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(22/11/2006 18:08:57)

Junior-entreprise de l'Efrei : 20 ans et un partenariat avec le Celsa

Sepefrei, junior-entreprise (JE) de l'Efrei (école d'ingénieurs des technologies de l'information et du management) fête ses 20 ans. Classée parmi les 30 meilleures JE de France selon la CNJE (confédération nationale des junior-entreprises), elle a aussi été cette année finaliste du « Label Ingénieur », concours qui récompense la meilleure étude ingénieur. Sepefrei fêtera cet anniversaire avec Junior Communication, sa jumelle du Celsa (école des hautes études en sciences de l'information et de la communication), 20 printemps elle aussi. Les deux JE ont signé en 2002 un partenariat qui leur permet de proposer des prestations complètes et de plus grande ampleur, puisque Sepefrei assure la partie technique, tandis que Junior Communication s'occupe de la charte graphique et du design. Au-delà de cette association originale, elles souhaitent mutualiser davantage leur réseau car leurs clients respectifs seront regroupés sur un même lieu, le 23 novembre prochain. (...)

(22/11/2006 17:01:48)

Accord Novell/Microsoft : l'OIN rejette l'argument de la protection juridique

L'accord conclu entre Microsoft et Novell continue de faire couler de l'encre. L'Open Invention Network (OIN), fondé en 2005 par IBM, NEC, Novell, Philips, Red Hat et Sony, a décidé de dénoncer à son tour cet accord. Dans un communiqué, l'OIN relève que le récent soutien de Microsoft à Linux est associé à des affirmations « sans fondement » selon lesquelles « les utilisateurs [de Linux] auraient besoin d'être protégés contre d'éventuelles poursuites pour violation de propriété intellectuelle. » Et de souligner que « en fait, Linux n'a jamais fait l'objet d'une telle poursuite » et que, « en accumulant les brevets qui pourraient être utilisés pour protéger l'écosystème Linux, [...] l'OIN a rendu inutile toute offre de protection de tiers. » L'OIN assure avoir racheté, depuis sa création, une centaine de brevets « stratégiques » dans le but de protéger les utilisateurs de Linux contre d'éventuelles procédures judiciaires pour violation de propriété intellectuelle. (...)

(22/11/2006 16:30:00)

Dell veut rassurer avec ses résultats préliminaires

Contraint de reporter la publication de ses résultats définitifs par une enquête de la SEC, Dell a tout de même tenu à rassurer les marchés en publiant des résultats préliminaires pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2007, clos le 3 novembre dernier. Le constructeur revendique ainsi un chiffre d'affaires de 14,38 Md$ assorti d'un bénéfice net de 677 M$ pour la période. C'est mieux qu'au trimestre précédent et que l'an passé à la même époque. En effet, au second trimestre de son exercice fiscal en cours, Dell s'est contenté d'un bénéfice net de 502 M$ pour un chiffre d'affaires de 14,1 Md$. Au troisième trimestre de son exercice fiscal 2006, le constructeur avait réalisé un chiffre d'affaires de 13,9 Md$ pour la même période, assorti d'un bénéfice net de 606 M$. Dans le détail, Dell a enregistré une progression de 12 % sur un an de ses ventes de serveurs à 1,5 Md$. A peu près stable, son activité stockage a réalisé un chiffre d'affaires de 577 M$. Les ventes de solutions de mobilité de Dell ont progressé de 17 % à 3,9 Md$ mais celles d'ordinateurs de bureau ont reculé de 5 % à 4,7 Md$. Dans un communiqué, Dell souligne le lancement récent de ses premières machines animées par des processeurs AMD. Mais ce lancement est peut-être trop récent pour avoir un impact perceptible sur les résultats du constructeur. (...)

(22/11/2006 15:38:02)

La bêta 2 de Flash pour Linux est disponible

Un mois après la première bêta du Player Flash 9 pour Linux, une seconde bêta est disponible sur le site de la R&D d'Adobe. L'éditeur, qui réunissait ses clients en France lundi et en Belgique hier mardi autour de ses solutions professionnelles, en a profité pour réaffirmer son engagement à servir la communauté Linux. Jeff Whatcott, responsable marketing produits d'Adobe, a souligné que Linux était un environnement très délicat à aborder, à cause de ses multiples déclinaisons. Et nous a ainsi fait part de son cas de conscience : « fallait-il livrer la version 8 du Player avec le support de Linux et retarder la version 9 (qui incorpore la v2 de la machine virtuelle ActionScript) ou bien zapper cette version et passer directement au support de Linux dans la version 9 ? » C'est cette dernière option qui a été retenue. Et malgré le projet Tamarin, qui confie justement ActionScript à la Fondation Mozilla, il n'est pas question pour l'instant qu'Adobe aille plus loin, et demande à la communauté Linux davantage que son opinion. (...)

(22/11/2006 12:33:21)

EDS cède son activité européenne de services techniques à une SSII allemande

EDS a vendu à l'Allemand A&O Systems + Services une de ses branches européennes, EDS Global Field Services (EDS GFS), active dans l'intégration de solutions d'infrastructures. EDS GFS compte environ 5000 collaborateurs (pour un chiffre d'affaires de 320 ME), dont 680 en France, d'après son site Web. De son côté, l'acquéreur évoque l'intégration de « 3000 nouveaux employés », ce qui laisse supposer une diminution drastique, ces derniers temps, de la taille d'EDS GFS. Guère prolixe sur le sujet, la société de services américaine s'est contentée de signaler l'opération à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine. Sa note laconique précise que l'accord sur la vente est intervenu le 15 novembre dernier, avec un effet immédiat. Officiellement, « EDS souhaitait se désengager depuis un certain temps déjà de ce métier, qui devient de plus en plus un métier de logisticien ». Pour les employés d'EDS GFS, le passage chez A&O devrait être particulier, la SSII allemande faisant moins de deux fois sa taille. Toutefois, A&O a signé un accord de partenariat « à long terme » avec EDS, ce qui devrait lui assurer une certaine continuité. Avec cette transaction, estime dans un communiqué Michael Müller, directeur général d'A&O, la SSII allemande, « qui est entrée sur le marché il y a trois ans comme fournisseur de services après-vente, deviendra le leader en Europe des services techniques ». EDS reste présent en France avec environ 3000 personnes oeuvrant sur trois créneaux : l'infogérance, les services applicatifs et le consulting. (...)

(22/11/2006 13:00:49)

Microsoft propose une licence gratuite de l'interface d'Office 2007

Microsoft poursuit sa stratégie de placer Office 2007 au centre des systèmes d'information. L'éditeur de Redmond, après avoir mué son prochain système bureautique en frontal de progiciels (SAP ou EMC Documentum) a décidé d'offrir gratuitement aux développeurs l'interface « Ribbon », ruban en français, de sa suite bureautique. Le ruban constitue une des principales innovations ergonomiques dans l'interface d'Office 2007 qui doit donner un accès simplifié aux fonctionnalités de l'outil (les icônes se modifient en fonction du contexte et des habitudes de l'utilisateur). Microsoft licencie gratuitement tant les fonctionnalités que l'interface, et via un programme dédié, fournira également des guides d'implémentations. Pour y accéder, les ISV (Independant Software Vendor) devront s'enregistrer puis référencer leur projet sur le site l'éditeur. Selon la FAQ Microsoft, le programme donne le droit à ses souscripteurs "d'intégrer à leurs produits enregistrées le comportement ainsi que l'interface d'Office 2007". Pour l'éditeur, officiellement, cette initiative s'inscrit d'abord dans le cadre d'une demande formulée par ses partenaires désirant utiliser Office 2007 comme plateforme de base. Mais il s'agit également de protéger puis de capitaliser sur les innovations très coûteuses, puis en répertoriant et multipliant (et rentabilisant) les programmes centrés sur le système bureautique. L'interface ruban peut en effet être déroutante, et la généraliser dans d'autres logiciels permettra d'y habituer plus vite les utilisateurs... et d'asseoir la domination de Microsoft sur le poste de travail. Seule restriction: "L'interface ne pourra être licenciée pour des applications en concurrence directe avec les cinq modules d'Office (Word, Excel, PowerPoint, Outlook, et Access) qui bénéficient de cette nouvelle interface". (...)

(22/11/2006 12:26:13)

Microsoft s'appuie sur les ISV pour doper OfficeLive

Tout à sa stratégie de doper son offre Live, Microsoft a décide d'ouvrir OfficeLive, panel de services et applications hébergées destinées aux associations et TPE, aux éditeurs indépendants (ISV). Le programme, qui débarque en France, vise à transformer OfficeLive en une plateforme d'hébergement de référence pour des applications en ligne, et à créer un vivier de partenaires technologiques. Un peu à l'image de Salesforce, n°1 de la GRC hébergée et de son programme AppExchange. "L'idée première d'OfficeLive, explique Clothilde de Mersan, chef de produit OfficeLive chez Microsoft France, est de fournir une solution Internet (site web, messagerie, et outil de gestion) au million de TPE actuellement sans réelle présence en ligne. Avec notre programme Partenaire, on cherche à s'ouvrir au marché des consultants, des Web agencies et des entreprises, en donnant la possibilité aux éditeurs de développer des applications tant verticales orientées métier qu'horizontales comme les RH, adaptées aux besoins de leurs clients". Le programme est pour l'heure testé par quatre éditeurs pendant deux mois: Message Business, Cegid, E-Charlemagne et enfin MEG-JIG. "Ils auront notamment la tâche de vérifier les documentations techniques", confie Clothilde de Mersan. Avant l'ouverture complète du programme courant avril 2007, date à laquelle OfficeLive, actuellement en bêta, basculera vers sa version finalisée. "Il s'agit davantage de prendre en compte les remontées des utilisateurs et d'assurer le bonne montée en charge, car le service (et son code), qui repose sur la version 1.5 lancée aux Etats-Unis, est déjà pleinement opérationnel", nuance-t-elle. Réservé aux développeurs SharePoint Le programme s'adresse à tout développeur qui connaît SharePoint et surtout SharePoint Services 3.0, socle sur lequel repose par ailleurs OfficeLive. Pour aider les éditeurs et développeurs, Microsoft mettra à disposition un ensemble de ressources : un guide du développeur, un SDK (Software Development Kit) ainsi que des blogs et documentations techniques, des scénarii d'utilisations et enfin des webcasts. A terme - et en guise de contrepartie - le partenaire se verra référencer dans un catalogue des applications pour OfficeLive. "A priori pas d'offre payante, relance Clothilde de Mersan, ce n'est pas la volonté chez Microsoft. La décision est plutôt dans le camp des partenaires, qui pourront facturer leurs applications". Toutefois, Microsoft pourrait intervenir à terme au niveau des transactions. Et ainsi servir de relais. Seuls les abonnés aux versions payantes d'OfficeLive (Essentials à 19, 95$ par mois et par société et Premium à 39,95$ par mois et par société) auront la possibilité d'ajouter des modules tiers à leur offre, "l'espace de stockage de l'offre Basics [gratuite, ndlr] étant réservé au seul hébergement de site Internet". Une rampe de lancement SaaS en Europe Ce programme Partenaire OfficeLive n'est que la partie visible de l'iceberg. Microsoft met actuellement en place un vaste programme (baptisé SaaS On-Ramp Program), notamment en Europe, visant à aider les éditeurs à transposer leur application et leur modèle économique dans un environnement SaaS. L'objectif est de créer un écosystème pour les ISV abonnés au SPLA (Service Provider License Agreement) en s'alliant avec les hébergeurs d'applications. Et au final, de mettre en place des formations pour la migration vers le modèle orienté services. Dans le cadre de l'accord, les hébergeurs (NTT Europe pour la France) doivent utiliser la plateforme Microsoft et s'engagent à créer des centres d'incubation dans lesquels, accompagnés de l'éditeur, ils auront la tâche de former les ISV. (...)

(22/11/2006 10:53:09)

Messagerie d'entreprise : un outil peu exploité

Selon le cabinet d'études IDC, l'utilisation de la messagerie électronique en entreprise reste limitée aux fonctionnalités de base. «C'est un outil maîtrisé, mais globalement non utilisé», rapporte Guillaume Ravery, directeur des services marketing chez IDC. Il poursuit : «les utilisateurs consacrent 80% de leur temps sur 20% des fonctionnalités disponibles sur leurs messageries». Dans une étude menée sur 165 entreprises par le cabinet, il ressort que 43% de l'échantillon utilise sa messagerie depuis au plus 5 ans. Globalement, il s'avère que les décideurs ont une meilleure connaissance des fonctions disponibles que les employés, aussi bien sur l'aspect courrier que travail collaboratif. «Concernant l'accès distant, plus de la moitié des utilisateurs (hors décideurs, ndlr) ne disposent pas des mêmes fonctionnalités entre leurs messageries de bureau et celles accessibles via le web. En revanche, cette tendance s'inverse quand on s'adresse aux décideurs», analyse Guillaume Ravery. «Cela se traduit par la fréquence d'utilisation de l'outil par les responsables», précise-t-il. Si 47% des utilisateurs admettent pouvoir accéder à leurs messageries via leurs terminaux mobiles, 69% reconnaissent ne jamais le faire. Enfin, «la messagerie est considérée comme un outil stratégique car 53% des utilisateurs l'incluent dans un plan de reprise d'activité», relève Guillaume Ravery. Cependant, «ils ont besoin de formation dont la durée moyenne est de deux à trois jours», conclut-il. (...)

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