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(22/01/2007 17:32:41)

L'OSDL se fond dans la Linux Foundation

Les deux organisations les plus actives dans la promotion et le développement de Linux ne vont plus en former qu'une : l'OSDL (Open Source Development Labs) et le FSG (Free Standards Group) fusionnent au sein de la Linux Foundation. C'est Jim Zemlin, directeur exécutif du FSG, qui prend la direction de la nouvelle structure. Sachant que Stuart Cohen, le patron de l'OSDL, avait démissionné en décembre dernier, en même temps qu'étaient remercié près d'un tiers des employés. Jim Zemlin explique cette fusion par la réussite des deux organismes d'évangélisation de Linux, le système d'exploitation libre s'étant largement diffusé depuis leur création, en 2000. Du coup, l'orientation change quelque peu. Aujourd'hui, dit-il, il s'agit de se mettre en ordre de marche pour concurrencer plus efficacement Microsoft. L'ambition de Jim Zemlin est de donner à la Linux Foundation la même envergure que celle des grandes communautés Open Source, telles que la Fondation Eclipse dans le domaine des outils de développement, la Fondation Apache dans celui des serveurs Web ou la Fondation Mozilla pour les interfaces Web. La nouvelle structure, forte de 45 collaborateurs à temps plein, regroupe 70 membres (il y avait un fort recouvrement) dont HP, IBM, Oracle, Novell ou Red Hat. Jim Zemlin espère attirer davantage de membres, notamment parmi les utilisateurs finaux, les structures gouvernementales et les développeurs individuels. Ses premiers axes de travail seront d'assurer l'interopérabilité entre les différentes versions de Linux, d'étoffer la protection légale liée à l'utilisation du système d'exploitation libre, et de sponsoriser les développeurs du noyau Linux, en premier lieu son créateur Linus Torvalds. Relever le challenge qu'Unix n'a pas pu relever Jusqu'à présent, l'OSDL et le FSG travaillaient régulièrement ensemble, et avaient même plusieurs fois évoqué la possibilité de fusionner. Il s'agissait donc d'une simple question de temps avant d'opérer cette fusion - qui n'est pas liée aux récents licenciements de l'OSDL, assure Jim Zemlin. Pour Michael Goulde, analyste senior chez Forrester, cette fusion des deux consortiums était inévitable. « Le challenge auquel Linux fait face est le même que celui auquel Unix a été confronté, et qu'il n'a pas su relever : comment devenir un standard unique. » Aujourd'hui, les développeurs doivent adapter leurs applications afin qu'elles puissent tourner pour les six ou sept distributions Linux majeures. Si la Linux Foundation veut faire de Linux un système viable dans le long terme, ajoute Michael Goulde, il faut faire en sorte que les développeurs n'aient plus qu'à développer une seule fois pour toutes les distributions. (...)

(22/01/2007 17:15:06)

Adobe livre son lecteur Flash Player 9 pour Linux

Le Flash Player d'Adobe, moteur permettant d'exécuter des applications Internet, est disponible dans sa version 9 pour Linux. Il est téléchargeable gratuitement sur le site de son éditeur et sera intégré, dans le courant de l'année, aux distributions Linux de Novell et Red Hat. Pour créer, tester et déployer des applications Internet, les développeurs travaillant dans l'environnement Open Source Linux disposent donc, désormais, du kit SDK Adobe Flex 2, du Flash Player 9 et du logiciel Flex Data Services 2 Express. Le Flash Player 9 pour Linux inclut la version 2, beaucoup plus rapide, du moteur de script ActionScript (AVM2). Rappelons qu'Adobe a récemment ouvert le code source d'ActionScript à la Fondation Mozilla, cette dernière ayant lancé le projet Tamarin visant à standardiser la création d'applications Web fonctionnant sur plusieurs plateformes. (...)

(22/01/2007 17:11:24)

Un sondage pour mesurer la valeur de son système d'information

Une fois installé, il devient difficile d'évaluer l'efficacité et le retour sur investissement d'un système d'information. Pour répondre à cette question Guy Gable, de l'université de technologie du Queensland (Australie) a développé un questionnaire destiné aux utilisateurs du système d'évaluation. Baptisé IT-Impact, ce système est un sondage installé sur l'intranet de l'entreprise. « Les questions s'adressent à tous les niveaux de n'importe quelle organisation, » explique Guy Gable. « Et le sondage donne une note finale divisée en quatre aspects : l'impact du système sur les utilisateurs individuels, l'impact sur l'organisation, la qualité du système et la qualité des informations fournies par le système ». Cette note finale permet également de mesurer l'évolution du système à travers le temps, et de comparer son efficacité par rapport à d'autres systèmes d'informations utilisés dans le même secteur d'activité. Co-développé avec Accenture Australie, cet outil est déjà utilisé au sein de l'Université ainsi que chez certains clients publics d'Accenture (...)

