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(28/10/2008 17:51:33)
La croissance des dépenses IT sera amputée de moitié en 2009, selon PAC
Le cabinet PAC mesure régulièrement la dépense informatique en France, dans les entreprises privées comme dans le secteur public. Une dépense aussi bien interne (personnel et coûts informatiques) qu'externe (achats de matériels, logiciels et services). Cette dépense se montait globalement à 77,8 Md€ en 2007, elle progressait alors de 3,1% par rapport à l'année précédente. Elle va augmenter de 3% en 2008, pour atteindre 81,1 Md€, mais seulement de 1,3% en 2009. L'année 2008 restera donc dans la lignée de 2007, l'affaiblissement de la dépense se manifestant seulement en 2009. L'effet de la crise économique mondiale est visible dans ces premiers chiffres qui montrent une baisse de la dépense mais décalée sur l'année à venir. Deuxième effet, à l'intérieur de cette dépense totale, la partie logiciels et services augmentera de 5,9% en 2008, prévoit PAC, contre 6,2% en 2007. « La dynamique est sensiblement la même que pour 2007, nous explique Frédéric Giron directeur au cabinet PAC, mais nous avons intégré un essoufflement de la demande au dernier trimestre 2008. Cette érosion explique la différence entre les deux années. Certains éditeurs par exemple réalisant 40% de leur chiffre d'affaires sur ce dernier trimestre ». Ce deuxième effet montre une bonne résistance de la demande en logiciels et services et donc des SSII et des éditeurs sur les neuf premiers mois de l'année 2008. Troisième effet, pour 2009 cette fois, où PAC anticipe une croissance de 3 à 3,5% du marché des logiciels et services. C'est donc la moitié de la progression prévue en 2008 (6%). Toutefois, « tous les segments des logiciels et services ne ralentissent pas de la même manière», note Frédéric Giron. L'externalisation restera florissante [[page]] A l'intérieur du secteur des logiciels et services une activité devrait rester florissante, celle de l'externalisation. Elle sera entre 7 et 8% de croissance en 2009. Sa bonne tenue rejaillit sur l'ensemble du secteur logiciels et services puisque l'externalisation représente 25% de ce secteur. Elle peut même bénéficier d'un nouvel environnement où les entreprises chercheront davantage à optimiser leurs dépenses qu'à les supprimer. Dans le même ordre d'idées, les contrats au forfait resteront en bonne santé en 2009. Autre conséquence forte, l'industrialisation des services, manifeste depuis plusieurs mois, va s'amplifier. « Intrinsèquement liée à la démarche en offshore, l' industrialisation consiste pour les SSII à créer des centres de services, à adopter des méthodes comme CMMI et à mettre en place des outils collaboratifs ». Cette industrialisation permet d'augmenter la productivité et de réduire les coûts des fournisseurs comme savent l'imposer les grands comptes. A l'inverse, à l'intérieur du secteur des logiciels et services, d'autres activités vont s'affaiblir. « Les logiciels sont les premiers à pâtir d'une réduction des dépenses ou d'un affaiblissement économique » remarque Frédéric Giron. Les services et la régie devraient être affectés ainsi que l'ensemble des prestations intellectuelles : conseil et intégration de systèmes. Le secteur bancaire ne pénalise pas les SSII Autre point fort de l'étude, la bonne tenue de la demande dans le secteur bancaire. Si la finance de marché va couper dans ses dépenses, la banque plus traditionnelle ne devrait pas suivre le même chemin. Contrairement aux Etats-Unis, la France n'enregistre pas de disparition de banques, donc de leurs budgets informatiques. Au contraire, selon Frédéric Giron, les banques ont appris ces dernières années à faire de l'informatique un outil stratégique. Elles vont opérer une forte pression sur les prix mais ne devraient pas couper brutalement dans leurs dépenses. D'autres secteurs investiront fortement, essentiellement le secteur public et les « utilities »(*). A l'évidence, l'étude de PAC n'est pas totalement pessimiste. Elle montre que la réduction des investissements informatiques des entreprises est réelle mais plus difficile à engager que par le passé. Certaines activités (externalisation, industrialisation ) et certains secteurs (banque, secteur public, « utilities* ») s'en sortent même très bien. Les entreprises maîtrisent beaucoup mieux leurs dépenses informatiques devenues vraiment un élément de compétitivité. (*) Par « utilities » on entend des activités anciennement dans le secteur public et gérées par des entreprises privées comme l'eau ou le gaz et l'électricité. (...)
(28/10/2008 17:23:21)PDC 2008 : Microsoft introduit le parallélisme dans .Net 4 et Visual Studio 10
Même si l'annonce d'Azure, le service d'informatique dans les nuages de Microsoft, reste l'événement principal de la conférence développeurs Microsoft (PDC 2008 de Los Angeles), le patron de la division développeurs souligne dans son blog une autre nouveauté qui lui tient à coeur : l'introduction de fonctions de parallélisme dans les futures versions de Visual Studio et de .Net. C'est en effet par ce biais que les programmeurs pourront exploiter la puissance offerte par les architectures multicoeurs, or, pour l'instant, dit-il, la programmation parallèle est complexe, « même pour les développeurs les plus doués ». Sivaramakichenane Somasegar, vice-président responsable de la division développeurs (surnommé Soma), ne cache pas depuis plusieurs mois son ambition de simplifier tout cela, afin de mettre le développement parallèle à portée de tous. En juin dernier, il proposait de télécharger une boîte à outils, dite « Parallel Extensions », afin d'exécuter des instructions parallèles au sein de la version 3.5 de l'environnement d'exécution .Net. Mais il ne s'agit que d'une petite avancée, commentaient des responsables produits de passage à Paris. Des avancées présentes dans l'atelier de développement et l'environnement d'exécution Aujourd'hui, Soma indique que les différentes avancées de Microsoft dans la programmation parallèle (Task Parallel Library, Parallel LINQ, Parallel Pattern Library...) se retrouveront à la fois dans l'atelier de développement et dans l'environnement d'exécution. Une version CTP (Community technology preview) est disponible au téléchargement. (...)
(28/10/2008 18:02:12)Un code de bonne conduite sur la liberté d'expression pour Google, Microsoft et Yahoo
Google, Microsoft et Yahoo ont décidé d'adopter un code de bonne conduite sur la liberté d'expression et la protection de la vie privée sur Internet. Ils doivent annoncer aujourd'hui la création du Global network initiative, après deux ans de travail avec l'association Human Rights First, le Comité de protection des journalistes, le Centre pour la démocratie et la technologie, ainsi qu'une poignée d'experts chargés de vérifier si ce code de bonne conduite est respecté. Les intentions sont louables, mais il faudra attendre ce soir pour connaître les moyens concrets mis en oeuvre pour faire respecter la charte et surtout sévir en cas d'infraction. Ce nouvel organisme décrit des règles très précises pour les sociétés qui souhaitent s'établir dans des pays où la liberté d'expression est étouffée - la Chine plus particulièrement. Google, Microsoft et Yahoo dominent largement les marchés de la messagerie Web et de la recherche en ligne (à eux trois ils détiennent près de 90% du secteur selon ComScore). Et ils sont fréquemment accusés de profiter de cette omniprésence pour influencer la hiérarchisation de l'information, pour censurer certaines d'entre elles, voire pire : pour fournir des informations sur l'identité d'internautes aux autorités gouvernementales. Le groupe Human Rights Watch a dénoncé ce type de complaisance envers le gouvernement chinois dans un rapport intitulé « Nivellement vers le bas : la complicité des entreprises dans la censure d'Internet en Chine ». Yahoo aurait joué un rôle dans l'arrestation du journaliste chinois Shi Tao [[page]] Yahoo a été critiqué avec virulence par les militants des droits de l'Homme et par les législateurs américains pour avoir joué un rôle dans l'arrestation du journaliste chinois Shi Tao. Ce dernier avait utilisé sa messagerie Yahoo pour transmettre des informations embarrassantes pour le gouvernement chinois. Yahoo avait fourni les informations concernant le compte du journaliste, des données suffisamment détaillées pour qu'elles conduisent à son arrestation. Le rapport du Human Rights Watch condamnait également Skype pour sa politique de censure des mots sensibles dans les discussions en ligne, grâce à un logiciel de messagerie instantanée mis au point avec son partenaire chinois Tom Online. Ce logiciel aurait permis de stocker toutes les informations censurées sur un serveur en Chine - Skype a toujours démenti cette accusation. (...)
(28/10/2008 16:18:38)Avec OpusUna, IBM imagine le futur du travail collaboratif en ligne
IBM a présenté lors du salon AjaxWorld RIA de San Jose la semaine dernière ses travaux en matière de solutions de 'webconférence', ou travail collaboratif en ligne. Le projet, baptisé OpusUna, ne sera mis entre les mains des utilisateurs qu'en 2009, mais il donne déjà un aperçu de ce que le groupe de technologies Internet émergentes d'IBM essaie de faire - un « outil de collaboration de nouvelle génération [...] où les gens interagissent d'une façon très différente ». Les outils de travail collaboratif sur Internet existent déjà depuis longtemps et en grand nombre. Mais plutôt que les technologies de type tableau blanc ou 'webinar' (séminaire en ligne) offertes par les solutions professionnelles de type Genesys Conferencing ou WebEx (racheté par Cisco), le projet d'IBM se rapproche plus d'un Google Apps ou d'un Microsoft Sharepoint, avec la possibilité d'agir à plusieurs sur un document et de converser en audio/vidéo. L'idée, explique David Boloker, directeur technique du groupe Emerging Internet Technology Software d'IBM, est « d'étendre le concept Ajax afin de permettre des interactions multiples entre utilisateurs ». Le projet est dérivé de QEDwiki, projet de wiki simple et rapide à mettre en place (qui a cédé depuis la place à IBM Lotus Mashups), auquel IBM a voulu ajouter des fonctions de communication. (...)
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