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(22/11/2006 18:26:36)
Serveurs : Sun, Dell et IBM profitent de la méforme d'HP
Les résultats Gartner du marché mondial des serveurs confirment le renouveau de Sun au troisième trimestre 2006. Dopé par le succès de ses nouveaux haut de gamme Unix, mais aussi par la montée en puissance de son offre x86, le constructeur a enregistré un bond spectaculaire de 24,7 % de son chiffre d'affaires serveurs par rapport à l'an passé, passant de 1,05 Mds$ à 1,31 Md$. Dans le même temps, les ventes d'IBM ont progressé de 7,4 % et celle de Dell de 10,9 % tandis que le CA serveurs d'HP reculait de 6%, malgré des ventes en unités en hausse de 7%. Au classement mondial, IBM reste le leader en revenus avec 1,38 Md$ de CA, devant Hewlett-Packard (3,29 Md$), Dell (1,4 Md$), Sun (1,31 Md$) et Fujitsu-Siemens (634 M$). Seule consolation pour HP, le constructeur californien a réussi à conserver sa place de n°1 mondial en terme de livraisons avec près de 540 000 serveurs livrés devant Dell et ses 460 000 serveurs. Au classement Européen, le succès de Sun est encore plus éclatant. Au cours du trimestre écoulé les ventes du constructeur ont bondi de 36%, une croissance bien supérieure à celles de Dell (+13,1%) et d'IBM (+12,8%) et qui contraste singulièrement avec les reculs d'HP (-6,2%) et de Fujitsu-Siemens (-11,1%). HP et Bull attendent le décollage des serveurs armés de Montecito Sur un marché des serveurs Unix plutôt dynamique, Sun a regagné du terrain sur ses concurrents. Ses ventes ont progressé de 20% tandis que celles d'IBM croissaient de 12%. HP de son côté a vu ses ventes reculer de 21% tandis que Fujitsu-Siemens reculait de 10% et que Bull reculait de 12%. HP et Bull ont sans nul doute pâti de la transition vers les puces Itanium 2 bi-c?urs Montecito d'Intel. Leurs nouveaux serveurs équipés de la puce ne sont en effet disponibles que depuis peu. Il sera intéressant de voir s'ils connaissent un quatrième trimestre plus florissant... Il est enfin à noter qu'IBM a enregistré une progression de ses ventes de mainframes System z mais qu'il a vu ses ventes de minis, la gamme System i (ex- AS/400), reculer au cours du trimestre. (...)
(22/11/2006 18:27:23)La Cnil échappe à une ponction de son budget
Déjà alarmiste sur ses moyens financiers l'an passé, le président de la Cnil, le sénateur Alex Türk, a réagi avec colère à un amendement parlementaire (amendement 204 au projet de loi de finance 2006 proposé par le député UMP Pierre Albertini), qui aurait eu pour effet indirect de diviser par deux le budget de la Commission nationale informatique et libertés pour l'année 2007. Par un curieux jeu de vases communicants, dont l'administration a le secret, l'amendement aurait ponctionné des fonds dans le budget des organismes rattachés au ministère de la Justice (dont la Cnil) pour les affecter à l'aide juridictionnelle. L'amendement a finalement été retiré, après un échange surréaliste entre Pierre Albertini et le député UMP Georges Fenech. Ce dernier commentant le retrait de l'amendement a ainsi déclaré : "Comment faire comprendre aux avocats que les engagements pris en 2004 par votre prédécesseur, Monsieur le Garde des Sceaux, ne seront pas tenus ? Le budget de la Cnil, c'est important, certes, mais une défense de qualité pour tous l'est tout autant !" (voir à ce propos le compte rendu des débats du 16 novembre) Doper le budget de la Cnil pour lui permettre de faire face à ses missions Depuis l'an passé, Alex Türk cherche à obtenir un budget renforcé pour la Cnil afin de lui donner les moyens de remplir ses fonctions à l'ère du tout numérique. Actuellement, la Commission emploie près de 80 personnes et son budget 2005 était de 7 ME (9ME prévus pour 2006). A titre de comparaison, ses homologues allemandes et anglaises emploient respectivement 400 personnes et 240 personnes. Même la commission roumaine dispose de 90 salariés... Cette situation amenait l'an passé Alex Türk à demander un doublement de son budget afin de faire face à ses nouvelles missions. Pour l'instant il est loin d'avoir été écouté. Selon lui, la Cnil afficherait un déficit de 532 000 E en partie du fait du gel de 300 000 E de crédits par le ministère des Finances. Alex Türk estime pourtant qu'il lui faudrait près de 200 employés et un budget de 18 ME pour continuer à assurer sa mission de protection des données personnelles à l'heure de l'Internet... En savoir plus: Billet : "il faut sauver le Soldat Cnil" sur le blog de Bertrand Lemaire (...)
(22/11/2006 18:23:34)Borland 'CodeGear' annonce JBuilder 2007
A peine annoncée la filialisation de sa division outils de développement sous le nom de CodeGear, Borland annonce comme promis la disponibilité d'une nouvelle version de son IDE Java basé sur Eclipse : JBuilder 2007. Lancée en 1995, la première version de JBuilder était bâtie sur un socle d'intégration écrit principalement en Delphi. Ce socle perdura jusqu'à la version 3 qui avait une réputation d'être plutôt lente et instable. En 1997, la version 3.5 fut la première version basée sur un socle entièrement écrit en Java (PrimeTime). Cet environnement, révolutionnaire pour l'époque, permettait aux développeurs d'ajouter des add-ons (OpenTools) et de personnaliser ainsi leur IDE. JBuilder devint l'environnement de développement Java préféré des développeurs jusqu'à ce qu'un projet Open Source lancé par IBM, Eclipse, vint progressivement grignoter ses parts de marché. Sentant le vent tourner, Borland se raccrocha au train Eclipse en février 2005 en intégrant le board du consortium en tant que Strategic Developer. Fin 2005, Borland annonce qu'il va migrer progressivement JBuilder sur le socle technique Eclipse (nom de code Peloton). Dans le même temps, l'éditeur californien recentre ses activités sur la gestion du cycle de vie des applications (ALM). Face aux mauvais résultats de sa branche IDE, Borland annonce en février 2006 son intention de revendre son activité outils de développement. Neuf mois après, faute de repreneurs valables, Borland décide finalement de filialiser ses outils de développement et annonce la création de la filiale CodeGear qui devrait être opérationnelle début 2007. L'annonce de JBuilder 2007 concrétise donc la logique de migration progressive des outils Borland sur les deux principales plates-formes de développement, Eclipse et Visual Studio. Parmi les nouveautés de cette version, on notera un nouvel assistant de création de projet, un portail centralisé pour le développement collaboratif, l'intégration d'OptimizeIt 2007 for Eclipse (profiling et débogage), un atelier RAD graphique pour le développement d'EJB 3, l'intégration de Together LiveSource pour la modélisation UML. JBuilder 2007 sera disponible en éditions Developer, Professional et Enterprise. (...)
(22/11/2006 18:22:44)Rencontres Développeur Adobe au sommet
C'est au 56ème étage la Tour Montparnasse que s'est tenue la première Rencontre Développeur Adobe ce lundi 20 novembre destinée aux développeurs Java. L'objectif était de présenter le développement d'applications Internet Riches (RIA) avec Adobe Flex. Près de 200 développeurs ont pu assister à une après-midi de présentations autour des technologies Flex, plus particulièrement de Flex 2, annoncé cet été. Thinbault Imbert, développeur, a présenté les fondements d'ActionScript 3 et les nouveautés du langage. Florent Pajani d'Adobe a montré les principes du SDK Flex, les avantages de l'environnement Flex Builder à travers le développement d'une application Flex. Jean-Luc Esser, développeur, est venu parler de Cairngorm, un framework issu des labs d'Adobe permettant de mettre en oeuvre des design patterns pour le développement de RIA. Conçu par l'équipe Adobe Consulting à partir de leur expérience en développement d'application en entreprise (J2EE et .NET), CairnGorm est disponible pour Flex 1.5 et Flex 2. Christophe Coenrats, évangéliste produit Adobe Flex, a, quant à lui, présenté le développement d'applications d'entreprise avec les Flex Data Services, avec notamment l'intégration de J2EE et d'AJAX. Enfin Emmanuel Levi-Valensi de People In Action a conclu l'après-midi en présentant la gestion d'un projet RIA, avec des recommandations pour la réussite d'un projet. En marge des présentations, nous avons pu nous entretenir avec Christophe Coenrats. Apollo, le futur client desktop multiplateforme compatible Flash, PDF et HTML est un enjeu stratégique important. Flex constitue évidemment l'environnement de choix pour développer et déployer des applications Apollo. Actuellement en version alpha privée, on attend une première version ouverte aux développeurs en début d'année 2007. (...)
