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(28/10/2008 15:17:12)

L'accord Syntec sur la formation professionnelle enfin signé

La négociation sur la formation professionnelle dans les entreprises de la branche Syntec (ingénierie, bureaux d'études, et conseil) vient de s'achever par la conclusion d'un nouvel accord. Après plus d'un an de discussions, quatre syndicats de salariés ont signé l'accord le 23 octobre dernier et le cinquième a annoncé qu'il le signerait le 30 octobre. D'autre part, et conformément aux dispositions de l'accord national sur la GPEC signé le 3 juillet 2008, l'accord du 19 mai 1995 portant sur la Commission paritaire nationale à l'emploi dans la Branche Syntec a été révisé : les partenaires sociaux ont décidé de promouvoir le rôle de la commission en élargissant ses missions. « Un calendrier décisionnel a été clarifié afin de permettre la définition des priorités, au 15 juillet de chaque année, précise Ivan Béraud, secrétaire national de la F3C CFDT. Ainsi, les entreprises du secteur IT pourront définir en toute connaissance de cause leur plan de formation pour l'année suivante. » En outre, des correspondants régionaux ont été désignés pour renforcer la formation et l'emploi dans les régions. Avancées sur le DIF, le temps de travail, l'alternance Concernant l'accord formation, des avancées ont été effectuées, en particulier sur le rapport entre le temps de travail et la formation, les salaires des jeunes en alternance (contrat d'apprentissage et contrat de qualification), mais aussi par la confirmation des dispositifs sur l'entretien professionnel, la validation des acquis de l'expérience, le passeport formation, le bilan de compétences, notamment. Les modalités de prise en charge des actions de formation portées par la CPNE, au titre du DIF, ont également été revues. Le présent accord entrera en vigueur à compter du premier jour du mois civil qui suivra la publication de son arrêté ministériel d'extension au journal officiel. (...)

(28/10/2008 15:03:53)

Trimestriels SAP : un bénéfice net en recul de 5%

Finalement, les ventes de logiciels réalisées par SAP sur son troisième trimestre fiscal (échu le 30 septembre) se situent très légèrement au-dessus des estimations révisées à la baisse que l'éditeur allemand de PGI (progiciels de gestion intégrés) avait communiquées début octobre, à la suite d'une « chute très soudaine et inattendue » de ses ventes, intervenue en fin de trimestre. Mais son bénéfice net recule de 5% sur la période, à 388 M€, par rapport au troisième trimestre 2007, ce qui a contribué à faire chuter le cours du titre SAP de plus de 9% -dernière cotation, 24,36 euros à 14 h 15 (30,22 dollars à la fermeture du New York Stock Exchange hier soir). Le bénéfice par action sur le trimestre s'établit à 41 cents, contre un consensus de 40 cents. La maintenance progresse de 20% sur le trimestre Sur ce troisième trimestre, le fournisseur a réalisé un chiffre d'affaires de 763 M€ (+7%) sur ses ventes de licences (ses prévisions révisées début octobre annonçaient entre 740 et 750 M€, à comparer aux 850 M€ attendus jusque là par les analystes). Sur l'ensemble des ventes de logiciels et services associés, incluant cette fois les revenus de la maintenance, le chiffre d'affaires s'établit à 1,99 Md€ (+15%). A noter que les seuls revenus de la maintenance ont augmenté de 20% sur le trimestre, à 1,17 Md€ (contre 975 M€ sur le 3e trimestre 2007). Quant aux revenus issus des prestations de conseil, ils ont augmenté de 13%, à 617 M€. +4% sur les ventes de licences en zone EMEA A l'image des résultats enregistrés ces derniers trimestres par l'ensemble des acteurs de la IT, c'est dans la région Asie Pacifique que SAP réalise sa meilleure progression sur ses ventes de licences sur les trois mois écoulés : +18% à 139 M€. Sur ce poste, le continent américain ne progresse que de 6%, à 280 M€ et la zone Europe, Afrique et Moyen-Orient de 4%, à 344 M€. Sur le chiffre d'affaires global, la progression est plus équilibrée : +16% sur la zone EMEA, à 1,44 Md€, +11% pour le continent américain, à 954 M€ et + 14% en Asie Pacifique/Japon, à 363 M€. Henning Kagermann veut préserver la marge opérationnelle [[page]] Quelques jours après son avertissement sur chiffre d'affaires, SAP n'avait pas tardé à annoncer un programme de réduction des coûts, notamment le gel de ses embauches. Un programme qui a bien démarré, selon Henning Kagermann, co-PDG de l'éditeur allemand. Le dirigeant se voit néanmoins contraint à revoir à la baisse ses prévisions sur les résultats de l'année 2008. Il prévoit maintenant une marge opérationnelle autour des 28% quand il espérait 29% en juillet. Henning Kagermann souligne toutefois qu'il s'agit pour SAP du 19e trimestre consécutif enregistrant une croissance à deux chiffres sur les ventes de licences et de services associés, que les clients continuent à investir dans leurs produits et que le modèle économique de SAP est flexible : « Nous nous focalisons sur la préservation de notre marge opérationnelle et de nos gains », confirme le dirigeant dans un communiqué. Il affirme que l'approche adoptée a permis à l'éditeur de traverser d'autres cycles économiques difficiles dans le passé et d'en sortir avec un leadership renforcé. Un bénéfice net en recul de 11% sur les neuf premiers mois de l'année Sur les neuf premiers mois de l'année 2008, SAP a réalisé un chiffre d'affaires global de 8,07 Md€ (+15%), suivant les normes US GAAP. Les ventes de logiciels et services ont pesé 5,79 Md€ (+17%) et les strictes ventes de licences, 2,28 Md€ (+15%). Sur la période, le bénéfice net a en revanche reculé de 11%, à 1,03 Md€ par rapport aux neuf premiers mois de 2007 (1,17 Md€). (...)

