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(03/02/2009 16:15:38)

L'Afsset rend un avis peu tranché sur les dangers de la RFID

L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) vient de publier son avis relatif à l'évaluation des impacts sanitaires de la RFID (Systèmes d´identification par radiofréquences). C'est l'association France Nature Environnement (FNE) qui avait saisi l'agence le 25 novembre 2005 sur le sujet. Les conclusions de l'Afsset restent très évasives : « l'étude de la littérature ainsi que les résultats de campagnes de mesure ne permettent pas, à ce jour, d'établir l'existence d'un risque sanitaire lié à l'exposition aux champs électromagnétiques émis par des systèmes RFID. » France Nature Environnement interprète donc sans surprise l'avis de l'agence comme un appel à la précaution vis à vis des technologies RFID. Sur le site de l'association, le responsable du réseau santé-environnement, José Cambou livre son point de vue : « la RFID est en passe de devenir un sujet majeur en matière de santé/environnement. L'avis de l'Afsset confirme notre position : en présence d'une nouvelle technologie comme la RFID, il vaut mieux prévenir que guérir ! Le rapport de l'Afsset met en évidence la nécessité d'expertise et de recherches sur les risques sanitaires, environnementaux et éthiques liés à la RFID. » L'Afsset explique avoir mesuré sur le terrain et en laboratoire les champs magnétiques émis par les puces RFID (de façon non exhaustive) et recueilli les informations idoines de la part des constructeurs. Dans les fréquences basses et intermédiaires (respectivement autour de 125 kHz et de 13,56 MHz), des niveaux de champs élevés peuvent être observés localement, au contact avec les dispositifs. Mais les valeurs moyennes ne dépassent pas les valeurs limites d'exposition définies en 1998 par l'Icnirp (International commission on non-ionizing radiation protection, Commission internationale de protection contre les rayonnements ionisants), censées garantir « la protection des personnes contre les effets connus et avérés de l'exposition aux champs électromagnétiques ». Surveiller plus particulièrement les utilisations professionnelles L'Afsset énonce aussi une série de recommandations. Pour commencer, elle conseille de poursuivre la veille. Mais elle suggère de se concentrer plus particulièrement sur la recherche concernant les utilisations professionnelles de systèmes RFID fonctionnant en continu, d'identifier d'éventuelles incompatibilités avec certains dispositifs médicaux et de s'intéresser aux effets psychologiques induits en particulier par l'implantation éventuelle de puces dans le corps humain (ce qui n'est pas encore une réalité en France). L'agence rappelle aussi que les fabricants doivent, à travers le marquage « CE », faire en sorte que les rayonnements électromagnétiques de leurs produits restent inférieurs aux limites en vigueur. Constructeurs, intégrateurs et entreprises utilisatrices doivent aussi vérifier que leur personnel n'est pas mis en danger (valeurs Icnirp), consigner les résultats de l'évaluation de l'exposition aux champs électromagnétiques qu'ils auront réalisée, et limiter les expositions inutiles. Pour l'Afsset, les normes devraient s'adapter davantage aux environnements de type RFID en ne mesurant pas une exposition du corps entier, mais de parties du corps plus localisés. L'agence n'oublie pas la question du recyclage des étiquettes et de leurs antennes qui n'est aujourd'hui pas réglée. L'Afsset a aussi rappelé qu'elle n'était pas compétente sur les questions de confidentialité des données et de respect de la vie privée qui lui ont aussi été soumises par France Nature Environnement. L'agence rappelle que la Cnil avait signalé le risque particulier que les dispositifs faisaient peser sur les individus « en raison notamment du maillage dense qu'elles constitueront autour des individus ». (...)

(03/02/2009 15:34:28)

En décembre, 20 845 informaticiens étaient au chômage

Le taux de chômage des informaticiens a de nouveau augmenté dans l'Hexagone à la fin du mois de décembre 2008. Les chiffres publiés hier, lundi 2 février, par la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère de l'emploi) montrent que 20 845 demandeurs d'emploi ont été enregistrés sur cette période dans la catégorie « Professionnels informatiques ». L'année 2008 se solde donc par une hausse de 3,5% du nombre de demandeurs d'emploi en informatique (+723) par rapport à 2007, et ce après plusieurs années de baisse. Sur une population estimée à 500 000 informaticiens en France, le taux de chômage de la profession se situe désormais à 4,2%. Bien avant l'avalanche des plans sociaux de 2008, près de 10 000 licenciements avaient déjà été recensés en 2007 par l'Unedic, dans les sociétés de services informatiques et chez les éditeurs de logiciels, soit environ 2% des effectifs de la branche. (...)

(03/02/2009 12:53:16)

