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Gouvernance de la DSI

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(16/05/2008 17:53:28)
Le coût total de possession, critère numéro un des DSI américaines
Le coût total de possession est le premier critère de choix d'une solution technologique pour les 4700 responsables informatiques interrogés par le cabinet bostonien Aberdeen Group. Ce critère apparaît dans 43% des réponses. Il est suivi de très près par les fonctionnalités du produit (42%). Viennent ensuite, bien plus loin, la solidité du fournisseur (24%), sa connaissance et son expérience des spécificités d'un marché (24%), son expertise sur un secteur ou une industrie (22%) et, pour finir sa réputation (21%). Parallèlement à ces critères, ces responsables informatiques ont élu les acteurs les plus influents sur leur travail en 2007. Les trois premiers éditeurs mondiaux de logiciels applicatifs arrivent en tête. Derrière Microsoft, Oracle et SAP, on trouve IBM, Cisco et HP (voir le tableau ci-dessous). Aberdeen pense que le thème du décisionnel détrônera celui de la mobilité Les technologies relatives à la mobilité, qu'ils estimaient en 2006 être le domaine devant connaître la plus forte croissance en 2007, se retrouvent avec la présence de RIM (Blackberry) en douzième position. Un nain parmi les mastodontes alentours. On notera aussi la huitième place de Salesforce.com, emblématique de l'intérêt porté au logiciel en ligne, ainsi que la onzième de Google. Un classement étonnant si l'on ne pense qu'à la faiblesse des offres professionnelle du moteur de recherche. Pour 2008, la mobilité devrait céder le pas au décisionnel sur le podium des technologies les plus dynamiques. Toutefois, au terme de cette année, il sera difficile d'identifier les sociétés qui bénéficieront de cet intérêt. En effet, 2007 a vu l'absorption de trois spécialistes - Cognos par IBM, Business Objects par SAP, Hyperion par Oracle - et d'importants efforts d'enrichissement fonctionnel par les éditeurs de PGI. (...)
(06/05/2008 16:10:35)IBM juge l'entreprise de demain "avide de changement"
A en croire Daniel Chaffraix, président d'IBM France, l'entreprise de demain sera « avide de changement, innovante et avant-gardiste dans son approche client, révolutionnaire par nature, intégrée à l'échelle mondiale et authentique et responsable ». Telles sont les principales conclusions d'une étude menée par IBM auprès de 1 130 dirigeants d'entreprise (dont 95% interrogés en face à face par le management d'IBM), dévoilée ce matin par Big Blue. Si l'étude ne fait a priori que confirmer la façon dont les chefs d'entreprise se voient - des capitaines visionnaires, parés pour le changement, éthiquement et socialement responsables -, la comparaison avec l'édition 2006 de cette « Global CEO Study » laisse apparaître des évolutions étonnantes. Ainsi, il y a deux ans, la priorité était de s'adapter au marché. « Aujourd'hui, note Raphaël Capelli, vice-président France de Global Business Service (la branche conseil et services d'IBM), il y a plusieurs lignes sur l'agenda, plusieurs priorités avec des poids comparables. » Proportionnellement moins de PDG confiants face à la nécessité de changer La première priorité est de s'adapter au changement. Qu'il s'agisse de faire évoluer le modèle économique, de s'attaquer aux pays émergents ou de s'ouvrir à une nouvelle catégorie de consommateurs très Web 2.0, 83% des dirigeants interviewés disent attendre « des changements substantiels » dans les trois ans à venir. Ils n'étaient que 65% dans l'enquête précédente. En revanche, le fossé se creuse entre ceux qui pensent pouvoir s'adapter au changement et les autres. En 2006, l'écart était de 8%. [[page]]Cette année, il se monte à 22%. Pour Raphaël Capelli, cela montre « une certaine lucidité » de la part des chefs d'entreprise. « Ces derniers sont conscients, dit-il, des problèmes d'accès aux compétences, souvent résolus par des partenariats ou des rachats, eux-mêmes risqués. » Ils craindraient également les chocs culturels : les hommes sont-ils prêts à changer en même temps que l'entreprise ? IBM espère ainsi renforcer l'intimité avec ses clients Interrogé par IBM et présent lors de la divulgation des résultats de l'enquête, Jean Criton, directeur général de Banque Populaire Rives de Paris, abonde sur ce problème de conduite du changement : « Nous avons des outils superbes avec le CRM. Mais il y a le problème humain : il ne faut pas que les conseillers aient l'impression que la machine leur dicte leur comportement. » Etrangement, IBM dit ne pas avoir profité de cette étude pour évaluer la vision des technologies de l'information par les CEO. Toutefois, ce travail n'est pas fait en vain : chaque dirigeant interviewé sera recontacté par IBM pour un débriefing personnalisé. Comme l'explique Daniel Chaffraix, « le but est de créer une intimité des entreprises avec IBM autour de la valeur qu'IBM peut leur apporter [...] et de partager sur le fait que nous sommes capables, du fait de la largeur de notre portfolio, d'amener des réponses à des problématiques qu'on aura soulevées ensemble. En particulier sur ce différentiel entre 'je veux changer' et 'je sais changer'. » (...)