(22/01/2007 17:04:02)

Surenchère chez Google et Microsoft autour des data centers

550 millions de dollars chez Microsoft jeudi dernier, 600 millions de dollars chez Google aujourd'hui. Que représentent ces chiffres ? Les investissements que les deux sociétés comptent réaliser dans leurs nouveaux data centers. Voulant développer toujours plus de nouveaux services et relancer les applications Web chez le grand public (Windows Live chez Microsoft, Picasa et Google Doc & Spreadsheet chez Google), les deux groupes ont de plus en plus besoin de bande passante, de capacité de stockage et de temps de calcul. Basé à San Antonio, le prochain data center de Microsoft aura une superficie de 43 664 mètres carrés, et servira à ses services en ligne pour le grand public (messagerie instantanée, courrier électronique, hébergement de pages Web et de fichiers multimédia). Il devrait être opérationnel dès 2009. Dans le même temps, Google a annoncé l'ouverture prochaine d'un data center de 607 028 mètres carrés, à Lenoir, une petite ville de Caroline du Nord, dédié à sa prochaine génération de moteur de recherche et de base de données, comme le moteur Similarity qui élimine les redondances dans ses résultats de recherches. Et la société recherche encore trois emplacements de taille similaire en Caroline du Sud et en Géorgie. Pour que ces grandes fermes de calcul restent sur le territoire américain, les Etats ruraux rivalisent d'ingéniosité pour en réduire les coûts d'installation : terrains ou fourniture d'énergie à bas coûts, réduction drastiques des taxes (un abattement de 100 % pour Microsoft au Texas, un crédit d'impôt de 4,8 millions de dollars pour Google en Caroline du Nord). Avec à la clé, entre 75 et 200 emplois crées pour chaque centre. (...)

(22/01/2007 16:58:35)

Mark Hurd se défend d'avoir prémédité la vente de ses actions

Mark Hurd, le PDG de HP, se défend d'avoir vendu pour 1,7 M$ d'actions en août 2006, en prévision du scandale qui allait toucher le groupe. Dans une lettre adressée à une commission de la Chambre des représentants chargée d'enquêter sur l'affaire HP, Mark Hurd indique que les 100 000 titres mis en vente le 25 août - c'est à dire le jour même où il était mis au courant des suites judiciaires probables que pourraient avoir les méthodes mises en oeuvre pour remonter les fuites émanant du conseil d'administration - n'ont aucun rapport avec les péripéties touchant le groupe. « Laissez-moi vous assurer que la transaction sur laquelle vous enquêtez était absolument sans lien avec l'audition pour laquelle j'étais volontaire », écrit le PDG. Soucieux de paraître crédible, Mark Hurd ajoute qu'il vend régulièrement des titres pour « diversifier [ses] investissements ». Il explique, en outre, que le service juridique de HP l'avait assuré de la régularité de l'opération. Enfin, il rappelle que le cours de l'action a, depuis la vente de ses titres, augmenté. Dès lors, selon le patron de HP, la transaction ne saurait être considérée comme une vile manoeuvre visant à prévenir un effondrement de la valeur du titre. La lettre de Mark Hurd a été transmise à la SEC (Securities and Exchange Commission, le gendarme de la Bourse américaine) pour avis. (...)

(22/01/2007 16:44:32)

Cognos annonce l'acquisition de Celequest

En rachetant l'éditeur californien Celequest, l'éditeur canadien Cognos, spécialisé dans les logiciels d'analyse décisionnelle, récupère une solution de création de tableaux de bord alimentés en temps réel. Une offre que Cognos juge complémentaire à la sienne. La solution de Celequest est proposée sous forme de licence classique ou comme un service, accessible en mode hébergé. Elle repose sur une technologie de transfert de données en continu (streaming), en attente de brevet. Celle-ci permet de contrôler en temps réel l'alimentation des tableaux de bord avec des données issues des systèmes transactionnels. La remontée d'informations peut être déclenchée par un système d'alertes ou lancée manuellement par les utilisateurs. Une fonction particulièrement appréciée dans les secteurs de la finance et de la distribution qui doivent pouvoir réagir rapidement et prendre des décisions à partir des dernières données connues. A noter que l'offre de Celequest est certifiée pour la plate-forme AppExchange, de l'éditeur Salesforce (solutions en ligne de gestion de la relation clients -GRC), ce qui lui permet de récupérer en continu des informations gérées dans cet environnement applicatif hébergé. (...)

