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Infrastructure serveur

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(22/09/2009 16:57:51)

Octane III, le super calculateur de bureau selon SGI

Après Cray l'année dernière , c'est au tour de Silicon Graphics International (SGI) de proposer un supercalculateur de bureau, l'Octane III, exploitant ses technologies de cluster. Bien connue pour ses serveurs et ses stations de travail haut de gamme, SGI qui a été racheté en mai dernier par Rackable Systems, ne vend pas encore son Octane III à la Fnac, mais ce jour n'est sans doute plus très loin. Depuis dix ans, les principaux composants du HPC (high performance computing) se sont standardisés et les systèmes deviennent de plus en plus faciles à utiliser et à administrer. En version de base (à partir de 5450 € HT), ce premier "super ordinateur personnel" est livré avec un processeur quadri-coeurs Intel Xeon 5500 (Nehalem) épaulé par 80 Go de mémoire vive. L'entreprise précise que plusieurs configurations sont bien sûr possibles avec des cartes graphiques Nvidia pour faire office de super station de travail ou avec des processeurs de faible puissance, les Atom double coeurs d'Intel en l'occurrence. SGI explique que cette dernière configuration répond à des demandes bien précises : le développement applicatif et les tests de code. A l'autre extrémité de la gamme, la société propose un système avec une carte mère qui intégre pas moins de 10 duals sockets pour accueillir jusqu'à 20 processeurs quadri-coeurs Xeon L5520 (soit un total de 80 coeurs !) avec 240 à 960 Go de mémoire vive (jusqu'à 96 Go par noeud). Un super calculateur facturé ici au prix fort : 36 100 € HT. Au chapitre des performances, cet Octane III plafonne à 726 Mégaflops (opérations par seconde en virgule flottante) ce qui ne le glisse même pas dans le top 500 des machines les plus puissantes du monde. "Mais ce n'est pas la mission de cette machine" nuance SGI, "nous avons préféré mettre l'accent sur la facilité d'utilisation". Steve Conway, analyste chez IDC, explique que "ce super PC SGI s'attaque à un marché mondial estimé à 2 milliards de dollars. Il s'agit plus précisément du segment HPC de bureau, soit des systèmes de calcul qui coûtent moins de 100 000 $. Ce marché devrait même atteindre 2,7 milliards de dollars d'ici à 2013. Soit une croissance de près de 6% par an, ce qui représente un bon chiffre étant donné l'effondrement des ventes de serveurs cette année. D'autres grands fournisseurs ont déjà présenté des produits qui entrent dans cette catégorie. Nvidia a ainsi dévoilé l'automne dernier son Tesla Personal Supercomputer disponible à partir de 6800 €. Ce dernier exploite les cartes graphiques maison pour fournir une capacité de calcul de 4 Teraflops. Ce marché des HPC de bureau est essentiellement composé de clients qui n'ont généralement pas d'expérience dans le domaine des supercalculateurs. "Voilà pourquoi la mise en service et l'utilisation doivent être le plus facile possible" précise Steve Conway. Et sur ce dernier point, SGI a de bons antécédents pour la production de systèmes "plug and play". Steve Conway s'interroge toutefois sur l'étiquette 'supercalculateur personnel' du système de SGI. Si certains utilisateurs l'utiliseront bien en tant que tel, il pourrait également faire office de serveur pour un groupe de travail. SGI propose d'ailleurs son produit préconfiguré avec Windows Server, Windows HPC Server 2008, Red Hat Enterprise Linux et Suse Linux Enterprise Server. Dernière attention pour l'utilisateur, le constructeur livre une liste de 50 applications compatibles HPC utilisées dans le génie civil, les sciences de la vie, l'exploration pétrolière et d'autres usages. Au client ensuite de choisir et d'installer ses logiciels. (...)

(11/09/2009 16:17:08)

Oracle promet d'investir plus que Sun dans Sparc et Solaris

Oracle a décidé de dissiper enfin les craintes des clients de Sun, inquiets du sort des processeurs Sparc et du système d'exploitation Solaris. La société de Larry Ellison, qui a vu son rachat de Sun approuvé fin août par les autorités américaines, a choisi d'afficher ses engagements par le biais d'une page de publicité. Parue notamment dans le Wall Street Journal, celle-ci déroule quatre promesses. Oracle prévoit d'investir dans le développement de Sparc davantage que Sun ne le fait en ce moment. L'éditeur offre la même garantie sur Solaris. Oracle prévoit aussi d'avoir deux fois plus de spécialistes que Sun pour vendre et assurer le service autour des systèmes Sparc et Solaris. Enfin, il compte améliorer sensiblement les performances des matériels de Sun en les intégrant étroitement avec ses propres logiciels.

