Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 13191 à 13200.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/10/2008 18:08:39)

PDC 2008 : Ray Ozzie, architecte en chef de Microsoft, donne sa vision d'Azure

L'architecte en chef de Microsoft, Ray Ozzie, a officiellement enfilé les souliers que chaussait Bill Gates, devenant ainsi le leader du vaste réseau de développeurs de l'entreprise, essentiel à l'activité de Windows. A ce titre, il a prononcé le discours d'ouverture de la Professional Developers Conference (PDC) à Los Angeles lundi, et a présenté Windows Azure, l'environnement de 'cloud computing' de Microsoft. Nos confrères de IDG News Services ont pu le rencontrer et lui demander des détails sur les annonces de la conférence. Lire l'entretien avec Ray Ozzie. (...)

(30/10/2008 16:56:37)

Spotfire affiche en 3D et révèle les liens entre les données

Déjà reconnue pour ses capacités avancées de visualisation, la plateforme d'analyse de données de l'éditeur Spotfire (racheté par Tibco en 2007) vient d'être livrée dans sa version 2.2, dotée de représentations graphiques en 3D pour explorer plus efficacement les données multidimensionnelles complexes. La possibilité de manipuler les données en profondeur et sous divers angles, à l'aide de zooms et de rotations, conduira à mettre en évidence des informations qui n'apparaissaient pas jusque-là. Lors de la présentation parisienne de cette nouvelle version, Spotfire a notamment illustré ces fonctions 3D dans le domaine de la recherche pétrolière.

Faire apparaître des relations ignorées entre les données


La plateforme Tibco Spotfire 2.2 s'enrichit également d'un add-on, Network Analytics, qui permet d'afficher des relations entre les données afin de faire apparaître des liens jusque-là non détectés. Ces fonctionnalités seront tout particulièrement mises à profit dans le secteur de l'enquête policière (par exemple pour établir des liens entre interlocuteurs dans un flux d'appels téléphoniques), du renseignement ou de la lutte contre le blanchiment d'argent. Mais Spotfire souligne qu'elles peuvent être exploitées dans de nombreux autres domaines, appliquées notamment à l'analyse de réseaux sociaux ou de la gestion de la chaîne logistique. A noter que, outre l'add-on Network Analytics, la plateforme dispose également, avec l'offre complémentaire Spotfire S+, des capacités d'analyse prédictive issues du rachat, en juin dernier, de l'éditeur Insightful, spécialisé dans l'analyse statistique et les solutions de datamining.

Analyse 'en mémoire' et workflow analytique

Rappelons que l'une des caractéristiques principales de l'offre Spotfire est qu'elle fut parmi les premières à proposer des capacités d'analyse « in-memory » permettant à l'utilisateur de manipuler d'importants volumes de données, rapidement, et sur un mode interactif. L'éditeur met également en avant le fait que sa plateforme permet aux utilisateurs de construire des workflows analytiques pour enchaîner différentes actions (des fonctions que l'éditeur a notamment conjuguées, dans sa solution Operation Analytics, à l'offre de gestion des processus métiers de Tibco). La plateforme de Spotfire est particulièrement utilisée par les services financiers, les secteurs de l'énergie, du pétrole, de la pharmacie, mais aussi, de plus en plus dans les secteurs de l'assurance, des télécommunications et de l'industrie.

Un portail Spotfire pour les développeurs


Enfin, l'éditeur annonce également l'ouverture de « Tibco Spotfire Technology Network », un portail destiné aux développeurs. Ces derniers pouvaient déjà recourir à des interfaces de programmation (API) pour constituer des applications composites en tirant parti de la plateforme de Spotfire. Désormais, ils disposent d'un kit de développement complet pour concevoir des applications spécifiques au-dessus de la plateforme d'analyse Tibco Spotfire. (...)

