Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 12901 à 12910.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(25/11/2008 17:30:18)
Annuels HP : un 4e trimestre tiré par les portables et les services
C'est un Mark Hurd plutôt optimiste qui a confirmé les résultats trimestriels préliminaires livrés par HP la semaine dernière ; des résultats qui, entre temps, ont fait grimper de 22% l'action du numéro un mondial de l'IT. Conforté par des ventes en hausse sur les portables (+21%) et les serveurs lames (+43%), ainsi que sur les services, dopés par le rachat d'EDS et presque doublés par rapport à son 4e trimestre fiscal 2007, le PDG du groupe américain se garde toutefois de fanfaronner. Le contexte économique donne du fil à retordre à tous les acteurs et HP se met en ordre de marche pour y faire face, a modulé le patron californien. Il s'affirme néanmoins confiant sur la capacité de sa société à gagner des parts de marché, augmenter ses profits et sortir renforcée de la crise. +10% sur la division Systèmes personnels, mais -1% sur l'impression Dans le détail, la division Systèmes personnels de HP a progressé de 10%, affichant un chiffre d'affaires de 11,2 Md$ (33,3% du CA total sur le trimestre), avec des livraisons en hausse de 19%. Les belles ventes de portables contrebalancent celles des PC de bureau, en recul de 2% (à comparer tout de même aux -14% de Dell sur les PC de bureau, sur le trimestre écoulé). La division Imaging et Impression baisse de 1%, à 7,5 Md$ (22,3% du CA total), malgré des ventes de périphériques à jet d'encre en hausse de 9%. Ce sont les autres technologies d'impression qui dégringolent : -21% sur les gammes grand public, -10% sur les gammes professionnelles. Un déclin qui ne contrarie pas plus que cela Mark Hurd. « Ce n'est pas nécessairement mauvais pour HP si nous ne perdons pas de parts de marché », commente le PDG en expliquant que le fournisseur engrange davantage de revenus sur les consommables que sur les périphériques. « Le plus important, c'est que les utilisateurs continuent à imprimer sur du matériel HP, même s'ils diffèrent pendant un temps leurs achats d'imprimantes », souligne la directrice financière de HP, Cathie Lesjak. -1% sur les serveurs et le stockage [[page]] La division Serveurs et solutions de stockage pour les entreprises (15% du CA total) enregistre un léger recul (-1%), avec un chiffre d'affaires de 5,1 Md$ sur le trimestre. Si les serveurs lames se sont bien vendus, de même que les produits de stockage (+13%, tirés par un CA en hausse de 16% sur le milieu de gamme EVA et +9% sur le haut de gamme de la ligne XP), les ventes ont en revanche baissé sur les serveurs 'standards' (-3%) et sur les serveurs haut de gamme (-10%). Le chiffre d'affaires de la division Services, pratiquement multiplié par deux sur le trimestre grâce au rachat de la SSII américaine EDS, atteint 8,6 Md$ (25,7% du CA total). Sur l'exercice fiscal dans son ensemble, en revanche, le chiffre d'affaires services a progressé de 35%, à 22,30 Md$ (contre 16,57 Md$ sur l'exercice 2007). Quant au chiffre d'affaires issu de l'activité logiciels, il a progressé de 13% à 885 M$ (2,54% seulement du CA total). +23% sur les BRIC, +22% en Europe Pour Mark Hurd, HP a gagné ou maintenu ses parts sur chaque segment de marché au cours de ce quatrième trimestre fiscal. En revanche, au chapitre des réductions de coûts, HP a revu à la baisse ses efforts de R&D ces derniers mois, les ramenant à 842 M$ sur ce trimestre, contre 914 M$ au 4e trimestre 2007. Des coupes effectuées surtout sur l'activité Impression, selon Cathie Lesjak. Enfin, comme tous les grands acteurs de l'IT, HP réalise une progression remarquable dans les pays émergents, en particulier ceux que désigne l'acronyme Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine). Sur ces pays, son chiffre d'affaires a grimpé de 23% par rapport à l'an dernier, pour atteindre 9% du chiffre d'affaires total sur le trimestre écoulé, soit 3 Md$. Derrière, c'est l'Europe qui montre la meilleure progression : +22%, avec un chiffre d'affaires de 14,1 Md$ qui fait jeu égal avec celui du continent américain, 14 Md$ (+17%). Enfin, sur la zone Asie-Pacifique, HP a progressé de 14% à 5,5 Md$. (...)