Larry Ellison a hâte d'affronter IBM

En fin de publicité, une citation de Larry Ellison conclut en substance : « Nous sommes là pour gagner. » Au passage, le fondateur d'Oracle prévient IBM qu'il a hâte d'entrer en concurrence avec lui sur le terrain du matériel. Nulle mention de HP en revanche dont on sait qu'il avait montré de l'intérêt, lui aussi, pour le matériel de Sun

Certains analystes font remarquer que ces engagements n'ont rien de vraiment significatifs, les investissements actuels de Sun ayant probablement subi d'importantes coupes si l'on en juge par l'effondrement de ses ventes. Le Californien est celui qui a enregistré le recul le plus fort parmi les constructeurs sur son chiffre d'affaires serveurs au deuxième trimestre.

Le rachat de Sun par Oracle est toujours en cours d'examen par la Commission Européenne, en raison des problèmes de concurrence qu'il pourrait soulever sur le marché des bases de données. L'Europe a jusqu'au 20 janvier 2010 pour rendre son avis.

(...)

(09/09/2009 15:38:25)

Dell s'attaque aux PME avec une offre serveur plus onduleurs

Dell décline une offre complète regroupant serveurs, stockage, administration et même - pour la première fois - onduleurs, pour faciliter l'utilisation de ces environnements par les PME. Pour commencer, le Texan présente quatre serveurs PowerEdge de 11e génération. Deux machines au format tour, les T110 et T310, et deux machines au format rack, R210 et R510, s'appuient sur les Xeon 3400 d'Intel et sont équipés de Windows Server 2008 R2. Le T110 et le R210 sont proposés aux PME qui souhaitent réaliser un premier achat de serveur. Il est possible de leur connecter des disques eSata pour faciliter la transition vers une configuration serveur. Le châssis du T110 n'occupe pas plus de place qu'un poste de travail mais il est équipé des outils d'administration et de sécurité nécessaires. Selon Dell, le R210, outre son format destiné au gain de place, affiche la plus faible empreinte énergétique de la gamme PowerEdge (il serait à 88% plus efficace que la génération précédente). Ces deux modèles seront disponibles en Europe le 30 septembre respectivement à partir de 629€ et 759€ avec une garantie de 3 ans. Le PowerEdge T310 dispose de fonctions avancées d'administration, à distance, avec redondance, et des options RAID (disponibilité européenne le 30 septembre à partir de 839 €). Dell a aussi adapté tous ses outils de configuration de système, de contrôle et de maintenance sur l'ensemble de sa gamme de serveurs PowerEdge. Lifecycle Controller 1.2 automatise le déploiement de l'OS sur des serveurs distants aussi bien que locaux. Le module s'intègre avec les plateformes d'administration BladeLogic Operations Manager de BMC et System Center Configuration Manager de Microsoft. Plus original, Dell présente aussi 28 onduleurs (UPS en anglais, uninterruptible power supply) avec un taux d'efficacité de 95%. Ces modules peuvent être administrés au travers de la console OpenManage, s'intègrent dans des configurations en rack et ont un impact sonore réduit. Ils seront disponibles à partir de 200€ le 30 septembre. (...)

(07/09/2009 16:47:13)

Les ventes de serveurs EMEA plongent de 36% au 2e trimestre

Les résultats des ventes de serveurs en EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) au second trimestre 2009 sont pires que ceux enregistrés pour l'ensemble du marché mondial. Selon IDC, le marché a reculé de 35,8% en valeur pour atteindre 2,9 Md$. Le nombre de systèmes écoulés a plafonné quant à lui a moins d'un demi million, traduisant une baisse en volume de 33,9%. En comparaison, les ventes mondiales n'ont reculé « que » de 30,1% en valeur et de 30,4% en volume entre avril et juin derniers. Comme on s'y est habitué, l'une des raisons de cette situation difficile tient à la limitation des dépenses des entreprises au minimum nécessaires pour conserver leurs systèmes d'information en état de fonctionnement. Dans ce marasme, IDC note toutefois des signes de stabilisation avec une légère hausse des prix de vente moyens et une quasi stabilité dans la baisse des revenus entre les premiers et second trimestres 2009. Lorsque ça va mal, on se satisfait de peu. L'analyse du marché par segment confirme, quant à elle, l'orientation de plus en plus marquée des clients vers les plateformes X86. Elles ont représenté 52,3% des ventes totales au deuxième trimestre. Ces serveurs doivent leur succès croissant notamment à la progression du marché de la virtualisation dont ils deviennent un support privilégié en raison de leur bon rapport coût / puissance. Ce qui n'empêche pas leurs revenus de reculer, de 33% à 1,5 Md$. Ils font toutefois mieux que les autres serveurs dont les ventes ont baissé de 38,6% au deuxième trimestre. Aucun fournisseur épargné Dans les rangs des fournisseurs, aucun n'a été épargné. La plus forte baisse de revenus revient à Fujitsu (-39,7% pour 5,8% de parts de marché), suivi par Sun (-37,8% à 12,3% de PDM) et HP (-37,1% à 33,9% de PDM). Ce dernier conserve sa position de numéro un pour le sixième trimestre consécutif. Il doit notamment cette stabilité aux ventes de sa gamme Proliant (x86) qui ont représenté 700 M$ de chiffre d'affaires au second trimestre 2009, soit 72% de ses revenus totaux sur le segment des serveurs. Le fabricant n'a cependant pas vu ses parts de marché progresser, à l'opposé de Dell et d'IBM, seuls à afficher une croissance sur le secteur. (...)