(30/10/2008 16:41:40)

Open Wide recherche une vingtaine d'ingénieurs Open Source

Pour accompagner les entreprises dans la mise en oeuvre de solutions en environnements libres, la SSLL Open Wide envisage de recruter une vingtaine de spécialistes du monde Open Source. Les postes à pourvoir sont basés dans les agences lyonnaise et parisienne du groupe et répondront aux besoins des trois entités du groupe. Pour le pôle systèmes d'information de la SSLL, des chefs de projet Java/ J2EE, des ingénieurs expérimentés en développement Java J2EE, des ingénieurs Java junior et des spécialistes du développement sont recherchés. La division OS4I d'Openwide (produits et services destinés aux industriels) recrute des ingénieurs Linux bas niveau, développement Kernel temps réel et Linux embarqué. Enfin Accelance, l'activité infogérance de la SSLL, sera renforcée par des ingénieurs systèmes et réseaux spécialistes des environnements Linux et Open Source. Des postes sont également ouverts aux stagiaires. Rappelons qu'actuellement, il est difficile de recruter dans l'univers très spécifique de l'Open Source. Dans un dossier sur l'emploi dans les logiciels libres, le site Lemondeinformatique.fr pointait les tensions actuelles du marché de l'emploi dans l'Open Source, en particulier sur les technologies PHP et les compétences multiples. (...)

(30/10/2008 16:20:12)

Trimestriels : Bull se maintient grâce à ses activités Services et solutions

Bull a publié un chiffre d'affaires de 240,7 M€ au troisième trimestre de l'année, en retrait de 1,1% par rapport à la même période en 2007. L'activité Services et Solutions est la plus rentable (46% du revenu global), en hausse de 7,5%. Le matériel et les solutions systèmes (28% du CA) progressent de 5,4 points alors que les activités de maintenance et les produits tiers dégringolent (respectivement -7,1% et -39,2%). Les prises de commandes ont augmenté de 3,3% en un an. Quant au bénéfice net et à la marge opérationnelle, Bull ne souhaite pas fournir de détails en dehors des résultats semestriels et annuels. Au premier semestre de l'année, le résultat net s'établissait à 4,5 M€, en hausse de 15% par rapport à 2007. Par zones géographiques, la France génère toujours plus de la moitié des revenus de Bull (58%), en hausse de 6% par rapport à l'année dernière. L'Europe Centrale et de l'Est enregistre une belle percée (+24,2%) mais sa part dans le CA de Bull reste minime (7%). Dans le reste du monde en revanche, les compteurs sont dans le rouge : -12,6% pour l'Europe occidentale et -5,7% aux Etats-Unis et en Amérique du sud. Le calcul haute performance et le Green IT, deux priorités pour Bull Bull a l'intention de se renforcer sur certains secteurs, comme le stockage, la sécurité et le calcul haute performance, les énergies vertes, et d'en abandonner d'autres (il a récemment cédé Medicaid, sa filiale spécialisée dans les solutions médicales, à Ingenix). Le groupe a racheté s+c (science + computing), une société allemande spécialisée dans le calcul intensif. Le premier centre de simulation numérique haute performance d'Allemagne (le Forschungszentrum Jülich) a choisi Bull pour fournir l'un des supercalculateurs les plus puissants en Europe. Il sera utilisé dans plusieurs domaines scientifiques, comme la recherche de nouvelles molécules et de nouveaux médicaments, l'origine de l'Univers et la physique des hautes énergies, ainsi que le développement de technologies pour lutter contre le réchauffement climatique. Le Green IT est un autre axe que Bull souhaite développer, notamment avec son offre « Bio data center ». A cet effet, le groupe français a allié son pôle R&D avec celui de SAP, afin d'améliorer l'efficacité de leurs environnements. Bull s'est également rapproché d'APC Schneider Electric pour proposer aux entreprises des audits énergétiques de leurs datacenters et les aider à optimiser leurs performances globales. Pour 2008, le groupe reste optimiste et espère réaliser un bénéfice opérationnel compris entre 25 et 27 M€, et ce malgré les remous financiers qui agitent la sphère IT. (...)