Marché des PC : La France finit 2008 en beauté avant de souffrir en 2009

Alors que les principaux cabinets d'analystes ont récemment fait état d'un marché mondial des PC en récession au quatrième trimestre 2008, Gartner annonce des chiffres autrement plus réjouissants pour la zone Europe, et notamment pour la France. Avec 20,1 millions de machines vendues au cours du dernier trimestre 2008, le marché européen enregistre ainsi une croissance de 12,1% sur un an. « De façon surprenante, note Gartner, c'est en Europe de l'Ouest qu'a été observée la plus forte progression de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). » Les netbooks ont largement contribué à cette dynamique, avec 2,5 millions d'unités écoulées au quatrième trimestre, contribuant à compenser le recul de 5% sur le marché professionnel. Sans les netbooks, estime Gartner, les ventes de PC en Europe occidentale auraient reculé. Mais, même si les mini-PC ont sauvé les meubles, leur faible prix de vente a participé du recul du marché en valeur. L'institut estime ainsi à 15% la baisse des prix moyens sur un an. La France en grande forme En France, le marché des PC s'est montré encore plus dynamique, avec une croissance de 13% en volume (3,2 millions d'unités vendues au quatrième trimestre). Une performance réalisée en partie à l'occasion des fêtes de fin d'année sur le segment grand public, où les ventes ont bondi de 32% sur un an. Comme pour l'ensemble de l'Europe occidentale, ce sont les PC portables - et notamment les netbooks - qui ont alimenté cette demande (+41%). Ainsi, près de deux PC sur trois vendus au T4 étaient des laptops. A l'inverse, les machines de bureau ont continué de séduire de moins en moins de consommateurs : leurs ventes reculent de 15% sur un an, en dépit de l'apparition des PC tout-en-un, présentés par Gartner comme une possible bouée de sauvetage des desktops. Même tendance sur le marché professionnel, avec des livraisons en baisse de 5%, notamment en raison d'une piètre demande des PME. Au palmarès des constructeurs, Acer conserve sa première place avec près de 25% de parts de marché, mais croît moins rapidement que l'ensemble de ses concurrents. HP en profite pour le talonner (24,2% de parts de marché) et creuse l'écart avec Dell. Le Texan n'enregistre que 1,2% de croissance, à des années-lumière des 172,4% d'Asus. Ce dernier, qui s'arroge 8,1% du marché, a su profiter de l'engouement pour les netbooks avec sa gamme Eee PC (60% de l'ensemble de ses ventes) pour ravir la quatrième place à Toshiba. Ces bons résultats concernant la France ne doivent cependant pas éclipser la réalité de la situation économique. En progressant de 13% au T4, le marché français pourrait simplement avoir livré son baroud d'honneur avant une période de vaches maigres. « Nous n'avons pas encore vu l'impact de la récession et le pire est à venir », note Gartner. (...)

(03/02/2009 12:00:58)

Etude : le cloud computing reste une énigme pour les PME anglo-saxonnes

Les PME anglo-saxonnes appréhendent encore mal ce que recouvre le cloud computing. C'est ce qu'indique une enquête menée auprès de 1 500 petites et moyennes entreprises britanniques et américaines entre mi-octobre et mi-novembre par le cabinet d'études Vanson Bourne, pour le compte de l'hébergeur Rackspace Hosting. Ce dernier s'inquiète de constater que 57% des PME britanniques et 58% des PME américaines ne connaissent tout simplement pas le terme cloud computing qui désigne l'accès à une infrastructure et à des services informatiques hébergés. Selon les résultats de l'enquête, cette expression relève de l'énigme et, à ce stade, semble semer la confusion plus qu'elle ne promeut le concept. La désignation 'cloud computing' est pourtant de plus en plus fréquemment employée par les plus grands fournisseurs d'infrastructures. Parmi ses principaux zélateurs, on trouve ainsi IBM, Microsoft, Google et Amazon, ou encore Sun, HP, Dell, Intel, EMC, VMware, Citrix et Yahoo. Des définitions variées pour un même concept Les réponses des PME sondées sont néanmoins modulées. 43% des entreprises britanniques interrogées définissent le cloud comme un ensemble de serveurs distants auxquels on accède par Internet. C'est également cette définition qui recueille le plus de suffrages aux Etats-Unis, avec 29% des réponses. 31% des Britanniques pensent que l'hébergement au sein d'un cloud correspond à des applications accessibles sur Internet, 14% pensent qu'il s'agit de virtualisation et 8% de stockage en ligne. Les réponses sont équivalentes aux Etats-Unis. Toutefois, 27% des sondés britanniques ne savent pas comment ils vont utiliser le cloud parallèlement à leurs autres applications IT. Il en va de même pour un tiers des PME américaines. (...)

(03/02/2009 11:51:01)

Divalto a poursuivi sa progression en 2008

« C'est pour nous la sixième bonne année consécutive et nous venons de franchir le cap des 10 M€ de chiffre d'affaires, se félicite Thierry Meynlé, directeur général de l'éditeur. Si une partie de la progression est expliquée par l'acquisition des progiciels du Centre Technique du Décolletage en avril dernier, notre croissance organique a tout de même été de 18% ». Deux évolutions expliquent la bonne performance de Divalto. La première est que l'éditeur a recruté 30 nouveaux partenaires. « C'est plus qu'un réseau, c'est devenu un « écosystème », qui mobilise au total plus de 1 000 personnes et qui génère un chiffre d'affaires de 97 millions d'euros si l'on tient compte des prestations commercialisées par nos 150 distributeurs », explique Thierry Meynlé. Et grâce à son réseau de distribution, Divalto a convaincu près de 400 nouveaux clients en 2008. La seconde évolution concerne la progression de Divalto dans des entreprises de plus en plus importantes : les quatre principales nouvelles références de l'éditeur pour 2008 ont à elles seules permis la vente de plus de 2 000 licences. Un bénéfice record qui représente près de 28% du CA Dans ce contexte, Divalto peut également afficher un résultat d'exploitation record de 2,8 M€, soit près de 28% du chiffre d'affaires. Cette manne permet à l'éditeur de poursuivre ses investissements en R&D et il lancera d'ici l'été la version 6.2 de son ERP. « Cela va aussi nous permettre de renforcer nos investissements en communication et en animation du réseau. Entre autres actions, nous emmènerons cette année nos partenaires sur l'île de La Réunion ». De fait, les événements partenaires de ce type se feront rares cette année sur le marché IT. Divalto affirme par ailleurs que son offre de SaaS, lancée en 2006, commence enfin à décoller : « La progression a été de 654% en 2008, et même si cette activité ne représente encore que 1% du chiffre d'affaires, les projets en préparation confirment que le développement de cette formule va effectivement s'accélérer », conclut Thierry Meynlé. (...)

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