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(22/01/2007 00:00:00)
Interview vidéo de Laurent Matringe, Directeur général de BEA Systems France
Propos recueillis par Sandrine Chiloti, journaliste pour www.cio-online.com (...)
(19/01/2007 17:19:13)Les PME françaises ont moins investi dans les technologies en 2006
En 2006, 62% des PME françaises sondées pour l'enquête PME 2006-2007 de BNP Paribas Lease Group (BPLG) ont investi dans les technologies de l'information et de la communication (TIC). C'est moins qu'en 2005, année au cours de laquelle 66% des PME interrogées avaient déclaré avoir investi (contre 53% en 2004). Le pourcentage de ces dépenses par rapport au total des investissements reste assez stable : 27% en 2006 contre 28% l'année précédente. La part consacrée aux ordinateurs portables a progressé, représentant 64% des achats des PME en 2006 contre 52% en 2005). Pour 2007, les intentions d'investissement sont prudentes. 46% seulement des PME envisagent des dépenses informatiques, ce qui semble indiquer la volonté de faire une pause, même si, rappelle BPLG, les dirigeants de PME sous-évaluent généralement leurs intentions d'achats dans ce domaine. Cette fois encore, les ordinateurs portables font figure de favoris : 87% des achats d'ordinateurs prévus. 46% des PME n'ont pas de site Web Dans la sphère Internet, l'enquête montre que le nombre de PME possédant un site Web n'a augmenté l'an passé que de 2%, à 54%. Ce taux varie toutefois suivant la taille de l'entreprise : les plus petites (moins de 10 salariés) étant le moins souvent pourvues d'un site Web (53% d'entre elles n'en n'ont pas), alors que la proportion de PME dotées d'un site monte à 77% dans les entreprises de 100 à 200 salariés. Ce sont les PME de services qui sont le mieux équipées (66% d'entre elles ont un site Web), devant le secteur du commerce de gros (61%). Dans le secteur du transport, au contraire, les PME ne sont que 34% à disposer d'un site Web. Selon l'enquête, fin 2006, 59% des PME interrogées ne voyaient toujours dans le site Web qu'un moyen d'assurer leur notoriété et leur image (moins que les 67% de 2005 malgré tout) et, aussi, de procurer des services aux clients. Pour 42%, il doit servir à recueillir des commandes, des réservations et des demandes de devis. Mais il y a encore du chemin à faire pour que les PME l'ouvrent à leurs fournisseurs ou recueillent en ligne les règlements de leurs clients. Dans le premier cas, elles ne sont que 12% à juger que c'est l'un des rôles du site Web, et seulement 7% quand il s'agit de faire payer les clients en ligne. 8% du chiffre d'affaires réalisé sur Internet En 2006, 42% des PME ayant un site Internet l'ont utilisé comme canal de vente, selon BPLG. Cette proportion n'est pas plus importante qu'en 2005, mais dans 55% des cas, ces ventes ont progressé (sur ce point, voir aussi l'indicateur PowerBoutique). Si, en moyenne, les PME ne réalisent que 8% de leur chiffre d'affaires sur Internet, certains secteurs utilisent ce canal avec plus de profit. Pour les hôtels, cafés et restaurants, par exemple, cette proportion monte à 23%. Et dans les PME de services liés à l'immobilier, on estime que 22% du chiffre d'affaires vient du canal Web. Le site permet aussi de toucher une clientèle au-delà des frontières. C'est particulièrement remarquable pour les hôtels et restaurants. Dans ce secteur, les contacts noués hors du territoire français pèsent 64% des ventes réalisées sur Internet. Quant à la filière des déménageurs, elle évalue à 33% la part des ventes réalisées hors de France sur le Web. (...)
(19/01/2007 16:56:15)Parler anglais devient un must pour les développeurs
Savoir parler, écrire, comprendre et se faire comprendre en anglais fait désormais partie du bagage de base des développeurs. Progression du travail coopératif à l'échelle internationale oblige, les responsables de formation (initiale et continue) sont invités « à élargir, dans leurs programmes, la place faite à la pratique de l'anglais ». C'est une des conclusions, lancées à titre de recommandations aux développeurs et à ceux qui les forment et qui les embauchent, de l'enquête sur la situation des 53 000 développeurs en exercice en France effectuée par l'Opiiec (observatoire paritaire des métiers et compétences de la branche Syntec). Pour ceux qui se sentent interpellés, à compter de mi-avril, un test d'anglais adapté au contexte professionnel sera accessible en France sous l'appellation Toeic-4 skills. En tant que variante du Toeic (Test of English for International Communication), le test le plus utilisé au monde, cette évaluation de l'anglais professionnel tient compte du vocabulaire étoffé, adapté aux modes de communication actuels, et de l'utilisation d'accents anglophones différents. Autant d'éléments qui accentuent le caractère international du test. L'évaluation couvre ainsi les quatre compétences : la compréhension écrite et orale, l'expression écrite et orale. Les promoteurs du « Toeic-4 skills », dont la société ETS, profitent du salon Expolangues, du 24 au 27 janvier à Paris, pour présenter ce contenu remanié du Toeic ainsi que des formations à base d'exercices pratiques pour préparer le test. (...)
