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Fusions/Acquisitions
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(10/11/2009 12:53:02)
Oracle/Sun : Bruxelles craint une concurrence faussée sur les bases de données
La Commission Européenne a communiqué hier, lundi 9 novembre, une première évaluation de ses objections concernant le rachat de Sun par Oracle. Dans un échange avec la SEC (Securities and exchange commission), l'autorité américaine de contrôle des marchés, Sun explique que cette évaluation préliminaire de Bruxelles se focalise sur le marché des bases de données évoquant les effets négatifs sur la concurrence qu'induirait un rapprochement de la base Open Source MySQL et de la base d'entreprise d'Oracle. Ce document ne constitue qu'une étape dans l'enquête conduite actuellement par Bruxelles et il ne préjuge en rien de la décision finale de la Commission. Oracle n'a pas tardé à réagir Les destinataires de cette « communication des griefs » étant invités à fournir leurs arguments, Oracle n'a pas tardé à réagir. L'éditeur californien n'hésite pas à affirmer que cette communication révèle une méconnaissance profonde, à la fois de la concurrence existant sur le marché des bases de données et de la dynamique Open Source. Pour Oracle, les familiers du monde Open Source savent bien que MySQL ne peut être contrôlé par personne. C'est l'essence même de l'Open Source, va jusqu'à rappeler l'éditeur. Et d'expliquer que le marché des bases de données est extrêmement compétitif avec « au moins huit acteurs forts, parmi lesquels IBM, Microsoft, Sybase et trois éditeurs Open Source distincts ». Oracle et MySQL sont deux produits très différents, poursuit-il en avançant qu'il ne voit pas sur quelle base légale l'Europe pourrait s'opposer au rapprochement de deux acteurs parmi huit concurrents vendant des produits différents. « Des fusions de cette nature s'opèrent régulièrement » depuis des décennies sans opposition des régulateurs pas plus aux Etats-Unis qu'en Europe », note l'éditeur. Il rappelle au passage que le ministère américain de la justice a autorisé le 20 août dernier le rapprochement d'Oracle et de Sun. Le DOJ espère une issue favorable pour les consommateurs européens Hier, le ministère américain de la justice (Department of justice, DOJ) est lui-même revenu sur le sujet, expliquant notamment qu'il avait décidé d'approuver le rachat de Sun parce qu'il y avait une importante communauté de développeurs Open Source, disposant de l'expertise pour maintenir et faire évoluer les logiciels Open Source de Sun. « Il apparaît que la Commission Européenne a un point de vue différent », reconnaît le DOJ, qui reste confiant dans la capacité des acteurs en présence à trouver rapidement un terrain d'entente avec Bruxelles, qui profite aux consommateurs européens. Le PDG d'Oracle, Larry Ellison, a précédemment expliqué que Sun perdait 100 M$ par mois pendant cette période transitoire. Vendredi dernier, la société dirigée par Jonathan Schwartz a communiqué ses résultats financiers pour le troisième trimestre (clos le 27 septembre). Son chiffre d'affaires a baissé de 25%, à 2,24 Md$, par rapport au troisième trimestre 2008. Ses pertes, en revanche, se sont réduites à 120 M$ contre 1,68 Md$ sur la même période l'an dernier. (...)
