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(07/05/2010 12:37:36)

Spring Source, filiale de VMware acquiert Gemstone

Avec cette opération, l'éditeur de solutions de virtualisation, filiale d'EMC, obtient des technologies et une expertise sur un goulet d'étranglement du cloud computing, l'évolutivité des bases de données. « Gemstone devrait régler une part importante de ce problème. Si vous élaborez une application, qui nécessite des ressources au sein de l'entreprise ou une migration vers le cloud, elle sera amenée à évoluer sans nécessairement changer votre architecture » souligne Rod Johnson, directeur général de Spring Source.

Le produit phare de Gemstone se nomme GemFire Entreprise, un gestionnaire de cache des bases de données en mémoire pour les plate-formes distribuées. Cette technologie stocke entièrement une base au sein d'une mémoire dédiée, éliminant ou en retardant les procédures chronophages comme l'écriture ou la lecture de la base sur un disque. « Concrètement, le logiciel va pouvoir travailler sur la donnée au niveau de la couche middleware et interagir en temps réel avec des applications Java. A la fin de la journée, la donnée traitée est alors replacée dans le circuit de la base ou alors enregistrée de manière asynchrone » explique Richard Lamb, président de Gemstone.

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Cette technologie est souvent utilisée par les communautés financières, qui utilisent des systèmes de grid computing. Le département de la défense américaine utilise également cette solution pour les commandes distribuées et les systèmes de contrôle. Au total, Gemstone apporte ses offres à 200 entreprises.

Faire sauter les verrous du cloud


Sur le marché des mémoires primaires des bases de données, plusieurs fournisseurs sont en compétition, comme Oracle avec Times Ten In-Memory Databade 11G. L'avantage de Gemstone est de fonctionner sur une architecture distribuée, plutôt qu'un dans  une structure symétrique multiprocesseurs, explique Richard Lamb. Cette approche facilite le déploiement d'applications sur les datacenters distants. En complément de cette annonce, VMware semble s'intéresser à une base de donnée, connue, sous le nom de code NoSQL, pour les porter dans le cloud. En mars dernier, il a embauché le développeur en chef de Redis Open Source, spécialiste en mémoire primaire de base de données non relationnelle. Pour autant, Paul Maritz, CEO de VMware a expliqué lors de la présentation des résultats « nous n'essayons pas d'entrer sur le marché de la base de données, nous cherchons simplement d'accompagner nos clients qui portent leurs applications dans le cloud, public ou privé ».

Gemstone est basée à Beaverton dans l'Oregon et comprend 100 salariés. Elle devrait être intégrée dans SpringSource et garder son nom. L'acquéreur s'est engagé à poursuivre les fonctions de supports sur les autres produits de Gemstone. Par contre, les conditions financières n'ont pas été dévoilées.

(...)

(06/05/2010 10:39:42)

Le Syntec pédagogue sur le cloud

Pour Jean Mounet, président du Syntec informatique, le cloud n'est pas une révolution, mais une évolution de l'usage de l'informatique. Pour lui, l'avènement de ce mode de consommation va rendre « l'accès à l'informatique très similaire à celui de l'électricité, on se branche sur une prise informatique pour disposer d'applications, de puissance de calcul, de stockage, etc. ».  Pour accompagner les membres du Syntec vers le cloud, la fédération a publié un livre blanc sur le sujet. Cet ouvrage très modeste se veut avant tout pédagogique en définissant les différents types de cloud et à quelles applications elles s'adressent. Pour renforcer le caractère didactique, plusieurs cas clients donnent une vision plus pragmatique du cloud. Sur la partie technique, le Syntec proposera dans la prochaine édition du livre blanc un volet plus orienté vers les informaticiens.

Des règles juridiques en suspens


Nonobstant les bénéfices et les avantages d'avancer progressivement vers le cloud pour les entreprises, le Syntec modère les enthousiasmes sur certains points et notamment juridiques. Des interrogations subsistent par exemple sur l'application de la loi du pays où sont géolocalisées les données.  Cela peut poser quelques difficultés par exemple si les informations sont stockées dans un pays avec des règles de confidentialités différentes du pays de résidence de l'entreprise. Un autre aspect a été souligné par ce livre blanc, la réversibilité des contrats signés entre les entreprises et les fournisseurs de services cloud. Peut-on déplacer ses VM d'un cloud à un autre (interopérabilité, standardisation), quel est le statut des données stockées (destruction, durée de conservation, portabilité) ? autant de questions qui demeurent aujourd'hui sans véritables réponses.

