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(21/05/2010 17:52:09)

BizTalk et AppFabric, pour 'composer' des applications ouvertes vers le cloud

Microsoft vient de dévoiler la Release Candidate de son serveur d'application AppFabric, socle d'exécution des applications .Net sur Windows Server et dans le cloud Azure. L'éditeur a procédé à cette annonce sur le web, dans le cadre d'un événement virtuel consacré à ses solutions d'infrastructure, www.appinfrastructure.com. Par ce biais, il a également indiqué la disponibilité de la première version bêta publique de ses outils d'intégration BizTalk Server 2010.

Dans ces présentations en ligne, Microsoft souligne l'intérêt d'apporter les capacités propres aux environnements de cloud aux ressources IT exploitées derrière le firewall. AppFabric, destiné au déploiement et à la gestion d'applications web et composites, de même que BizTalk Server, vont permettre aux applications déployées au sein des entreprises de trouver des prolongements dans les services proposés au sein de clouds publics tels que Windows Azure.

Des applications qui passent vers le cloud sans retouche

Le modèle de l'application composite permet de prendre les ressources logicielles existantes et de les associer pour construire un ensemble d'applications distribuées au sein de l'entreprise aussi bien que prolongées sur Internet. En procédant ainsi, on facilite la portabilité des applications, de telle façon qu'il ne sera pas nécessaire de les réécrire pour qu'elles fonctionnent dans les clouds, affirme Abhay Parasnis, directeur de l'entité serveur d'application chez Microsoft. Windows Server AppFabric va aider les développeurs à bâtir et gérer des services pour des applications composites. Il sera disponible gratuitement pour les clients qui ont acquis des licences de Windows Server 2008.

BizTalk Server 2010 sera utilisé par les développeurs, de façon combinée avec le socle d'exécution AppFabric, pour élaborer plus rapidement des applications composites qui se connectent à des systèmes disparates au travers des adaptateurs BizTalk au sein des environnements de développement .Net, avance Microsoft. Cette mise à jour apporte aussi un outil de mapping qui simplifie les transactions complexes et un tableau de bord unifié pour les fonctions de sauvegarde et de restauration.

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(21/05/2010 17:31:07)

Google App Engine passe en mode entreprise

Avec ce service, le géant de Moutain View espère bien profiter de la demande croissante des entreprises pour la création et l'hébergement d'applications sur mesure dans une architecture cloud, tout en répondant à la nécessité de disposer d'une plus grande flexibilité dans le déploiement et de réduire les coûts de gestion des infrastructures et leur complexité. « Ce que nous entendons clairement et fortement de la part des moyennes et des grandes entreprises, c'est que ces clients veulent avoir la possibilité de construire leurs propres applications sur la plateforme Cloud,» a déclaré Matthew Glotzbach, directeur de la gestion produits chez Google Enterprise.

Lancé il y a deux ans, l'App Engine était principalement destiné aux développeurs d'applications Web, plutôt orientés consommateurs, qui souhaitaient avoir leurs logiciels hébergés au sein de l'infrastructure cloud du géant de l'Internet. « Même si les entreprises ont montré de l'intérêt pour le concept App Engine, beaucoup ont estimé que des caractéristiques importantes requises par les services informatiques des entreprises faisaient défaut, et nous sommes en train de combler ces lacunes » a déclaré David Glazer, directeur de l'ingénierie chez Google.

Par exemple, App Engine for Business dispose désormais d'une console d'administration centrale destinée à gérer l'ensemble des applications d'une entreprise, et profite d'un support technique et d'une garantie de service à hauteur de 99,9%. La solution professionnelle permet également aux administrateurs informatiques de définir désormais des politiques de sécurité pour l'accès aux applications métiers, et propose un système de tarification fixé à 8 dollars par utilisateur et par mois, plafonné à un maximum de 1000 dollars mensuel. Le produit est actuellement disponible pour un nombre limité de clients, mais Google espère élargir son accès plus tard cette année.

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D'ici peu, Google offrira aux développeurs la possibilité d'installer des bases de données SQL, une manière d'enrichir encore plus son système de base de données interne Big Table - sur lequel reposent déjà des outils comme Google Search, Earth, Maps, Finance, Print, Orkut, YouTube ou encore Blogger - et d'ajouter le SSL pour protéger les échanges entre applications.

Une interface avec VMware

Grâce à un partenariat avec le spécialiste de la virtualisation, Google cherche à apporter aux entreprises une capacité de portabilité, afin qu'elles puissent déployer leurs applications en disposant d'un choix étendu de paramètres compatibles Java, que ce soit dans App Engine lui-même, un cloud privé ou partagé, basé sur VMware, ou tout autre plateforme de service d'applications hébergées comme EC2 d'Amazon. « La solution proposée rend le cloud plus accueillant pour les entreprises et les applications personnalisées qu'elles souhaitent déployer » a déclaré David Glazer. «Notre collaboration avec VMware nous a permis de nous appuyer sur des normes prenant en compte la façon dont les applications s'exécutent dans le cloud, et d'apporter la fonctionnalité de portabilité du cloud au monde de l'entreprise, » a t-il ajouté. Ce partenariat inclus l'intégration de l'outil de développement rapide VMware Spring Roo dans Google Web Toolkit, et de lier le système de suivi de performances VMware Spring Insight à la technologie Speed Tracer de Google.

«Cette offre PaaS (platform-as-a-service) pourrait intéresser les entreprises en raison de la portabilité et parce qu'elle est proposée par des acteurs crédibles, » a déclaré Frank Gillett, analyste chez Forrester. « Google a encore à surmonter quelques résistances de la part de nombreuses entreprises et doit trouver les arguments pour les rassurer, mais cette annonce élargit la disponibilité et l'attrait du service PaaS et offre à ceux qui préfèrent le code Java, une alternative à Microsoft.Net Framework » a t-il ajouté.

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(21/05/2010 17:11:48)

Trimestriels Dell : une croissance à marge faible

Le constructeur a réalisé 14,87 milliards de dollars de chiffre d'affaires au 1er trimestre (terminé au 30 avril, c'est l'année fiscale 2011 pour Dell), en progression de 21% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent.  Le résultat opérationnel bondit de 50% à 619 millions de dollars, le résultat net est en hausse de 52% à 441 millions de dollars.

Des résultats revigorants pour le constructeur. Le directeur financier, Brian Gladden, a néanmoins spécifié qu'il bénéficiait d'un environnement économique plus favorable. Les analystes financiers n'ont pas manifesté d'enthousiasme particulier, regrettant la faiblesse de la marge bute ajustée, 17,6%, contre 17,4% au trimestre précédente. Delle souffre de la hausse des composants qui l'empêche d'atteindre la marge souhaitée.

Par secteurs d'activités, Dell enregistre 38% de hausse sur la partie serveurs, stockages et services à 4,2 milliards de dollars. Les grandes d'entreprises progressent de 25% à 4,2 milliards de dollars, le secteur public est en hausse de 22% à 3,9 milliards, les PME de 19% à 3,5 milliards de dollars, le secteur grand public progresse de 16% à 3,2 milliards de dollars. Par pays, toutes les zones émergentes sont en croissance, les BRIC (Brésil, Russie, Inde ; Chine) de 60%, le Brésil de 81%, la Chine de 44%, l'Inde de 90%.

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(21/05/2010 16:24:03)

Juniper veut virtualiser la brique réseau du datacenter

Juniper Networks souhaite remplacer les commutateurs Nexus de Cisco ou d'autres équipementiers, pour préparer l'arrivée de son projet Stratus, fruit d'une collaboration avec IBM, pour simplifier et structurer les datacenters. Ce projet a pris du retard, il devait être dévoilé au début 2009. Juniper essaie de se démarquer de la concurrence en optimisant ses lignes de produits par les technologies de virtualisation. « Cette dernière au niveau du réseau va jouer un rôle fondamental » souligne Zeus Kerravala, analyse au Yankee Group et d'ajouter « les fournisseurs qui trouveront la solution sur ce sujet disposeront d'une avance sur le marché ».