(28/10/2008 12:55:59)

Google s'investit dans les énergies renouvelables

Google s'intéresse de plus en plus aux des énergies renouvelables, qu'il considère comme une « opportunité d'affaires potentielles » comme le rapporte le New York Times. Il faut dire que dans une de ses études, Gartner et le WWF ont épinglé l'Américain comme l'un des plus gros consommateurs d'énergie du secteur IT. Le géant de la recherche en ligne veut apparemment en finir avec cette réputation de pollueur planétaire. Pour soutenir ces efforts, Google a embauché des ingénieurs - dont un ancien astronaute de la Nasa - qui planchent sur les énergies renouvelables. Il souhaite aussi développer des outils pour guider les utilisateurs qui cherchent à diminuer leur consommation d'énergie. A cet effet, Eric Schmidt et Jeffrey R. Immelt, PDG de Google et de General Electric, ont annoncé qu'ils allaient travailler ensemble sur des moyens d'améliorer le réseau de distribution de l'électricité. Avec la crise, les investisseurs pourraient néanmoins freiner les ardeurs « green » de Google [[page]]Il a récemment présenté son plan Clean Energy 2030 dans le cadre de google.org, son unité philanthropique. De la même manière, HP, qui vient de terminer l'installation de 6 526 panneaux solaires pour alimenter 10% des besoins électriques de son usine de San Diego, Google mise aussi sur ce type d'énergie. Il souhaite voir la part de l'électricité produite de cette manière passer à 12%. La récession économique ainsi que la légère baisse du pétrole pourrait toutefois bouleverser le calendrier de bonnes résolutions de Google. Les investisseurs pourraient en effet freiner les ardeurs du mastodonte d'Internet dans sa quête de green et le pousser à se consacrer à des projets plus urgents. (...)

(28/10/2008 12:45:01)

NewsCorp lorgnerait sur Free pour poser le pied en France

NewsCorp, le groupe géant du milliardaire américain Rupert Murdoch, chercherait à investir en France. Selon nos confrères de la Tribune, le spécialiste des médias souhaiterait jouer un rôle dans le marché de la télévision payante hexagonale. Un marché sur lequel Canal+, le principal acteur, n'est pas à vendre. NewsCorp aurait lorgné du côté d'Eurosport mais son propriétaire, TF1, se serait empressé d'adresser une fin de non recevoir. Reste alors à Rupert Murdoch l'option consistant à s'offrir un fournisseur d'accès à Internet, une catégorie d'acteurs devenus diffuseurs depuis l'avènement du triple play. De ce côté, en raison de la concentration, le choix est limité. SFR, adossé à Vivendi - comme Canal+ - tient à son indépendance après avoir avalé Neuf-Cegetel, lui-même repreneur de Club Internet. Orange serait, selon la Tribune, considéré comme « trop lié à l'Etat ». Enfin, Numericable est détenu à 35% par le fonds d'investissement Carlyle, qu'on imagine mal céder sa participation moins d'un an après sa montée au capital. La seule cible potentielle pour Rupert Murdoch est donc Iliad, la maison-mère de Free et dernier acteur indépendant sur le marché des FAI français. Le fils de l'homme d'affaires, James Murdoch, aurait ainsi rencontré les dirigeants du groupe français, et une banque d'affaires aurait été mandatée pour étudier la faisabilité de l'opération. Acquisition ou simple prise de participation, Iliad refuse de commenter la moindre de ces hypothèses. (...)

(28/10/2008 12:43:06)

Bouygues Immobilier lance un GIE pour des immeubles de bureaux écologiques

Bouygues Immobilier, filiale de Bouygues qui commercialise les programmes immobiliers du groupe, lance le Groupement d'intérêt économique « Enjeu énergie positive » avec Lexmark, Philips, Schneider Electric, Siemens, Sodexo, Steelcase et Tandberg. Grenelle de l'environnement oblige, le GIE réunit les huit acteurs autour de l'optimisation énergétique des immeubles de bureaux dans leur phase d'exploitation. Le but : obtenir plus de synergie entre tous ces acteurs qui participent à des projets de bâtiments, aujourd'hui de façon isolée. Le nombre de membres du GIE sera limité à 15 mais celui-ci attend déjà d'autres contributions du secteur informatique. Piloté par Bouygues Immobilier, « Enjeu énergie positive » sera doté de 400 000 euros. Ce groupement permettra aux acteurs de partager l'avancement de leurs travaux de R&D mais aussi des perspectives de développement d'affaires communes. L'informatique, les réseaux et l'électronique seront au coeur de ces immeubles de bureaux « verts », dont un des objectifs est d'économiser l'énergie. Des capteurs de température ou de luminosité reliés à des systèmes intelligents permettent ainsi aux bâtiments d'adapter automatiquement la climatisation, le chauffage ou la luminosité aux conditions extérieures. Lexmark travaille sur la rationalisation de l'impression dans l'entreprise [[page]]Parmi les membres, acteurs des TIC, Lexmark travaillera sur la rationalisation de l'impression dans les bureaux, en particulier pour en réduire l'impact sur l'environnement. Le constructeur s'est appliqué ces principes à lui-même et, dans son siège de Suresnes, a réduit sa consommation de papier de 43% et réalisé 55% d'économies d'énergie. La gestion de la consommation électrique de la bureautique fait partie plus globalement des thèmes de recherche du GIE. Quant à Siemens, il proposera justement des systèmes électroniques de gestion des bâtiments, alors que Tandberg contribuera au travers de systèmes de vidéoconférence et de communication unifiée. Si l'on en croit Bouygues Immobilier, initiateur du GIE, le secteur du bâtiment est responsable de 21% des émissions de CO2 et de 43% de la consommation énergétique en France. C'est pourquoi le groupe construit déjà depuis plusieurs mois à Meudon un immeuble dit « à énergie positive ». Green Office sera sans nul doute placé au coeur des travaux de « Enjeu énergie positive ». (...)

(28/10/2008 09:25:03)

L'Egypte, destination idéale pour l'externalisation, selon la NOA

La National outsourcing association (NOA) vient de décerner à l'Egypte le prix de la « destination de l'année en matière d'externalisation », devant les Philippines (lauréat l'an dernier) et la Roumanie. Jeudi dernier, 23 octobre, les membres du jury ont salué « les capacités linguistiques, la jeunesse de la population », ainsi que les « investissements de plus en plus nombreux que le gouvernement égyptien consacre aux activités de sous-traitance IT ». L'Egypte a récemment investi 2 Md$ pour améliorer ses infrastructures de télécommunications et a créé l'Itida (agence pour le développement de l'industrie IT) pour accompagner la croissance de l'outsourcing. Selon le Gartner, le secteur IT égyptien connaît une progression annuelle de l'ordre de 20%. La pénétration d'Internet avoisine les 11% et celle de la mobilité atteint les 38%, toujours selon le Gartner. « Lentement mais sûrement, le pays impose sa marque sur la carte des localisations les plus appréciées des services internationaux », a déclaré Hazem Abdelazim, directeur général de l'Itida. Une main d'oeuvre jeune, multilingue, pas chère, mais des lourdeurs administratives L'Egypte - dont on parle encore peu en matière d'externalisation - dispose de plusieurs atouts (...)[[page]] L'Egypte - dont on parle encore peu en matière d'externalisation - dispose de plusieurs atouts. Le Gartner souligne par exemple que plus de 50% de la population est âgée de moins de 25 ans. 100 000 universitaires sont formés chaque année dans le secteur du BPO et des centres d'appel, et ils sont souvent multilingues. L'anglais est enseigné dès l'âge de neuf ans et une deuxième langue est obligatoire pendant les études supérieures. Les étudiants égyptiens optent en général pour le français ou l'allemand en raison de la réputation touristique de l'Egypte auprès de ces deux pays. Le coût de la main d'oeuvre est également un atout de taille pour l'Egypte - comme dans la plupart des destinations offshore. Alors que les SSII indiennes doivent affronter une hausse générale des salaires, l'Egypte propose des tarifs attrayants pour les sociétés européennes qui souhaitent externaliser une partie de leur système d'information : entre 6 000 et 11 000 $ par an pour un programmeur, 13 000 $ pour un consultant, 20 000 $ pour un chef de projet... On est loin du salaire annuel moyen de 34 000 € affichés en France à l'embauche. Le Gartner note toutefois deux bémols : la corruption est encore importante en Egypte et les démarches administratives sont lourdes. (...)

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