Le cloud va aussi bouleverser l'environnement social de l'entreprise où les informaticiens vont être déchargés des tâches de gestion quotidienne des applications, des environnements et des infrastructures. Leur métier va évoluer vers des coeurs de métiers, comme par exemple le développement et le test d'applications, mais aussi vers un aspect commercial pour assurer l'interface avec les fournisseurs de service cloud.

Enfin, la fédération souligne les différents programmes européens et nationaux à l'encontre du cloud. Pour mémoire, le grand emprunt comprend un volet cloud avec une enveloppe de 1 milliards d'euros.

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(06/05/2010 09:07:36)

1ère réunion du groupe utilisateurs français d'Amazon Web Services (MAJ)

A l'occasion de la première réunion de l'User Group France Amazon Web Services le 3 mai dernier, des entreprises telles que Voyages-sncf.com ou Maporama ont fait part de leur retour d'expérience sur l'adoption du cloud computing. Le bilan des utilisateurs d'AWS est globalement positif. Sa rapidité de prise en main, sa souplesse d'utilisation, son évolutivité et son niveau de sécurité sont cités comme des atouts mais avec des bémols selon les intervenants. Nombre d'entreprises ayant des sites en ligne se tournent vers le cloud  pour faire face à une forte croissance de leur trafic ou pour des tests de charge.

Cédric Despres, responsable édition logicielle chez Voyages-sncf.com, a ainsi expliqué que le site de commerce électronique français doit faire face à des contraintes de disponibilité, sachant que chaque jour 300 000 ventes sont réalisées. Initialement, la société travaillait avec l'hébergeur SNCF, sa maison mère qui dispose de ses propres salles de serveurs, mais pour gérer des projets de recherche et développement, l'entreprise a choisi, en 2009, de miser sur Amazon Web Services.

Pour autant, l'entreprise n'envisage pas à ce jour de généraliser le cloud pour un usage en production. Actuellement, ce type de services ne concerne que la partie test des applications car même si la confidentialité des données ne pose aucun problème, selon Cédric Despres, « il est difficile de convaincre notre maison mère car avec le cloud on ne contrôle rien, on ne peut pas appuyer sur le bouton off ». Il précise qu'il y aura néanmoins une phase intermédiaire durant laquelle ils passeront par la virtualisation de leurs applications sur les machines existantes.

Photo : Cédric Despres, Responsable Edition Logicielle chez Voyages-sncf.com


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Aujourd'hui, après un an d'utilisation, Cédric Despres dresse un bilan plutôt positif. Il insiste sur la « souplesse de prise en main », étant donné qu'il n'a fallu qu'une semaine pour le déployer. Il ajoute que « c'est du virtuel, il n'y a pas de fils à connecter, nous avons juste à choisir sur Internet les machines que nous voulons créer ». Il pointe un autre atout pour les entreprises qui ne seraient pas certaines de se lancer totalement dans le cloud. Si elles décident d'abandonner après la phase de tests, elles disposent malgré tout des scripts et du détail de fonctionnement et d'informations sur la performance des machines au sein de cet environnement. De quoi en tirer des enseignements pour optimiser leurs coûts.

 

Dans le cas du site Voyages-sncf.com, selon Cédric Despres il y a eu « de meilleurs résultats de performance sur Amazon Web Services que sur l'hébergement traditionnel, ce qui a permis d'améliorer la rapidité de notre hébergement traditionnel ». Néanmoins, Cédric Despres évoque plusieurs inconvénients, à savoir les écarts de performances d'une plate-forme à l'autre en raison de l'utilisation de CPU différents d'une période à l'autre au sein du Cloud, ainsi qu'un manque de visibilité sur les performances I/O des disques et du réseau.