Le défi de Juniper face à Cisco est que ce dernier s'est focalisé sur la virtualisaton du réseau, pendant que les spécialistes des serveurs, comme HP et IBM, partenaire de Stratus, ont privilégié l'aspect puissance de calcul. Egalement, Brocade a travaillé avec des partenaires depuis quelques années pour l'élaboration de Datacenter Fabrics. Dans l'attente des réponses de Juniper, ce dernier peut déjà mettre en avant son contrat passé avec le NYSE (New York Stock Exchange) , un environnement qui exige très peu de latence et la gestion quotidienne de milliards de transactions financières.

Lors d'une convention à Barcelone, l'équipementier a dévoilé sa stratégie de « nouvelle architecture réseau » pour la virtualisation des datacenters. Celle-ci doit augmenter les performances en réduisant les coûts et faciliter les interactions entre serveurs et entre commutateurs. Au coeur de cette architecture, Juniper souhaite réduire les trois couches de commutation au sein du datacenter, l'accès, l'agrégation et le coeur, à deux et probablement à terme à une couche de commutation avec le projet Stratus. Pour exemple, il évalue à 1 milliard de dollars l'aspect agrégation sur un total de 4,8 milliards de dollars dépensés sur le marché de la commutation dans les datacenters.

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« Une approche traditionnelle ne pourra pas évoluer face à la virtualisation », souligne Kevin Johnson, CEO de Juniper Networks et d'ajouter « 50% des ports parlent avec d'autres ports réseaux permettant des interactions de serveurs à serveurs, c'est trop lent ». Cindy Borovick, analyste sur les datacenters chez IDC confirme : « il est clair que l'industrie va avoir des besoins réseaux différents avec la virtualisation des serveurs, les annonces de Juniper le démontrent ».

La technologie Virtual Chassis en vedette

Le commutateur EX4500, disponible ce mois-ci, supportera jusqu'à 48 interfaces 10 Gbits Ethernet. Il sera compatible avec les normes CEE (Converged Enhanced Ethernet) et FCoE (Fibre Channel over Ethernet). Au début de l'année 2011, le commutateur EX4500 prendra en charge la technologie Virtual Chassis par le biais de mises à jour logicielles et matérielles. Celle-ci permet d'interconnecter jusqu'à une dizaine d'équipements, de les gérer comme un seul équipement logique. L'orchestration est réalisée par le système d'exploitation Junos. Cette technologie fonctionne également avec les commutateurs EX4200 pour permettre aux clients d'utiliser conjointement des dispositifs 1 et 10 Gbits Ethernet au sein d'une même structure.

L'équipementier propose aussi la carte EX8200-40XS, dont la disponibilité est prévue au 3ème trimestre 2010, ajoute le 10 Gbits Ethernet à la couche d'accès pour les configurations end of row (sur un groupement de baies). Cette carte pour l'EX8200, équipée de 40 ports, devrait supporter la technologie Virtual Chassis dès le début 2011. Elle permettra la mise en oeuvre d'une structure commune de plus de 1200 ports 10 Gbits Ethernet.

Du côté du routage, Juniper a annoncé la disponibilité du routeur MX80 3D, qui intègre la puce Trio, dévoilée à l'automne dernier, qui s'adapte automatiquement en cas d'augmentation du nombre d'utilisateurs, de besoins en bande passante ou de services. Cet équipement s'adresse à la portabilité des machines virtuelles entre des datacenters interconnectés par Ethernet VPLS (Virtual Private LAN Services). Cette interface est en concurrence directe avec la technologie Overlay Transport Virtualization de Cisco. Juniper affirme que son routeur prendrait moitié moins de place et consomme moitié moins d'énergie que l'ASR 1004 de Cisco.

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Si Cisco n'a pas encore répondu, Ittai Kidron, analyste pour Oppenheimer & Co explique « notre sentiment est qu'il travaille sur sa propre technologie de chassis virtuel pour adresser le même marché que Juniper ».

Des applications d'administration

En complément de la partie matérielle, Juniper a étoffé l'écosystème logiciel autour de son OS, Junos, avec plusieurs applications. Virtual Control comprend l'intégration avec VMware pour gérer les systèmes physiques et virtuels pour une orchestration commune des plateformes. Ethernet Design et Security Design proposent d'accélérer les configurations et le déploiement de la brique réseau dans les datacenters, ainsi que la mise en place des politiques de sécurité. Enfin l'application Service Insight détecte de manière proactive, diagnostique et résout les problèmes réseaux.