(30/10/2008 16:09:18)

Numérisation : Google dédommage les auteurs américains de 125 M$

Google vient de mettre un point final au différend qui l'opposait à deux puissantes associations américaines d'auteurs et éditeurs. Au coeur du litige, le service de numérisation et d'indexation de livres issus de bibliothèques universitaires d'outre-Atlantique, proposé par le géant du Web jusqu'alors au mépris des droits d'auteur. Pour éteindre l'action engagée par l'Authors Guild et l'Association of American Publishers, Google s'est fendu d'un chèque de 125 M$. La résolution de ce conflit initié en 2005 constitue « le plus grand accord de l'histoire de l'édition américaine », a estimé Paul Aiken, le directeur général de l'Authors Guide, convaincu de l'intérêt qu'il représentera « pour l'ensemble des parties, dont les lecteurs, en rendant l'accès aux ouvrages plus facile. » Un différend éteint uniquement aux Etats-Unis L'accord prévoit que Google débourse 125 M$, essentiellement pour la création d'un organisme, le Book Rights Registry - auquel les auteurs et éditeurs choisiront de s'inscrire pour toucher une partie des revenus générés par le service du pantagruélique moteur de recherche. Les ayants droit pourront choisir de mettre en ligne de larges portions de leurs ouvrages - et plus seulement de courts extraits - et les internautes auront la possibilité d'acquérir les livres présentés. En outre, le groupe de Mountain View intègrera des publicités dans sa plateforme d'ouvrages numérisés, accroissant d'autant les revenus susceptibles d'être reversés aux auteurs et éditeurs. Grâce à la signature de cet accord, Google devrait être en mesure d'enrichir sensiblement la quantité d'ouvrages présentés dans son service 'Recherche de livres'. Le différend qui vient de s'éteindre ne concerne cependant que les ayants droit américains. En France, Google est poursuivi pour des faits similaires par le Syndicat national de l'édition et les éditions de la Martinière depuis 2006. (...)

(30/10/2008 15:32:27)

C'est Dell qui équipera les datacenters d'Azure

Microsoft va faire appel à Dell pour construire les datacenters nécessaires à l'infrastructure de Windows Azure, son système de Cloud Computing. L'éditeur a choisi la division Data Center Solutions (DCS) du constructeur texan. Très autonome, cette entité forte de 200 salariés est spécialisée dans le déploiement de grands centres de données. Elle commercialise des plateformes spécifiques et personnalisées (pas forcément à base de serveurs Dell standards) associées à des prestations de conseil et de service. DCS dispose de ses propres unités de R&D, de design et de fabrication. Elle se focalise sur les trente premiers acteurs du monde américain des datacenters. (...)

(30/10/2008 14:17:20)

Osiatis mise sur la cooptation pour recruter une centaine d'informaticiens

La SSII française Osiatis (3100 collaborateurs) maintient ses objectifs de recrutement pour l'année 2008, fixés à quelque 800 nouvelles embauches. Le groupe, qui a déjà réalisé 700 recrutements, compte donc sur une centaine d'embauches supplémentaire d'ici à la fin de l'année. Les profils recherchés sont des jeunes diplômés ou confirmés, de niveau Bac + 2 à Bac + 5. Sont concernés des chefs de projet, consultants ou ingénieurs en architecture, virtualisation, consolidation, stockage et sécurité pour intervenir dans les services aux infrastructures qui représentent 84% de l'activité du Groupe. Osiatis recherche également des ingénieurs en développement nouvelles technologies dans le domaine de l'ingénierie applicative. Pour attirer un maximum de candidats, la SSII envisage d'organiser dans les prochains mois un tournoi de poker qui reposera sur le principe de la cooptation . La société table enfin sur l'embauche de 150 stagiaires en alternance et stages conventionnés d'ici fin 2008. (...)

(30/10/2008 12:44:21)

Oracle achète à son tour un expert des règles métier

Oracle vient de s'offrir une solution de gestion des règles métier : l'éditeur a signé un accord d'acquisition - pour un montant non communiqué - avec RuleBurst, qui avait racheté il y a un peu moins d'un an Haley Systems. Cette fusion avait positionné cet éditeur en quatrième position du marché du BRMS (Business rules management system, système de gestion des règles métier), derrière Fair Isaac, le numéro un du secteur, Ilog et Computer Associates. Mais il conservait une taille modeste : environ 25 développeurs en R&D, plus de 40 personnes dans les services et autant en ventes et marketing. L'annonce intervient quelques mois après qu'Ilog a accepté de passer dans le giron d'IBM et un an après que SAP a racheté Yasu Technologies. Toutefois, ce n'est pas l'angle du BRMS qu'Oracle retient dans son annonce. L'éditeur préfère mettre en avant les solutions métier développées par Haley et RuleBurst, dans trois grandes directions : la gestion des risques et des règles de conformité, la gestion des droits des administrés et la gestion des droits des assurés. Haley devrait continuer de fonctionner comme une entité gérée par son CEO actuel, lequel deviendrait vice-président senior d'Oracle (le fondateur de l'éditeur, Paul Haley, n'exerce plus de fonction opérationnelle depuis la fusion avec RuleBurst). Les technologies d'automatisation devraient quant à elles être infusées dans l'ensemble des applicatifs d'Oracle. l'offre de gestion de la relation client, Siebel CRM, embarque déjà la technologie d'Haley depuis un accord signé en 2005. (...)

(30/10/2008 11:58:54)

Intel injecte 20 M$ dans deux sociétés chinoises spécialistes de l'énergie propre

Intel Capital a investi 20 M$ dans deux sociétés chinoises du secteur des technologies propres (clean techs), Trony Solar et NP Holdings. La répartition du montant entre les deux entreprises n'a pas été précisée. Trony Solar est spécialisée dans une technologie de cellules photovoltaïques qui produisent de l'électricité tout en jouant le rôle d'élément de construction. Avec l'investissement d'Intel, elle compte passer d'une production de 35 mégawatts annuels à 105 MW au début 2009. NP Holdings oeuvre de son coté, à l'optimisation du stockage de l'énergie, domaine dans lequel il possède de nombreux brevets de recherche. « L'économie mondiale est morose, mais l'innovation reste un moyen d'aider les entreprises à traverser la crise financière, a déclaré, Cadol Cheung, DG d'Intel Capital pour l'Asie et le Pacifique, dans le communiqué de l'entreprise. Nous n'avons pas l'intention de ralentir le rythme de nos investissements. » Arvind Sodhani, président d'Intel Capital et Vice président d'Intel ajoute que des tels investissements « dans les technologies propres sont relativement nouveau pour Intel mais que le secteur prenait une importance stratégique croissante pour l'avenir de l'entreprise. » « Encourager le développement de sources d'énergie indépendantes des fluctuations du prix du baril de pétrole » [[page]]Dans un climat économique difficile, Intel pourrait toutefois voir son enthousiasme pour le 'green' freiné par les craintes des investisseurs, comme c'est le cas pour Google. Ce à quoi le fondeur rétorque qu'il est aujourd'hui essentiel « d'encourager le développement de sources d'énergie indépendantes des fluctuations du prix du baril de pétrole ». Intel s'est déjà engouffré dans le créneau de l'énergie solaire en créant SpectraWatt, une société de développement des technologies de transformation de l'énergie solaire en électricité en mai dernier. Avec trois autres partenaires - Goldman Sachs Group (une des plus grandes banques d'investissement américaines), Solon AG (un fabricant allemand de modules solaires et de systèmes photovoltaïques) et le fond PCG Clean Energy and Technology Fund (CETF) - Intel a doté la nouvelle entité d'une enveloppe de 50 M$. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >