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(13/11/2006 16:00:04)
Google donne un accès centralisé à ses applications d'entreprise
Google vient de fournir à sa suite d'applications d'entreprise, Google Apps for Your Domain, un composant qui leur faisait défaut : une page d'accueil synthétique regroupant des informations telles que le contenu de la boîte de courrier électronique et des calendriers. Baptisée prosaïquement Start Page, cette page d'accueil est entièrement personnalisable. Il est notamment possible de l'enrichir avec les mêmes modules que ceux disponibles pour le service Google Personalized Homepage, y compris ceux qui permettent d'intégrer n'importe quel flux RSS du Web. La page peut être préconfigurée par le responsable de l'entreprise en charge du service. Chaque utilisateur est ensuite libre d'y ajouter des composants supplémentaires. La suite Google Apps for Your Domain est accessible gratuitement, pour le moment. En effet, le fournisseur de services prévoit d'en développer une version payante pour les grandes entreprises aux besoins plus évolués. (...)
(13/11/2006 15:55:47)Office 2003 à 2007 : problème de compatibilité ascendante
Microsoft vient de rendre disponible le pack de compatibilité nécessaire à la manipulation de fichiers créés sous la nouvelle version 2007 de suite bureautique Office, avec Office 2000, XP et 2003. Office 2007, dont la sortie officielle est programmée outre-Atlantique pour le 1er décembre, introduit de nouveaux formats de documents basés sur XML. Les extensions associées aux documents reflètent ce changement : les fichiers Word 2007 sont par exemple affublés d'un .DOCx. Pour compliquer un peu plus, les fichiers comportant des macros utilisent une autre extension, .DOCm pour les fichiers Word 2007. Le pack de compatibilité est nécessaire pour ouvrir, modifier et enregistrer des documents Office 2007 avec Office 2000/XP/2003. Une fois installé, ce pack de 27,1 Mo fonctionne de manière transparente. Reste que les premiers utilisateurs d'Office 2007 n'apprécieront peut-être pas de devoir prévenir leurs correspondants de cette petite gymnastique. Heureusement, il est possible de configurer Office 2007 pour qu'il utilise, par défaut, les formats de fichiers des versions antérieures d'Office. (...)
(13/11/2006 16:29:00)Oberthur annonce une « surchauffe des rémunérations dans le secteur informatique »
S'appuyant sur les réponses de 130 sociétés et passant au crible 44 000 salaires (chiffre représentant près de 10% des informaticiens qui travaillent), Oberthur Consultants donne, deux fois par an, un panorama très complet des rémunérations dans l'informatique (sous-panels SSII, banque/assurances, entreprises utilisatrices). Le crû de septembre 2006 vient de tomber. Premier enseignement : si les augmentations de salaires de l'ordre de 4,1% sont à peu près équivalentes à celles de 2005 (4,3%), l'écart avec le taux d'inflation s'est en revanche nettement creusé puisqu'il est de presque 3 points (indice Insee de septembre 2006 : 1,2%). Autre constat : un rattrapage des salaires. Certes, les augmentations sont moindres cette année dans la banque et l'assurance (3,6%) par rapport aux entreprises utilisatrices (3,8%) et surtout aux SSII, éditeurs et constructeurs (4,3%). Mais ce secteur était jusqu'alors en retard sur les autres et l'étude souligne qu'il montre les plus fortes disparités, avec des taux d'augmentation qui varient de -0,3% à +5,3%. Taux de démission en forte hausse : 11% en région parisienne pour les SSII Dernier point qui corrobore ces augmentations de salaire : le nombre de démissions a doublé en deux ans. Les salariés courtisés lorsqu'ils maîtrisent des technologies recherchées font désormais jouer la concurrence et n'hésitent plus à partir. L'appel d'air profite également aux jeunes diplômés. Ce taux de démission est de 7,6% sur l'ensemble de la France (plus 2 points par rapport à 2005) et de 8,4% en région parisienne. La situation est plus tendue encore pour les SSII : le taux dépasse 10% sur le plan national et 11% à Paris et en région parisienne. Les salaires des informaticiens sont donc bons, même si la précédente crise reste ancrée dans les mémoires et que l'on se refuse à tout emballement. Pascal Poiget, DG d'Oberthur Consultants, souligne que « les entreprises et les salariés se souviennent des années 2000 ». Il conclut : « le marché de l'emploi semble aujourd'hui plus mature que dans la période qui a précédé l'explosion de la bulle Internet. Sans anticiper la période qui arrive et qui devrait continuer sur la lancée à laquelle nous assistons, personne n'est à l'abri d'un retournement de tendance, et c'est pourquoi l'ensemble des acteurs joue, pour l'instant, la prudence. » Tous les chiffres de l'enquête Oberthur et l'analyse d'Hélène Truffaut dans le numéro 1136 du Monde Informatique, à paraître le 24 novembre. (...)
(13/11/2006 15:47:48)Deux sites pour faciliter l'emploi des personnes handicapées
Dans le cadre de la 10e semaine de l'emploi des personnes handicapées, Monster poursuit sa lutte aux côtés de l'Adapt (association pour l'insertion sociale et professionnelle des travailleurs handicapés) contre la discrimination dont sont victimes les travailleurs handicapés. En partenariat avec Init Satisfaction et Menway, Monster vient en effet de réaliser une étude sur la « perception par les salariés de la diversité dans les entreprises françaises ». Il en résulte que plus de 50% des salariés pensent que leur entreprise pratique une discrimination et surtout que les caractéristiques visibles sont jugées les plus discriminantes. En tête des freins à l'embauche : le handicap physique. Il y a deux ans, le portail thématique « Monster Handicap » était lancé. « Il est temps que les mentalités évoluent. 500 000 personnes à toucher, ce n'est pas une niche. Les entreprises clientes sont demandeuses », indique Patrick Perdersen, directeur des opérations Monster Europe du Sud. Cette année, Monster va donc plus loin en s'associant avec Hanploi.com, site de recrutement dédié aux personnes handicapées, afin de proposer aux entreprises un système d'offres couplées sur Monster et Hanploi. Double objectif : permettre aux recruteurs à la recherche de candidats handicapés de réussir leurs campagnes de recrutements en démultipliant leur visibilité et continuer le combat contre la discrimination. (...)
(13/11/2006 15:30:23)HP : l'ex responsable de l'éthique plaide non coupable
Kevin Hunsacker, responsable de l'éthique chez HP pendant la crise d'espionnite qui a secoué le groupe, vient de plaider non coupable devant la cour californienne chargée de le juger. Il est, avec Patricia Dunn - l'ex-présidente du conseil d'administration - et trois détectives privés, l'une des cinq personnes poursuivies pour le rôle qu'elles ont joué dans le psychodrame ayant touché le groupe. Kevin Hunsacker, qui avait refusé de démissionner avant d'être licencié, avait notamment reçu un email émanant d'un whistleblower*, dans lequel ce dernier lui faisait part de ses doutes sur la légalité des manoeuvres en cours. Il comparaît pour usage d'un prétexte frauduleux ou mensonger en vue de l'obtention d'informations confidentielles, utilisation fallacieuse de données informatiques et vol d'identité. Les cinq protagonistes devraient reparaître devant la cour le 17 novembre. Ils encourent jusqu'à trois ans d'emprisonnement. *Un whistleblower est un rôle, inconnu en France, que l'on pourrait traduire par "membre d'une ligue éthique" (littéralement "sonneur d'alarme"). Son rôle : pointer du doigt les comportements illégaux de l'entreprise à laquelle il appartient. (...)
(13/11/2006 12:14:17)Java Open Source : Apache Harmony n'est pas remis en cause
Le passage de la plate-forme d'exécution Java sous licence GPL et la création d'une communauté, OpenJDK, pour faire évoluer le code, rendent-ils caduc le projet Harmony, abrité par la Fondation Apache, qui avait justement pour ambition de développer une implémentation Open Source de Java SE ? Pas du tout, répond Geir Magnusson, le leader du projet, qui se réjouit au contraire de cette compétition, « une chose saine pour l'écosystème ». « Je pense que c'est une excellente nouvelle, nous a-t-il confié. Plus il y a d'Open Source, mieux c'est. Je ne pense pas que cela changera ce que nous faisons au sein d'Apache Harmony. Nous avons une communauté différente, une licence différente et un modèle de gouvernance différent. Les gens et les organisations choisiront de participer à telle ou telle communauté selon ce qu'ils espèrent en retirer. » Quant à d'éventuels risques de bifurcation dus à l'emploi de la licence GPL, Geir Magnusson s'estime confiant : « Je pense que les risques sont faibles. Personne ne veut avoir un Java différent. Et pour être appelé Java, une technologie doit passer le TCK. Quoi qu'il en soit, un Java Open Source favorisera l'innovation, dans la mesure où ce sera plus simple d'expérimenter des choses. Ensuite, ces innovations pourront être formellement réintégrées au sein de Java au travers du JCP. » Aujourd'hui, le projet Harmony a finalisé « 95% des librairies de classe », et Geir Magnusson se dit satisfait des progrès concernant la machine virtuelle. « C'est une machine virtuelle très moderne, et les chiffres de performance que nous voyons sont très respectables. Notre plan est d'avoir une implémentation complète et certifiée de Java SE d'ici la mi-2007 ». (...)
(13/11/2006 07:01:43)Java Open Source : c'est fait et c'est en GPL
Le séisme tant attendu en Californie a finalement eu lieu : Java passe dès aujourd'hui en Open Source. L'annonce était prévue, Jonathan Schwartz, le patron de Sun, mettant à profit chaque apparition en public pour répéter son intention de libérer le code source de Java Standard Edition, autrement dit la plate-forme d'exécution du langage. Ainsi fin octobre, il laissait entendre à Oracle OpenWorld que le code source de Java SE serait disponible « d'ici 30 à 60 jours » sous une licence compatible OSI (l'organisme certifiant le caractère Open Source d'une licence). De même, Rich Green, vice-président en charge du logiciel, avait indiqué peu de temps auparavant que le processus serait incrémental et que « tout Java SE et tout Java ME [seraient] ouverts à la fin du premier trimestre de l'année calendaire 2007 ». La grande inconnue était donc le type de licence que Sun retiendrait. Ce sera la GPL. Une licence non seulement compatible OSI, mais qui surtout est celle défendue par la Free Software Foundation (FSF), le gardien du temple de l'esprit Libre. Dès aujourd'hui, le Java Development Kit (JDK) devient donc un véritable Logiciel Libre aux yeux de la FSF (toute la plate-forme sera concernée d'ici 6 mois). Sun ne s'est d'ailleurs pas privé de recueillir les réactions extrêmement enthousiastes de Richard Stallman et d'Eben Moglen, auteurs de la GPL, dans des vidéos qui devraient être diffusées dès aujourd'hui. De même, Mark Shuttleworth, créateur de la distribution Linux Ubuntu, se réjouit dans une vidéo filmée par Sun de ce mouvement, qui permettra de mieux intégrer Java au sein de Linux. Jusqu'à présent, en effet, Linux étant distribué sous GPL, le JDK ne pouvait être livré avec. La sortie en mai dernier d'une licence spécifique du JDK pour Linux, dite DLJ (Distro license for Java), ne faisait que rendre la cohabitation possible. « Avec un Java sous GPL, les JVM [machines virtuelles Java] pourront être optimisées, peut-être intégrées au noyau, note Guillaume Bodet, directeur technique du cabinet de conseil Xebia, spécialisé en Java. On peut même envisager des distributions spécifiques pour Java, comme cela se fait déjà pour la sécurité ou la bureautique, par exemple. » L'exception Classpath annule caractère viral de la GPL Toutefois, la GPL présente pour certains projets ce que Simon Phipps, responsable de l'Open Source chez Sun, qualifie de « bug inutile » : son caractère viral impose normalement que tout programme contenant du code sous licence publique générale (GPL) passe ipso facto sous GPL. Ce qui signifierait que des éditeurs ou des SSII développant des applications en Java devraient tout diffuser en GPL, à l'instar de ce qui se pratique dans le monde Linux. C'est ce qui avait conduit Steve Ballmer, le patron de Microsoft, à dénoncer en 2001 Linux comme étant un cancer. Didier Girard, directeur technique de la SSII Sfeir, explique ainsi que « dans le monde Java, les gens se sentent à l'aise avec la licence Apache, elle met en confiance les développeurs comme leurs clients ». A contrario, « la GPL est perçue comme une licence militante, elle amène une crainte dans le monde industriel. Dans la communication qui va entourer l'événement, il ne faut donc pas que Sun oublie de s'adresser aux entreprises pour les rassurer. » La FSF elle-même a trouvé une parade à ce « bug » militant, lorsqu'elle a lancé le projet Classpath. Il s'agissait de proposer des bibliothèques de classes Java sous licence libre. Mais comme la machine virtuelle et le compilateur de Sun restaient sous licence propriétaire, la FSF a mis au point une « GPL avec exception Classpath », qui indique que lorsque les modules sont indépendants, du code sous GPL avec exception Classpath peut être livré avec du code sous toute licence sans que celle-ci ne soit impactée. Sun a donc pris soin de reprendre à son compte cette exception, Java étant ainsi proposé sous une double licence, GPL et GPL avec exception Classpath. Sun contrôlera toujours l'appellation Java Enfin, « comme tout le monde ne souhaite pas travailler en mode ouvert », souligne Simon Phipps, Java SE restera également disponible sous licence commerciale. Il sera donc possible aux partenaires de Sun - tels IBM ou BEA qui ont développé leur propre machine virtuelle - de continuer comme avant ce changement. L'autre possibilité pour eux serait de profiter de cette ouverture pour emmener Java dans la direction où eux veulent aller. Sun estime qu'une telle divergence (ou « fork ») ne devrait pas se produire. D'une part parce qu'il y a des millions de terminaux Java en circulation, et qu'il serait dommageable pour tout le monde que se crée une incompatibilité. D'autre part parce que si l'évolution du JDK se fera au sein d'une communauté ouverte, OpenJDK, le JCP, l'organisme qui définit les spécifications du langage, restera en place. En outre, l'appellation Java reste contrôlée par Sun. Dans l'ensemble, même si ce changement n'aura qu'une incidence limitée sur le travail au quotidien des développeurs, l'annonce paraît positive. « L'initiative de Sun est très bonne, commente par exemple Didier Girard. Il s'agit d'un véritable passage en Open Source, avec libération du code, publication sur des serveurs et objectif de création d'une communauté. Au-delà du passage du code en Open Source, on sent que Sun souhaite créer une dynamique communautaire autour d'OpenJDK. Je trouve que c'est très positif. » Il n'empêche, estime Michael Goulde, analyste chez Forrester, Sun va devoir fournir de gros efforts d'explication, tant sur la licence que sur le périmètre de ce qui est ouvert : « Je ne pense pas qu'ils se rendent compte de la confusion sur le marché. » (...)
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