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Gouvernance de la DSI

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(04/04/2008 11:31:35)

Le centre hospitalier d'Arras Grand Prix des Trophées Entreprise et Société de l'information

Et le Grand Prix de l'édition 2008 des Trophées Entreprise et Société de l'information est attribué au centre hospitalier d'Arras. CIO et LeMondeInformatique.fr ont décerné hier soir ces Trophées, qui récompensent le travail effectué par la direction informatique d'une entreprise, d'une association ou d'une collectivité au service d'un projet métier. Le centre hospitalier d'Arras a été particulièrement distingué par le jury parmi les douze nominés en cette huitième année de remise des Trophées. Il s'agissait en effet tout à la fois d'un grand projet, d'un projet de transformation, de mise en oeuvre de technologies innovantes. Dans le cadre du plan Hôpital 2007, le centre hospitalier d'Arras a été reconstruit, et la direction de l'hôpital en a profité pour reconstruire également totalement le système informatique. Comme l'explique le dossier de candidature du CH d'Arras, les objectifs étaient de : « recentrer les équipes soignantes sur leurs missions propres en optimisant leur temps de travail ; être attractif pour la clientèle avec des prestations hôtelières de qualité ; ne saisir qu'une fois et une seule les données d'un patient, quel que soit le portail d'entrée ; améliorer la communication vers les acteurs extérieurs pour une meilleure continuité des soins. » [[page]] Le centre hospitalier a donc établi un réseau tout IP (backbone à 20 Gb/s, 4600 points de connexion, couverture Wifi globale grâce à 500 bornes) devant permettre de déployer des applications innovantes : téléphonie sur IP, terminaux multimédias dans les chambres des patients (servant aussi bien à regarder la télévision ou jouer qu'à consulter, lorsque le médecin s'y connecte, le dossier du patient), tablettes graphiques communicantes pour le personnel soignant, etc. Plus les échanges informatisés avec les médecins de la région, et la mise en place d'un système de télémédecine avec un hôpital cambodgien. Assad 77, Axa Tech, le CG10, Gaz de France, Real.Not également honorés Cinq autres projets ont été récompensés lors de cette soirée à la Maison de l'Amérique latine. Gaz de France s'est vu décerner le Trophée du Grand projet, lié à sa scission d'avec EDF. Le Conseil supérieur du notariat (Real.Not) a obtenu le prix Infrastructure pour son service de signature électronique pour les actes authentiques dématérialisés. Assad 77, association d'aide à domicile, est reparti avec le Trophée de l'Innovation, pour son système de gestion des ressources humaines alimenté par les bénévoles et employés directement depuis leur téléphone mobile. Le Trophée de la Transformation a récompensé Axa Tech pour sa mue en un centre de services informatiques de la société d'assurances selon les méthodologies en vigueur. Enfin, le Conseil général de l'Aube (CG10) a reçu le Trophée du Service au client pour son extranet offrant un bouquet de services accessibles aux collectivités du département. (...)

(27/03/2008 12:28:40)

SAP poursuivi par le numéro un américain des déchets

Waste Management, numéro un américain de la gestion des déchets, pense qu'il va devoir mettre à la poubelle le module SAP censé assurer la gestion et le suivi réglementaire de ses déchets. Il lui ferait « perdre de l'argent ». Du coup Waste Management réclame 100 M$ à SAP. Ce module "Waste and Recycling" a été conçu par SAP pour répondre aux contraintes réglementaires de la gestion des déchets aux Etats-Unis. Il est supposé assurer la facturation, la logistique des déchets, la gestion des bennes et l'informatique embarquée. Waste Management, qui qualifie son déploiement de « désastre complet », envisage d'inscrire une perte à son bilan. Parmi les accusations qui étayent son procès contre SAP, la société affirme que la version pour les Etats-Unis de ce module est « mal développée, mal testée et défectueuse ». Sur son exercice 2007, clos en décembre, Waste Management a réalisé un CA de 13,31 Md$ (-1%), assorti d'un résultat net de 1,16 Md$ (+1%). SAP s'est refusé à tout commentaire. (...)

(26/03/2008 17:18:24)

Le nouveau DSI de l'Apec prévoit « un mini Big Bang »

Thierry Roche, 47 ans, vient de rejoindre l'Apec en qualité de directeur des systèmes d'information. Il sera chargé, à ce titre, de la gestion et du développement des systèmes d'information de l'association pour l'emploi des cadres. Titulaire d'un DEA en informatique, il a démarré sa carrière chez Unilog, avant de rejoindre le groupe PSA, où il a occupé différents postes à la division systèmes d'information, pendant une dizaine d'années. De 2000 à 2008, il a été successivement directeur des systèmes d'information de la réunion des musées nationaux (RMN), puis du ministère de la Culture. En exclusivité, il livre à LeMondeInformatique.fr ses intentions concernant le système d'information de l'Apec et les évolutions du site Web, qui enregistre 160 000 visites par jour. Thierry Roche estime que « c'est l'occasion de revisiter notre architecture technique ainsi que nos méthodes de conception et de gestion de projet. Un mini Big Bang qui devrait se faire sur les deux années à venir. » (...)

