Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 12141 à 12150.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(02/02/2009 17:42:40)
Dix rustines pour les hyperviseurs de VMware
VMware met à disposition neuf rustines pour ESX 3.5 et une pour ESXi (hyperviseur embarqué). Certaines des rustines pour ESX 3.5 concernent également les versions précédentes (ESX 3.0.x). Deux alertes sont cotées "critiques". L'une vise les VMware Tools et l'autre la mise à jour des drivers pour disques durs SATA. On notera aussi la correction du bogue qui affectait les entrées/sorties iSCSI et FC (Fiber Chanel) à la suite de certaines mises à jour avec l'Update 3 d'ESXi/ESX 3.5. Un bogue d'importance, puisqu'il gelait les accès jusqu'à un redémarrage. Une rustine pallie aussi des problèmes rencontrés avec des disques de machines virtuelles (VMDK) (...)
(02/02/2009 17:38:09)Microsoft ouvre le code de son projet Web Sandbox
Un Web plus sûr, telle est l'ambition de Microsoft avec son Web Sandbox : un bac à sable isolant l'exécution du code des serveurs Web (mash-up, publicités, etc.) du reste de la machine. La technologie, indépendante des navigateurs Web, avait été présentée au public des développeurs Microsoft en octobre dernier. Elle est désormais accessible à tous, Microsoft ayant publié le code sous licence Open Source Apache. Encore en cours de développement, le projet Web Sandbox n'est pas encore prêt à être inclus dans des développements. Le but de cette ouverture de la part de Microsoft est surtout d'encourager des éditeurs tiers à utiliser cette technologie, afin d'en faire un standard « ouvert et interopérable », deux mots sur lesquels l'éditeur insiste beaucoup en ce moment. L'annonce de l'ouverture du code a d'ailleurs été faite par l'équipe de Sam Ramji, le grand ordonnateur de l'Open Source au sein de Microsoft. Il faut bien noter que, même s'il passe sous licence Apache, le projet reste un projet Microsoft et non un projet Apache - contrairement à Stonehenge (code pour le développement d'applications orientées services). (...)
(02/02/2009 17:09:35)Création et Internet : Nicolas Sarkozy promet l'adoption de la loi en mars
Alors que le projet de loi Création et Internet végète depuis son examen par les sénateurs, en octobre, Nicolas Sarkozy entend redonner de l'élan à ce texte conçu pour endiguer le téléchargement illicite. Ce matin, à l'occasion de l'installation du conseil pour la création artistique, le chef de l'Etat a indiqué avoir « demandé que la loi Création et Internet soit définitivement adoptée en mars prochain ». La loi devrait ainsi être mise rapidement à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale. Le président de la République a souligné que, face au piratage qui « détruit massivement », il ne « laissera pas piller les droits d'auteur ». Grâce à cette loi qui prévoit de punir les internautes coupables de téléchargement illicite en résiliant leur abonnement à Internet, Nicolas Sarkozy assure que le Web « pourra devenir enfin un fantastique lieu de création et d'échange, et non une jungle sauvage où il serait permis de piller les oeuvres des créateurs ». Le projet de loi, porté par la ministre de la Culture, Christine Albanel, a récolté de nombreuses critiques depuis les parlementaires européens jusqu'aux internautes, en passant par les FAI et les défenseurs des libertés individuelles. Pourtant, assure Nicolas Sarkozy, la loi « aura un effet très positif sur les comportements ». Le gouvernement a décrété l'urgence pour l'examen de ce texte. Chaque chambre ne procèdera par conséquent qu'à une lecture unique, une commission mixte paritaire étant chargée d'élaborer un compromis en cas de désaccord. (...)