(22/01/2007 14:43:22)

Marignane se convertit à la VoIP

La ville de Marignane souhaitait à la fois améliorer l'accueil téléphonique de ses concitoyens et réduire ses coûts en reliant tous les sites municipaux (services annexes, crèches, centres culturels, hôtel de police...) à travers un centre de contacts. Ce projet a été confié à l'intégrateur NextiraOne qui se chargera de remettre à niveau le câblage des bâtiments et de déployer une nouvelle infrastructure IP autour de l'offre Cisco Call Manager. Cette solution permettra également aux employés municipaux de bénéficier de nouveaux outils (messagerie unifiée, visio téléphonie, softphones, téléphones IP...). Dans un premier temps, 300 postes Cisco seront installés sur 17 sites reliés à un call center de cinq agents. Les responsables et les élus envisagent toutefois d'ajouter à terme de nouvelles fonctionnalités telles que la vidéosurveillance ou des services de mobilité. De leur côté, les 34 500 Marignanais devraient bénéficier de temps d'attente raccourcis, notamment en période de crise ou d'élections. (...)

(22/01/2007 12:48:46)

Les Big Brother Awards 2006 dénoncent les serviteurs zélés de l'Etat

La branche française de l'ONG Privacy International vient de décerner ses septièmes Big Brother Awards, qui « récompensent » les institutions ou les personnes s'étant distinguées par leurs atteintes aux libertés individuelles et leur apologie de la surveillance. Le jury était notamment composé de représentants du Collectif anti-délation de la Marne, de Loïc Dachary, le fondateur de la FSF Farnce, de l'avocat blogueur Maître Eolas et d'Hélène Franco, la secrétaire générale du syndicat de la magistrature. Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, pourtant grandissime favori et nommé pour la sixième fois, a été déclaré hors compétition. Le prix qui aurait pu lui revenir - Orwell Etat et élus - est finalement décerné à Jacques Lebrot, le sous-préfet sécurité de Seine-Saint-Denis pour « l'exclusion de plusieurs milliers de salariés sur la foi de fichiers policiers recensant de simples suspects (...) violant leur présomption d'innocence sur la base de pratiques clairement discriminatoires ». La catégorie Entreprises récompense assez logiquement Sony pour le rootkit implanté dans ses CD afin de contrôler l'usage qui en était fait. Paul Anselin, le maire de Ploërmel, s'arroge l'Orwell Localités « pour sa soif de vidéosurveillance ». Privacy International a particulièrement « apprécié » les 50 caméras mises en place dans la commune de 9000 habitants, peu sujette à la délinquance, ainsi que l'ouverture d'un numéro vert « visant à encourager la délation ». L'Orwell Novlang (langage inventé par George Orwell dans son roman référence, 1984) revient à Frédéric Péchenard, le directeur de la Police Judiciaire, pour son travail de prosélytisme en faveur d'un fichage génétique généralisé qui permettrait aux innocents « d'être lavés de tout soupçon ». Il devance l'Assedic et l'ANPE « pour le tri informatique des chômeurs de longue durée qu'ils ont entamé, alors même qu'il n'est fiable qu'à 60% et qu'il risque surtout d'enfoncer les plus précaires ». Si le ministre de l'Intérieur n'est pas récompensé, son collègue à la Justice, Pascal Clément, reçoit l'Orwell Ensemble de son Oeuvre « en raison de son acharnement à vouloir contrôler et enfermer, et pour son mépris des institutions et des droits de l'homme ». A côté de ces sarcastiques récompenses, des Big Brothers Awards viennent souligner des travaux qui vont dans le sens de davantage de libertés individuelles. Ce sont les Prix Voltaire de la vigilance. Ils ont été remis, ex-aequo, aux directeurs d'écoles qui refusent les fichiers Base-élèves (compilant moult informations individuelles sur les élèves de 3 à 10 ans) et à Pierre Muller, le webmestre du site Ordinateurs-de-vote.org, sur lequel il démontre pourquoi le vote électronique constitue une menace démocratique. Enfin, Christophe Espern, l'animateur d'EUCD.info, a reçu une mention spéciale. (...)

(22/01/2007 11:28:08)

Sun et Intel proches d'un accord sur les serveurs x86

Selon l'agence de presse AP, Sun Microsystems utilisera des processeurs Xeon d'Intel dans ses serveurs x86. Les premiers serveurs issus de cet accord devraient être commercialisés d'ici la fin de l'année. Bien que Sun n'ait pas renoncé aux puces Opteron d'AMD, c'est une mauvaise nouvelle pour ce dernier. Pour Sumit Dhanda, analyste à la Bank of America, à terme « un tel partenariat permettrait à Intel de gagner jusqu'à 50 % des serveurs x86 de Sun », ce qui se traduirait par une perte de revenu pour AMD de 25 à 50 millions de dollars (...)

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