(09/11/2009 17:15:42)Un volume de fusions/acquisitions supérieur à 2008 en septembre, selon l'Index Afdel/Corum Group
En septembre 2009, le volume des opérations de fusions/acquisitions intervenues sur le secteur du logiciel et de l'IT au niveau mondial a été légèrement supérieur à celui de septembre 2008. Sur le troisième trimestre 2009, l'Index Afdel/Corum Group répertorie 739 transactions, dont 8 qualifiées de 'mega deals', contre 732 un an plus tôt, parmi lesquelles seulement 3 opérations très importantes. Le cabinet Corum Group, spécialisé dans les fusions/acquisitions dans l'IT, signale aussi une augmentation du nombre de cibles européennes qui "annonce le retour des acheteurs américains". Destiné aux adhérents de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels), cet index est établi à partir des transactions qui ont été rendues publiques. L'objectif est d'apporter aux éditeurs des indicateurs renseignant sur la vitalité des marchés qu'ils ciblent, la validité des modèles économiques, les orientations stratégiques des acteurs et les opportunités de croissance externe à étudier. Parmi les transactions importantes réalisées en septembre dernier, Corum Group rappelle la cession, par eBay de 65% de son service de téléphonie sur IP Skype à Silver Lake, pour 1,9 Md$, ainsi que le rachat d'Omniture, spécialiste des technologies d'analyse de sites Web, par Adobe pour 1,8 Md$. Dans le secteur des services IT, Dell s'est offert Perot, pour 3,9 Md$. Mais c'est Xerox qui a effectué l'acquisition la plus élevée de la période en rachetant ACS pour 6,4 Md$. Si ces transactions importantes tirent vers le haut la valeur moyenne des opérations (195 M$ contre 108 M$ au troisième trimestre 2008), la valeur médiane (58 M$ contre 32 M$ au troisième trimestre 2008) reflète une meilleure valorisation des marchés, précise Corum Group. Il s'agit, selon le cabinet, de « la plus forte hausse sur huit mois jamais enregistrée ». Les analystes signalent par ailleurs la chute relative des achats réalisés entièrement en numéraire (49% contre 56% au troisième trimestre 2008), une partie des paiements s'effectuant en actions. Sur les trois premiers trimestres de 2009, Microsoft, Oracle et IBM arrivent en tête des acheteurs, ayant respectivement procédé à 9, 7 et 5 rachats. Le domaine des logiciels d'infrastructure reste l'un des marchés les plus forts, souligne Corum Group, qui estime que la hausse devrait se poursuivre sur ce secteur au quatrième trimestre. Le cabinet signale aussi l'importance prise par le SaaS (software as a service) dont la croissance de la valorisation est deux fois supérieure à celle du secteur traditionnel. (...)
(09/11/2009 17:01:40)Microsoft s'achète un pont entre le monde Java et Visual Studio TFS
L'outil de gestion du cycle de vie des applications (ALM, Application lifecycle management) de Microsoft vient d'un coup de prendre de l'ampleur. Visual Studio TFS (Team Foundation Server) pourra en effet, dès sa version 2010, attendue en mars prochain, gérer des objets créés par des développeurs Java dans Eclipse ou d'autres ateliers sur des environnements Unix, Linux, MacOS... Les entreprises qui voulaient auparavant pouvoir accéder à ce type de fonctionnalité devaient s'équiper d'un outil tiers, typiquement Teamprise, édité par une division de SourceGear. Microsoft a donc décidé de racheter cette division, dans un effort, indique l'éditeur, de simplifier le travail des entreprises confrontées à un monde hétérogène et des problèmes d'interopérabilité. De fait, tout l'intérêt des solutions d'ALM réside dans cette possibilité de constituer un référentiel central, pour l'ensemble des développeurs et autres acteurs des projets. Jeffrey Hammond, analyste de Forrester, applaudit ainsi à ce mouvement : « Ils auraient dû le faire il y a longtemps. » D'autant, souligne-t-il, que Team Foundation Server représente une alternative économique à des produits comme Rational Team Concert. Le chef produit de Teamprise Martin Woodward annonce lui-même la nouvelle sur son blog, expliquant que Microsoft lui a proposé de rester à son poste. Il continuera donc de gérer les développements à distance (en Irlande du Nord), et assure que son équipe reste également. (...)