(02/02/2009 17:07:58)NEC va supprimer 20 000 postes dans le monde
Dans le cadre d'un des plus lourds plans de réductions d'effectifs annoncés ces derniers jours sur le secteur, le Japonais NEC prévoit de licencier 20 000 salariés, sur un effectif mondial d'environ 154 000 personnes. Le groupe d'électronique et d'informatique va fermer des usines et se retirer de certains secteurs d'activité. En fin de semaine, son compatriote Toshiba avait également annoncé 4 500 suppressions de postes. Au Japon, NEC va se séparer de 9 500 salariés et proposer un plan de retraite anticipée à 450 autres collaborateurs. A l'international, les suppressions de postes toucheront 9 000 personnes. Le fabricant n'a pas donné de détails sur les divisions qui seront touchées, mais il a indiqué qu'il allait poursuivre la restructuration de sa filiale NEC Electronics, spécialisée dans la fabrication de puces. NEC s'attend à une perte de 2,54 Md$ sur son exercice fiscal NEC avait originellement prévu de réaliser un bénéfice net de 166 M$ (15 Md¥) sur son année fiscale qui s'achèvera fin mars 2009. Désormais, il s'attend à enregistrer une perte nette de 2,54 Md$ (290 Md¥) en raison du ralentissement de son activité et des restructurations engagées. Le groupe prévoit un chiffre d'affaires annuel de 47 Md$ (4 200 Md¥), ce qui constituerait un recul de 9% par rapport à l'exercice précédent. Sur son troisième trimestre fiscal (échu fin décembre 2008), NEC a enregistré une perte de 1,47 Md$ sur un chiffre d'affaires de 10,6 Md$. L'an dernier, sur la même période, sa perte s'était établie à 60 M$ sur un chiffre d'affaires de 12,3 Md$. Les résultats de ses activités IT et solutions réseaux sont à peu près en ligne avec ce qui était attendu. En revanche, ses divisions téléphonie mobile et semi-conducteurs ont souffert en raison de la chute de la demande. Le Yen fort a également entamé les bénéfices réalisés sur les ventes du groupe à l'international. (...)
(02/02/2009 16:37:58)Les éditeurs de presse pessimistes sur la rentabilité de leurs sites
Pour le secteur de la presse, les sites Web paraissent plus comme un mal nécessaire que comme un nouveau vecteur pour toucher du public et faire des affaires. « Quand on en parle dans tous les pays, pris isolément, les sites sont tous déficitaires. Même le New York Times perd de l'argent. Le seul modèle payant au monde [et gagnant de l'argent] est le Wall Street Journal, mais ils fournissent une info très spécifique. Je pense que le site d'information, pris isolément, ne sera pas rentable. Je suis assez pessimiste. » Francis Morel, directeur général du groupe Le Figaro, s'exprimait ainsi le 30 janvier dernier, lors d'un colloque organisé par l'IPJ, Institut pratique du journalisme, qui à l'occasion de ses 30 ans souhaitait explorer l'avenir de la presse et des journalistes à l'heure du Web 2.0. Pierre-Jean Bozo, président de 20 Minutes, confirmait ces propos : « Aujourd'hui, ce sont les bénéfices du papier qui compensent les pertes du Web. » Les représentants de LCI.fr, LePoint.fr ou encore LeParisien.fr confirmaient de leur côté la volonté de leur groupe respectif d'offrir un visage sur le Web, avec les moyens les moins élevés possible - la publicité en ligne ne compensant pas les frais - mais avec le meilleur référencement possible dans Google. "Le référencement Google, un nivellement par le bas" C'est en effet le moteur de recherche qui joue les arbitres dans la course à l'audience. « C'est vrai que nous sommes complètement dépendants du référencement Google, cela produit un nivellement par le bas. Et engendre un paradoxe : ce n'est pas celui qui sort un scoop qui est référencé, mais ceux qui le reprennent ! » s'est plaint Denis Carreaux, rédacteur en chef adjoint du Parisien.fr. Personne n'ayant de martingale, ni pour bien figurer dans le classement de Google, ni pour faire remonter les tarifs publicitaires, la conférence s'est achevée avec un certain pessimisme, à peine tempéré par le directeur général de Rue89.com, contre-exemple d'un média né sur la Toile et capable de vivre uniquement en ligne. Encore qu'il ait bénéficié d'une levée de fonds de 1,1 M€ et d'un gros buzz médiatique de la part des confrères... En savoir plus Le résumé de la conférence sur la presse en ligne et le « journalisme 3.0 » sur notre blog(02/02/2009 14:21:32)
Hewlett-Packard accorde des prêts à taux zéro aux PME nord-américaines
Pour soutenir la demande des PME nord-américaines, Hewlett-Packard (HP) met en place des prêts à taux zéro sur douze mois. Réservés aux entreprises privées, ces prêts pour des montants entre 1500 et 150 000 $ sont accordés pour l'acquisition de l'ensemble des produits professionnels, y compris les consommables. HP ne précise pas les conditions d'obtention de ces prêts. Quant à la filiale française, elle n'a reçu aucune instruction pour mettre en place de tels prêts. (...)
