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(24/11/2008 17:58:13)
En 2007, Mozilla n'a que dépensé 33 M$ sur les 75 M$ engrangés
C'est un écureuil, et non un renard, qui pourrait être l'emblème de Firefox. Mozilla, qui édite le célèbre navigateur Web Open Source, a publié ses comptes, où il ressort que l'entreprise Mozilla est plutôt du genre économe. En 2007, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 75,1 M$, en hausse de 12,4% par rapport aux 66,8 M$ de 2006. L'ensemble des dépenses s'est élevé de son côté à 33,3 M$. Déduction faite des provisions pour taxes, cela a permis à Mozilla d'engranger quelque 24,5 M$ supplémentaires, portant son trésor de guerre à 82,3 M$. L'essentiel des revenus (68,2 M$) vient des accords passés avec les moteurs de recherche présents dans le navigateur, « et la majorité provient de Google », précise sur son blog Mitchell Baker, la CEO de Mozilla. Dans le document présentant ses résultats, Mozilla indique que Google compte pour 88% de son chiffre d'affaires (contre 85% en 2006). Néanmoins, l'éditeur se dit confiant pour l'avenir, d'autant que l'accord avec Google a récemment été prorogé jusqu'en novembre 2011. Dans le discours officiel, le fait que Google ait lancé son propre navigateur Chrome est une bonne chose, Mozilla disant aimer la diversité. Les intérêts financiers, deuxième source de revenus A noter que les revenus provenant des moteurs de recherche, comptés comme royalties, sont justement à l'origine de cette volonté de mettre de l'argent de côté : le Trésor américain n'a toujours pas déterminé si ces revenus devaient être taxés comme des revenus commerciaux normaux, auquel cas l'imposition de Mozilla serait plus élevée. Les intérêts financiers constituent la deuxième source de revenus, loin devant les ventes de produits ou l'accord passé avec Amazon. Côté dépenses (en hausse de 68,5%), Mitchell Baker indique que le paiement des salariés et des contributeurs (150 personnes à temps plein ou temps partiel) et de leur encadrement a constitué environ 80% du total. Mozilla a par ailleurs contribué à plusieurs projets Open Source, écrit Mitchell Baker, pour un montant total d'environ 1 M$. Pour l'anecdote, Mozilla a lui aussi des dépenses à faire dans le logiciel : l'éditeur y a consacré 347 007 dollars. (...)
(24/11/2008 17:55:17)Les informaticiens Crédit Agricole mobilisés sur les salaires depuis cinq jours
Cela fait près d'une semaine que les informaticiens du GIE (Groupement d'intérêt économique) Exa (360 salariés) sont mobilisés, dans le Sud de la France. Le mouvement, qui a démarré le 18 novembre, a rassemblé plus d'une centaine de grévistes sur les sites d'Exa à Albi, Rodez, Maurin et Montpellier. Leurs revendications portent principalement sur la question des salaireset sur le contexte difficile issu du regroupement des trois entités. « Depuis la fusion des trois entreprises Apis-Crédit Agricole, Exaprod et Inforsud, le GIE assure l'informatique de huit caisses régionales du Crédit Agricole, expose Philippe Benacquista délégué syndical CGT d'Exa. Or, à métier et ancienneté comparables, les écarts de salaire sont en moyenne de 30% en défaveur des bassins d'emploi tarnais et aveyronnais. Plus de la moitié de l'effectif est concerné par cette discrimination. ». 5 000 € brut répartis de façon égalitaire En réaction, une enveloppe de 0,95 % du budget d'Exa, équivalent à 5 000 € brut par an, à effet immédiat, et répartie de façon égalitaire, a été demandée à la direction, de même qu'une politique de rattrapage des salaires sur 3 ans. En plus de l'harmonisation des rémunérations, les syndicats demandent à ce que les accords signés au mois de juin 2008 restent en vigueur tels que prévus initialement. Ils dénoncent également un contexte difficile de fusion et une mauvaise organisation du travail. « Les nouveaux process liés au nouvel ensemble sont générateurs de stress, et pèsent lourdement sur la santé physique et morale des salariés », ajoute Philippe Benacquista. La direction a finalement décidé de participer aux négociations dès ce matin. Mais l'appel à la grève a tout de même été maintenu. (...)