Photo : Cédric Despres, Responsable Edition Logicielle chez Voyages-sncf.com


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Pour Eudes du Rivau, CTO (Chief Technology Officer) chez Maporama, le bilan est également positif. Il précise qu'« une fois qu'on a découvert Amazon on est à peu près convaincu. » La société a choisi le cloud en réponse à un besoin de croissance. Cette plate-forme a effectivement l'avantage de permettre d'éviter d'investir dans des serveurs, coûteux à l'achat. Grâce à AWS, le processus de sauvegarde et de restauration est facilité et plus robuste. Il ajoute : « de plus, nous n'avons plus besoin de nous soucier du firewall car tout est confié à AWS ». Le responsable technique apprécie particulièrement la flexibilité du cloud lorsque l'entreprise a besoin de louer de nouvelles machines et reconnaît la fiabilité du SaaS que propose AWS. Il souligne enfin que « grâce à ce projet, il maîtrise beaucoup mieux son budget de fonctionnement. » Pour les aspects négatifs, le CTO de Maporama témoigne qu'AWS n'est pas tout-à-fait au point pour de larges bases de données et ne propose pas un outil de supervision complet qui satisfasse à leurs besoins. Maporama utilise donc son propre outil en parallèle de la solution d'AWS.

IT4Control, Blogbang, Silentale, Cafe.com et IG technologie étaient également présents lors de cette conférence. Leur point de vue sur la solution SaaS d'Amazon Web Services rejoint les témoignages de Voyages-sncf.com et de Maporama.


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(05/05/2010 10:14:09)

Observatoire du cloud : CA et IDC scannent la maturité des entreprises

« Après l'évangélisation vient le temps de la mesure régulière de la maturité des entreprises » prévient François Trouillet, directeur marketing Europe du Sud de l'éditeur CA. Dans cette optique, la « cloud academy » organisée deux fois par an par CA et divers partenaires (comme le cabinet Revevol) se dote d'un nouvel outil : un « observatoire du Cloud » réalisé par le cabinet d'études IDC. Publié le même jour que l'étude de Markess, cette synthèse qui arrive après celle réalisée par PAC pour le compte de VMware, Intel et EMC et juste avant le livre blanc du Syntec sur la question (à l'occasion du salon Datacenter Cloud Computing au Cnit les 5 et 6 mai 210). Les nuages sont vraiment dans l'air du temps.

L'adoption du modèle du cloud rentre ainsi dans la norme des autres modèles. La réduction des coûts était la justification quasi-unique du passage au cloud mais retrouve désormais une place plus ordinaire parmi les motivations diverses, derrière, par exemple, l'efficacité du SI, même si les DG sont encore axés sur les coûts avant tout. Amélioration de la réactivité, optimisation de l'infrastructure et du portefeuille applicatif, bref l'agilité, sont des priorités de la DSI quand elle choisit le cloud. Innovation et Green-IT sont, par contre, jugés très secondaires.

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L'infrastructure, de plus en plus complexe, est également de plus en plus externalisée, d'abord pour déléguer cette complexité et l'hétérogénéité induite. L'absence de recours à des prestataires ne concerne désormais plus que 30% des entreprises et continue de chuter même si la délégation totale à des prestataires est encore très marginale (7% seulement).

Le cloud est jugé connu dans ses principes généraux mais les entreprises s'intéressent et connaissent prioritairement le SaaS (27% ont mis en oeuvre et seul un tiers ne s'y intéresse pas encore). PaaS et IaaS n'intéressent pas encore les deux tiers des entreprises et quasiment aucune n'en ont mis en oeuvre. La problématique de la sécurité au sens strict et technique est en régression au profit de la gestion de la confidentialité et des droits d'accès. Même si 55% des entreprises ne peuvent pas envisager autre chose qu'un cloud privé, le principe de « mettre dans les nuages » des éléments du SI n'est plus une hérésie.

Illustration : crédits D.R. (...)

(05/05/2010 09:43:55)

Le cloud et le SaaS étendent leur périmètre applicatif

Le cabinet Markess dévoile - le même jour que CA et IDC - une étude sur le SaaS (software as a service), une notion désormais englobée, avec ses consoeurs IaaS (infrastructure) et PaaS (platform), dans celle du cloud computing. L'étude est basée sur 330 interviews menées en ligne au cours des deux derniers mois et complétée par les études menées par le cabinet en parallèle (stockage, sauvegarde, archivage ...). Rappelons également que PAC avait présenté une synthèse fort intéressante sur le sujet le 8 avril dernier et que le Syntec dévoilera son livre blanc sur la question à l'occasion du salon Datacenter Cloud Computing (au Cnit les 5 et 6 ami 2010)

Le premier enseignement est d'ordre quantitatif.  Le marché des services concernés par le cloud computing se montait à 1,200 milliard d'euros en 2008 en France, il va atteindre 1,860 milliard d'euros  en 2010 et passer à 2,730 en 2012. A l'intérieur de ce marché, c'est le SaaS qui progresse le plus.  Et à l'intérieur du SaaS, on retrouve d'année en année (de 2008 à 2010) le même groupe de tête, celui du collaboratif : messagerie, agenda partagé, gestion de projet, web conference. 

