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Green IT

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(25/01/2010 15:40:05)

Participer au prochain Forum Green IT du Monde Informatique et de CIO

Lors de cette conférence, des experts, des décideurs IT et des représentants de leaders technologiques vous aideront à comprendre comment adopter une attitude éco-responsable. Un déchet est une perte, de l'énergie gaspillé se traduit par une facture plus lourde : une attitude éco-responsable induit donc des bénéfices financiers directs ainsi qu'une amélioration de l'image de l'entreprise. Parmi les thèmes qui seront développés lors de cette matinée citons : - « Green-IT » : comment adopter une attitude éco-responsable au sein de la DSI ? La DSI doit contribuer par sa propre attitude à l'éco-responsabilité de l'entreprise. Dans ses domaines d'intervention, notons : la gestion de parc informatique pour le rendre éco-compatible, l'optimisation de l'impression, la baisse de la facture énergétique, l'optimisation du parc applicatif... L'attitude éco-responsable est aussi financièrement rentable. - « IT for Green » : comment la DSI peut aider son entreprise/administration à adopter une attitude éco-responsable ? Grâce à l'informatique, une organisation peut réduire son empreinte carbone. Le point le plus évident est celui de la vidéo-conférence qui permet d'éliminer des déplacements. La gestion des obligations réglementaires supposent également des procédures et des outils adaptés. Suivez le lien pour vous inscrire. (...)

(28/12/2009 14:43:40)

Comment calculer sa taxe carbone sur Internet

Pour aider les particuliers à calculer le montant de la taxe carbone qu'ils paieront en 2010, ainsi que le montant de la compensation, l'association de consommateurs CLCV (Consommation, logement et cadre de vie) met à leur disposition un outil en ligne. Lors de l'annonce des modalités d'application de la taxe carbone, en septembre dernier, Nicolas Sarkozy avait expliqué, par exemple, qu'un foyer urbain avec un enfant bénéficierait d'une baisse d'impôt de 112 euros ou d'un chèque-vert d'un même montant. Ce montant passe à 142 euros pour une famille habitant en zone rurale. En effet, le montant de la taxe et de sa compensation varieront en fonction du lieu d'habitation (ville ou campagne), du nombre de personnes dans la famille et de la desserte en transport en commun du lieu d'habitation. La taxe, d'un montant de 17 euros la tonne de CO2, entrera en vigueur en janvier prochain. Elle sera applicable sur le pétrole, le gaz et le charbon. Les bénéfices de la taxe doivent être entièrement reversés aux ménages par le biais d'une réduction d'impôt ou d'un chèque-vert pour les Français non-imposables. Site : www.taxe-carbone.clcv.org Mise à jour du 30/12/09 : la taxe carbone n'entrera finalement pas en vigueur ces prochains jours : elle a été retoquée par le Conseil constitutionnel le 29 décembre. (...)

(18/12/2009 15:45:41)