(24/11/2008 17:11:13)Google étudie la construction d'un nouveau datacenter en Autriche
Google vient d'acquérir en Autriche un terrain de 75 hectares, dans la ville de Kronstorf, ce qui laisserait à penser que le géant d'Internet bâtirait un nouveau datacenter pour soutenir son moteur de recherche. Mais pour l'instant, le géant ne confirme ni n'infirme. Il affirme ne pas avoir encore avoir pris de décision. Rien de surprenant à cela. La société californienne n'aime guère donner de détails sur la localisation des batteries de serveurs qu'elle a installées pour indexer la toile page après page (en juillet dernier, un billet sur son blog officiel indiquait que ses systèmes qui parcourent les pages du Web au fil de leurs liens, à la recherche de nouveaux contenus, étaient parvenus à débusquer mille milliards d'URL en une seule exploration). Il y a deux ans, un pan du mystère avait été levé sur son site installé très discrètement dans l'Oregon dont une photo avait été publiée par le New York Times en juin 2006. Un site autrichien bien situé Google est sans cesse à la recherche de nouvelles solutions pour optimiser ses datacenters et les construire au plus près des centaines de millions d'utilisateurs qui utilisent ses services dans le monde. Des sites dont il cherche aussi à réduire la consommation électrique. Dans ce domaine, il étudie même un concept de datacenter flottant énergétiquement autonome. [[page]]Le site autrichien que vient de choisir Google répond quant à lui à plusieurs des critères retenus généralement par le Californien pour l'implantation de ses centres de données. Il est « bien situé, dans un environnement économique propice à mener efficacement une activité commerciale et à retenir des équipes », comme l'explique dans un communiqué Kay Oberbeck, porte-parole de Google sur ces questions. Ce dernier précise qu'à ce stade, la société compte simplement procéder à des études de faisabilité technique pour une éventuelle construction. Nul doute que Google regardera de près les capacités d'alimentation électrique de la région, ainsi que le coût de l'électricité. Les monstres de puissance qu'il installe partout dans le monde sont de gros consommateurs de MWatts. Kay Oberbeck assure que des informations complémentaires seront communiquées dès que Google aura confirmé ses projets. A suivre... (...)
(24/11/2008 16:37:40)Affaire 'Vista Capable' : Steve Ballmer devra témoigner
Microsoft avait pourtant fait tout son possible pour que son PDG Steve Ballmer ne témoigne pas dans l'affaire 'Vista Capable'. Le juge fédéral Marsha Pechman vient d'en décider autrement. Dans un arrêt rendu le 21 novembre dernier, elle rejette la demande de Microsoft. Elle ordonne à Steve Ballmer de faire sa déposition sous 30 jours, tout en reconnaissant que, par égard pour son agenda « chargé », les plaignants ne pourront pas prendre plus de trois heures pour entendre cette déposition, et Steve Ballmer pourra décider du lieu et de l'heure de celle-ci. L'affaire 'Vista capable' a débuté en février 2008, suite à plusieurs plaintes déposées de consommateurs selon lesquels Microsoft aurait permis l'apposition d'étiquettes « Vista Capable » sur des machines ne supportant pas les nouveautés proposées par l'OS. Jusqu'ici, Steve Ballmer avait nié toute implication dans la décision de diminuer les spécifications techniques nécessaires pour obtenir le logo mais les plaignants ont, selon le juge, démontré qu'il « pouvait être en possession d'informations personnelles uniques sur des faits pertinents quant à cette affaire. » Le jugement final n'interviendra pas avant avril 2009 Aucune date pour le témoignage du PDG de Microsoft n'a encore été proposée, mais un porte-parole de l'éditeur a fait savoir par courrier électronique qu'il « se plierait bien entendu aux décisions de la Cour. » Dans cette action collective ('class action') opposant Microsoft à des clients qui s'estiment lésés sur les capacités de leur machine à faire tourner Vista, le jugement final ne devrait pas être rendu avant avril 2009. (...)
(24/11/2008 16:08:18)Palm supprime encore des postes à l'échelle mondiale
Palm annonce un plan de restructuration mondial qui se traduira par un nombre encore indéterminé de suppressions de postes. Un porte-parole du célèbre fabricant de PDA a confirmé que les premiers départs interviendraient cette semaine, « pour permettre à l'entreprise de mieux répondre aux enjeux de l'industrie et revenir à la rentabilité et à la croissance sur le long terme». Jeudi denier, le blog PalmInfocenter, citant des sources anonymes, a indiqué que 200 salariés avaient déjà quitté la société. Ces coupes s'ajoutent aux quelque 250 suppressions de postes déjà réalisées par Palm au cours des premier et troisième trimestres 2008. A terme, l'entreprise ne comptait plus que 1050 employés à la fin du mois de mai. Crise économique et forte pression concurrentielle Ces suppressions interviennent dans un contexte de détérioration du climat économique, et également de forte pression concurrentielle. Alors que Palm continue de travailler à un nouveau smartphone basé sur Linux, dont la sortie devait être annoncée à la fin de l'année dernière, Android, l'OS de Google a déjà fait son entrée sur le marché. Le constructeur paye également le tribut d'autres d'erreurs comme celle du Foleo. A peine un mois avant la sortie de cet ordinateur hybride censé servir de compagnon aux smartphones, Palm annonçait qu'il ne verrait jamais le jour. Seules notes positives : le lancement du Palm Centro, smartphone peu coûteux destiné au grand public, et celui du Treo Pro, premier modèle du constructeur doté de capacités WiFi et GPS (avec Google Maps). (...)