Derrière, figurait jusqu'alors les applications liées aux ressources humaines : gestion des recrutements des talents et de la paie. Entre 2010 et 2012, les applications liées à l'informatique de base : sécurité, sauvegarde, pilotage, supervision, tests, vont arriver au deuxième rang. C'est la grande nouveauté qualitative issue de l'étude. Deuxième donnée, la demande devrait se porter sur des applications transverses, mais utilisées en mode SaaS. Markess cite : la collaboration d'entreprise, les applications sociales, la communication vocale, les applications bureautiques, la gestion de contenu d'entreprise, l'analytique et le décisionnel.

 

Illustration : crédits D.R.

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(04/05/2010 16:55:51)

Le service de cloud privé d'Amazon arrive en Europe

Ce lancement européen donnera aux utilisateurs situés sur le continent des faibles temps de latence, mais aussi, selon Amazon, de répondre aux exigences de l'Union européenne, sur la géolocalisation des données.  Les entreprises peuvent construire des architectures hybrides qui leur permettent de bénéficier des avantages du cloud d'Amazon, tout en gardant la main sur le réseau à travers une connectivité sécurisée. Un peu comme si toutes les ressources étaient dans leurs propres centres de données.

Les sociétés peuvent utiliser VPC pour déplacer les applications d'entreprise, comme la messagerie, les outils financiers et des applications CRM (Customer Relationship Management), dans le cloud Amazon sans perdre le contrôle de leurs données, et les utilisateurs continuent à accéder aux applications sans changements ou modifications. Les systèmes existants de sécurité, tels que les firewalls et les systèmes de détection d'intrusion peuvent être utilisés pour protéger les ressources basées sur le cloud.

En plus de l'accès au Cloud d'Amazon EC2 Standard et les frais de transfert de données, les sociétés paieront 0,05 dollars par heure pour la connexion VPN. L'offre VPC a été lancée au mois d'août 2009, mais elle est toujours en version bêta sur le site de l'éditeur. L'utilisation du service est limitée à 1 VPC par région, pouvant comprendre jusqu'à 20 sous-réseaux.

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(04/05/2010 12:49:56)

Intel cherche à investir dans la mobilité et le cloud

En janvier dernier, Intel Capital, l'entité d'Intel en charge des investissements, et d'autres sociétés de capital-risque, s'étaient engagées à investir 3,5 milliards de dollars dans des entreprises technologiques aux États-Unis au cours des deux prochaines années, dont Intel et d'autres entreprises américaines comme Google, Microsoft, eBay et Cisco, laquelle souhaitait aussi intensifier ses efforts pour recruter des diplômés à la sortie des collèges américains. Au moment de cette annonce, Paul Otellini, le PDG d'Intel, avait confirmé que son entreprise investirait 200 millions de dollars, et que les entreprises concernées embaucheraient 10.500 diplômés supplémentaires dans les collèges américains en 2010, certaines entreprises prévoyant même de doubler leur recrutement par rapport à 2009.

Intel a refusé d'intégrer les montants investis à ce jour aux 200 millions de dollars prévus. « C'est une étape supplémentaire en matière d'investissement du capital, » a déclaré Keith Larson, vice-président d'Intel Capital, qui a par ailleurs évité de commenter les sommes investies dans chaque entreprise. Notamment, il n'a pas voulu préciser si ces investissements contribueraient à créer des emplois, déclarant cependant que « de nombreux emplois seraient créés par les start-up innovantes, mais l'embauche dépendra de l'état de chaque entreprise. » Il a également ajouté que « la plupart des nouveaux emplois créés aux Etats-Unis, l'ont été par de jeunes sociétés soutenues par du capital-risque. »