(25/11/2008 16:45:51)SAP va unifier ses interfaces utilisateurs
D'ici "quelques trimestres" SAP aura uniformisé l'interface de toutes ses applications. Cette interface sera une déclinaison de celle déjà présente sur la suite de gestion de la relation clients (GRC/CRM). Elle apparaîtra au fil des mises à jour -désormais régulières - des différents modules qui composent sa Business Suite (CRM, ERP, Supply Chain...). Le dernier "enhancement package" a été annoncé à la mi-novembre. Si cette standardisation de l'interface des utilisateurs aura une influence visible sur leur quotidien, l'éditeur ne cantonne pas ses efforts à l'amélioration de l'apparence de ses produits. Il est aussi aux petits soins pour ses développeurs. Le prix de NetWeaver, l'environnement middleware de prédilection pour la version 6 de son ERP vient d'être divisé par deux. Les licences passent de 2300-2100$ à 1200-1100 $. Un SGBD en préparation SAP peaufine aussi un SGBD capable de travailler en mémoire afin d'optimiser les temps de réponse. On sait encore peu de choses de ce SGBD si ce n'est qu'il est développé en coordination avec la division Business Object et qu'il devrait donc répondre en priorité aux besoins décisionnels. En revanche, on connaît les rapports tendus entre SAP et Oracle. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que MaxDB recommence à faire parler de lui. Le développement de ce SGBD, issu de l'univers Adabas, a été confié vers 2002 à MySQL sous licence libre. SAP en a repris le contrôle il y a un an et en a fait une brique essentielle de BusinessByDesign, son offre de progiciel en ligne pour les PME. Pour Leo Apotheker, qui sera nommé officiellement CEO en janvier prochain, c'est sur le terrain des logiciels en ligne (SaaS) que les enjeux sont les plus cruciaux. Son groupe est dans une posture similaire à celle de Microsoft. Les deux groupes doivent trouver un "business model" online aussi profitable que l'actuel. Faute d'avoir trouvé une formule adaptée pour Business ByDesign, SAP ne se décide toujours pas à véritablement promouvoir une solution qui a pourtant déjà un an d'existence. (...)
(25/11/2008 15:45:24)Capgemini développe sa R&D dans l'Ouest
La filiale rennaise de Capgemini a lancé un « pôle d'Innovations technologiques grand Ouest » à l'occasion des 30 ans de l'implantation de la SSII dans la région. Ce pôle R&D réunit une soixantaine d'experts spécialisés dans les outils d'aide à la décision et dans les nouvelles technologies, comme la mobilité ou Internet. « Nous effectuons un véritable travail de veille technologique pour nos clients qui souhaitent apporter à leurs propres clients des services de qualité », explique Patrick Bemmert, directeur exécutif de Capgemini Ouest. Les effectifs du pôle R&D de Rennes (60 personnes à ce jour) devraient doubler d'ici trois ans. Des équipes réparties entre Rennes, l'Inde, la Grande-Bretagne ou encore les Etats-Unis travaillent ensemble sur des plateformes virtuelles. Toutes appartiennent à la SSII française. Elles travaillent de concert avec des grands éditeurs comme Microsoft ou Google, mais également avec une poignée de startup situées dans la Silicon Valley. « Si une compétence n'est pas directement représentée à Rennes, nous sommes certains de pouvoir l'offrir tout de même à nos clients, grâce à notre maillage international », se félicite Patrick Bemmert. Se préparer à l'arrivée des digital natives Les secteurs clients concernés sont très variés (de la banque à l'industrie, en passant par l'administration) et ont deux points communs : ne pas vouloir rater « la » technologie du futur et trouver des moyens de séduire un nouveau type de clientèle, les 'Digital natives'. « Ils sont beaucoup plus exigeants que leurs aînés. Pour eux, il est impensable de ne pas avoir immédiatement accès à l'information qu'ils demandent, que ce soit un prix, un horaire de train ou la disponibilité d'un produit », relève Patrick Bemmert. (...)
(25/11/2008 15:36:47)Des spammeurs condamnés à verser 873 M$ à Facebook
Nouveau record pour Facebook : le réseau social s'est vu attribuer par un tribunal américain 873 M$ de dommages et intérêts de la part de plusieurs spammeurs ayant illégalement exploité des données personnelles de ses membres. Les pollueurs de boîtes à lettres ont été condamnés en vertu du CAN-SPAM Act, loi réprimandant le pollupostage. Depuis son vote il y a 5 ans, il s'agit du plus gros montant décidé par un tribunal. Le précédent record était détenu par MySpace, avec 230 M$. Le spammeur et ses complices avaient semble-t-il réalisé de fausses pages Facebook, afin de voler les informations de connexion des utilisateurs, pour ensuite envoyer quelque 4 millions de courriels pourris à leurs connaissances. Plus drôle, les profils des utilisateurs étaient modifiés, laissant apparaître qu'ils apportaient leur soutien aux produits miracles vantés dans les courriels, tels que les petites pilules bleues censées redonner de la vitalité à la gent masculine. Les polluposteurs interdits d'accès à Facebook Facebook et la Cour de Californie du Nord de San Jose n'ont pas goûté la plaisanterie : en vertu de la loi CAN-SPAM et de divers autres articles réprimant l'intrusion dans les systèmes d'information et préservant l'intégrité des données personnelles, les polluposteurs ont été condamnés et sont sous le coup d'une injonction leur interdisant à l'avenir d'accéder à quelque donnée que ce soit issue de Facebook. (...)
(25/11/2008 13:13:29)Lawson Software supprimera 8 à 10% de ses effectifs d'ici à fin mai 2009
Touché par la crise financière, Lawson Software, éditeur américain de progiciels d'ERP qui a racheté en 2005 le Suédois Intentia et son ERP Movex, vient d'annoncer que la baisse attendue de son chiffre d'affaires le contraignait lui aussi à restructurer ses équipes et à mettre en place des mesures de réduction de ses dépenses (de déplacement notamment). D'autres éditeurs, parmi lesquels SAP et Microsoft, ont déjà annoncé des plans de réduction de coûts et des embauches, mais pas de licenciements. Lawson, lui, programme d'ici la fin de cette année le départ de 200 salariés, soit 5% de ses effectifs globaux. Et d'ici le 31 mai prochain, il devrait, au total, réduire sa masse salariale de 8 à 10%, en tenant compte des « départs volontaires anticipés ».
Une réduction d'effectifs inférieure à 1,5% en Europe du Sud
Dans un communiqué, Frédéric Champalbert, vice président de Lawson pour l'Europe du Sud, précise que toutes les filiales et tous les métiers (services, ventes, R&D, départements administratifs) de l'éditeur sont concernés tout en soulignant que la France et l'Espagne sont moins touchées que d'autres pays, avec une réduction prévue des effectifs inférieure à 1,5%.
A l'échelle mondiale, Frédéric Champalbert précise que 6% des salariés seront directement concernés par les suppressions de postes, tandis que les départs volontaires compteront pour 2 à 4% des réductions d'effectifs. Le dirigeant européen ajoute que seul le recrutement des postes clés sera maintenu. Entre restructurations, licenciements et autres mesures de contrôle des coûts, l'éditeur pense économiser entre 40 et 50 M$ sur son exercice.
Trésorerie et bilan sain
Commentant les licenciements dans un communiqué, Harry Debes, PDG de Lawson, a de son côté parlé de décisions difficiles (évoquant l'impact sur les familles des salariés touchés), mais nécessaires en raison du contexte économique. 800 salariés travaillent notamment au siège social de Lawson, à Saint Paul (Minnesota) et près de 10% d'entre eux devront quitter leur poste. Harry Debes ajoute que sa société, financièrement solide, affiche une trésorerie et un bilan sains. Le dirigeant affirme qu'il maintiendra le niveau de support de ses clients et ses efforts d'innovation sur les produits et qu'il continuera à investir dans son système d'information.
(...)
Twitter refuse de tomber dans le giron de Facebook
L'incontournable site de réseau social Facebook aurait vainement tenté de mettre la main sur Twitter, le service de micro-blogging créé en 2006. L'information, révélée par le blog AllThings D, spécialisé dans l'analyse d'informations liées à l'IT, a par la suite été confirmée par le Financial Times. Selon ces sources, Facebook aurait proposé 500 M$ aux dirigeants de Twitter. Une somme astronomique pour un service qui a deux ans d'existence, une audience restreinte et dont le modèle économique est « en phase de recherche », mais qui est composée intégralement d'actions Facebook. Or, le réseau social n'est pas coté ; par conséquent, la valeur de ses titres ne repose que sur une estimation. C'est ce point qui aurait conduit les dirigeants de Twitter à rejeter l'offre d'achat. Facebook surévalué, Twitter peu tenté Les 500 M$ mis sur la table par Facebook ne sont en effet qu'une extrapolation réalisée à partir de la valeur estimée de la société lorsque Microsoft est entré dans son capital. En 2007, le géant de Redmond avait investi 240 M$ pour s'offrir 1,6% des parts de Facebook, contribuant ainsi à valoriser le site de réseau social à 15 Md$. Selon Twitter, la valeur réelle de Facebook serait en réalité trois fois moindre. Par conséquent, si Facebook ne vaut « que » 5 Md$, l'offre avancée par Facebook ne saurait atteindre 500 M$, mais s'élèverait en fait à 150 M$. Voire moins, ou plus... étant donné qu'il est parfaitement impossible d'évaluer ce que vaut Facebook. Néanmoins, quelle que soit la valeur des titres proposés à Twitter, ce dernier pourrait être poussé par ses investisseurs à accepter l'offre de Facebook. Le site de micro-blogging, s'il enregistre une forte croissance du nombre de ses utilisateurs (6 millions), ne vit, depuis sa création, en 2006, que sur une levée de fonds de 20 M$. Si Facebook convertissait une partie de son offre en numéraire, Twitter pourrait être tenté de revoir sa position. A moins qu'un Google ou un Yahoo n'entre à son tour dans la danse, avec des arguments pécuniaires plus tangibles. Car maintenant qu'un acheteur potentiel s'est dévoilé, il paraît peu probable que Twitter reste longtemps indépendant. (...)
(25/11/2008 12:49:13)EMC rafraîchit ses outils de sauvegarde
EMC met à jour l'ensemble de son offre de sauvegarde pour l'adapter aux contraintes des environnements virtualisés et lui ajouter les avantages de la déduplication des données. Selon EMC, cette vague d'annonces qui concerne Data Protection Advisor, NetWorker, Avamar et RecoverPoint vise aussi à coordonner les fonctions de ces produits d'origine disparate. La version 5.0 du logiciel Data Protection Advisor, outil d'analyse et de prévision des besoins de stockage récupéré en avril avec le rachat de WysDM, supporte désormais l'environnement VMware et la ligne de stockage Celerra. Il voit aussi ses fonctions s'améliorer vis à vis de l'outil de sauvegarde maison Avamar et des lignes de produits de Data Domain. La version 7.5 de NetWorker, outil d'administration de la sauvegarde et de la protection des données, supporte désormais Hyper V, l'hyperviseur de Microsoft. Côté stockage, il intègre la gestion des baies EMC RecoverPoint, HomeBase et Symmetrix TimeFinder. La version 4.1 d'Avamar pour la sauvegarde et la déduplication des données, s'améliore au niveau de la sécurité, de l'administration et du reporting. Dans cette version, EMC affirme qu'Avamar s'adapte plus facilement aux petites configurations que l'on trouve sur les sites déportés. La version 3.1 de RecoverPoint, logiciel de réplication de données et de sauvegarde au fil de l'eau (Continuous data Protection ou CDP) récupéré avec le rachat de Kashya en mai 2006, s'intègre dans Recovery Manager de VMware et au cluster de Microsoft. Cette 3.1 tire aussi partie du provisionning virtuel des baies Clariion CX4. Enfin, la "portée" de RecoverPoint pour la synchronisation des données atteint désormais 30 km. (...)
