantage de temps pour développer ses arguments. » (...)

(17/11/2009 15:29:55)

Nokia serait intéressé par Palm

Après bien des péripéties, Palm pourrait finalement tomber dans l'escarcelle de Nokia. Une rumeur récurrence indique que le géant finlandais envisagerait toujours de racheter la société en difficulté. Valorisée à 1,7 milliard de dollars (contre 2,5 en septembre dernier), Palm semble toutefois surévalué. Difficile de croire qu'une société puisse réaliser un tel investissement même si Nokia doit vraiment faire quelque chose dans le domaine des smartphones. La société finlandaise, qui possède déjà ses propres systèmes d'exploitation basés sur Symbian et une variante de Linux appelée Mameo, irait donc s'encombrer d'une troisième plateforme, WebOS de Palm. Cela ferait vraiment beaucoup de fers au feu alors que l'on assiste à la montée en puissance progressive d'Android. La plateforme Symbian ne court toutefois aucun danger. C'est le système d'exploitation pour mobiles le plus couramment utilisé dans le monde, et Gartner prédit même que cela va le rester au moins jusqu'en 2012, voire plus. Difficile ensuite pour Nokia de renoncer à Mameo alors que le constructeur vient de sortir son premier smartphone sur cette plateforme, le volumineux N900, qui, avouons-le, n'a aucune chance de rattraper l'iPhone ou de sérieusement concurrencer les terminaux Android. À cet égard, le N900 ressemble un peu au Palm Pre. Présenté comme un iPhone killer, ce dernier ne s'est pas bien vendu aux États-Unis et n'a toujours pas été lancé en France. Susciter l'intérêt des développeurs Le système d'exploitation WebOS a pourtant été bien accueilli et c'est sans aucun doute la meilleure partie des terminaux Pre et Pixi (voir illustration). Toutefois, ces derniers partagent un même ennuyeux problème que la plateforme Symbian de Nokia : le manque d'intérêt des développeurs de logiciels. Cinq mois après son lancement, le Pre vient seulement de recevoir une application pour Facebook ! Et le site en ligne OVI de Nokia reste dérisoire face à l'App Store d'Apple. La faute, notamment, à un éparpillement des plateformes proposées par Nokia. Le constructeur doit absolument simplifier son portefeuille de systèmes d'exploitation pour mobiles. On a parfois le sentiment qu'il y a une version de Symbian par mobile Nokia ! Pour sérieusement concurrencer l'App Store d'Apple ou l'Android Market de Google qui monte progressivement en puissance, le Finlandais doit travailler à une meilleure harmonie entre ses systèmes d'exploitation et sa plateforme OVI. Le rachat de WebOS serait ici une complication supplémentaire. Et pourquoi pas Android ? Le second point en défaveur du rachat de Palm par Nokia concerne le coût d'intégration des deux sociétés. Le Finlandais serait mieux inspiré de proposer des smartphones animés par Android au lieu de développer sans succès ses propres solutions. Nokia va finir par regretter amèrement son entêtement sur le marché des smartphones tactiles. Un simple Motorola Dext, avec Android 1.6, est, par exemple, plus efficace et plus agréable à utiliser qu'un N97 ! Un rachat de Palm par Research In Motion est une autre possibilité. Le canadien connait lui aussi des difficultés pour proposer des smartphones tactiles convaincants. Si les clients en entreprise se sont montrés très compréhensifs, les Blackberry évoluent toujours très lentement. Le rachat de Palm permettrait à la société de mieux s'armer contre les terminaux Android, comme le très prometteur Motorola Droid. Enfin, ce ne sont que de nouvelles spéculations, tout comme l'intérêt que pourrait porter un constructeur comme Dell ou un éditeur comme Microsoft à la plateforme WebOS. Mais aucune de ces sociétés n'a vraiment intérêt à investir dans Palm ; la première vient de lancer son premier smartphone Android, la seconde travaille toujours à la relance de Windows Mobile. Reste l'hypothèse d'un chevalier blanc, bien implanté sur le marché de l'électronique grand public, qui aimerait s'introduire sur celui des terminaux mobiles. Mais pourquoi choisir Palm alors que Google propose gratuitement sa plateforme Android à tous ceux qui respectent ses préconisations ? (...)

(12/11/2009 10:51:56)

Pour 2,7 milliards de dollars, HP rachète 3Com

En rachetant 3Com pour environ 2,7 milliards de dollars, HP renforce sa stratégie de délivrer les technologies ad hoc pour les centres informatiques de nouvelle génération, bâtis sous le signe de la convergence. HP s'affirme plus que jamais comme le concurrent le plus sérieux de Cisco en matière de réseaux d'entreprise. L'accord a été approuvé par les deux sociétés et devrait être achevé avant la mi-2010. HP offre 7,9 $ par action de 3Com, soit environ 2 $ de plus que la valeur de l'action (soit 5,69 $) mercredi à la fermeture de la bourse. HP est ainsi mieux équipé pour affronter Cisco Cisco est définitivement dans la ligne de mire de HP. "Les entreprises cherchent à s'échapper des limitations imposées par la domination d'un seul acteur sur les réseaux" affirme ainsi Dave Donatelli, vice président exécutif et directeur général de la branche Enterprise Servers and Networking chez HP. Outre des commutateurs et des routeurs d'entreprise, HP récupère de la téléphonie sur IP et une gamme de produits de sécurité, des IPS (Intrusion Prevention Systems) sous la marque Tipping Point. Côté canaux de distribution, on note la présence en Chine de 3Com héritée de l'ancienne joint venture H3C avec l'équipementier chinois Huawei. HP entend marier les offres de 3Com pour les coeurs de réseau et de sécurité avec ses propres commutateurs de périphérie, afin de délivrer une solution de bout en bout. "Cet achat de 3Com, donne à HP un commutateur de coeur de réseau, le H3C 12500" souligne Steve Schuchart analyste chez Current Analysis. Un commutateur que 3Com positionnait face au Nexus 7000 de Cisco. 3Com apporte aussi à HP une ligne de routeurs d'agences pour entreprises avec la gamme des MSR. La gamme MSR comprend des serveurs en lame sous Linux pouvant héberger plusieurs applications telles qu'un IPBX, de la sécurité et de l'optimisation Wan. La téléphonie IP au catalogue de HP Il y aura toutefois un recouvrement important dans les produits d'entrée de gamme, selon Steve Schuchart, ce qui imposera une rationalisation de la part de HP. La compagnie récupère également une gamme d'iPBX avec les NBX et VCX IP PBX, et des terminaux. 3Com s'était montré incapable d'imposer cette solution sur le marché. Il ne possèderait que 0,5% du marché de la téléphonie sur IP d'entreprise, selon le cabinet Dell'Oro. Mais jusqu'alors HP ne possédait aucune offre en la matière. Côté Wifi, 3Com a un accord avec Trapeze networks mais HP avait acheté la société Colubris. (...)

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