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(27/10/2008 18:15:31)

PDC 2008 : Microsoft dévoile Azure, son offre de 'cloud computing'

Comme promis, Microsoft a entamé sa conférence pour les développeurs (PDC 2008, Professional developer conference de Los Angeles) avec l'annonce de son offre de 'cloud computing' : Azure Services Platform. Ray Ozzie, architecte en chef de Microsoft, a expliqué qu'il s'agissait d'un tournant fondamental dans la stratégie de l'éditeur, qui entend proposer une offre d'informatique dans les nuages « bâtie dès le commencement avec en ligne de mire notre engagement en faveur de l'ouverture et de l'interopérabilité ». Architecte de Lotus puis de Groove, Ray Ozzie avait justement été appointé à ce poste pour orienter Microsoft vers les services en ligne. Concrètement, Azure est constitué d'un ensemble de services hébergés dans les datacenters de Microsoft. Cela comprend notamment : Windows Azure (infrastructure de calcul, de stockage, de réseau...), SQL Services (base de données en ligne), Live Services (synchronisation de documents personnels), Sharepoint services (collaboration et gestion de contenu)... Les services d'Azure sont destinés à compléter les applications Bien entendu, Ray Ozzie n'appelle pas son public à tout faire tourner dans les nuages, il reste fidèle à la stratégie de Microsoft, nommée S+S (Software plus services). Dans cette optique, le 'cloud' est vu comme un complément utile à tout ce qui peut être fait au sein des directions informatiques - sur des postes dûment pourvus de licences logicielles -, qu'il s'agisse d'y héberger un service ou de d'étendre une application en y intégrant un service Azure. De même, le meilleur moyen, souligne-t-on chez Microsoft, de développer une application qu'on hébergera sur la plateforme Azure, reste de le faire avec l'atelier maison, Visual Studio. Une version CTP (Community technology preview) d'Azure est d'ores et déjà disponible pour les divers membres de l'écosystème Microsoft (éditeurs tiers, développeurs, entreprises utilisatrices...). (...)

(27/10/2008 17:50:42)

Avec CloudView, le moteur d'Exalead se mue en brique technologique

Pour Exalead, éditeur français de moteur de recherche, le développement de la gamme CloudView constitue une évolution majeure de son offre. « Nous changeons de plateforme et nous focalisons sur de nouveaux marchés », décrit le PDG François Bourdoncle, co-fondateur de la société en 2000. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Cloudview n'a rien à voir avec le cloud computing. Le nom de l'offre fait référence au « nuage de données » qui environne l'utilisateur professionnel, tant dans l'entreprise (bases et applications internes) qu'à l'extérieur du pare-feu (systèmes d'information partenaires et données du Web). L'objectif est de transformer ces informations diffuses et réparties, accessibles dans des environnements hétérogènes et cloisonnés, en informations structurées, directement exploitables par les applications. « On passe d'un monde où le moteur de recherche est une application à un monde où il devient une brique technologique permettant d'étendre la portée et la souplesse des applications métiers », explique François Bourdoncle. Une version OEM pour les éditeurs [[page]]La gamme CloudView se décline en deux versions. La première, CloudView Search, s'adresse au marché traditionnel d'Exalead, les entreprises, « avec des couches basses qui restent dans la lignée de ce que nous proposions, notamment une capacité à indexer énormément de documents », précise le PDG d'Exalead. Il insiste sur les temps réduits de déploiement de l'offre et sur sa capacité à répondre aux contraintes de haute disponibilité. Le produit propose une administration centralisée de grappes de serveurs. L'autre version, CloudView OEM, vise les éditeurs, avec un produit sans interface utilisateur, uniquement accessible par API, permettant d'accéder à 100% des capacités du moteur. Une version qui sera directement commercialisée aux Etats-Unis. 25% des entreprises utilisent Exalead pour des applications en ligne Actuellement, 75% des clients d'Exalead utilisent le moteur de recherche sur leurs données internes, à l'intérieur de leur pare-feu. Les 25% restants exploitent le produit pour des applications en ligne (ViaMichelin, notamment). François Bourdoncle souligne l'intérêt d'intégrer les données propriétaires avec les informations du Web pour offrir un meilleur service au client. L'éditeur français réalise aujourd'hui la moitié de son chiffre d'affaires dans l'Hexagone et le reste en Europe et aux Etats-Unis. Il compte 170 clients. (...)

(27/10/2008 17:23:47)

Ebay pourrait supprimer 80% de ses effectifs en France

Selon nos confrères de Capital.fr, la filiale française d'eBay pourrait supprimer 80% de ses effectifs. Le site économique parle de 50 à 65 postes supprimés en France. De son côté, la direction n'a pas souhaité donner de détails sur le nombre d'emplois concernés, ni sur le nombre de salariés qu'eBay compte actuellement dans l'Hexagone. Actuellement en phase de discussion avec les partenaires sociaux, elle préfère respecter son devoir de réserve : « Nous avons effectivement décidé de procéder le 6 octobre dernier à des changements dans notre organisation, a confirmé la direction de la communication d'eBay France, sans valider ni infirmer la tenue d'un plan social. Mais il est encore trop tôt pour communiquer sur le sujet. » Derniers résultats trimestriels dans le vert Début octobre, eBay avait annoncé la suppression de 10% de ses effectifs dans le monde, ainsi qu'un ralentissement de sa politique de recrutement. Au même moment, le groupe avait pourtant publié des résultats trimestriels plutôt encourageants. Au cours du troisième trimestre, le chiffre d'affaires était en hausse de 12 points, à 2,12 Md$, et le bénéfice net s'établissait à 492 M$, contre une perte de 936 M$ un an plus tôt). (...)

(27/10/2008 17:14:49)

Hadopi : le gouvernement décrète l'urgence

Le Sénat, qui se penchera à partir du 29 octobre sur le projet de loi dit Création et Internet, devra travailler au pas de course. Le gouvernement a en effet paré le texte de la mention 'urgence déclarée' : la future loi censée endiguer le téléchargement illégal à coups de riposte graduée ne bénéficiera ainsi pas de tous les atours démocratiques qu'offre traditionnellement l'examen par le Parlement. Dans le cadre de la procédure d'urgence, chaque chambre ne procède qu'à une lecture puis, en cas de désaccord entre l'Assemblée nationale et le Sénat, une commission mixte paritaire composée de sept sénateurs et sept députés, élabore un texte de compromis. Si le gouvernement invoque un calendrier serré pour justifier le recours à cette procédure d'urgence, cette décision ne manquera certainement pas de réjouir les ayants droit. « Si jamais au cours des dernières années un projet de loi a nécessité l'urgence, c'est bien celui-ci », estimait ainsi, le mois dernier, Pascal Nègre, le président de la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques). Au même moment, le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, enjoignait également le gouvernement d'inscrire le texte en urgence à l'ordre du jour du Parlement. L'amendement des eurodéputés en toile de fond La demande du héraut du parti présidentiel s'inscrivait en écho au vote, par les eurodéputés, d'un amendement étrillant le principe de la riposte graduée. Cet amendement, dont Nicolas Sarkozy avait vainement demandé le rejet à la Commission européenne, doit maintenant être examiné par le Conseil des ministres des 27. De là à imaginer que l'exécutif français souhaite presser l'examen du projet de loi avant que l'UE n'entérine l'amendement honni... (...)

(27/10/2008 17:11:58)

Alter Way se dote d'un portail pour le consulting

Constitué de plusieurs sociétés spécialistes du service dans le monde Open Source, le groupe Alter Way a décidé d'offrir un visage unique à ses interlocuteurs, en lançant Alter Way Consulting. Il s'agit, explique la cofondatrice et coprésidente Véronique Torner, « d'un portail pour l'expertise du groupe ». Désireux de démarcher des grands comptes afin de remporter des marchés conséquents - tel que celui signé fin septembre de 7 M€ sur 3 ans -, tout en gardant une structure par entités (Solinux, Nexen, Anaska...), Alter Way a trouvé cette solution d'une branche consulting. Animé par Damien Séguy (qui animait les communautés PHP et MySQL chez Nexen Services), Alter Way Consulting permet de rediriger les prospects vers les experts techniques de telle ou telle entité les plus aptes à répondre à leur problématique. (...)

(27/10/2008 16:45:32)

Les puces graphiques d'AMD tirent la croissance du marché

Le record de livraison de puces graphiques au troisième trimestre a profité à AMD. Selon le cabinet Jon Peddie Research, la hausse record de 22,5% à 111 millions d'unités a certes bénéficié à Intel (+33,4%) qui s'octroie 49,4% du marché, mais AMD fait de son côté, un retour remarqué. Distancé par Nvidia, malgré son rachat d'ATI en juillet 2006, AMD a repris des parts de marché à Nvidia au cours de ce trimestre. Alors que le premier voit ses livraisons progresser de 22,8%, celles de Nvidia baissent de 6,4%. AMD doit en grande partie ce retour en grâce à ses produits pour portables. Sur ce créneau en forte croissance (+40%) qui pèse désormais 44,4% du marché total des processeurs graphiques, AMD est le seul fournisseur à enregistrer une hausse des livraisons. Sa part de marché atteint ainsi 20,9%. Elle se fait, bien sûr, aux dépens d'Intel (-1%, à 56,2% de part de marché) et de Nvidia qui baisse à 21,8%. (...)

(27/10/2008 16:35:11)

Sun déploie une offre de service pour optimiser les datacenters

Sun vient de créer une nouvelle offre de service baptisée « Data Center Efficiency » qui regroupe consulting, assistance et réalisation pour les datacenters. Le constructeur s'appuiera sur des technologies déjà utilisées dans ses propres salles serveurs et d'autres développées par ses partenaires comme APC et Liebert. « Il suffit parfois de désactiver des serveurs inutiles pour économiser jusqu'à 15 % de sa facture d'électricité, explique Stéphane Aita, responsable EMEA « Data Center Efficiency ». Et désormais, il est inutile de refroidir uniformément la salle, nous savons apporter le refroidissement là où il est nécessaire. » Dans le cas de la conception d'un nouveau centre serveurs à partir de zéro, Sun ira jusqu'à trouver le lieu de construction et à agir comme maître d'oeuvre sur le chantier. Si le client le souhaite, il se chargera aussi de l'organisation et de la maintenance du centre. Une équipe dédiée de 250 personnes dans le monde Le constructeur a mis en place une nouvelle équipe de consultants qui regroupe environ 250 personnes dans le monde. « Nous estimons que 50 % des besoins se situent dans la zone EMEA, affirme cependant Stéphane Aita. Et nous nous appuyons en complément sur nos ressources locales « professionnal services » déjà présentes dans chaque pays. » (...)

(27/10/2008 16:29:34)

La Grande chambre des recours de l'OEB chargée de statuer sur la brevetabilité des logiciels

Après plusieurs années de tergiversations sur la brevetabilité des logiciels, l'Office européen des brevets (OEB, European patent office ou EPO en anglais) a décidé de confier la patate chaude à sa plus haute juridiction, la Grande chambre des recours (Enlarged board of appeal ou Eboa en anglais). Alison Brimelow, présidente de l'OEB, a signé la saisine vendredi 24, expliquant qu'elle espérait ainsi clarifier le contexte juridique de la brevetabilité des logiciels une fois pour toutes. Car de fait, si les logiciels sont théoriquement exclus du champ de la brevetabilité, des tribunaux ont soulevé des exceptions, ce qui a conduit des offices nationaux à décerner des brevets à des programmes informatiques. Et le Parlement européen a de son côté échoué à élaborer une législation s'appliquant à tous uniformément. Dans l'introduction de sa demande, Alison Brimelow note que les auteurs de la loi sur les brevets, conscients du caractère changeant des nouvelles technologies, souhaitaient laisser une certaine marge de manoeuvre à l'OEB et à la jurisprudence. Toutefois, note la présidente de l'OEB, « des décisions divergentes des cours d'appel ont créé de l'incertitude » autour des brevets logiciels, et les questions qu'elles ont soulevées appellent une réponse unique « pour un développement harmonieux du droit ». L'Office européen des brevets veut des réponses à quatre grandes questions [[page]]Le texte adressé à la Grande chambre des recours pose quatre grandes questions. La première a un caractère très général, puisqu'elle demande si une invention qualifiée de « programme informatique » doit être exclue du champ de la brevetabilité justement à cause de cette dénomination. En d'autres termes, quelle formulation un impétrant devrait-il employer pour ne pas voir sa demande rejetée d'office. Les trois questions suivantes (elles-mêmes découpées en plusieurs questions) tâchent de définir une distinction claire entre les inventions qui pourraient être brevetées et les autres. Par exemple, le fait d'utiliser un média de stockage - donc un support physique - évite-t-il à un programme informatique d'être exclu du champ de la brevetabilité ? Ou encore, que se passe-t-il si le programme produit un « un effet technique sur une entité physique du monde réel » ? (...)

(27/10/2008 15:49:00)

François Enaud prend temporairement les rênes de Steria France

François Mazon quitte officiellement le poste de directeur général France, Asie et Maroc de Steria. Il est temporairement remplacé par François Enaud, PDG et gérant de la SSII depuis 1998. François Enaud cumulera les fonctions de DG et de PDG pour une durée « indéterminée pour le moment » selon Steria, qui recherche activement un autre DG pour sa maison-mère française (6000 salariés sur 19 000 dans 16 pays). Pour la deuxième fois, Steria revoit par ailleurs son objectif de marge opérationnelle à la baisse pour l'exercice fiscal 2008. Elle passe de 7,8% à 7,5%, alors qu'il y a quelques mois, la société espérait franchir le cap des 8%. Les résultats mitigés de la SSII sont affectés par les mauvaises performances observées en France, où la société réalise 28% de son chiffre d'affaires. Le titre Steria a perdu près de 15% en bourse Dans l'Hexagone en 2007, Steria s'est orientée vers un modèle de production plus industriel, ce qui lui porte préjudice. Le chiffre d'affaires a perdu 2,2 points au premier semestre 2008, alors que la Grande-Bretagne (où Steria a racheté le spécialiste du BPO Xansa pour 700 M€ en juillet 2007) et l'Allemagne affichent des marges confortables (respectivement 9,7% et 8,5%). En confiant temporairement les rênes de la France à François Enaud, la SSII espère « accélérer les bénéfices issus du programme de transformation initié en 2007 et améliorer les synergies internationales ». Suite à ce deuxième avertissement sur résultat, la sanction de la bourse ne s'est pas faite attendre, le titre de Steria a perdu près de 15% ce matin. (...)

(27/10/2008 15:44:47)

Xerox va supprimer 3 000 emplois dans le monde

Pour augmenter sa rentabilité, Xerox (57 400 personnes dans le monde, dont 33 400 aux Etats-Unis) va réduire 5% de ses effectifs. D'ici quelques mois, 3 000 emplois seront donc supprimés par le fabricant , principalement aux Etats-Unis. Cette information a été dévoilée jeudi dernier par le spécialiste de la gestion de documents et de l'impression, à l'occasion de la publication de ses résultats trimestriels. La société a enregistré un bénéfice net en hausse de 2%, à 258 millions de dollars pour les trois mois achevés fin septembre, mais son bénéfice avant impôt a chuté de 27% à 238 millions de dollars. En baisse également sa marge opérationnelle qui tombe à 6,8% contre 8,4% du chiffre d'affaires un an plus tôt. Du coup, Xerox revoit à la baisse ses prévisions pour le prochain trimestre en raison d'un climat économique difficile. Une charge de restructuration de 400 M$ devrait intervenir au cours du quatrième trimestre dans le cadre de ce plan qui permettra au groupe d'économiser 200 M$ à partir de l'an prochain. On ne connaît pas encore l'impact de ces suppressions de postes en France. (...)

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