L'offre cloud d'Orange reprend les bonnes recettes du Minitel

Tout le monde n'attendait plus que l'annonce officielle : c'est fait, Orange Business Services a présenté son offre de cloud, ainsi que sa feuille de route. Barbara Dalibard, patronne démissionnaire d'OBS (après 30 ans de carrière chez France Telecom, elle rejoint la SNCF pour diriger la branche TGV), a expliqué le pourquoi de ce retard à l'allumage : « On a un peu attendu parce qu'on voulait être sûr que notre équipe ait construit une légitimité forte. » Cela passe, dit-elle, par la mise en oeuvre de services applicatifs au-dessus de la simple fourniture de puissance informatique à la demande ; comme pour le Minitel, ce seront les services applicatifs proposés par Orange qui devront assurer le succès commercial. « Nous devions pouvoir gérer la couche collaboration nous-mêmes, que cela soit une preuve pour nos clients. En tant qu'opérateur, le premier service sur lequel on doit être bon, c'est la communication. » Barbara Dalibard : « Le cloud, c'est notre métier » En ouverture de la conférence de presse, Camille Mendler, du Yankee Group, a servi sur un plateau les arguments qui donnent aussi à la branche services d'Orange sa légitimité : « Lors des études que j'ai menées sur le cloud, j'ai été surprise de l'absence de questions sur la partie connexions, réseaux, accès redondants... Or, c'est absolument indispensable ! » Et Barbara Dalibard d'aligner les chiffres et l'historique de France Telecom pour expliquer combien « le cloud, c'est notre métier », quelque chose « basé sur l'ADN d'un opérateur ». Orange peut en effet se targuer de gérer 30 000 sites en VoIP, 12 millions de clients abonnés à Internet haut débit, 10 000 sites en mode Centrex... ainsi que rien de moins que « le réseau mondial le plus développé de la Terre ». Pour Barbara Dalibard, opérer un cloud est finalement très proche du métier d'opérateur. Elle énumère ainsi les compétences similaires : infrastructure mutualisée étendue, engagements sur sécurité et la qualité de service de bout en bout, opération 24x7, facturation à l'usage, gestion des services aux utilisateurs finaux, respect de la conformité réglementaire, mise à disposition d'un portail pour la gestion, les commandes et le reporting... « Cerise sur le gâteau », fait-elle remarquer, décharger les clients de la gestion de leur informatique diminue leur consommation énergétique, et contribue à leurs stratégies de Green IT. L'ambition : constituer un portefeuille global de services applicatifs en ligne facturés par Orange De façon plus discutable, Barbara Dalibard a aussi repris les propos de Camille Mendler sur la nécessité pour les entreprises de s'appuyer sur un tiers de confiance. Pour l'experte du Yankee Group, en effet, les entreprises vont probablement choisir de recourir à plusieurs prestataires. Il y aura donc des besoins en compétences techniques, mais aussi des besoins en termes d'analyse et de suivi des offres : il faudra s'assurer que les opérateurs de cloud disposent de réseaux et de serveurs redondants, de plans de continuité de l'activité et de reprise après sinistre, d'outils de surveillance, etc. En d'autres termes, « les entreprises auront besoin d'intermédiaires de confiance qui pourront intégrer, gérer, mesurer les garanties et s'appuyer sur tel ou tel en fonction des demandes des entreprises, et enfin payer les tiers ». Est-ce un nouveau rôle pour les opérateurs, s'interroge l'analyste. Bien que le profil soit plus probablement celui d'une société de conseil spécialisée indépendante, Barbara Dalibard n'hésite pas à endosser ce costume. Mais à entendre le discours de Didier Jaubert, un ancien d'IBM Global Services chargé par Barbara Dalibard de porter l'offre Cloud, ce rôle d'intermédiaire se verrait plutôt entre les éditeurs de logiciels, appelés à s'appuyer sur le cloud d'Orange pour proposer leurs offres enligne, et les entreprises. La véritable ambition de l'opérateur est en effet de constituer un portefeuille global de services applicatifs en ligne, disponibles depuis un portail unique (le "Saas Store", cf. capture ci-dessus), avec une facturation unique - soit le modèle du Minitel puis du mobile. Cloud et Saas ont beau être des concepts modernes, les vieux réflexes ont la vie dure. (...)

(11/12/2009 16:43:50)

SAP livre un outil de reporting pour piloter sa stratégie de développement durable