(24/11/2008 15:37:23)IBM et EDF partenaires dans la recherche sur l'optimisation de la production d'énergie
IBM et EDF ont annoncé qu'ils allaient travailler de concert dans la recherche sur les énergies renouvelables. Les chercheurs d'EDF (en région parisienne) et ceux d'IBM (à New York) plancheront à distance sur des projets communs, au sein d'un laboratoire virtuel. Le but : trouver des solutions informatiques pour améliorer la production et la gestion de l'électricité dans le nucléaire et l'hydraulique, en produisant moins de CO2. Le projet comporte une série de simulations numériques qui seront assurées par un supercalculateur d'IBM à base d'architecture Blue Gene, situé à Montpellier. Celui-ci atteint des performances de l'ordre du Tflops (100 000 milliards d'opération à la seconde) et servira à modéliser des processus complexes de production d'électricité. IBM met également à la disposition d'EDF ses compétences en matière de calcul, de gestion et de développement d'algorithmes. « Il est indispensable de bénéficier d'un niveau d'excellence en matière de recherche pour aborder les grands défis énergétiques d'aujourd'hui, a déclaré Yves Bamberger, vice-président du département recherche d'EDF. Ce projet vise à combiner les meilleures compétences en recherche dans les domaines de l'énergie et de l'informatique. » Les modalités financières de l'accord n'ont pas été communiquées. (...)
(24/11/2008 15:15:20)Veeam, spécialiste de l'administration VMware, s'installe en France
L'éditeur russo-américain Veeam s'apprête à ouvrir sa filiale française dans les deux semaines à venir. Il propose des outils de surveillance et d'administration pour les environnements VMware. Une offre qui se décline en quatre volets principaux. Le logiciel Reporter, pour commencer, réalise un état des lieux des environnements virtualisés d'une installation alors que Monitor, lui, assure la surveillance du site en temps réel. Configurator crée des modèles de configuration de machines virtuelles à partir des installations ESX et ESXi de VMware, afin de faciliter la duplication de celles-ci par exemple. Enfin, Backup permet de mettre en place des plans de reprise d'activité (PRA) par sauvegarde différentielle des machines virtuelles. Les logiciels Veeam s'interfacent avec l'administration de système Operations Manager de HP et System Center Operations Manager de Microsoft à travers des plug-in Nworks. La société espère bientôt en faire autant avec l'environnement Tivoli d'IBM. 70 développeurs en Russie sur un effectif de 110 personnes Le président et le CTO, Ratmir Timashev et Andrei Baronov, tous deux fondateurs de l'entreprise, sont deux ingénieurs russes qui ont terminé leurs études aux Etats-Unis. De bonnes raisons pour s'appuyer sur une force de R&D importante de 70 développeurs installés en Russie (sur un effectif total de 110 personnes) et établir leur siège social aux Etats-Unis, dans l'Ohio. Dès sa création en 2006, Veeam a également vendu ses produits en Europe à travers un réseau de distribution, avant d'ouvrir des bureaux en Grande-Bretagne au mois de septembre. Après la France, l'entreprise investira l'Allemagne et l'Italie dès le début 2009. Malgré sa présence, Veeam continue de vendre uniquement en indirect. 150 distributeurs et 80 clients [[page]]« Nous avons une offre de management de l'infrastructure de VMware ; c'est pourquoi nous ciblons essentiellement ses partenaires », précise Daniel Fried, directeur EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) qui avait précédemment la responsabilité des ventes européennes pour le géant de la virtualisation. La firme devrait compter quelque 1 000 partenaires de toutes tailles en 2009 dont 150 en France. Parmi eux se trouvent Computacenter, SCC, Neurones, ou des spécialistes de l'infrastructure comme Kappa ou Sysdis. Veeam a déjà 80 clients français dont 50% sont plutôt des grands comptes et l'autre moitié des PME. Les ventes se répartissent pour moitié en produits Nworks, pour un quart en administration et un dernier quart en plans de reprise d'activité. (...)
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