Juniper proposera à la fin de ce trimestre, AppTrack, un logiciel pour les passerelles SRX Series, en donnant aux responsables IT, une visibilité sur le comportement du trafic en fonction des utilisateurs et des applications. Ils pourront modifier les  charges de travail à travers les outils de virtualisation, du web 2.0 et du déploiement de services cloud. (...)

(21/05/2010 20:10:02)

Le CHU de Nancy virtualise ses applications

Afin d'optimiser la gestion de ses dossiers patients, le CHU de Nancy a décidé de virtualiser ses applications. Avec 1800 lits répartis sur 4 sites et pour répondre aux besoins de gestion des identités et de sécurité des ressources, cet établissement classé comme l'un des plus importants CHU de France, a opté pour la virtualisation de ses applications pour l'ensemble de ses sites.

Cette solution devrait simplifier le travail des utilisateurs. Pour l'heure, la virtualisation a été déployée sur 230 serveurs, deux salles informatiques distantes de 7 km, ainsi que 4 000 postes de travail répartis sur l'ensemble des sites de l'établissement hospitalier. Le CHU de Nancy a choisi l'éditeur Systancia pour virtualiser ses applications.

Photo : CHU de Nancy (D.R.) (...)

(21/05/2010 15:28:27)

Reporting financier : Sage étend les fonctions de son offre 1000 FRP

La version 6 de Sage 1000 FRP (Finance Resource Planning), solution intégrée de consolidation financière et de reporting, apporte trois innovations principales. Ce logiciel est monobase, ce qui signifie qu'un service comptable peut travailler sur toutes les comptabilités d'un groupe. Les analyses sont plus fiables et plus rapidement réalisables avec un langage de gestion commun et une plus grande cohérence des données. L'éditeur affirme être le seul à proposer une version monobase, en plus de la version multi-bases, sur ce segment de marché.

Sage 1000 FRP propose également un nouveau module, pour la gestion automatisée des notes de frais (dont le coût manuel atteint 50 à 150 euros par note). Par ailleurs, l'utilisateur dispose maintenant d'un accès au logiciel depuis son client de messagerie Microsoft Outlook, ce qui lui permettra d'intégrer rapidement les demandes des collaborateurs de l'entreprise, par exemple les notes de frais. C'est aussi un moyen de déporter sur le collaborateur des tâches très administratives dévolues jusqu'alors aux services financiers.

Cette nouvelle version du logiciel a été lancée ce 20 mai par un événement organisé entièrement en ligne. Une version bêta était disponible depuis le mois de décembre dernier. Sage 1000 FRP est diffusé par 80 partenaires Sage.

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(21/05/2010 14:55:43)

Panne informatique à la SNCF pour la réservation des billets

Une panne informatique à la SNCF empêche depuis vendredi matin 6h30 de réserver un billet, aussi bien sur Internet qu'en agence de voyages ou en gare, a expliqué le transporteur contacté par Relaxnews. Le problème devrait être résolu en début d'après-midi, a affirmé cette représentante. Seuls les billets à réservation, TGV et Teoz, sont concernés par cette impossibilité.

La SNCF précise qu'il est toujours possible d'acheter des billets pour Eurostar, Thalys ou pour les trains TER. Les clients qui ont pré-payé leurs billets peuvent les retirer en gare sans problème, a ajouté la porte-parole.

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(21/05/2010 14:57:21)

Iron Mountain ouvre un site de protection des données à La Plaine Saint-Denis

Le fournisseur américain de services Iron Mountain ouvre un nouveau site de conservation des supports numériques en France, à la Plaine Saint Denis (93). Le bâtiment s'étend sur 2300m² dont dont 1300 m² dédiés à la conservation. Cette nouvelle structure, proche de la majorité de sa clientèle en région parisienne, vise à optimiser la protection des bandes de sauvegarde informatique, ainsi que des masters de disques et de films. Le site doit permettre aux clients de récupérer leurs données en cas de perte, d'incendie, de sabotage, ou à la suite à d'erreurs humaines.