(09/11/2009 14:18:14)SAP a souhaité rencontrer Oracle au sujet de sa fusion avec Sun
Mi-septembre, alors que la Commission européenne décidait de prolonger son enquête avant de rendre un avis sur le rachat de Sun par Oracle, le PDG de SAP a adressé une lettre au PDG d'Oracle. Selon le Wall Street Journal, qui en a livré un extrait dans un éditorial en fin de semaine dernière, Léo Apotheker y proposait à Larry Ellison une rencontre pour discuter de la fusion avec Sun et pour aborder d'autres questions en suspens entre les deux éditeurs. Parmi les dossiers ouverts entre les sociétés figure notamment le différend qui les opposent dans l'affaire Tomorrownow, ex-filiale de SAP, Oracle accusant l'éditeur allemand de vol de propriété intellectuelle. Dans son éditorial, le Wall Street Journal s'interroge sur les motivations des régulateurs européens de l'UE. Selon lui, dans les dossiers concernant Microsoft, Intel ou GE-Honeywell, ils apparaissent quelquefois plus enclins à protéger les concurrents qu'à chercher l'intérêt des consommateurs. Le quotidien financier américain va jusqu'à évoquer certains observateurs qui, depuis le début de l'enquête sur la fusion Oracle/Sun, se demandent si la Commission Européenne aurait pu être tentée de freiner ce rapprochement sur l'insistance de l'éditeur allemand. Dans ce contexte, poursuit le WSJ, la lettre envoyée à Larry Ellison laisse-t-elle supposer qu'une intervention de la part de SAP - moyennant un assouplissement de la position d'Oracle sur l'affaire TomorrowNow - pourrait fluidifier le processus de fusion. Il s'agit d'insinuations sans fondement, affirme James Dever, porte-parole de SAP interrogé vendredi par nos confrères d'IDG News Service. En désaccord avec « les suppositions et déductions » du quotidien, il estime que l'on surestime ce que SAP est en mesure de pouvoir faire. Il confirme néanmoins l'envoi d'une lettre à Larry Ellison dans un souci « de dialogue ». « Le fait est que nous avons des liens importants avec Oracle qui vont au-delà d'un procès. » Les deux éditeurs ont en particulier de nombreux clients en commun, rappelle James Dever. « Nous sommes des partenaires tout autant que des concurrents. » (...)
(05/11/2009 16:30:32)Gestion logistique : JDA Software finit par racheter i2 Technologies
Après une première tentative de rachat en août 2008, interrompue quatre mois plus tard en raison de la situation économique défavorable, l'Américain JDA Software est reparti à l'assaut de son concurrent i2 Technologies. L'éditeur spécialisé dans les solutions de gestion logistique vient d'annoncer avoir signé un accord pour acquérir la société texane pour 434,4 millions de dollars, soit 18 dollars par action i2. Un montant à comparer aux 346 M$ proposés l'an dernier par JDA. Entre temps, l'action de i2 a été revalorisée. Le chiffre d'affaires combiné des deux sociétés sur douze mois s'élevait fin septembre à 617 M$. Selon JDA, cela inclut 275 M$ de revenus de maintenance et de souscriptions récurrentes. L'activité de service pèse 216 M$. I2 Technologies a été cofondée par Sandjiv Sidhu et Ken Sharma en 1988. (...)
(28/10/2009 12:55:11)Dassault Systèmes rachète à IBM la division des ventes de son PLM
Dassault Systèmes a signé un accord pour racheter pour 600 M$ la division d'IBM qui vend et supporte son offre de PLM (product lifecycle management). L'éditeur français, numéro un mondial sur ce marché, propose une gamme PLM v6 d'outils de gestion du cycle de vie des produits industriels depuis leur design et leur conception jusqu'à la fabrication, dans un monde 3D. Depuis 27 ans, IBM est son partenaire commercial privilégié. Mais voilà déjà quelques mois voire années que ce mariage de raison bat de l'aile. La réintégration des ventes PLM d'IBM devrait clarifier la situation. Dassault Systèmes reprend toute la maîtrise de sa clientèle grand compte qui, comme il le précise, devrait apprécier de dialoguer avec un interlocuteur unique. Mais le Français laisse aussi tout le loisir au géant américain de travailler plus librement avec ses concurrents, comme Siemens PLM Software ou PTC. Depuis 2005, Dassault systèmes a déjà progressivement récupéré la distribution de ses produits à destination des PME avant de transformer, en France, la division qui en a la charge en une société indépendante en 2008 . Par le biais de ce rachat, le Français devrait aussi devenir IBM Global Alliance Partner. 700 employés d'IBM viendront rejoindre les rangs de Dassault Systèmes qui hérite par ailleurs du support de 1000 clients IBM. Cette acquisition en cash devrait être effective au premier semestre 2010, sous condition d'acceptation par les autorités de régulation. Les deux entreprises devraient continuer de collaborer par ailleurs afin de proposer des offres de PLM en cloud. (...)
(22/10/2009 15:10:14)L'UE sermonne Oracle pour son manque de coopération
L'Union Européenne vient de tancer Oracle pour son manque de coopération dans l'enquête concernant l'acquisition de Sun. Le Vieux-Continent a en effet réclamé cet été des compléments d'informations concernant entre autres le traitement qui sera réservé à MySQL, avant de se prononcer sur l'opération -l'absorption de Sun par Oracle entraineraît l'intégration de MySQL chez le géant du SGBD et génère des interrogations sur le respect de la concurrence sur ce marché- Oracle, de son côté, n'a de cesse de se plaindre de la lenteur des autorités européennes à approuver le rachat. Une lenteur qui générerait, selon le CEO d'Oracle, Larry Ellison, 100 M$ de pertes mensuelles à Sun, qui annonce 3000 suppressions de postes, en blamant indirectement la Commission. A l'occasion d'une rencontre mercredi à Bruxelles avec Safra Catz, présidente d'Oracle, la commissaire Neelie Kroes s'est livrée à une rapide mais ferme mise au point. Elle a diplomatiquement exprimé « son désappointement vis à vis d'Oracle qui, malgré des demandes renouvelées, n'a pas réussi à proposer de solution aux problèmes de concurrence identifiés par la Commission ou à produire la moindre preuve qu'il n'existe pas de problème de concurrence." Elle a ajouté qu'elle souhaitait aboutir à une décision finale rapide tout en soulignant "que la solution était entre les mains d'Oracle". Une façon, selon George Weiss, analyste au Gartner, de montrer que la Commission ne se laisserait pas impressionner. Un écosystème Sun entièrement paralysé Pour Andrew Butler, autre analyste du même cabinet, ce retard permanent "paralyse tout l'écosystème Sun". Selon lui, les employés, les partenaires et les clients souffrent en attendant que l'opération soit conclue et qu'Oracle publie une feuille de route qui "redonnera confiance au moins dans une partie du portfolio de Sun". Il reste que, comme le rappelle George Weiss, il sera difficile pour Oracle de présenter des preuves que le rachat n'aura pas d'impact sur la concurrence dans l'Open Source en particulier. Il pourrait proposer une analyse du marché des bases de données qui montrerait qu'il existe d'autres options que MySQL dans l'Open Source comme PostgreSQL ou Ingres. Puisqu'Oracle a assuré qu'il ne créerait de filiale pour MySQL, il pourrait aussi choisir de l'inclure dans sa division SGBD et tenter de convaincre la Commission qu'il n'interférera ni dans les développements de MySQL ni dans ceux de la communauté de la base Open Source, imagine George Weiss. "Il semble néanmoins que la Commission Européenne ne veuille pas que MySQL devienne une 'business unit' à part entière au sein d'Oracle », ajoute le consultant. Pour les analystes, si Oracle est surtout en concurrence avec DB2 d'IBM ou SQLServer de Microsoft, en haut de gamme, il va bel et bien devoir « préciser les lignes de démarcation vis à vis de MySQL », selon Andy Butler. L'inquiétude est palpable dans la communauté du Libre. Pour preuve, Richard Stallman, initiateur de GNU et chantre de l'Open Source, a envoyé cette semaine une missive à la Commission Européenne dans laquelle il explique que "si Oracle est autorisé à acheter MySQL, il limitera à coup sûr le développement des fonctions et des performances de la plateforme, entrainant un lourd préjudice pour ceux qui l'utilisent comme moteur de leurs applications." Le Gartner n'est pas du même avis qui rappelle que non seulement il existe d'autres bases Open Source sur le marché, mais aussi d'autres distributions MySQL, qui survivront malgré le rachat. Pour le Gartner, Oracle devrait positionner MySQL comme une option d'entrée de gamme, complémentaire à son offre. "Ils ont largement assez d'opportunités sur le marché haut de gamme pour leur base, comme ils le démontrent avec Exadata, ajoute George Weiss. Ils devraient prendre une journée ou deux pour réfléchir à la chose et ne surtout pas réagir avec impétuosité. La situation exige de réfléchir calmement pour donner la réponse la plus intelligente possible." (...)
(21/10/2009 12:09:17)Sun supprime 3000 postes, en attendant son rachat par Oracle
Sun Microsystems va se séparer de près de 3000 employés dans les 12 prochains mois (10% de l'effectif). Une information qui est loin d'être une surprise. En effet, en attendant que la Commission Européenne donne son aval à Oracle pour le racheter, le constructeur californien perdrait en effet environ 100 M$ chaque mois, aux dires Larry Ellison, CEO d'Oracle. Dans un communiqué envoyé mardi 20 octobre aux autorités de régulation des Etats-Unis, Sun confirme procéder à ce plan de licenciements à cause du "retard pris dans le processus de clôture de l'acquisition." Le constructeur ajoute que cette démarche permettra "d'aligner ses ressources avec ses objectifs stratégiques et économiques." Le Californien estime entre 75M$ et 125 M$ la charge associée à ces départs, essentiellement en primes de licenciements. Une charge qui devrait surtout peser sur les 2e et 3e trimestre de son année fiscale, c'est à dire entre octobre 2009 et mars 2010. Ces licenciements semblaient inévitables, quoi qu'il arrive. Avec ou sans les retards de validation de l'acquisition. Tony Sacconaghi, analyste spécialisé dans la technologie pour Sanford C.Bernstein&Co., Oracle pourrait supprimer jusqu'à 10000 postes, une fois l'opération conclue. En novembre 2008, Sun avait déjà annoncé entre 5000 et 6000 licenciements pour améliorer sa position financière. Une porte-parole du constructeur a précisé que les coupes annoncées mardi venaient bien s'ajouter à ce nombre. Si le DoJ (Department of Justice, ministère américain de la justice) a approuvé le rachat de Sun par Oracle pour 7,4 Md$ en août, la Commission Européenne a préféré lancer une enquête approfondie avant de se prononcer. Cette investigation pourrait se prolonger jusqu'en janvier. La Commission s'inquiète en particulier des conséquences sur le marché de l'Open Source, du passage de MySQL entre les mains du numéro un mondial des SGBD. (...)
(20/10/2009 14:09:55)BMC acquiert Tideway pour ses outils de découverte des éléments du SI
Les liens entre la base de configurations de BMC et l'outil de découverte de Tideway vont se renforcer : BMC a décidé de racheter ce petit éditeur anglais, pour un montant non communiqué. Tideway Foundation, le produit phare de Tideway, est capable d'inventorier un système d'information (hors mainframe), pour y découvrir tant les machines que les applications, en passant par les systèmes d'exploitation ou autres éléments matériels ou logiciels intermédiaires. BMC, comme d'autres partenaires tels que Compuware ou ASG, s'appuyait dessus pour peupler sa CMDB (Configuration management database), le socle de son offre de BSM. Le Business service management a vocation à superviser les systèmes d'information et alerter les responsables de soucis techniques, mais de façon proactive, et sous un angle métier. Les offres de BSM doivent donc connaître l'importance des applications, et les interdépendances avec tous les éléments matériels et logiciels. Cet été, BMC avait complété son offre BSM en rachetant un spécialiste de la supervision de middleware, MQSoftware. On peut aussi noter que l'actuel président de la division Enterprise service management de BMC, Dev Ittycheria, qui chapeaute le BSM, était le PDG de BladeLogic, racheté en mars 2008 pour ses outils d'automatisation de la gestion des serveurs. (...)
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