(19/01/2007 16:53:26)Un guide pratique pour la certification des professionnels de la sécurité informatique
Pour se préparer à l'obtention d'une certification internationale de « pros » de la sécurité, les spécialistes de la question peuvent désormais ajouter à leur paquetage d'entraînement le guide officiel du CISSP (Certified Information Systems Security Professional) diffusé par le consortium international (ISC)² (International Information Systems Security Certification Consortium). En dix domaines, sont décrits (avec force sigles !) via le référentiel CISSP CBK (base de connaissance), les thèmes relevant des compétences du professionnel certifié : sécurité de l'information et gestion du risque ; contrôle d'accès ; cryptographie ; sécurité physique (environnement) ; architecture de sécurité et conception ; continuité de service et plan de continuité (disaster recovery planning) ; sécurité des réseaux et télécom ; sécurité des applications ; sécurité de l'exploitation (operation) ; conformité, réglementation, législation et investigation. A cette description détaillée, cet ouvrage qui se veut pratique ajoute 200 questions sur les points critiques (assessment questions) relevant de chacun des dix thèmes. Une démarche proposée à l'attention des praticiens de la sécurité informatique qui ne sauraient avoir une expérience aussi poussée dans les dix domaines, auxquels l'ISC² recommande au préalable de repérer les points qui leur demanderont le plus d'effort de mise à niveau. (...)
(19/01/2007 16:49:24)De l'interconnexion haut débit pour accélérer les performances des serveurs lames d'IBM
Afin d'améliorer la vitesse de transfert des données au sein d'un réseau et de ses serveurs lames, IBM a dévoilé la nouvelle série d'outils d'interconnexion de ses serveurs Blade Center H. Baptisée Virtual Fabric Architecture, elle permettrait, selon IBM, de doter le Blace Center d'une bande passante interne de 43 % plus rapide que celle des Blade System d'HP. La Virtual Fabric Architecture est modulaire et se compose de cinq éléments. Le premier est un module d'interconnexion multiswitch (MSIM) qui double le nombre de connexions en fibre optique ou en Ethernet disponible pour chaque lame. Le Blade Center Adress Manager, quant à lui, virtualise les entrées/sorties des connexions Ethernet et fibre optique, pour que l'utilisateur puisse les gérer à distance sur un logiciel sans être soumis aux spécifications du fabricant. Ce système ne sera disponible qu'au second semestre 2007. Du côté matériel, Nortel fournit un switch 20 ports Ethernet 10 Gbps et une carte d'extension Ethernet 10Gbps, respectivement à 9 799 dollars et 899 dollars. Cisco se charge du switch 20 ports pour la fibre optique à 14 999 dollars (ou 8 999 dollars pour 10 ports), et Qlogic apporte sa passerelle Infiniband pour Ethernet (à 8 149 dollars) ou fibre optique (à 9 799 dollars). (...)