(25/11/2008 11:26:52)LeMondeInformatique.fr consulte ses lecteurs
Exprimez-vous ! LeMondeInformatique.fr a décidé de s'ouvrir plus largement aux contributions de ses lecteurs. Cela passe par la mise en place d'un blog accueillant des tribunes libres, l'ouverture de forums LeMondeInformatique.fr déjà fréquentés par des centaines d'informaticiens, et par un cycle de rencontres avec la rédaction. La première édition a eu lieu le 18 novembre dernier, et a permis d'échanger à bâtons rompus sur la perception que vous pouvez avoir du site LeMondeInformatique.fr et sur vos attentes. Le 18 décembre prochain, à 8h30 précises dans nos locaux de Puteaux, l'équipe du site LeMondeInformatique.fr vous ouvrira encore une fois ses portes, pour un petit-déjeuner où vous pourrez rencontrer l'équipe, et surtout donner votre point de vue sur le fond et la forme du site. Que vous soyez informaticien indépendant, étudiant en informatique, employé dans une administration, une SSII ou une entreprise, votre avis nous intéresse. Venez, avec nous, construire le futur de votre site d'information. Pour plus de renseignements, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(25/11/2008 11:04:27)Greenpeace : Les industries IT pas assez concernées par le réchauffement climatique
Les géants de l'électronique grand public Apple, Dell, Motorola, Microsoft, Nintendo et Samsung tardent à adapter leurs procédés de production pour répondre aux grands enjeux environnementaux. Ils pointent ainsi en queue de peloton du 10e Guide to Greener Electronics, élaboré par Greenpeace. La question du réchauffement climatique mobilise peu d'entreprises passées au crible par l'association, regrette cette dernière. « Elles ne démontrent aucun engagement conséquent pour réduire leurs émissions de CO2 ou pour mobiliser la classe politique afin d'aboutir sur un accord post-Kyoto », commente Mel Francis, responsable de la campagne International Climate & Energy chez Greenpeace. Selon l'association écologiste, les entreprises continuent de considérer que la croissance de leur activité implique nécessairement une augmentation de leurs émissions de CO2. « Chez Greenpeace, nous pensons que cela n'est pas nécessairement vrai », poursuit Mel Francis. Nintendo abonné à la dernière place Tout n'est pas noir cependant et certains acteurs récoltent les félicitations du mouvement vert. C'est le cas de Fujitsu Siemens, Philips et Sharp, qui parviennent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Greenpeace décerne un satisfecit particulier à Philips pour son engagement à réduire ses rejets de CO2 de 25% d'ici à 2012. Au classement général - qui prend en considération différents critères comme la non utilisation de produits chimiques polluants, l'existence de programmes de recyclage, etc. - Nokia s'arroge la première place, devant Sony Ericsson et Toshiba. Dans la deuxième partie de la liste pointent Philips et HP, qui pâtissent du traitement qu'ils réservent aux déchets électroniques. Ce dernier, avec Acer, Dell et Apple, forme un quatuor de constructeurs de PC perdant tous quelques places, là encore en raison d'un traitement perfectible des déchets électroniques. Dell et Acer doivent en outre réduire leur recours aux produits chimiques toxiques. Le géant texan perd également des points pour être revenu sur son engagement d'éliminer toute trace de PVC et de retardateurs de flamme bromés d'ici à la fin de l'année. Enfin, Nintendo reste campé en dernière position bien que quelques progrès aient été constatés par Greenpeace dans l'utilisation d'additifs toxiques dans les plastiques utilisés dans le processus de production. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |