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(24/10/2008 16:52:45)

IBM et Intel mettent à disposition les spécifications d'une lame-commutateur

IBM et Intel publient gratuitement les spécifications techniques pour concevoir des lames-commutateurs compatibles avec les châssis BladeCenter du premier. Les deux collaborent d'ailleurs sur l'élaboration de la ligne BladeCenter. Les spécifications lames-commutateurs viennent rejoindre celles d'un châssis compatible avec BladeCenter proposé par le Server System Infrastructure (SSI) Forum. SSI est l'entité au travers de laquelle Intel propose des serveurs en OEM à une cinquantaine de clients. SSI compte une quarantaine de design différents à son catalogue. La volonté de partage d'IBM s'arrête à l'aspect matériel de ses technologies lames. Il garde la mainmise sur toute la partie administration, la plus cruciale. Cette annonce par IBM et Intel intervient au moment où les serveurs lames d'IBM subissent une baisse trimestrielle de leurs ventes de 8% sur un marché en forte croissance. (...)

(24/10/2008 16:43:34)

Microsoft se serre la ceinture pour affronter la crise

Malgré des résultats financiers conformes aux attentes du marché , Microsoft a présenté hier un plan pour braver la crise économique. Le géant de Redmond ne voit pas d'amélioration à l'horizon et préfère se mettre au régime dès à présent. « Nous ne pouvons pas contrôler l'économie mondiale mais nous pouvons contrôler nos propres performances » a indiqué Chris Liddell, directeur financier de la société. Avec ce plan, Microsoft espère alléger ses dépenses de 500 M$ pour le reste de l'exercice en cours, qui se termine le 30 juin 2009. Au menu : une réduction des dépenses dans tous les pôles considérés à priorité basse. Le marketing est particulièrement visé. La société a récemment déboursé 300 M$ en frais de marketing et de campagne de publicité pour Windows Vista qui n'a, de surcroît, jamais réussi à répondre aux attentes de Microsoft. Sont également concernés les investissements dans les centres de données et les frais généraux, notamment liés aux voyages (comme l'a fait SAP il y a quelques jours, suite à l'avertissement sur résultats). Moins de recrutements et Microsoft ne remet pas l'affaire Yahoo sur le tapis Microsoft met également un frein sur les recrutements. Ils ne seront pas gelés, mais ils seront sous les 15% atteints l'an dernier par l'éditeur. Pour attirer et retenir de nouveaux clients à la recherche de « faire plus avec moins » dans un climat économique difficile, le directeur financier a annoncé que Microsoft allait se concentrer sur la fourniture de « produits à valeur ajoutée mais à faible coût ». Il a cité des outils tels que le logiciel de virtualisation Hyper-V ainsi que des solutions de communication unifiées pour les entreprises. Chris Liddell n'a pas évoqué l'éventualité pour Microsoft de mettre sur la table une autre offre de rachat de Yahoo, alors que Steve Ballmer a récemment déclaré publiquement qu'un accord entre les deux sociétés « avait encore un sens économique » . (...)

(24/10/2008 15:51:41)