(02/02/2009 12:44:24)Trimestriels CA : L'éditeur résiste mieux sur son marché qu'à l'international
L'éditeur américain CA a réalisé un chiffre d'affaires de 1,042 Md$ sur son troisième trimestre fiscal (clos au 31 décembre 2008), en recul de 5%. Il dégage néanmoins sur la période un bénéfice net de 213 M$, en hausse de 30,6%, et une marge opérationnelle qui progresse dans des proportions équivalentes et représente 30% du chiffre d'affaires (soit +7% par rapport à l'an dernier). Les ventes sur le marché nord américain ont progressé de 1%. A l'international, elles reculent de 13% par rapport à la même période l'an dernier. L'éditeur de logiciels d'infrastructure, toujours très axé sur les opérations de croissance externe a procédé le 5 janvier dernier à une acquisition de plus, celle d'Orchestra. Ce dernier viendra compléter son portefeuille de logiciels de gestion des accès et des identités, déjà enrichi en novembre dernier avec le rachat d'Eurikify. Sur les neuf premiers mois de son exercice, le chiffre d'affaires de CA n'a progressé que de 1,38%, à 3,2 Md$, tandis que son bénéfice net enregistre une hausse de 45%, à 622 M$. Sur les neuf mois, la marge opérationnelle atteint 29,2% du chiffre d'affaires. (...)
(02/02/2009 12:36:44)Une erreur humaine paralyse Google pendant près d'une heure
« Ce site risque d'endommager votre ordinateur ». Samedi 31 janvier, les internautes qui ont effectué des requêtes sur Google ont invariablement obtenu des résultats frappés de cet avertissement. A en croire le moteur de recherche, tous les sites Internet - quels que fussent leur objet et leur origine géographique - présentaient le risque de contenir un malware. Et pas question de braver l'avertissement de Google : en cliquant sur les résultats des recherches, les utilisateurs aboutissaient sur une page leur proposant invariablement de modifier leurs critères, de sélectionner un autre site ou de consulter le site StopBadware.org, qui liste les sites malveillants. De fait, vers 14h30 (heure de Paris), l'ensemble des sites Web était inaccessible à partir de l'hégémonique moteur de recherche. Rapidement, Google a réagi à ce dysfonctionnement. Sur son blog officiel, le moteur a ainsi confessé qu'il s'agissait « tout simplement d'une erreur humaine ». Dans un premier temps, Google a reporté la faute sur le site StopBadware.org, qui lui fournit une série de critères permettant de dresser une liste des sites dangereux. Mais, contrairement à ce que Google a indiqué, StopBadware.org ne lui communique pas un catalogue d'URL à placer en liste noire. « Google génère sa propre liste », explique le site injustement mis en cause, pour dissiper tout malentendu. Dans la foulée, Google a rectifié le tir en expliquant que l'erreur prenait sa source dans une manipulation malheureuse. Dans la liste noire des sites malicieux établie par le moteur, une main maladroite aurait en réalité coché l'URL « / », contribuant à y placer l'ensemble des pages Web recensées par Google. Rapidement débusquée, la défaillance a été corrigée en une quarantaine de minutes. Google a félicité ses équipes pour avoir mis le doigt sur l'origine du problème et a « présenté [ses] excuses à tous ceux qui ont été gênés (...) ainsi qu'aux propriétaires de sites dont les pages ont été injustement étiquetées. Nous allons enquêter méticuleusement sur cet incident et mettrons en place des moyens de vérification plus solides pour empêcher que cela se reproduise. » (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |