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(28/04/2010 09:54:37)
Selon IDC, les activités de services seront toujours à la peine en 2010
Pour le cabinet d'études, la croissance devrait en effet être quasiment nulle cette année. Il faudra attendre 2011 pour que le marché progresse réellement en valeur, en l'occurrence de 2,2%. Poussant plus loin dans le temps ses prévisions, IDC table sur un taux de croissance annuel moyen de 3,4% entre 2010 et 2014.
La reprise timide dont devrait bénéficier les économies européennes dans les 12 prochains mois explique cette hausse tout aussi timide du marché des services IT en Europe de l'Ouest. Et, bien que les entreprises recommencent à investir, la pression exercée sur les prix explique l'incapacité du marché à en tirer profit à court terme. Ce sont notamment le recours aux prestations offshore et à la virtualisation qui contribuent à tirer les tarifs et le coût global des contrats vers le bas.
Comparé au reste des pays européens, ceux de l'Europe du Nord, de l'Allemagne et de la Grande-Bretagne tireront mieux leur épingle du jeux dans le 12 mois à venir. Les revenus de leurs marchés des services surpasseront la moyenne de l'Europe de l'Ouest. Le marché français devrait suivre quant à lui la tendance générale. (...)
Computacenter montre le 1er VBlock européen
Cette infrastructure de virtualisation complète, résultant du partenariat établi entre Cisco, EMC et VMware sous le nom de Virtual Computing Environment, est un concept permettant aux entreprises ou aux administrations souhaitant virtualiser leurs datacenters d'opter pour un centre pré-construit comme alternative à l'intégration séparée des différents éléments. Il est proposé en trois versions - VBlock 0, VBlock 1 et VBLock 2, en fonction de l'élément de stockage EMC utilisé. Le module en question, développé par Computacenter, est un VBlock 2, construit sur un système Symmetrix V-Max d'EMC.
Selon Matthew Yeager, en charge du stockage des données et de la protection chez Computacenter, l'évolution vers un système de type VBlock est en accord avec la tendance de l'industrie, aujourd'hui en demande d'un maximum d'externalisation. « Il y a un intérêt certain pour ce concept de centre de calcul « en boîte », » a-t-il déclaré, ajoutant que l'un des éléments clés consiste à libérer le personnel informatique des tâches les plus triviales. « Il y a des gens brillants qui pourraient être employés à autre chose que l'installation de serveurs. Or ils gaspillent leur temps dans le déploiement, au lieu d'utiliser leurs compétences dans la mise en oeuvre commerciale, génératrice de chiffre d'affaire pour l'entreprise, » a expliqué Matthew Yeager, pour qui ce système permettrait également de réaliser des économies de coûts considérables. « Il est difficile de dire à combien se chiffrent ces économies - cela dépend, selon lui, de l'analyste - mais on peut estimer qu'elles seraient de l'ordre de 30 à 50 p%. Faute de disposer d'un modèle de déploiement sur le terrain, nous ne pouvons donner de chiffres plus précis, mais dès que le VBlock deviendra une alternative effective, nous pourrons vérifier ces valeurs, » a déclaré Matthew Yeager.
L'autre élément clés du système VBlock, c'est qu'en cas de problème, l'utilisateur dispose d'un contact unique, ce qui lui évite de faire l'inventaire des dysfonctionnements possibles par produit jusqu'à identifier celui qui nécessite une assistance. « Les trois entreprises concernées ont donné à leur personnel une formation polyvalente pour le support technique, de sorte qu'il est en mesure de répondre aux problèmes causés par n'importe lequel des composants, » a déclaré Matthew Yeager. « La mise en oeuvre du VBlock s'est faite en douceur, beaucoup plus que je ne l'imaginais, » a t-il indiqué. « L'installation complète a duré 5 jours, au lieu des 10 prévus au départ, ce qui est vraiment impressionnant. » Pour l'instant, Matthew Yeager ne veut pas donner le nom ou le type d'entreprises qui pourraient chercher à adopter le VBlock. « Nous devons présenter notre système à des clients potentiels le 21 mai. Après cela, nous aurons une meilleure idée de ceux qui sont intéressés, » a t-il ajouté.
HP intégre l'Itanium Tukwila à sa gamme serveurs Integrity
Résolument orientée vers les datacenters et les applications critiques (supportant une très faible tolérance de panne de 99,999%), la dernière gamme Integrity de HP apporte une réponse pour le futur des centres de calcul. Pour ce faire, le constructeur a décidé d'innover sur ses blades Superdome, qui datent de 10 ans, avec l'architecture Superdome 2. Cette dernière comprend une intégration plus poussée avec les serveurs, le stockage et le réseau, au sein d'une même armoire. L'objectif de ce rassemblement est d'optimiser la place, appliquer la virtualisation, réduire la consommation d'énergie dans les datacenters, tout en maintenant une haute disponibilité pour les informations critiques de l'entreprise.