(22/11/2006 18:21:54)17 millions de développeurs en 2009
17 millions de développeurs en 2009 Selon une nouvelle étude du cabinet Evans Data, la population mondiale des développeurs dépasserait 17 millions en l'an 2009. Dans ce rapport, Global Developer Population and Demographics Report, qui inaugure une nouvelle série d'études démographiques sur les développeurs, Evans Data prévoit pour la population des développeurs une croissance de 46% entre 2005 et 2009. Jusqu'alors, un grand nombre de développeurs professionnels provenaient traditionnellement de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). En 2007, la tendance va s'inverser et le nombre de développeurs de la région APAC (Asie Pacifique, incluant l'Inde, la Chine et le Japon) dépassera celui de l'Europe. Evans Data estime qu'en 2009, un développeur sur quatre proviendra de la région APAC. Cela correspond à une croissance de la population de 81% de 2005 à 2009 pour la région APAC, alors que dans la même période la croissance en Amérique du Nord ne sera que de 15%. En 2009, le nombre de développeurs chinois dépassera celui des développeurs japonais. Globalement, les Etats-Unis, l'Inde et la Chine conserveront le leadership quant au nombre de développeurs jusqu'en 2009. Cette démographie galopante peut avoir plusieurs explications. Le développement orienté composants, d'une part, facilite l'accès à la programmation. Il permet, d'autre part, une décentralisation des tâches. Le faible coût de la main d'oeuvre dans les pays asiatiques favorise du coup l'offshoring. De plus, dans les pays APAC, le développement logiciel est devenu une priorité. Si l'on rapporte cela à la masse de la population chinoise et indienne, cela fait du monde en perspective ! IDC pour sa part, dans une étude publiée en décembre 2005 (2005 Professional Developer Model), voyait dans la Russie une des populations de développeurs les plus importantes et grandissantes et prévoyait une croissance de 40% entre 2005 et 2008 du nombre de développeurs. De toute évidence, le métier de développeur a encore de l'avenir, même si cela ne se traduit pas de la même manière en Europe et en Asie. (...)
(22/11/2006 18:09:21)Les entreprises qui consultent leur DSI et investissent dans les technologies sont les plus performantes
Hackett Group est spécialisé dans les études de benchmarking, ainsi que dans l'accompagnement des entreprises en matière de bonnes pratiques et de mise en place des transformations nécessaires pour permettre aux entreprises d'atteindre des standards d'excellence baptisés World Class. Le schéma gagnant : dépenser 7% de plus dans les IT pour dépenser 45% de moins sur les opérations financières Les premières analyses tirées de son étude annuelle, à partir de sa base d'étude sur 2100 grandes entreprises internationales, dont 81 entreprises françaises (dans le benchmark figurent notamment EADS, Thales, Ipsos, Publicis, Dassault, Air France-KLM, Valeo Faurecia, Bull, Ingenico, Thomson, L'Oréal, EDF, Danone, Bouygues, Vivendi Universal...) montrent que les présidents et DG des groupes qui intègrent directement les DSI dans le premier groupe de réflexion stratégique, sans lui imposer le prisme du Directeur Financier, sont gagnantes. Des entreprises françaises figurent parmi celles qui ont conquis leur galon World Class (la meilleur qualité au coût le plus faible), mais pour des raisons de tactique, elles préfèrent garder secret leur classement ! Néanmoins, l'analyse d'Hackett Group montre qu'elles ont choisi d'investir 7% de plus que leurs semblables dans les technologies modernes et qu'elles parviennent à dépenser, au final, 45% de moins que les autres dans les opérations financières. Elles arrivent en effet à améliorer leur productivité grâce à l'apport des technologies adéquates au sein de l'entreprise et par la réduction des coûts sur les secteurs RH, fournitures et diverses opérations financières. En d'autres termes, c'est le retour sur investissement dans les technologies qui fait la différence. Les entreprises du panel World Class, rassemblant les entreprises les plus performantes de leurs secteurs selon les analystes de Hackett, font mieux que leurs pairs, puisqu'elles ont réduit leurs coûts financiers de 8% en 2006, après une baisse de 5% en 2004/2005. Le retour en grâce des technologies et du DSI devrait inciter leurs rivales à explorer cette stratégie du long terme. (...)
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