(05/05/2008 17:08:30)Naissance de Connect, regroupement mondial des utilisateurs d'HP
C'est fait, Connect, entité d'envergure mondiale qui vise à fédérer les groupes d'utilisateurs qui gravitent autour de Hewlett-Packard, existe officiellement. Initiative lancée en février dernier, Connect résulte du rapprochement d'Encompass, groupe d'utilisateurs américains, d'HP Interex EMEA, centré sur l'Europe et qui descend de Decus, le groupe d'utilisateurs de DEC, et, enfin, d'ITUG, issu du monde Tandem (systèmes à tolérance de panne achetés par Compaq en 1997). Alors que l'époque des groupes d'utilisateurs florissants - et subventionnés par les constructeurs - est révolue, Connect a l'ambition de réunir 50 000 membres. En France, l'antenne d'HP Interex revendique une base de contacts de 2000 noms, mais ne perçoit pas encore de cotisations de ces personnes. Pour Jean-François Marchal, président d'X9000, intégrateur lyonnais de "systèmes et de stockage pour les entreprises" dont l'origine remonte à l'écosystème de Digital Equipment et qui préside HP Interex France, le grand rendez-vous qui célèbrera la naissance de Connect et permettra de dessiner son avenir sera celui qui se tiendra du 10 au 12 novembre prochain à Mannheim en Allemagne. 1800 participants européens y sont attendus. Connect se pose en fédérateur de tous les groupes utilisateurs. Sa porte reste ainsi ouverte à Vivit qui n'a pas pour l'instant répondu à son invitation. (...)
(16/04/2008 14:56:13)Craig Mundie prend la tête de la division UPG de Microsoft
Créée il y a un peu plus d'un an et dirigée par le directeur général adjoint de Microsoft, Kevin Turner, la division Unlimited Potential Group (UPG) tente de combler le fossé numérique dans les pays en voie de développement. Craig Mundie, responsable recherche et stratégie, vient d'en prendre le contrôle. Selon Microsoft, la mission de l'UPG serait plus dans les attributions de Craig Mundie puisque ce dernier a en charge la stratégie et la recherche de Microsoft. Il serait donc mieux placé pour trouver de nouveaux modèles afin de poursuivre les efforts de Microsoft dans l'expansion de ses technologies dans les pays en voie de développement. Cette réorganisation annoncée mardi dernier prévoit également le départ au début l'automne de Will Poole, co-leader de la division. Il sera remplacé par Anoop Gupta qui échangera son poste actuel de vice président du groupe de collaboration en temps réel de Microsoft pour celui de vice président de l'UPG. Orlando Ayala, autre co-responsable de la division UPG, reste dans ses fonctions. Mais il assurera un rôle plus actif auprès de Kevin Turner et travaillera à l'international avec Jean-Philippe Courtois, Président de Microsoft International. La mission de l'UPG, pour sa part, reste inchangée : promouvoir les technologies de Microsoft dans les pays en voie de développement mais aussi soutenir des programmes pour aider les pays à entrer dans l'ère numérique. (...)
(14/04/2008 11:43:49)La France au 21e rang mondial dans l'adoption des TIC
La France n'a guère progressé depuis deux ans dans le classement annuel du Forum économique mondial, établi avec l'école de commerce Insead, sur l'adoption des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans le monde. 22e en 2005,23e en 2006, elle n'occupe que la 21e place, sur 127 pays, dans le GITR (Global Information Technology Report) 2007-2008 qui évalue plus précisément le niveau de préparation atteint par les pays pour exploiter efficacement les TIC.
Les auteurs du rapport indiquent néanmoins que la France bénéficie d'avancées technologiques et de moyens de connexion satisfaisants. De fait, une lecture détaillée fait apparaître une situation contrastée. Il s'y mêle d'évidents points forts, sur les services administratifs en ligne (sur ce critère, la France est 9e) et les capacités d'innovation (8e place), et des retards, notamment sur les priorités gouvernementales accordées aux TIC (43e place).
Eric Besson, nommé le 18 mars secrétaire d'Etat chargé du développement de l'économie numérique, devra donc s'atteler rapidement à la tâche.
Pays nordiques toujours en tête
Comme l'an dernier, le Danemark et la Suède montent sur les deux premières marches du podium. Depuis sept ans, les pays nordiques se maintiennent dans le Top 10, qui compte aussi la Finlande, l'Islande et la Norvège. L'étude souligne le niveau élevé de leur maturité technologique et les efforts constants de ces régions sur l'innovation et l'éducation. Irène Mia, du Forum économique mondial, co-auteur du rapport avec Soumitra Dutta, de l'Insead, pointe aussi dans ces économies « un marché et un environnement réglementaire propices aux affaires ».
Neuf pays européens (dont les Pays-Bas, le Royaume-Uni et l'Autriche) figurent au Top 15 du GITR 2007-2008. La Suisse, 1ère pour son réseau téléphonique et la maturité d'achat de ses habitants, grimpe à la 3e place (5e en 2006). Les Etats-Unis, 4e, gagnent trois places. Singapour est 5e (-2) et la Corée du Sud, 9e, fait un bond de 10 places. L'Estonie, qui a redoublé d'efforts pour s'approprier les nouvelles technologies, se maintient en 20e position.
L'Afdel en appelle au nouveau secrétaire d'état
Pour l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels), le rapport 2007-2008 du Forum économique mondial ne fait que confirmer ce qu'elle a mis en avant dans son Pacte France Numérique, adressé en février dernier aux candidats aux élections municipales. « La France est en retard, tant du point de vue des infrastructures et de l'équipement, que de la capacité à générer des champions, indique son président Patrick Bertrand. Alors que nos voisins nordiques ont su mettre en oeuvre le cercle IT vertueux : une éducation de haut niveau, une forte adoption individuelle des TIC, un écosystème propice aux sociétés high tech... »
Le président de l'Afdel ajoute que les éditeurs français attendent beaucoup de l'entrée du développement du numérique au gouvernement, « la lettre de mission reçue par le secrétaire d'état Eric Besson plaçant avec raison l'industrie du logiciel au coeur des préoccupations ».
Pour Patrick Bertrand, l'effet levier des TIC sur la croissance fonctionne au ralenti en France. « Nous allons démontrer que le logiciel peut relancer significativement la machine », promet-il.
70 variables sur le contexte, la maturité et les usages
Pour établir leur classement mondial, l'Insead et le Forum économique mondial ont retenu quelque 70 variables réparties en trois grandes catégories : le contexte (marché, environnement politique et réglementaire, état des infrastructures), la maturité technologique (des individus, des entreprises et du gouvernement) et les usages. Ces critères englobent, par exemple, la part de la haute technologie dans les exportations, la capacité à trouver des investisseurs, ou encore, le délai requis pour créer une entreprise. Sont également pris en compte la législation relative à l'utilisation des TIC, le nombre de brevets déposés par million d'habitants dans l'année, la qualité de l'enseignement supérieur ou le coût des communications mobiles.
Améliorer l'accès au capital risque
Bien placée sur l'e-administration, devant le Royaume-Uni et le Japon, la France double également les Etats-Unis et Israël sur les capacités d'innovation, où elle se place juste derrière la Corée. Elle grimpe à la 1ère place pour la qualité de ses écoles de gestion, à la 3e pour la qualité de ses sites gouvernementaux, à la 5e pour le nombre de ses fournisseurs et au 12e rang pour le taux d'abonnés à l'Internet haut débit pour cent habitants. On la trouve 14e sur les achats gouvernementaux de produits high-tech.
En revanche, pour la facilité d'accès au capital risque, l'Hexagone n'est que 30e, de même que pour le niveau de collaboration entre universités et industriels. Et, elle chute à la 111e place pour le poids des contraintes réglementaires. D'une façon générale, le niveau de préparation des entreprises et du gouvernement semble avoir marqué le pas pour le pays en 2007, si l'on en croit le rapport, alors que la maturité technologique individuelle, elle, progressait.
A noter que le rapport 2007-2008 a été sponsorisé par Cisco.
En savoir plus :
Accès à la consultation interactive du Global Information Technology Report 2007-2008 établi par le World Economic Forum et l'Insead :
- Pour l'ensemble des 127 pays.
(...)
Après des résultats dans le rouge, Team Partners change son état-major
Révisez vos fichiers ! Annoncée le 14 février dernier, l'arrivée de Mohamed Bouighamedane comme Pdg de Team Partners Group est confirmée depuis l'Assemblée générale du 3 avril. Il a remplacé Patrick Puy, nommé en octobre 2006 pour succéder à Gérard Guyodo. Le directeur général délégué, Gérard de la Horie, également nommé au mois d'octobre dernier est en revanche confirmé dans ses fonctions. Il est chargé des parties financières et juridiques du plan de redressement, notamment de la rénégociation en cours de la dette sociale. Un deuxième directeur général entre en scène depuis le 3 avril pour reprendre en main le commercial : Denis Marsault. Enfin, le directeur financier arrivé au mois d'octobre dernier, Jean-François Busnel cède sa place ce vendredi soir à Hervé Pagasani. Il y avait urgence. Les difficultés viennent du rachat de la société Datem, au mois d'octobre 2006. Spécialisée dans la gestion d'abonnements pour la presse, elle est profondément restructurée (50 départs sur les 120 postes supprimés dans le groupe). Une dépréciation pour écarts d'acquisition est d'ailleurs annoncée de 15 M€. Team Partners Group est engagé dans un plan de restructuration comprenant : une réduction des coûts de fonctionnement, la renégociation de la dette, une augmentation de capital, le renforcement du top management. Le redressement prendra effet en 2009. En terme opérationnel, les activités du groupe sont désormais organisées en deux business unit : l'une correspond à Datem, l'autre concerne l'activité SSII à l'intérieur même de Team Partners Group. Celle-ci regroupe l'infogérance applicative, la gestion documentaire, la supply chain, le management de parcs informatiques. (...)
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