Dans le détail, l'architecture Superdôme 2 intègre plusieurs fonctionnalités comme le routage intelligent des données entre les blades, ainsi que les requêtes d'entrées/sorties avec de la redondance. Sur le plan des processeurs, HP poursuit son travail sur la puce Itanium et sur son évolution quatre coeurs « Tukwila », qu'il a conjointement développée avec Intel. Certains se posent des questions sur la survie de cette architecture de puce, au profit du déploiement des Xeon 7500 Nehalem-EX d'Intel. Rappelons que récemment, Microsoft et Red Hat ont annoncé leur intention d'arrêter le développement des versions de leurs OS pour l'Itanium. Mais lors de la conférence, l'équipementier est resté évasif sur le sujet préférant communiquer sur la flexibilité et l'intérêt de sa solution comme alternative au mainframe IBM. Les serveurs blades peuvent comprendre de 2 à 8 sockets Itanium.
Grande modularité des éléments
Lors d'une démonstration, Martin Fink, vice-président de l'unité Business Critical System d'HP a insisté sur « la modularité des éléments au sein de cette boîte ». Et de prendre des lames et de les remplacer par d'autres, d'intervertir des ventilateurs directement dans l'armoire. Les systèmes d'exploitation proposés sont HP-UX 11i V3 ou Open VMS. L'administration est orchestrée par le BladeManagement Matrix et permet de partager et distribuer des services. La brique software est complétée par les outils de supervision Openview ou d'automatisation comme Opsware. L'aspect environnemental n'est pas absent de cette gamme avec la présence de plusieurs capteurs pour optimiser et améliorer la consommation d'énergie des différents éléments.
Illustration : Wolfgang Wittmer, vice-président et responsable EMEA de la division serveurs d'entreprises de HP
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La présentation a été aussi l'occasion de présenter des cas clients qui ont le projet de déploiement de telles solutions. Ainsi, France Telecom a le projet de passer de 17 datacenters à 2. Les produits Integrity doivent permettre d'améliorer sensiblement la création et l'industrialisation de services innovants, mais également de réduire d'1,4 millions de Watts la consommation énergétique. Au total, l'opération de migration doit faire économiser à l'opérateur national de 22 millions d'euros sur 3 ans. Ce qui fait dire à Wolfgang Wittmer, vice-président et responsable EMEA de la division serveurs d'entreprises, stockage et réseau « le marché du mainframe est concurrentiel, mais nous disposons d'avantages et les demandes se font dans la durée » et d'ajouter « il y a beaucoup de réflexion autour du cloud computing, nos solutions apportent des réponses pour les cloud internes ». Le cloud public n'est pas ignoré, à la question de savoir si HP pourrait se lancer dans l'aventure, le dirigeant explique que des discussions sont en cours avec des opérateurs télécoms, comme BT et avec d'autres prestataires, mais pas de manière isolée. A suivre...
(...)(26/04/2010 17:24:33)Microsoft Dynamics CRM Online arrivera en France au 2e semestre
Avec son engagement dans le cloud, Microsoft prétend aider ses clients à réduire leurs budgets IT. C'est l'une des idées qu'a développées Stephen Elop (en photo), le patron de la division Business, à l'occasion de Convergence 2010, à Atlanta. La conférence des utilisateurs des logiciels Dynamics (ERP et solutions de CRM) s'y tient jusqu'au 27 avril et attend 8 500 participants. Pour l'éditeur, ce rendez-vous annuel constitue l'occasion de s'adresser directement aux clients de ses solutions de gestion, alors que ceux-ci traitent d'ordinaire avec les distributeurs des gammes Dynamics, vendues en mode indirect.
De ce côté-ci de l'Atlantique, la filiale française de Microsoft a relayé l'événement Convergence. Par conférence web, Sophie Jacquet, chef de produit de Dynamics CRM, a annoncé pour le second semestre 2010 l'arrivée en Europe de Dynamics CRM Online, l'offre de gestion de la relation client hébergée par Microsoft lui-même. Celle-ci est disponible depuis environ deux ans aux Etats-Unis. Pour les clients français, elle sera accessible à partir d'un datacenter installé à Dublin, avec un site miroir aux Pays-Bas, dans un souci de proposer aux entreprises l'hébergement de leurs données clients au plus proche. Fonctionnellement, elle couvre les mêmes processus que Dynamics CRM 4.0 'on premise' : gestion du marketing, des opportunités commerciales et du service client.
Sur son offre CRM, Microsoft a constitué globalement une base installée d'environ 22 000 clients, de toutes tailles.
Les partenaires apportent leurs développements complémentaires
Conformément au modèle « Software + Services » qu'il promeut, Microsoft va juxtaposer cette offre SaaS, délivrée par ses soins, aux offres hébergées que proposent déjà ses partenaires français autour de son logiciel Dynamics CRM 4.0. Ce dernier pouvant être également installé de la façon la plus classique sur les serveurs du client, si celui-ci le souhaite. L'éditeur fait ainsi valoir la possibilité de combiner l'installation interne et l'utilisation en ligne, et de faire évoluer ce choix dans le temps en passant du mode 'on-premise' au mode hébergé, ou le contraire, tout en disposant de fonctionnalités identiques.
Illustration : Stephen Elop, patron de la division Business de Microsoft (Crédit photo : Microsoft)[[page]]Avec le prochain lancement de CRM Online en Europe, l'éditeur se défend d'entrer en concurrence avec ses partenaires hébergeant Dynamics CRM 4.0. La version SaaS de Microsoft constitue une offre de CRM standard, explique Sophie Jacquet. « Elle aura plutôt vocation à servir des entreprises de taille intermédiaire ou des PME. Les partenaires apportent de leur côté des développements complémentaires, de nature horizontale ou métier, et nous nous adresserons à eux, par exemple pour les grands comptes ». La chef produit évoque notamment Avanade et son offre AOS (Avanade Online Services).
Le client peut préférer un hébergeur local
Microsoft France souligne aussi qu'il veut conserver à ses clients la possibilité de s'adresser à un hébergeur de proximité plutôt qu'à un datacenter, fut-il situé en Irlande. « Les collectivités locales, par exemple, pourront préférer un acteur français ». Au passage, l'éditeur indique que son logiciel de CRM peut être utilisé au-delà des processus de gestion client, notamment pour suivre les relations avec des administrés.
Microsoft a dépensé des milliards pour son infrastructure cloud Azure. Il ne se contentera pas d'y donner accès à des applications, mais fournit aussi sur cette plateforme des ressources informatiques brutes et un environnement de développement. « D'ici deux ans, près de 90% des ingénieurs de Microsoft travailleront sur le cloud computing, d'une façon ou d'une autre », a rappelé Stephen Elop sur Convergence 2010, reprenant des propos déjà tenus par Steve Ballmer il y a quelques semaines.
HDS revient sur le marché des serveurs avec une solution cloud ready
Pompeusement baptisée unified compute platform (UCP donc à ne pas confondre avec l'UCS de Cisco), la solution packagée de Hitachi Data Systems combine des baies de stockage et des serveurs, associés aux logiciels d'infrastructure de Microsoft, à savoir la technologie de virtualisation Hyper-V, System Center Suite et la base de données SQL Server ainsi qu'aux produits réseaux de Cisco ou Brocade. "Grâce à ce partenariat avec Microsoft, nous sommes particulièrement bien armés pour relever les défis des clients qui envisagent de renouveler leurs infrastructures", explique John Mansfield, vice-président monde de la division Solutions stratégiques et Développement chez HDS. "La plate-forme virtuelle unifiée de calcul d'Hitachi offrira aux clients un système automatisé et virtualisé qui pourra servir de base à une infrastructure cloud. Il s'agit d'un avantage unique en termes de flexibilité pour assurer durabilité et croissance à long terme", a-t-il ajouté.
"Microsoft s'engage à fournir des solutions complètes, efficaces et automatisées avec des partenaires tels que HDS qui aident les clients à réduire les coûts et à être plus agiles " a souligné lors de la même conférence de presse Brad Anderson, vice-président de la division Gestion et Services chez l'éditeur de Redmond. « La nouvelle plate-forme de Hitachi intègre System Center de Microsoft pour aider les entreprises à mettre en place des infrastructures hautement virtualisées, automatisées et optimisées grâce à une solution logicielle conçue pour répondre aux besoins informatiques des clients dans des environnements exigeants. " C'est aujourd'hui une des principales tendances sur la marché, Dell, Cisco, HP, IBM ou Bull proposent déjà des solutions packagées avec VMware, Red Hat ou Microsoft pour déployer rapidement des infrastructures cloud.
Un procédé original de gravure des nanostructures
La démonstration concerne deux modélisations en 3D. La première est une représentation du Cervin, montagne des Alpes, haute de 25 nanomètres et la seconde affiche la carte du monde en relief mesurant 22 micromètres sur 11, avec une échelle de 8 nanomètres pour 305 mètres. Pour mettre en perspective ces mesures, environ 1 000 de ces cartes peuvent tenir sur un grain de riz.
La technique utilisée par les laboratoires d'IBM est une aiguille de silicium disposant d'un diamètre de 100 nanomètres à sa base et de quelques nanomètres sur la partie la plus effilée. Cette aiguille est ensuite attachée à un élément flexible qui scanne la surface de la structure avec une précision de 1 nanomètre. Avec une combinaison de chaleur et de force, l'aiguille creuse le substrat pour créer les modèles, comme une fraiseuse ou un tour à bois.
Aujourd'hui, cette technologie permet de graver en 15 nanomètres, mais Big Blue assure pouvoir descendre encore en dessous. Elle représente un moyen de remplacer le mode de gravure actuelle dit de lithographie par faisceau d'électrons et de réaliser des économies de 80 à 90%.
Apple s'offrirait ARM ? (MAJ)
Dans les milieux financiers anglais, on prête à la firme de Cupertino de vouloir lancer une offre d'achat d'ARM. L'opération pour acquérir le fondeur est estimée entre 7 et 8 milliards de dollars. Quel est l'intérêt d'un tel projet ? Il est double. En premier lieu, Apple a pris le pari d'équiper les iPad de processeurs fabriqués en interne, le A4, que certains soupçonnent d'être une déclinaison d'une puce ARM. En s'offrant le fabricant de puces, la société dirigée par Steve Jobs acquiert une expertise et une compétence dans des composants clés pour l'avenir des futurs terminaux. Traitement graphique, puissance de calcul, les prochaines évolutions des tablettes par exemple, vont nécessiter des puces plus élaborées.
Dans un deuxième temps, ce rachat serait une réponse à la récente acquisition par Google de Agnilux, spécialiste dans les processeurs à basse consommation. Pour l'anecdote, cette société a été créée par des anciens de PA Semi, racheté par Apple et qui ont développé le processeur A4. En sachant, qu'ARM équipe une grande partie des téléphones mobiles concurrents de l'iPhone, comme ceux fonctionnant sous Android l'OS de Google. Cela ne sera pas sans poser quelques problèmes de concurrence soumis à la sagacité des autorités de régulation.
Richard Holway, analyste de Techmarketview, ne se prononce pas sur la validité d'une telle rumeur, mais il estime que "cette opération aurait du sens, car Apple qui a élaboré sa propre puce, n'a pas envie de voir sa technologie utilisée par des concurrents"
Rappelons néanmoins qu'il s'agit pour l'instant d'une rumeur, mais avec l'épisode de l'iPhone V4 en début de semaine, il arrive parfois que le virtuel rencontre la réalité. A suivre...
(MAJ)
La rumeur aura eu une faible durée de vie, hier la City, bruissait d'une potentielle OPA d'Apple sur le fabricant de processeurs ARM. Et bien, Warren East, dirigeant du fondeur a été catégorique dans un entretien accordé au Guardian « personne n'achètera la société » et d'ajouter « même si cela est flatteur de voir le cours de bourse grimper sur des rumeurs, l'objectif de notre entreprise est de travailler sur des produits standards pour tous les acteurs ».
(...)(22/04/2010 17:36:18)Microsoft se penche sur l'administration du cloud
Organisé à Las Vegas et un peu perturbé par le nuage de cendres (la majorité des participants européens n'a pu s'y rendre), l'évènement MMS a résolument consacré la stratégie du géant de Redmond dans le cloud. A travers des démonstrations, des annonces, Microsoft estime que l'administration est la pierre angulaire du développement des différentes offres de services informatiques hébergées en interne ou en externe. Pour Geneviève Koehler, chef de produit System Center chez Microsoft « nos clients sont de plus en plus intéressés par l'agilité du cloud, mais ils ont besoin d'outils d'administration pour se préparer à cette migration et être accompagnés étape par étape ».
Pour cela, l'éditeur a présenté Dynamic Infrastructure Toolkit pour System Center, qui sera disponible dans sa deuxième version bêta à la fin juin 2010. Il s'agit d'un guide de bonnes pratiques pour réaliser son cloud privé. Pour assurer l'étape ultérieure qui est de porter les applications vers les clouds publics, Microsoft travaille sur un Pack Management pour son logiciel Azure, qui intégrera une console d'administration commune sur le datacenter et auprès de l'hébergeur. Pour cette offre, qui est élaborée dans les laboratoires de l'éditeur, il faudra attendre fin 2011 pour son lancement.
Une offre dédiée PME-PMI
La vedette de cette conférence s'appelle Windows Intune et se définit comme un service en ligne pour l'administration et la sécurisation de parcs d'ordinateurs. Ce service s'adresse aux entreprises de taille moyenne disposant de 25 à 500 PC. Il comprend un service d'administration en ligne (System Center online), une protection anti-malware (Microsoft Malware Protection Engine) ainsi que la Software Assurance Windows 7 et la suite MDOP (Microsoft Desktop Optimization Pack). Cette dernière comprend plusieurs briques de fonctionnalités y compris de virtualisation. Fonctionnant sur les versions XP SP2, SP3, Vista de Windows, cette offre sera facturée par un abonnement unique, mais aucun tarif n'a été communiqué. Elle est disponible en version bêta aux Etats-Unis et la version commerciale n'est pas attendue avant un an.
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