(19/01/2007 16:48:48)Annuels IBM : le bénéfice en forte hausse malgré des revenus stables
Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 91,4 Md$ (+0,3%) Bénéfice net : 9,5 Md$ (+18%) Sans faire progresser - ou si peu - ses revenus, IBM est parvenu à augmenter considérablement son bénéfice au cours de l'exercice 2006. Le chiffre d'affaires de Big Blue ne gagne ainsi que 0,3% par rapport à l'année précédente, mais le profit s'envole de 18%. Le plan de restructuration, lancé en 2005, semble porter ses fruits, tout comme la stratégie multipolaire du groupe, qui ne prévilégie aucune activité en particulier. IBM a largement profité d'un bon quatrième trimestre, conclu sur un bénéfice en hausse de 11,1% à 3,54 Md$, et un chiffre d'affaires de 26,3 Md$, en progression de 7,5% sur un an. Ces deux indicateurs s'inscrivent au-delà des estimations des observateurs. Au cours du trimestre, IBM a réalisé une bonne opération en signant pour 17,8 Md$ de contrats de service, soit 55% de plus qu'un an auparavant. Du côté des logiciels, le middleware - WebSphere, Tivoli, DB2, etc. - a particulièrement contribué aux bons résultats en générant un revenu de 4,4 Md$, soit 18% de plus qu'un an auparavant. L'ensemble de l'activité logicielle voit son CA croître de 14,4%, à 5,6 Md$. Onze acquisitions dans les logiciels Sur l'ensemble de l'année également, les logiciels constituent l'activité qui progresse le plus rapidement. La branche Software réalise ainsi un CA de 18,2 Md$, et gagne 7%. 2006 restera marquée par les efforts qu'IBM a consentis dans cette activité en réalisant onze acquisitions liées au logiciel. Citons ainsi l'achat de MRO pour 740 M$, celui d'ISS pour 1,3 Md$ ou de FileNet pour 1,6 Md$, tous réalisés en 2006. Le service continue de représenter la part la plus importante des revenus de Big Blue, avec 48,2 Md$. L'activité ne progresse cependant que de 2% sur l'année, ce qui est toujours mieux que la branche matérielle. Celle-ci, avec un CA de 22,5 Md$, recule de 8%. Si l'on exclut toutefois l'activité PC - cédée en 2005 au Chinois Lenovo - de la base de comparaison, le Hardware signe une progression de 4%. Pour 2007, le groupe entend satisfaire les attentes des analystes. Ils espèrent une croissance du revenu de 10%. De plus, selon Mark Loughridge, le directeur financier, il n'y a pas de raison que Big Blue ralentisse la cadence de ses acquisitions après avoir procédé à 14 achats cette année. Il a, en outre, précisé que les investissements internes continueront de porter sur l'activité logicielle ainsi que sur les marchés émergents. Les pays les plus pauvres ont enregistré une croissance de leurs revenus de 18% au quatrième trimestre, contre 5% en Amérique et en Asie, et 3% en Europe. (...)
(19/01/2007 14:31:41)BT choisit Nortel pour la refonte de ses réseaux
Les turbulences semblent s'éloigner pour Nortel. Au moment même où il s'apprêtait à dévoiler les premiers résultats de son alliance avec Microsoft, l'équipementier était enfin choisi par BT pour participer au programme 21CN (21st Century Network), qui consiste à fusionner les 16 réseaux de l'opérateur britannique en un seul. Nortel partagera avec Siemens la fourniture d'équipements destinés au futur backbone Ethernet de BT. Il livrera tout d'abord des switchs et des appliances Metro Ethernet puis, dans un second temps, des convertisseurs optiques. Le Canadien a réussi à convaincre l'opérateur qu'un réseau de type Provider Backbone Transport (PBT) était une solution plus avantageuse qu'un réseau VPLS (Virtual Private LAN Service), pour transporter de la vidéo et l'injecter dans un backbone de type MPLS (MultiProtocol Label Switching). Selon lui un tel réseau, respectant la norme IEEE Provider Backbone Bridging Traffic Engineering (PBB-TE), permettrait d'économiser entre 40 et 80% du coût de transport. BT rejoint ainsi Shanghai Telecom qui déploie en ce moment un réseau PBT. Chez Nortel on mise énormément sur ce dernier standard. L'opérateur a d'ailleurs renoncé à développer des équipements pour le marché VPLS, la technologie alternative préconisée par Alcatel. Ceci explique sans doute cela. Bien que le montant du contrat ne soit pas divulgué, il s'agit d'une belle revanche pour Nortel qui n'avait pas été retenu par BT lors du lancement du projet 21CN en 2005. (...)
(19/01/2007 09:58:49)Sun ouvre son compilateur Fortress pour obtenir des commentaires
La vague d'ouverture de code source chez Sun vient de toucher Fortress, un langage plus particulièrement destiné au calcul scientifique. Un possible successeur de Fortran, donc, à utiliser pour paralléliser des tâches dans les supercalculateurs modernes, basés sur des processeurs multicoeurs. Fortress fait partie des langages développés dans le cadre du programme initié par le ministère américain de la Défense (Darpa's HPCS Program), aux côtés de X10 d'IBM et de Chapel de Cray. Le compilateur dit préliminaire de Fortress est encore dans sa prime jeunesse, mais sa mise en Open Source vise à attirer l'attention des développeurs. Le langage a été développé en partant de zéro, le retour des programmeurs est donc essentiel. (...)
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