(02/09/2009 17:27:57)

80% des serveurs seront virtualisés en 2012, selon TheInfoPro

Plus de la moitié des serveurs déployés en 2009 sont virtualisés (contre 30% un an plus tôt), et cette proportion passera à 80% d'ici à 2012, selon une étude réalisée par TheInfoPro auprès de 195 grandes entreprises américaines et européennes. 10% des entreprises interrogées déclarent même posséder plus de 1000 machines virtuelles et 50% d'entre elles parlent d'une centaine de serveurs. Le cabinet de recherche explique cet engouement par la maturité technologique des hyperviseurs actuels ainsi que par les avantages économiques de la virtualisation, surtout dans un contexte économique où les entreprises sont contraintes de serrer leur budget IT. VMware domine toujours le secteur de la virtualisation, avec 50% des parts de marché, loin devant Microsoft (24%). Cette tendance pourrait néanmoins changer. 62% des entreprises ont déjà testé un autre hyperviseur que celui de VMware, et parmi elles 30% prévoient de l'abandonner au profit d'un autre fournisseur. TheInfoPro prédit néanmoins que dans la plupart des sociétés l'hétérogénéité des serveurs sera toujours de mise. (...)

(02/09/2009 12:30:36)

Chute historique du marché des serveurs au 2e trimestre 2009, selon IDC

Les ventes de serveurs ne se sont jamais aussi mal portées depuis 1996, selon IDC. Frappé de plein fouet par la baisse de la demande et par les restrictions budgétaires des entreprises, le marché mondial enregistre un chiffre d'affaires de 9,8 Md$ au deuxième trimestre 2009, en baisse de 30,1% par rapport à l'année précédente. Ce secteur recule pour le quatrième trimestre consécutif. Le cabinet d'études estime cependant que le marché pourrait reprendre au cours du prochain semestre, de nombreuses entreprises devant faire face au vieillissement de leurs parcs informatiques. Selon Daniel Harrigton, analyste chez IDC, le marché devrait renouer avec la croissance en 2010. Cette reprise concernera notamment les serveurs basés sur l'architecture x86. Les serveurs Sun souffrent de l'incertitude planant autour du rachat par Oracle IBM prend la première place des constructeurs de serveurs, avec 34,5% des parts de marché. Big Blue n'échappe pas au ralentissement, il enregistre un CA de 3,39 Md$, en recul de 26,3%. Viennent ensuite HP (2,8 Md$, en baisse de 30,4%) et Dell (1,2 M$, -26,8%). Sun arrive en quatrième position (981 Md$) et subit la correction la plus sévère avec un chute de 37,2%. IDC ne prévoit pas d'embellie pour le constructeur au prochain semestre en raison du flou qui règne autour de « l'orientation que prendra Oracle concernant l'activité matérielle de Sun [une fois le rachat entériné], notamment l'avenir des serveurs Sparc, explique Daniel Harrigton. « Les clients de Sun sont inquiets. » En mai, le PDG d'Oracle Larry Ellison a tenu à les rassurer : l'éditeur californien d'abandonnera ni les serveurs Sun, ni les microprocesseurs Sparc, dans lesquels il compte même investir. En attendant, IBM et HP profitent de cette période d'incertitude pour tenter de convaincre les clients de Sun de changer de fournisseur et grappiller des parts de marché, selon l'analyste d'IDC. Comme pour les trimestres précédents, la tendance à la virtualisation soutient le les serveurs lames (1,2 Md$ de CA, en baisse de « seulement » 12,1%). Ce marché, proche de la maturité, ne devrait pas tarder à se tasser, prédit toutefois IDC. (...)

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