Engagé depuis plusieurs mois sur le terrain du développement durable, tant par des actions menées au sein de ses équipes que par la commercialisation de logiciels spécifiques, SAP vient de compléter son offre dans ce domaine. Après la solution EHS (Environment, Health and Safety), livrée en mars dernier pour suivre notamment les contraintes liées à la sécurité sanitaire et gérer les risques, et le logiciel Carbon Impact, proposé en ligne pour calculer ses émissions de gaz à effet de serre, l'éditeur livre cette fois une application de reporting. L'objectif de SAP BusinessObjects Sustainability Performance Management est de faciliter le suivi d'une politique de développement durable en élaborant et en surveillant une série d'indicateurs clés de performances sur les plans économique, social et environnemental. Le logiciel fournit des outils de reporting graphiques et de tableaux de bord. Il permet surtout de rassembler en un seul point toutes les données nécessaires à cette évaluation en s'intégrant avec les logiciels de gestion de SAP, ainsi qu'avec les autres applications. Il peut aussi s'utiliser de façon indépendante. Chaque entreprise adapte ses indicateurs à son activité Charles Zedlewski, responsable de la solution SAP GRC (Governance, Risk and Compliance), considère que le marché est désormais mûr pour aborder cette catégorie d'applications, alors que les entreprises sont amenées de plus en plus souvent à prouver à leurs clients et à leurs actionnaires qu'elles se sont véritablement engagées dans un processus d'amélioration de leurs pratiques. SAP a inclus un jeu d'indicateurs clés dans son logiciel, mais les utilisateurs peuvent également créer leurs propres métriques afin de disposer de mesures adaptées à leur activité (industrie, service...). Le prix de l'offre n'a pas encore été communiqué. Charles Zedlewski évoque néanmoins une tarification plutôt incitative pour favoriser l'adoption de l'outil. Le logiciel a obtenu la certification du GRI (Global reporting initiative), organisation créée à la fin des années 90 qui a jeté les bases d'un cadre pour communiquer sur les données de développement durable. Invité à témoigner lors de l'annonce du produit, un premier client, le fabricant d'imprimantes Lexmark, a notamment précisé qu'il avait pu développer des indicateurs correspondant aux informations qui lui étaient réclamées dans le cadre de projets d'évaluation de performances tels que celui du Dow Jones Sustainability Index. En mai dernier, SAP a lui-même publié son deuxième rapport de développement durable. (...)

(10/12/2009 15:49:19)

Fracture numérique : la loi définitivement adoptée par le Sénat en 2e lecture

En deuxième lecture, le Sénat vient d'adopter définitivement, et sans modification, la proposition de loi relative à la lutte contre la fracture numérique. Celle-ci qui avait été modifiée le 1er décembre par l'Assemblée nationale en première lecture. Les députés avaient notamment approuvé la proposition du sénateur Pintat de créer un fonds d'aménagement numérique des territoires. Géré par la Caisse des dépôts et consignations, ce fonds aura pour objet de « contribuer au financement de certains travaux de réalisation des infrastructures ». Il viendra aider les opérateurs à déployer le très haut débit dans les zones où il n'aurait pas été rentable de le faire seul. Aucun des vingt-et-un amendements déposés sur le texte n'aura donc été retenu. Ils ont tous été rejetés ou déclarés irrecevables (l'amendement n°7 avait été retiré). Parmi ceux-ci, l'amendement 12, déposé par le sénateur socialiste Michel Teston proposait par exemple, d'alimenter le fonds d'aménagement numérique par une contribution versée par les opérateurs, calculée sur le chiffre d'affaires. La proposition visait à doter le fonds d'une ressource pérenne. Les sénateurs de gauche ont majoritairement voté pour, mais l'UMP et le Groupe Union centriste ont voté contre. Le Sénat n'a donc pas adopté cet ajout. (...)

(04/12/2009 16:59:12)