Pour ce site, Iron Mountain a soigné la protection incendie. Des essais grandeur nature des solutions ont été réalisés. Les nouveaux locaux sont équipés contre les intrusions (via des radars, caméras, télésurveillance 24/7, portes blindées, sas de sécurité, contrôle d'accès par carte magnétique), contre les incendies (via des détecteurs de chaleur et de fumée avec un déclenchement automatique), et contre les inondations (avec un  bac de rétention pour la climatisation, et contre la présence d'eau dans le bunker).

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(21/05/2010 12:45:53)

Capgemini guide vers le cloud avec les Online Services de Microsoft

La route vers le cloud peut commencer par l'adoption des Online Services de Microsoft. C'est l'une des options que Capgemini va préconiser. Dans le cadre de sa démarche d'accompagnement des entreprises vers les technologies de cloud computing, la SSII a noué avec Microsoft un partenariat mondial pour devenir prescripteur de la suite BPO (Business Productivity Online). Cette dernière regroupe l'accès à un ensemble de services en ligne hébergés dans les datacenters de Microsoft et facturés mensuellement par utilisateur : Exchange Online (serveur de messagerie), SharePoint Online (plateforme collaborative), Office Live Meeting (réunion en ligne), Office Communications Online (messagerie instantanée et indicateur de présence).

L'accord entre les deux partenaires se traduit concrètement par la création d'un centre d'expertise offshore et par la formation d'un millier de consultants à l'échelle du groupe. Ces derniers pourront mettre en place la suite Microsoft BPO et faire migrer les systèmes existants des clients vers ces services en ligne. Ces consultants interviendront, selon les besoins, dans les filiales locales ou au sein des ressources offshore. Des outils spécifiques de migration seront développés. « Nous allons définir un certain nombre d'interfaces prépackagées pour interfacer les logiciels de Microsoft à différentes applications, ajoute par ailleurs Xavier Moy, directeur des alliances chez Capgemini France. Il rappelle que SharePoint, en particulier, peut s'utiliser avec de nombreux logiciels complémentaires (lors du récent salon Documation, le village SharePoint regroupait 27 partenaires).

Deux jours pour une feuille de route vers le cloud

Pour évaluer les différents scénarios de mise en place de la suite MBPO, Capgemini recourra également à son outil de prototypage rapide, Rain (Rapid innovation), qui permet de réaliser une simulation des flux à présenter aux équipes métiers.

Cet accord avec Microsoft s'inscrit dans l'offre Infostructure Transformation Services (ITS) que la SSII a récemment élaborée. « Nous conseillons nos clients, en amont, dans leur transition vers le cloud, explique Xavier Moy. Chaque entreprise se pose des questions, mais il n'y a pas de chemin unique. A côté de notre offre de conseil classique, nous proposons donc les sessions 'Journey to the cloud' qui s'appuient sur la méthode Accelerated Solutions Environment (ASE). Celle-ci couvre les aspects infrastructure et applicatifs et permet à l'entreprise de définir un schéma directeur et une feuille de route vers le cloud computing ». Ces sessions prennent la forme d'un atelier (intensif, précise Capgemini) courant sur deux jours.

Illustration : Microsoft Exchange Online

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(21/05/2010 12:05:43)

La Cnil encadre l'usage de la géolocalisation des flottes de véhicules

La CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) vient de publier au Journal Officiel sa doctrine sur les dispositifs de suivis par géolocalisation des véhicules. Cette doctrine vise à encadrer les futures décisions relatives aux traitements de données de géolocalisation de véhicules tenues par des assureurs ou des constructeurs automobiles. Par contre, elle n'a pas prévu de procédure simplifiée pour la déclaration d'un tel traitement comme la loi de 2004 lui permet : le domaine n'est pas suffisamment mature pour cela. Deux cas sont distingués : celui des dispositifs d'alerte d'une part, jugés peu dangereux, et celui des trackings par les compagnies d'assurance, nettement plus surveillés.

Comme toujours, la CNIL veille à la proportionnalité des collectes de données avec les buts poursuivis et aux délais de conservation. Certaines conséquences particulières du suivi sont bannis, notamment la constatation d'infractions routières (comme le dépassement de la vitesse limitée), ce qui a un impact sur la nature des données effectivement stockées et traitées (une vitesse moyenne et non pas une vitesse instantanée par exemple). (...)

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