(25/03/2008 13:04:22)

L'informatique décisionnelle s'émancipe des DSI

A en croire Gartner, les DSI pourraient bien être à leur tour victimes du progrès technologique. Les analystes de ce cabinet prédisent que, d'ici à 2012, l'évolution des technologies qui permettent de s'adonner à l'informatique décisionnelle (alias Business Intelligence) aura été telle que les utilisateurs pourront mettre en place eux-mêmes les outils dont ils auront besoin. Sans avoir à faire appel à la DSI... Cette mutation profitera bien sûr à l'informatique décisionnelle. Aujourd'hui, elle souffre d'une réputation, somme toute méritée, de complexité. Du coup, seulement 15% à 20% des utilisateurs exploitent pleinement ses possibilités. Demain, prédit Gartner, les technologies de visualisation interactive, les moteurs de recherche, les architectures orientées services, voire les offres de logiciels en ligne concourront à faciliter la mise en place et l'usage d'outils décisionnels. Gartner est convaincu que ces progrès technologiques et ergonomiques permettront de toucher les 80% d'utilisateurs potentiels restants. Ils devraient y trouver doublement leur compte. En effet, ils pourront enfin se débarrasser des fastidieuses tâches de mise à jour de tableaux de bord personnels, seul moyen à leur portée aujourd'hui pour disposer d'indicateurs. Les DSI ne doivent pas s'illusionner : la tendance est irréversible. Gartner leur déconseille d'adopter une attitude de résistance - comment détourner des utilisateurs d'interfaces et d'outils qui vont modifier leur façon de travailler autant que les tableurs en leur temps ? La bonne attitude est celle de l'accompagnement de la démarche. (...)

(21/03/2008 09:37:39)

Les DSI majoritairement tenus à l'écart des grandes décisions, selon The Economist

Les DSI sont tenus à l'écart des principales décisions dans les technologies de l'information par leurs conseils d'administration, en dépit de l'importance de ces technologies dans les stratégies d'entreprise. C'est le verdict d'un nouveau rapport publié par l'Economist Intelligence Unit, émanation de la revue britannique The Economist, qui a interrogé 185 cadres dirigeants, dont des DSI et des PDG, en Europe, Moyen-Orient et Afrique, pour le compte de McAfee, l'éditeur de sécurité bien connu. Moins de la moitié des DSI présentent des problématiques tenant aux systèmes d'information au comité de direction, selon le rapport. Et 45% d'entre eux voient leur PDG prendre le leadership lors de débats impliquant la technologie. Dans 20% des cas, ce sont les directeurs financiers qui représentent les équipes informatiques dans les réunions dirigeantes, et ils voient dans leur écrasante majorité l'informatique comme une simple fonction d'appui, fournissant des services, y compris de sécurité. La contribution du DSI tout de même mieux perçue [[page]] Néanmoins, 83% des répondants déclarent que le profil du DSI s'améliore aux yeux du comité de direction, car de plus en plus de dirigeants voient la contribution du système d'information à la génération de revenus, à la sécurité et à la gouvernance d'entreprise. Mais les DSI peuvent s'attendre à ce que l'on leur demande de toujours fournir plus pour moins cher, car la dépense en technologies de l'information pour ce qui concerne la gestion de risques et la conformité réglementaire n'augmentera pas dans nombre d'entreprises, même si huit dirigeants sur dix s'attendent à ce que le fardeau réglementaire s'alourdisse. Clint Witchalls, rédacteur en chef à l'Economist Intelligence Unit, estime que la bataille des DSI, afin d'être reconnus au niveau du comité de direction, « n'est pas encore terminée ». Il ajoute : « Le DSI doit faire attention à ce que le ralentissement économique actuel ne les ramène pas à leur ancien rôle de pousseurs de boîtes réducteurs de coût.s » (...)

(12/03/2008 15:06:18)

Les trois quarts du temps, la menace vient de l'intérieur

EuroCACS, conférence européenne sur les politiques de sécurité (audit, gouvernance, conformité.), s'est achevée à Stockholm sur l'habituel constat désabusé : la majorité des risques provient de l'intérieur d'une entreprise. Evoquant le récent scandale de la Société générale avec les faux emails de Jérôme Kerviel, les conférenciers ont rappelé les chiffres du cabinet ISCSA : « Malgré toute l'attention portée aux intrusions et aux virus, il y a 72% de chances que la prochaine attaque réussie provienne de l'intérieur. » Comme il a été souligné lors de cette European Computer Audit Control and Security Conference, ces attaques ont en outre des conséquences plus fâcheuses, dans la mesure où un collaborateur peut avoir accès à plus de systèmes, et sur un temps plus long. Les motivations sont également plus diverses : gain financier, bien sûr, mais aussi curiosité, revanche, etc. Les mesures contre ce type de délinquance doivent, selon les conférenciers, passer d'une part par des actions menées par le département RH de l'entreprise, en vue de renforcer la loyauté des collaborateurs, et d'autre part par une politique de surveillance menée par le département sécurité. Mais attention, a souligné Urs Fischer, vice-président responsable de la gouvernance et de la gestion du risque chez SwissLife, cette politique doit être clairement expliquée aux salariés : « Il faut le faire, mais le faire de façon très ouverte, et surtout pas surveiller les employés en douce. » Comme dans toute affaire de sécurité, les participant ont convenu qu'il n'y avait pas de réponse technologique capable de parer à toute éventualité. (...)

(05/02/2008 12:31:38)

Un chercheur français du CNRS reçoit le prix Turing

Le prix Turing revient à un chercheur français cette année. Joseph Sifakis, directeur de recherche et fondateur du laboratoire grenoblois Verimag du CNRS, devient ainsi le premier Français à recevoir l'une des plus hautes distinctions en informatique. Cette récompense est décernée chaque année depuis 1966 par l'ACM (« Association for Computing Machinery ») et distingue des chercheurs pour l'impact technique majeur et durable de leurs recherches en informatique. Elle a été remise au chercheur français pour ses travaux conduisant à l'élaboration du model checking, une technologie de vérification des systèmes complexes, à présent très utilisée dans les industries logicielles et matérielles. Joseph Sifakis, docteur d'Etat en informatique à l'université de Grenoble a commencé ses études en ingénierie électrique à Athènes, avant de rejoindre le département informatique de l'établissement grenoblois. Fondateur de Verimag, l'un des premiers laboratoires de recherche dans le domaine des systèmes embarqués critiques, il est notamment à l'origine des fondements théoriques et technologiques ayant conduit à l'élaboration de l'outil Scade, utilisé par Airbus pour la conception et la validation des systèmes critiques temps-réels. Il est également le coordinateur scientifique du réseau européen d'excellence sur les systèmes embarqués Artist2, qui rassemble 35 des meilleures équipes européennes de recherche dans ce domaine. Président de la Chambre B (organisme de recherche public) d'Artemesia - association industrielle rattachée à la plate-forme technologique européenne Artemis - , il dirige parallèlement l'institut «logiciels et systèmes Intelligents» labellisé Carnot, à Grenoble. Membre du comité éditorial de nombreux journaux, co-fondateur de la conférence internationale sur la vérification assistée par ordinateur (CAV), Joseph Sifakis fait également partie du comité directeur d'Emsoft (Conférence sur les logiciels embarqués). Il a reçu la médaille d'Argent du CNRS en 2001. (...)

(01/02/2008 17:08:15)

Etude DSI : trop de responsables tue l'esprit de décision

Les directeurs des services informatiques européens ne sont pas heureux. Selon l'étude Pressure Point Index menée par le cabinet Penn, Schoen et Berland Associates pour HP, 82% d'entre eux estiment qu'il y a trop de personnes impliquées (notamment les actionnaires et les consultants extérieurs) dans les prises de décisions concernant les systèmes d'information. Pour 76% des 234 responsables informatiques de sociétés de plus de 1000 salariés interrogés en Allemagne, en France, au Royaume-Uni et en Italie, cette multiplication des décisionnaires conduit à l'absence de stratégie IT claire dans leur entreprise. Alors qu'ils sont 90% à reconnaître qu'une ligne directrice forte dans ce domaine aurait un impact bénéfique sur leur business. L'une des explication de ce phénomène est l'accroissement des connaissances IT - plus ou moins bien assimilées - par l'encadrement. Ils sont de plus en plus nombreux à se sentir aptes à prendre des décisions eux-mêmes, quitte à passer par dessus l'avis des directeurs informatiques. Pour HP, qui a sponsorisé cette étude, ce sont les directeurs informatiques eux-mêmes qui doivent reprendre en main la stratégie IT de leur groupe, en mettant en avant auprès de chaque business unit leur valeur ajoutée. Sinon, à terme, c'est leur poste même qui sera menacé. De grandes sociétés, dont Boots (l'équivalent anglais de Séphora) ou Tesco, n'ont plus de directeur informatique distinct. (...)

(24/01/2008 16:44:43)

Avec FOSSology, HP traque l'Open Source dans les systèmes d'informations

Comme toutes les grandes sociétés, le système d'informations d'HP regorge de logiciels divers et variés, notamment en Open Source. Or savoir quelle licence s'applique à quelle partie du SI relève parfois du vrai casse-tête. Les développeurs d'HP ont donc conçu un produit maison, nommé FOSSology, qui - à la manière de Black Duck - retrouve les logiciels Open Source installés dans un système d'informations et en analyse le code source pour savoir quelles sont les licences utilisées. Si les informations ainsi remontées sont de bonnes indications sur ce qu'il est possible de faire ou de ne pas faire avec un logiciel, les développeurs d'HP se déchargent de tout problème juridique en précisant : « En général, les résultats d'analyses sont très bons, mais ne devraient pas être considérés comme faisant autorité. (ou pour faire simple : nous ne sommes pas des avocats. Le code fait de son mieux, mais laissez les décisions juridiques à vos juristes.) » FOSSology est disponible gratuitement sous licence GPL 2.0. Dans le futur, il devrait également servir pour faire l'analyse des patches installés, détecter la réutilisation de code, et remonter les alertes de sécurité. (...)

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