Bouygues Immobilier reçoit le 1er Grand prix de la croissance verte numérique

Bouygues Immobilier, Watteco, Alcatel-Lucent, l'Ecole des Mines de Nantes et Greenext sont les premiers récipiendaires des Prix de la croissance verte numérique, remis ce vendredi matin à Paris. Ce nouveau trophée a été imaginé et mis sur pied par Acidd (Association communication et information pour le développement durable), le Medef (Mouvement des entreprises de France) et la Fédération française des télécoms afin de distinguer les entreprises s'appuyant sur les NTIC pour oeuvrer à la fois dans le sens de l'écologie (réduction des gaz à effet de serre, diminution de la consommation de ressources naturelles, etc.) et dans celui des affaires. Comme l'a précisé sur la scène de l'amphithéâtre du Medef le maître de cérémonie Gilles Berhault, président d'Acidd, « il ne s'agit pas seulement de réduire l'empreinte carbone, mais aussi de proposer des produits, de créer de la valeur ». Sous le haut patronage de Michèle Pappalardo, commissaire générale au développement durable (qui dépend du ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du Territoire), se sont succédé les représentants des diverses organisations patronales et industrielles partenaires de l'événement : le président de Microsoft France Eric Boustouller en sa qualité de co-président du comité développement durable de Syntec Informatique, Gabrielle Gauthay, présidente d'Alliance TICS, Joël Karecki, vice-président de la Fédération des industries électrique, électronique et communication (Fieec), Marc Dufau, responsable du pôle environnement, énergies, transports d'Oseo, Yves Le Mouël, directeur général de la Fédération française des télécoms, Daniel Clément, directeur de la recherche de l'Ademe, Marie Nouvel, chargée de communication de la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services (DGCIS), Henri Verdier, directeur de la prospective de l'Institut Télécom et président du pôle de compétitivité Cap Digital et Charles Beigbeder, président de la commission recherche, innovation et nouvelles technologies du Medef. Quatre prix, plus un « coup de coeur » Ce bel aréopage s'est assez maladroitement évertué à faire comprendre - à quelques jours de la réunion de Copenhague - que l'industrie et le gouvernement sont conscients des enjeux et font tout ce qui est en leur pouvoir pour y répondre. Il fut donc beaucoup question de futurs « capteurs intelligents », « réseaux intelligents » ou « smart grids », « transports intelligents »... Seul le bâtiment n'a pas eu l'heur de recevoir ce qualificatif d'intelligent ; il dut se contenter d'être « à énergie positive ». Heureusement, le jury, présidé par Claudie Haigneré (ex-spationaute, ex-ministre de la Recherche et des Technologies, aujourd'hui présidente de la Cité des sciences et de l'industrie de La Villette), a retenu, sur les 98 dossiers soumis, 11 cas franchement exemplaires de ce que l'alliance entre écologie, business et NTIC peut donner (autrement dit, du Green IT). Le Grand prix numérique et développement durable de cette première édition a ainsi été décerné à quelqu'un qui n'est pas un inconnu pour LeMondeInformatique.fr : Christian Grellier, directeur de l'organisation et des systèmes d'information de Bouygues Immobilier, nous avait déjà exposé son « Green IT Center », un datacenter pensé - et facturé par l'hébergeur - en fonction de sa consommation énergétique. Christian Grellier explique qu'un datacenter représente environ 25% de la consommation d'un bâtiment de bureaux. « Et cela montera à 50% avec les immeubles à énergie positive. » Pour réduire la facture, le DSIO de Bouygues Immobilier a choisi la solution du container, où deux rangées de machines (serveurs, alimentation, climatisation) forment un corridor fermé protégé par un toit et équipé de portes à chaque bout. Combiné à « un pilotage temps réel de la performance énergétique », Christian Grellier estime atteindre les 30% d'économies d'énergie. [[page]] Le prix PME de l'innovation numérique pour le développement durable est revenu à Watteco, qui a inventé des micromodules permettant d'échanger des informations entre appareils sur le réseau électrique. Cette utilisation intelligente du concept de courant porteur en ligne laisse entrevoir des possibilités étonnantes : avec des capteurs intégrés dans les appareils électriques, les prises ou les compteurs électriques, Watteco se fait fort de pouvoir indiquer en temps réel la consommation électrique tant au consommateur, pour qu'il adapte ses comportements, qu'au fournisseur, pour qu'il régule au mieux la distribution. La PME sortira d'ailleurs d'ici peu un « barowatt », baromètre de la consommation électrique destiné aux particuliers, qui a fait sensation parmi le public de l'événement. Le prix Entreprise du numérique et développement durable, qui visait à récompenser une démarche « éco-engagée », a été décerné à Alcatel-Lucent, pour son projet de stations de base mobiles alimentées par énergies alternatives (solaire, éolien...). L'équipementier offre ainsi aux opérateurs une solution pour déployer des antennes relais dans des zones jusqu'alors impossibles à couvrir, ou « de rénover leurs sites existants avec des solutions permettant de réduire leur impact environnemental ». Alcatel-Lucent estime qu'il s'agit d'un marché de plus de 100 000 stations à déployer d'ici à 2012, « permettant d'économiser environ 7 millions de tonnes de CO2 par rapport à l'utilisation de groupes électrogènes ou de réseaux électriques classiques ». Mais il s'agit aussi d'une opportunité de business conséquente : ces 100 000 stations représentent quelque « 3 à 5 milliards d'euros ». Le prix Enseignement supérieur et recherche est revenu à l'Ecole des Mines de Nantes, pour le projet Entropy, fruit des travaux de Fabien Hermenier, post-doc, et Jean-Marc Menaud, maître assistant. Le but du logiciel Entropy est de réduire l'empreinte énergétique d'un datacenter grâce à une manipulation très fine des machines virtuelles. La première étape est déjà franchie : il s'agit d'allouer au mieux les ressources, et cela réduirait déjà de moitié la consommation électrique des serveurs. Le logiciel est actuellement testé en ce sens chez Orange, chez Bull et à la Direction générale des finances publiques. Beaucoup plus originale, la seconde étape, en cours, consistera à déplacer les charges des serveurs en fonction de la carte thermique du datacenter, de façon à réduire au maximum les besoins en climatisation. Le jury, qui avait initialement prévu quatre prix, a tout de même décerné un cinquième prix, « coup de coeur », à une start-up qui a su concilier questions environnementales et outils informatiques pour créer un nouveau métier. Fondée en 2007, Greenext a en effet anticipé l'obligation qui sera faite aux industriels et distributeurs d'afficher l'impact environnemental des produits de consommation dès 2011 (loi Grenelle de juillet 2009). La start-up a mis au point à leur intention une méthode de calcul du coût carbone des produits, « en s'appuyant sur une base de données unique comprenant le profil carbone de 500 000 produits de consommation courante ». Il n'est pas sûr que la mention « équivalent CO2 » sur les paquets suscite davantage l'intérêt que celle de la quantité de glucides ou de lipides, mais c'est déjà un début. (...)

(04/12/2009 09:38:42)

Nec EA222WMe : un écran LED vraiment très vert

Avec son EA222WMe, Nec se lance, comme Apple avec son dernier 24 pouces, dans la technologie LED et met en avant les qualités très écologiques de son produit. Tout d'abord, avec 250 cd/m², ce 22 pouce diffuse la même quantité de luminosité qu'un moniteur traditionnel, tout en réduisant sa consommation d'énergie de 52% pour rayonnement de chaleur 61% moindre. Cet écran est aussi plus léger de 25% et utilise 15% d'emballage - fait de matériaux recyclés, faut-il le préciser - en moins. Pas étonnant que cet écran arbore un Energy Star 5.0, un TCO 5.0 et un Epeat Gold. C'est même le moniteur le plus vert proposé par Nec à ce jour. Mais ce n'est pas tout. Le EA222WMe, permet même de mesurer son empreinte carbone, grâce à un outil unique intégré à l'écran, avec possibilité de remise à zéro. Enfin, il dispose d'une fonction présente depuis peu sur tous les téléviseurs de la marque, un compteur de coûts qui affiche la quantité d'électricité économisée ! A côté de cela, le Nec affiche en 1680 x 1050 natif pour 22 pouces et supporte l'image panoramique en 16:10 avec un rapport de contraste dynamique de 30.000:1. En matière de connectivité, le EA222WMe, qui repose sur un support ergonomique orientable, dispose de ports vga et dvi, et d'un connecteur usb. Il intègre enfin une batterie de haut-parleurs multimédia. Prix annoncé aux US : 340 $. Il est disponible depuis décembre. (...)

(03/12/2009 16:34:51)

Pour se développer, le télétravail doit être encouragé, montre un rapport officiel

Le télétravail concerne deux à trois fois plus de salariés dans les pays scandinaves et anglo-saxons qu'en France où la pratique est encore peu répandue. C'est l'un des points que fait apparaître le rapport de 150 pages sur le développement du télétravail, publié fin novembre par le Centre d'analyse stratégique (organisme rattaché au Premier ministre). Dans une dizaine d'années en revanche, le travail à distance, ou mobile, pourrait concerner jusqu'à 40 ou 50% des emplois, mais pour une partie seulement du temps travaillé. Pour se développer toutefois, la pratique devra être encouragée, financièrement et techniquement. Le rapport va jusqu'à suggérer de créer les télécentres de l'ère du Web 2.0. Il convient aussi de sécuriser le cadre juridique. Cette étude, qui dresse l'état des lieux du télétravail dans l'Hexagone, fait suite à une demande de Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique. Elle s'appuie sur deux enquêtes comparant les pratiques de dix à vingt pays de l'OCDE et sur une analyse prospective du potentiel de télétravailleurs à l'horizon des dix prochaines années. Si ses auteurs présentent les effets positifs du travail mobile dans les pays qui l'ont adopté, ils n'omettent pas non plus d'exposer les obstacles et risques qui s'y rattachent. Le télétravail remet en cause la notion de subordination Au crédit du télétravail, on peut sans conteste porter une meilleure conciliation entre vie professionnelle et personnelle, la réduction des dépenses sociales et des émissions de gaz à effet de serre, ou encore, l'inclusion des personnes exclues du marché du travail (personnes à mobilité réduite ou habitant dans des zones mal desservies par exemple). Mais, « le télétravail ne constitue pas le remède miracle », reconnaît aussi le rapport, car il remet en cause certains aspects fondamentaux du travail salarié et du code du travail. D'une part, la notion de subordination, qui peut aussi bien diminuer que s'accroître, «pour prendre la forme d'une télédisponibilité généralisée». D'autre part, la notion de temps de travail qui risque de déborder sur la sphère privée. Enfin, souligne le document du Centre d'analyse stratégique, les TIC peuvent affaiblir les collectifs de travail en constituant des réseaux multiformes qui créent « une porosité » entre l'entreprise et les autres communautés. En résumé, le rapport dégage sept messages clés et préconise quatre axes d'action pour développer le télétravail. Premier message : les principaux leviers pour le déploiement du télétravail se situent hors du cadre juridique. Il faut que ses gains soient mieux connus, que des infrastructures numériques de qualité soient déployées sur l'ensemble du territoire et que des outils techniques performants soient mis à disposition. Une évolution de la culture managériale française est également nécessaire. Toutes les fonctions ne peuvent pas être « télétravaillées » [[page]] Toutes les fonctions ne peuvent pas être « télétravaillées » Deuxième message clé, c'est la diffusion du télétravail partiel (un ou deux jours par semaine) qui contribuera à faire progresser la pratique en France. A l'inverse, un temps complet peut poser des problèmes d'isolement du salarié et réduire les gains de productivité, estiment les rapporteurs. Troisièmement, le télétravail doit continuer à s'appuyer sur la règle du double volontariat et reposer sur la confiance mutuelle entre les deux parties. A ce titre, vouloir l'encadrer trop strictement par la loi pourrait être une erreur. Quatrièmement, le Centre d'analyse stratégique considère que la proposition de loi actuelle constitue un socle propice pour développer le télétravail : relativement protectrice pour les salariés sans être dissuasive pour les entreprises. En revanche, les institutions représentatives du personnel doivent être davantage formées sur ces pratiques. Pour l'instant, rappelle l'étude, la demande de télétravail émane souvent des salariés, et non de la hiérarchie, « qui y voit un sujet complexe et non prioritaire ». Cinquièmement, toutes les fonctions ne sont pas «télétravaillables», pointe le rapport. En particulier lorsqu'elles n'utilisent pas les TIC. Ainsi, sur 82 professions considérées dans le rapport, 72% de la main d'oeuvre n'a pratiquement aucune chance de télétravailler car les tâches à effectuer ne peuvent pas se faire à distance, et 17% n'ont que peu de chances de télétravailler, même à temps très partiel. Finalement, seulement 11% de la main d'oeuvre a des chances d'y accéder : les cadres et ingénieurs, les informaticiens, les fonctions intellectuelles, administratives, ou de support, etc. Or, les métiers qui, selon les études prospectives, vont se développer le plus dans les prochaines années (aides à domicile, par exemple, ou ouvriers qualifiés de la manutention) ne sont pas propices au télétravail. Pour se développer, le travail à distance devra donc être diffusé au sein des métiers et fonctions qui peuvent vraiment l'exploiter. Editer une charte du télétravail Sixièmement, il est intéressant de signaler qu'aucun abus de télétravail subi n'a été constaté lors d'un congé maternité ou d'un arrêt maladie, dans l'un des pays de l'OCDE étudiés. A l'inverse, le télétravail peut permettre à un salarié qui se déplace difficilement (en cas de grossesse, ou à cause d'une entorse par exemple) de pouvoir continuer à exercer son travail. Mais pour éviter tout risque d'abus, le rapport suggère de réfléchir à un certificat médical d'aptitude au télétravail. Septièmement, enfin, le télétravail ne cible pas particulièrement les seniors. Il n'est donc pas destiné à favoriser leur emploi. Au contraire, lorsqu'ils travaillent, les retraités préfèrent garder un contact direct avec leurs collègues. De ces sept analyses, le rapport déduit quatre axes d'action : promouvoir le télétravail auprès du grand public et de l'ensemble des acteurs, assurer une bonne gouvernance en éditant une « charte du télétravail » (et en créant un comité de pilotage de haut niveau), sécuriser le cadre juridique par une circulaire (et clarifier la prise en charge par les assurances) et, enfin, encourager les initiatives. Sur ce dernier point, le rapport propose de soutenir financièrement et matériellement l'essor du télétravail et de créer les télécentres de l'ère du Web 2.0. (...)

(30/11/2009 14:21:53)

Ordi 2.0 : l'Epita offre 230 PC à l'Académie de Créteil

Grande consommatrice de PC, mais aussi pépinière de jeunes talents, l'Epita était un candidat rêvé pour le programme Ordi 2.0. L'école d'ingénieurs en informatique vient de le montrer en offrant 230 ordinateurs « durablement et solidairement rénovés » issus de son parc informatique à « une dizaine de collèges et de lycées de l'Académie de Créteil ». Présenté en juin 2008 par Eric Besson, alors secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, le programme Ordi 2.0, aujourd'hui activement soutenu par Nathalie Kosciusko-Morizet, vise à faciliter la transmission d'équipements informatiques d'une entreprise vers des salariés, des établissements scolaires ou des structures d'aide aux personnes défavorisées, tout en privilégiant la formation et la montée en compétences des personnes concernées. Le 24 novembre dernier, les élèves de l'association Epita pour le développement durable (en photo devant un mur de PC rénovés) ont offert leurs premiers ordinateurs dans le cadre de ce programme, à des collèges et lycées des communes d'Arcueil, de Gentilly, du Kremlin Bicêtre et de Villejuif. L'école d'ingénieurs promet par ailleurs d'accompagner les élèves dans leur apprentissage de l'informatique : « En signant la charte d'adhésion au programme Ordi 2.0, l'Epita s'est ainsi engagée à accompagner les utilisateurs acquéreurs des équipements rénovés au sein des établissements scolaires (formations, coaching, support technique...). Par exemple, un accompagnement éducatif d'étudiants de l'Epita dans le cadre du développement d'un site web a été proposé au collège du Centre de Villejuif. Il s'agira de mettre en place, avec la participation d'élèves volontaires, un atelier dédié à la création et à l'animation du site Internet du collège. » (...)

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