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« Intel s'est focalisé à investir dans des projets utiles pour les secteurs touchant aux ordinateurs et aux appareils portables, ou dans des technologies qui déboucheront sur de nouveaux matériels, » a expliqué Keith Larson. « Les nouvelles idées autour de la mobilité et du cloud computing, ne manquent pas, » a t-il ajouté, précisant que « le secteur de la mobilité continuera à être intéressant parce que les utilisateurs sont demandeurs d'un accès total à Internet et à ses applications, » une attente qui, selon lui, devrait conduire à de nouveaux types de matériels. « D'une manière générale, en ce qui concerne le marché de l'Internet, nous sommes toujours à la recherche d'applications porteuses et de nouvelles façons d'utiliser le réseau, » a déclaré Keith Larson.

Pour poursuivre ses objectifs, Intel Capital, a annoncé une participation à hauteur de 15 millions de dollars dans plusieurs entreprises, parmi lesquelles Caring.com, un site spécialisé les soins de santé aux personnes âgées, Analytics smartzip, un site web immobilier, et Virtustream, un fournisseur d'infrastructure Cloud. « Les investissements dans SmartZip tombent dans la catégorie des nouvelles applications de l'Internet, » a commenté Keith Larson. Il faut dire aussi que l'intérêt pour le marché immobilier américain s'est accru ces dernières années, et selon lui, l'idée d'offrir aux utilisateurs un accès à des données d'analyses pertinentes se justifie. Déjà, SmartZip peut fournir des rapports sur le secteur et établir la côte de plus de 70 millions de biens résidentiels situés aux Etats-Unis.

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L'investissement d'Intel aidera Virtustream à développer et à étendre sa plateforme cloud computing XStream. Virtustream qui la définit comme une «plateforme d'entreprise cloud hybride », fait valoir qu'elle garantit de disposer des ressources informatiques nécessaires dans un environnement dépendant de sites d'exploitations multiples. « En général, le cloud computing est perçu comme un domaine en plein essor, » a déclaré Keith Larson. « Je peux dire que la promotion de ce secteur nous intéresse au plus haut point. »


Intel souhaite également investir dans les technologies vertes, le secteur de la santé et de la bio informatique, des domaines qui nécessitent beaucoup de puissance de calcul pour résoudre certains problèmes. Dans le passé, Intel avait déjà investi dans la santé et apporté des matériels dédiés à ce secteur. Par exemple, l'an dernier, Intel et General Electric avait conclu un partenariat pour commercialiser et développer des technologies adaptées aux soins à domicile, notamment pour fournir les matériels techniques nécessaires pour maintenir des personnes âgées et des patients souffrant de maladies chroniques à domicile. En 2008, la société avait introduit le Health Guide, un genre d'ordinateur conçu pour recueillir des données comme la pression artérielle, le poids et les taux de glycémie auprès des patients âgés, un dispositif permettant aussi aux patients de communiquer avec les médecins par vidéoconférence. De même, elle avait créé un Reader, équivalent d'un lecteur e-book, destiné aux patients ayant certaines difficultés d'apprentissage ou présentant des déficiences visuelles. Mais au-delà de sa contribution à de nouvelles infrastructures technologiques, le fabricant de processeurs a également ses propres intérêts, comme celui d'étendre sa présence dans de nouveaux secteurs industriels.

 


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(04/05/2010 12:32:27)

IBM renforce son offre cloud en rachetant Cast Iron Systems

Big Blue entend élargir son offre cloud computing en mettant la main sur le Californien Cast Iron Systems. Basée à Mountain View dans la Silicon Valley, cette société est spécialisée dans les logiciels d'intégration de cloud, de même que les systèmes et les services qui s'y rapportent. Cette acquisition - dont le montant n'a pas encore été communiqué - devrait permettre aux client d'IBM d'intégrer plus facilement des solutions de cloud computing. Elle aidera la firme d'Armonk à développer son modèle de cloud hybride qui permet aux entreprises de combiner des données issues d'applications locales avec des systèmes de cloud public et privé tels qu'Amazon Web Services notamment. Le rachat devrait également permettre à IBM de profiter des partenaires de Cast Iron Systems, à savoir Oracle, Google et Microsoft.
Depuis sa création, Cast Iron Systems a mené des milliers d'intégrations d'entreprises dans le cloud computing, au travers des applications SaaS, telles que Salesforce.com ou encore Oracle CRM On Demand.

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