Microsoft plutôt bon au premier trimestre, prudent pour la suite

Pour le premier trimestre de son exercice fiscal 2009, Microsoft a présenté des résultats dans le haut de la fourchette des prévisions des analystes. Mais il a réduit a minima ses commentaires sur résultats. Il se cantonne à souligner la bonne santé des ventes des logiciels d'entreprise et de ses consoles XBox 360. Par ailleurs, le numéro un mondial du logiciel s'est montré circonspect pour l'avenir lors de l'annonce de ses résultats qui a eu lieu avant le krach boursier d'aujourd'hui. La ventilation des résultats de ce trimestre confirme la désaffection dont souffre Vista et le dynamisme de Microsoft sur le créneau des serveurs et des bases de données. Microsoft présente d'ailleurs la hausse de 20% du taux de renouvellement des contrats annuels comme historique. En revanche, il s'échine toujours à surmonter les difficultés qu'il rencontre pour parvenir à se diversifier dans les services en ligne - c'était le seul secteur où Microsoft avait affiché une contre-performance lors de ses résultats annuels. Quant à l'activité de vente de produits grand public, Microsoft peine aussi à juguler une concurrence très agressive. Tout en étant confiant sur la dynamique de son entreprise, Frank Brod, Chief Accounting Officer (comptable en chef), a souligné l'incertitude de la conjoncture. Il a également fait remarquer que les périodes de crise étaient favorables à des investissements stratégiques. Or, Microsoft dispose de plus de 20 Md$ de liquidités. Pour le trimestre en cours, Microsoft a réduit de 1% à 4% ses perspectives de chiffre d'affaires et de 3,6% à 7,3% celles des bénéfices par actions. Ces estimations s'inscrivent dans la perspective d'une réduction de 2% des prévisions de croissance sur les ventes de PC au prochain trimestre. Elles passent de +12/15% à +8/12%. Un ralentissement similaire devrait affecter les ventes de serveur. Les résultats par divisions [[page]] La division "Client" (Windows pour les postes clients) Le CA n'augmente que de 1,9% à 4,2 Md$ et le résultat opérationnel baisse de 3,6% à 3,2 Md$. La rentabilité brute atteint 77,4%. Elle était de 81% il y a un an. Il est désormais impossible à Microsoft de nier le fait que Windows Vista n'est pas le succès espéré. D'autant que sur le marché dynamique des netbooks bon marché, Microsoft n'a que Windows XP à proposer. La division "Server and Tools" (Windows Server, SQL Server, middlewares) Le CA augmente de 17,4% à 3,4 Md$ et le résultat opérationnel de 20% à 1,1 Md$. La rentabilité brute atteint 33,8%. Le prochain trimestre s'annonce sous de bons auspices avec la montée en puissance de Windows Server 2008, dont les ventes étaient encore inférieures à celle de la version 2003 au cours de ce trimestre, l'arrivée de SQL Server 2008 et la mise en place d'un écosystème cohérent autour de l'hypervision. La division "Online Service Business" (publicité en ligne) Le CA augmente de 14,8% à 770 M$ mais la perte opérationnelle se creuse de 80% à 480 M$. Dans un contexte qu'il qualifie de difficile, probablement en raison de l'échec de sa tentative de rachat de Yahoo, Microsoft se déclare très satisfait de la progression du CA de cette division. Elle avait pourtant été bien supérieure il y a un an (+25%) et avec beaucoup moins de pertes. La division "Business" (logiciels bureautiques, serveurs Exchange, PGI) Le CA augmente de 20% à 4,9 Md$ et le résultat opérationnel de 22,6% à 3,3 Md$. La rentabilité brute atteint 67%. Aucune information n'est communiquée sur la ventilation de cette activité qui agglomère des logiciels très divers. La division " Entertainment and Devices" (consoles de jeu, périphériques, mobiles) Le CA baisse de 6% à 1,8 Md$ mais le résultat opérationnel augmente de 6,6% à 178 M$. La rentabilité brute atteint 9,8%. (...)

(24/10/2008 15:24:15)

Trimestriels Tata Consultancy Services: le bénéfice net n'augmente que de 3,4%

Tata Consultancy Services n'échappe pas à la morosité qui règne actuellement dans les SSII indiennes. Après Infosys et Wipro, c'est au tour de TCS d'annoncer des résultats engourdis par la crise économique. Le chiffre d'affaires est certes toujours en croissance, à 1,57 Md$ (+14,74%), mais cette progression est loin d'être aussi impressionnante que celle affichée au deuxième trimestre de l'année dernière (+45,2%). Le bénéfice net stagne quasiment, avec 287 M$ engrangés (+3,4%). Tata précise que la société a perdu beaucoup d'argent en couverture du risque de change liée aux fluctuations du dollar. Malgré la crise, la société a indiqué qu'elle travaillait actuellement sur une vingtaine de gros chantiers, y compris dans le secteur de la banque et de la finance. « Notre chiffre d'affaires sur ce secteur a continué à augmenter au cours du trimestre mais de façon moindre par rapport à notre taux de croissance global », explique Natarajan Chandrasekaran, DG de TCS. TCS s'apprête à absorber l'activité de BPO de Citigroup Tata Consultancy Services a annoncé au début du mois qu'il était parvenu à un accord pour acquérir l'activité de BPO (Business process outsourcing) de Citigroup (un établissement bancaire américain), pour un montant de 505 M$. Dans le cadre de cet accord, TCS fournira, pendant neuf ans et demi, des services à Citigroup et ses filiales, pour la somme de 2,5 Md$. TCS emploie 121 610 personnes dans le monde, soit 5 328 de plus que l'an dernier. La société affirme avoir gagné 51 nouveaux clients au cours du trimestre. (...)

(24/10/2008 14:57:08)

Pas de hausse sur les salaires d'embauche des cadres en SSII en 2008

Cette année, les salaires à l'embauche des cadres en SSII n'ont pas été relevés par rapport à 2007. Une étude de l'Apec sur les salaires 2008 montre en effet que, sur cette période, le niveau moyen des rémunérations à l'embauche est resté inchangé, à 34 000 € en moyenne. Comme l'an dernier, 80% des salaires de départ se situent dans une fourchette de 25 000 à 44 000 €. Les métiers des systèmes, réseaux et données sont ceux qui payent le mieux : ils se situent dans une fourchette plus large, soit une rémunération annuelle comprise entre 27 000 et 50 000 € (avec une moyenne de 38 000 €). En toute logique, plus on est expérimenté, mieux on est payé : les cadres de plus de 10 ans d'expérience démarrent ainsi à 43 000 €, contre 29 000 € en moyenne pour les jeunes diplômés, Reste qu'en SSII, les embauches d'expérimentésrestent, somme toute, assez marginales, puisqu'elles ne représentent que seulement 8% des recrutements. Pas d'effet de pénurie ni de tension sur les salaires [[page]] La situation professionnelle du cadre au moment du recrutement a également un impact discriminant sur le niveau de la rémunération : ainsi, les cadres en activité gagnent en moyenne 5 000 € de plus que ceux sans emploi. Pour l'Apec, la difficulté à trouver des candidats, souvent associée à un discours sur la pénurie est à relativiser. L'association estime que le niveau des salaires est finalement proche de celui envisagé avant l'embauche, et qu'il n'y a pas de tension réelle sur les salaires par rapport à l'année passée. Pourtant, même si dans la majorité des recrutements, le profil de la personne recrutée est conforme au profil requis en termes d'expérience (53%), les profils sous-dimensionnés sont tout de même nombreux : ils ne représentent pas moins de 29% des recrutements des SSII. Pour 10 % d'entre elles, il existe un écart important entre le profil recherché et celui de la personne embauchée. (...)

(24/10/2008 14:54:08)

Les entreprises ne peuvent plus ignorer le pouvoir de la conversation, selon le G9+ et Think Out

« Nous sommes entrés dans le troisième âge conversationnel, celui des conversations numériques », clament Luc Bretones, représentant Institut G9+ et co-animateur Essec Business & Technologie et Centrale Marseille IT, et Stéphane Dieutre, directeur associé du cabinet d'études Think-Out, dans une tribune publiée dans notre Blog experts. Pour ces auteurs, il est urgent que les entreprises s'approprient les phénomènes du Web 2.0 et l'émergence d'un contre-pouvoir, celui des citoyens internautes, aussi appelés « consommacteurs ». Des individus de plus en plus nombreux, avec l'explosion de la génération des « Digital natives », nés avec le numérique, et dont il faut prendre en compte le nouveau comportement. « Les marques ne peuvent donc plus ignorer les conversations en cours sous peine de réactions trop lentes ou trop 'corporate'. Les mouvements communautaires sont rapides, le bouche à oreille marche à fond, et l'agilité est de mise. Ce n'est plus seulement un sujet de communication mais aussi de marketing. Les entreprises qui écoutent, ou donnent la parole, gagnent en temps, en acceptation et en efficacité. » Plusieurs pistes et exemples illustrent le propos. (...)

(24/10/2008 14:25:50)

Tariq Krim participe à un fonds d'investissement pour les start-up

Le fondateur et ex-PDG de Netvibes Tariq Krim a annoncé lors de la conférence Web 2.0 organisée à Berlin pour la deuxième année consécutive qu'il allait apporter son soutien à un fonds d'investissement pour les start-up. Tariq Krim a quitté Netvibes en mai dernier, laissant les commandes aux mains de Freddy Mini, qu'il avait recruté deux ans plutôt pour développer Netvibes aux Etats-Unis. Il expliquait à l'époque son départ par sa volonté de se concentrer sur la partie « vision, futur », mais également par son souhait de développer d'autres projets, dont on connaît aujourd'hui la teneur. Moins de dépenses, moins de personnel et urgence d'adopter des outils Web 2.0 Dans son intervention, baptisée « Etre un entrepreneur Web en Europe », Tariq Krim a également fait part de ce qu'il avait appris au cours des trois années passées à la tête de Netvibes. Et ses conclusions sont radicales. Pour lui, Internet est un marché saturé qu'il faut apprendre à dompter. Cela passe par l'abandon pur et simple d'outils de communication, de marketing ou de distribution qu'il qualifie d'obsolètes au profit des médias sociaux. Passion, détermination, représentativité, vitesse d'exécution et capacité d'évolution sont les cinq clés du succès pour une start-up, selon lui. Dans un climat économique tourmenté, Tariq Krim n'hésite pas à aborder la question financière : aujourd'hui, on peut réussir « avec moins d'argent et moins de salariés que dans les entreprises traditionnelles », affirme-t-il. (...)

(24/10/2008 12:34:32)

Le prix du jeune dirigeant Ivy décerné au fondateur d'eXo Platform

C'est Benjamin Mestrallet, fondateur de l'éditeur français eXo Platform, qui s'est vu attribuer cette année le prix du jeune dirigeant de l'année 2008 par le cabinet de recrutement de cadres exécutifs ('chasseur de tête') Ivy Executive Search, fondé par le Français Pierre Aussure. Dans la dernière ligne droite, le jeune président d'eXo Platform (29 ans) était confronté à deux autres finalistes, Carlos Diaz, patron de blueKiwi Software, éditeur d'outils Web 2.0 pour les entreprises, et Emmanuel Gonon, qui a co-fondé Oslo Software, éditeur lyonnais spécialisé dans les outils d'orchestration dynamique des ressources. eXo Platform, qui s'est bâti sur le concept d'espace de travail virtuel, a développé une suite d'outils de travail collaboratif. Son originalité repose sur son offre WebOS qui ouvre dans un navigateur Web (Firefox, Safari ou Internet Explorer) l'environnement de travail habituel de l'utilisateur, espace dans lequel s'exécutent les applications. Créée en 2003, la société rassemble actuellement quelque 85 collaborateurs et compte parmi ses clients plusieurs conseils généraux et, à l'étranger, le ministère américain de la Défense, le ministère des Finances belge et l'Etat de Genève. (...)

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