Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 22421 à 22430.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(14/11/2006 09:54:03)

Désaccord Arcep-France Télécom sur la fibre optique

Le gouvernement s'est donné comme objectif d'amener le haut débit à 4 millions de foyers en France. La question de la régulation de la fibre optique commence à agiter les esprits. Selon notre confrère Les Echos, deux visions s'affrontent. Celle de France Télécom qui estime qu'il n'est pas nécessaire de réguler de suite le marché mais qu'il faudra apporter une réponse claire d'ici à 2008, et celle de l'Arcep qui souhaite de suite mettre en place des outils de régulation afin d'éviter que ne se bâtisse rapidement un monopole de fait. Le quotidien relate le point de vue de Jacques Champeaux, qui pense qu' « avant de réguler, il faut laisser le marché agir et voir ce qui se passe ». Le directeur exécutif de France Télécom estime ainsi qu'il faut laisser une marge de manoeuvre aux câblo-opérateurs. Gabrielle Gauthey, membre de l'Arcep, souhaite quant à elle éviter « d'avoir un seul réseau de fibres sur 80% du territoire ». Elle enchaîne : « Là, l'opérateur devra donner accès à ce réseau, mais dans des conditions raisonnables afin de ne pas décourager l'investissement. Nous disposons d'outils de régulation gradués. Il n'a jamais été question d'imposer une location à prix coûtant comme pour le dégroupage ». L'Arcep propose donc une série de mesures afin de mutualiser le génie civil, mesures applicables avant 2007. Selon les textes, la location devra se faire pourtant à prix coûtant. France Télécom semble « raisonnablement coopératif ». Des tests sont en cours sur certaines zones d'activités, afin d'évaluer la faisabilité et la bonne volonté de l'opérateur historique. (...)

(14/11/2006 11:26:41)

Sondage flash : OpenOffice plébiscité

Les lecteurs de www.lemondeinformatique.fr ayant participé à notre sondage flash sur la sortie d'Office 2007 ont voté à une écrasante majorité (près de 70%) en faveur d'un passage à OpenOffice. Surreprésentation des militants du Libre ou véritable engouement en faveur de la suite bureautique Open Source, à la question « la sortie d'Office 2007 est l'occasion de », 69,7% ont répondu « passer à OpenOffice ». La réponse « ne rien faire » a recueilli 23,5% des votes. Loin derrière, la tentation de mettre à jour la suite de Microsoft n'effleure que 4% des répondants, quant à « mieux l'intégrer au système d'information », cela ne concerne qu'un faible 2,8% des votants. Bien sûr, il faut noter que même si ce sondage a recueilli plus de 350 votes en deux jours, il ne prétend aucunement être représentatif de la population informatique dans son ensemble. Le sondage flash actuellement en ligne porte sur le passage de Java sous licence GPL. (...)

(13/11/2006 17:04:06)

Microsoft entend séduire davantage les pays émergents

Microsoft doit intensifier sa présence dans les marchés émergents et y déployer davantage d'efforts afin de réduire le piratage. C'est ce que Steve Ballmer, le PDG du groupe, a indiqué au Financial Times. Selon l'homme fort de Microsoft, si les pays en voie de développement constituent la partie de l'activité rencontrant la plus forte croissance, ils représentent encore une part trop faible du chiffre d'affaires et concentrent un taux important de piratage. Nos confrères britanniques estiment la contribution des pays les plus pauvres à 20% de l'ensemble des revenus du groupe. Pour améliorer cette performance et réduire le recours au piratage qui y est fait, Microsoft a lancé une version allégée de Windows, XP Starter Edition, ainsi qu'un PC payable à l'usage, Flexgo. Mais ces initiatives restent insuffisantes selon Steve Ballmer. De même, il doute de l'efficacité du programme du Massachusetts Institute of Technology visant à commercialiser un PC à 100$. Le problème ne résiderait en effet pas tant dans le prix de la machine, mais dans celui de l'accès au Web : "même en Inde, il faut payer plus de 100$ par an pour se connecter à Internet", explique le PDG de Microsoft. (...)

(13/11/2006 17:01:53)

Les élections US illustrent le problème des machines à voter

Les élections américaines, qui se sont tenues le 7 novembre dernier, sont loin d'avoir levé toutes les incertitudes planant sur le vote électronique. Pour la première fois, l'usage des machines à voter électroniques s'est effectué à grande échelle et le moins que l'on puisse dire est que cela ne s'est pas fait sans souci. Pannes au démarrage et problèmes de "vote flipping" [le candidat sélectionné n'est pas celui que valide la machine] ont causé des problèmes dans de nombreux districts. Les questions sur l'audit des résultats restent de plus largement sans réponse. Selon les experts, environ 39% des votes se sont effectués sur des machines électroniques, pour la plupart des systèmes à écrans tactiles. Un certain nombre de problèmes sont apparus dès les premières heures du vote dans le Colorado, au Texas, en Floride, dans l'Utah et en Pennsylvanie. Les comtés de Broward et Miami-Dade, qui avaient connu leur heure de honte lors de l'élection qui a porté George Bush au pouvoir, ont rapporté un curieux fonctionnement de leurs machines, connu sous le nom de vote-flipping. Dans certains cas, les électeurs ont eu à sélectionner jusqu'à 4 fois le candidat démocrate avant que la machine n'accepte leur vote au lieu d'afficher le candidat républicain. Officiellement, un problème de calibration d'écran lié à une mauvaise manipulation des opérateurs des bureaux de vote. Dans plusieurs comtés de l'Ohio et de l'Indiana, les machines ont tout simplement refusé de démarrer, obligeant dans certains cas des juges à retarder l'heure de clôture des bureaux pour permettre aux électeurs de voter. Dans un des comtés de l'Indiana, les cartes d'activation des machines avaient été mal programmées. A Denver, dans le Colorado, les électeurs ont dû patienter parfois plus de deux heures du fait de problèmes de performance avec la base de données des électeurs. Le gros point noir : l'absence de trace papier Malgré ces problèmes, aucun effondrement généralisé n'a été noté et aucune preuve d'un piratage d'une machine n'a été mise en avant. Mais pour Bruce Schneier, un expert en sécurité, CTO de Counterpane Internet Security, là n'est pas la question. Pour lui, le problème principal des machines à voter est qu'elles rendent impossible tout recomptage en cas de doute du fait de l'absence de trace papier. La solution pour Schneier : maintenir le vote papier mais recourir à des machines à lecture optique pour accélérer le comptage des votes. En cas de doute, il reste ainsi possible de procéder à un décompte manuel. Cela ne sera pas possible en Virginie, l'état pivot de l'élection sénatoriale, ou le candidat démocrate a devancé son prédécesseur républicain de 7000 voix, assurant le contrôle du Sénat aux Démocrates. Dans cet Etat, deux tiers des votes ont été enregistrés par des machines électroniques sans aucune trace papier. De ce fait, tout recomptage sera impossible alors que la loi prévoit la possibilité d'un recomptage si l'écart entre les deux candidats est inférieur à 1% du nombre de votants (ce qui est le cas). A moins d'être convaincu de l'infaillibilité et de l'inviolabilité des machines, le doute pourra donc subsister. (...)

(13/11/2006 16:51:14)

L'équipe Samba demande à Novell de reconsidérer son accord avec Microsoft

Les développeurs de Samba, le serveur CIFS Open Source inclus dans la totalité des distributions serveur Linux mais aussi dans la plupart des Unix modernes, ont publiquement critiqué l'accord Novell-Microsoft, qu'ils jugent inacceptable et destructeur pour la communauté du logiciel libre. "Le fait que Novell ait signé un tel accord montre un mépris profond pour leur relation avec le monde du logiciel libre", indiquent les développeurs de Samba, ajoutant que Novell n'avait pas le droit de nouer à son seul avantage un accord contraire aux idéaux du Libre au nom d'autres [Samba se considère comme un fournisseur de Novell]. "L'une des différences fondamentales entre le monde du logiciel propriétaire et le monde du logiciel libre est que le logiciel propriétaire divise les utilisateurs en les forçant à se plier à des accords de licence coercitifs qui limitent leur droit de partager avec d'autres, alors que le modèle du logiciel libre encourage les utilisateurs à s'unir pour partager les bénéfice du logiciel. L'accord entre Novell et Microsoft est un accord source de divisions. Il crée des différences entre les utilisateurs et les développeurs de logiciel selon qu'ils ont un statut commercial ou non et les gère différemment selon qu'ils ont obtenu leur logiciel directement de Novell ou d'un tiers." Un accord qui affaiblit la position de la communauté du Libre en matière de brevets L'accord affaiblit aussi la position de la communauté du libre en matière de brevets expliquent les développeurs de Samba : "L'utilisation de brevets dans le monde du Libre est inacceptable. Novell qui a participé à de nombreux débats et discussions sur ce sujet le savait parfaitement". Curieusement Novell ne pensait pas différemment avant de signer avec Microsoft. Comme l'indique la position officielle de Novell sur les brevets : " Novell est prêt à utiliser son portefeuille de brevets, qui est très pertinent sur le marché, pour se défendre contre ceux qui tenteraient d'utiliser leurs brevets contre des produits Open Source qu'il vend ou supporte. Cohérent avec son engagement, Novell utilisera son portefeuille de brevet pour se protéger contre toute poursuite visant le noyau Linux ou des composants libres inclus dans son offre (...) Certains vendeurs tenteront vraisemblablement d'arguer du risque de violer des brevets. Les vendeurs qui tenteraient de faire valoir de tels arguments contre des clients ou des concurrents comme Novell le feraient à leur propre péril et avec la certitude de déclencher une réponse". Au vu de l'accord avec Microsoft, on comprend que les développeurs de Samba recherchent toujours la cohérence de la position de Novell. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >