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Infrastructure serveur

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(01/09/2009 15:48:05)

EMC achète l'éditeur d'administration de datacenters Fastscale

En cette fin d'été, la concentration du marché sous le signe du cloud continue. Alors que Tibco vient d'absorber Data Synapse et son grid computing, c'est au tour d'EMC d'annoncer le rachat de FastScale Technology, éditeur de logiciels d'administration dynamique de datacenters. Objectif : bâtir un environnement d'administration pour les clouds privés. Créée en 2006, la petite société californienne qui compte parmi ses managers des anciens d'Alcatel Lucent, d'IBM, de SGI ou de VMware, propose une plateforme intégrée destinée à bâtir, gérer et déployer dynamiquement des environnements serveurs. Elle s'occupe aussi bien de systèmes physiques, que de systèmes virtuels ou d'environnements de cloud, sous Windows comme sous Linux. Pour FastScale, cette offre permet de « considérer toute l'infrastructure comme un ensemble dynamique de ressources de calcul capables d'exécuter n'importe quelle application à n'importe quel moment. » EMC devrait tout naturellement intégrer ces fonctions dans ses propres produits Ionix d'administration de ressources serveurs, de stockage et de virtualisation. Aucune des deux sociétés n'a encore donné de précision sur les conditions de cette acquisition. (...)

(31/08/2009 15:40:00)

Intel révise ses prévisions pour le 3e trimestre à la hausse

Intel se montre plus optimiste que prévu sur les résultats de son troisième trimestre fiscal (clôture fin septembre). Le fabricant de processeurs pense désormais réaliser un chiffre d'affaires de 9 milliards de dollars sur cette période, plus ou moins 200 M$. Sa précédente indication, communiquée le 14 juillet avec, certes, une visibilité moindre, s'établissait à 8,5 Md$, plus ou moins 400 M$. Intel évalue aussi que sa marge brute (chiffre d'affaires duquel sont retranchés les coûts liés aux ventes) devrait tourner autour de 53%, plus ou moins deux points. Au cours des deux derniers mois, Intel a acquis Cilk et Rapidmind, deux petits éditeurs (moins de cinquante salariés) investis dans les outils de programmation parallèle destinés aux processeurs multi-coeurs. Le Californien présentera les résultats de son troisième trimestre le 13 octobre prochain. D'ici là, les conditions économiques peuvent évidemment changer, entraînant un décalage dans les achats des entreprises. Cela dit, les révisions d'Intel sont en ligne avec celles de Gartner, le cabinet estimant que le recul sera moins important que prévu sur le marché des semiconducteurs en 2009 (-17% contre les -22,4% précédemment évalués). Ces prévisions font également écho aux déclarations de Michael Dell, la semaine dernière. Le PDG de Dell a précisé que le deuxième semestre 2009 serait meilleur que les six premiers mois (en recul de 23%) pour le constructeur texan, si la demande se maintenait à son niveau actuel. En fin de semaine dernière, le marché boursier a réagi favorablement à toutes ces réévaluations revoyant à la hausse les titres d'AMD, de Dell, de HP et d'Intel. (...)

(31/08/2009 11:41:42)

Le marché des semiconducteurs baissera de 17% en 2009, selon Gartner

Le marché mondial des semiconducteurs devrait baisser de 17% en 2009, prévoit le cabinet d'études Gartner qui annonce 212 milliards de dollars de chiffre d'affaires pour ce secteur. Un moindre mal, puisque trois mois plus tôt, Gartner prévoyait une baisse de 22,4% sur l'année. Des secteurs très différents ont contribué à ce retour à un relatif optimisme : les particuliers, la Chine, le secteur public. Parallèlement, plusieurs fabricants ont terminé leur second trimestre sur une note positive. Intel, le n°1, progresse de 12%, Samsung son dauphin, de 30%. Pour 2010, Gartner envisage une progression annuelle de 10,3% par rapport à 2009. (...)

(28/08/2009 14:28:35)

Snow Leopard est prêt aussi pour l'entreprise

Comme prévu, Snow Leopard est désormais disponible à la vente, ainsi que sa déclinaison pour serveur. Sans grands changements cosmétiques par rapport à Leopard, le nouvel OS présente néanmoins de bons atouts pour séduire les entreprises. Il est désormais totalement compatible avec les processeurs 64-bits et les multicoeurs (grâce à Grand Central Dispatch). Il exploite également la puissance de calcul des processeurs graphiques avec Open CL. Autant d'éléments qui le rendent deux fois plus rapide que la version précédente pour les tâches courantes. Le client est désormais totalement compatible avec Exchange Server 2007 en natif. Cela signifie que sans payer de licence d'utilisation supplémentaire, les utilisateurs d'un Mac peuvent se connecter à leur messagerie d'entreprise. Automatiquement, Mail (le gestionnaire de courrier), Carnet d'Adresses et iCal s'adapteront pour afficher les mêmes possibilités qu'Outlook (envoi d'une demande de réunion directement à partir d'iCal, réception des cartes de visite Outlook et des invitations dans Mail, etc.). Pour l'instant, la compatibilité n'est assurée qu'avec Exchange Server 2007. Il est prévu qu'elle soit étendue à Exchange Server 2010 à la sortie du logiciel, mais Exchange 2003, encore présent dans de nombreuses entreprises, est oublié. Côté serveur, la procédure d'installation a encore été simplifiée avec de nombreux services préinstallés (notamment vis-à-vis des clients Mobile) et une intégration plus forte des iPhone dans l'entreprise. Destiné aux petites structures (PME ou agence sans service informatique interne), Snow Leopard Server compte sur son prix pour séduire : 449 € tout compris, avec des installations illimitées et un nombre de postes client lui aussi illimité. Snow Leopard est lui commercialisé à 29 euros pour la mise à jour, ou 169 euros pour l'installation complète avec en prime iLife et iWork. A priori, il n'y aura pas de vente de l'installation complète seule en France. (...)

(27/08/2009 16:41:37)

Amazon propose son cloud EC2 à la demande en privé

En annonçant Virtual Private Cloud (VPC), la division Amazon Web Services (AWS) du libraire en ligne, veut que ses entreprises clientes disposent des ressources de son Elastic Compute Cloud (EC2) en toute intimité, dans un cloud privé. Via une connexion IPSec VPN (Virtual Private Network), Virtual Private Cloud (VPC) d'Amazon permet aux clients de ce dernier d'intégrer au sein de leurs ressources celles qu'ils utilisent via EC2. VPC permet aussi aux administrateurs de gérer ces ressources dans des configurations identiques à celles qui se trouvent dans leur système d'information : adressage IP, pare-feu et autres logiciels de sécurisation. Par ailleurs, Amazon, qui a bien compris que la sécurité était au coeur des préoccupations de ses clients et prospects, annonce un système d'authentification multifacteur (MFA) qui repose sur un appareil qui génère aléatoirement un code d'accès à six chiffres. Ce MFA vient s'ajouter aux codes d'accès déjà en place. (...)

(26/08/2009 16:07:39)

Le Magny-Cours d'AMD doublera la puissance d'un Istanbul sans consommer plus

En ouverture du salon Hot Chips consacré aux processeurs qui s'est tenu du 23 au 25 août à Stanford en Californie, l'ambiance est sans surprise aux économies d'énergie. Et comme son grand rival Intel, AMD a donné un peu plus de détails à ce sujet sur son futur processeur Magny-Cours dont il confirme le lancement début 2010. Gravé en 45 nm, il intégrera deux hexacoeurs Istanbul sur la même tranche de silicium reliés entre eux par quatre liens Hypertransport. La mémoire cache de niveau 3 de ces Magny-Cours se montera à un total de 12 Mo, soit le double de celle d'un Istanbul. Chaque coeur sera doté de 512 ko de cache de niveau 2. Cependant, ces dodécacoeurs ne devraient pas consommer plus d'énergie que leurs ancêtres hexacoeurs. AMD explique ce tour de force par une diminution de la fréquence et une meilleure gestion de l'énergie sans, toutefois, donner plus de détails sur ces deux éléments. Enfin, le fabricant de puces a profité de l'événement pour rappeler qu'il préparait une nouvelle architecture X86 au nom de code évocateur de Bulldozer, utilisant cette fois une finesse de gravure de 32 nm. Prévue pour 2011, elle donnera entre autre naissance à des puces dotées de 16 coeurs. (...)

(25/08/2009 15:06:04)

Le cloud pourrait représenter une aubaine pour les disques SSD

Cloud computing et stockage sur disques électroniques sont appelés à cohabiter. Le premier a besoin des seconds pour répondre à ses exigences, tant de performances que de réduction de consommation électrique et de gain de place. Deux spécialistes d'entreprises du Web 2.0, Richard Buckingham, vice président des opérations techniques chez MySpace, et Jonathan Heiliger, qui occupe les mêmes fonctions chez FaceBook, considèrent que les caractéristiques des disques SSD (Solid State Disk) vont chambouler leurs salles informatiques et améliorer nettement les performances. Pour Richard Buckingham, la vitesse de rotation des disques magnétiques n'a pas beaucoup évolué au cours des vingt dernières années. Il faut toujours quelques millisecondes pour accéder à des données stockées sur des plateaux rotatifs, alors que le temps d'accès avec un SSD tombe sous la barre de la milliseconde. Les plus anciens se souviendront des "disques" constitués de mémoire DRAM pour les grands systèmes des années 90. Jonathan Heiliger va encore plus loin. Il file la métaphore en comparant l'effet de l'arrivée des disques SSD à celle du passage des processeurs mono-coeurs aux multicoeurs. Pour lui "les disques flash vont avoir un effet très significatif, non seulement sur le stockage, mais aussi sur l'infrastructure dans son ensemble." Les SSD coexisteront avec les disques magnétiques Pour Richard Buckingham, les SSD ne vont pas remplacer les disques magnétiques, mais s'insérer dans l'infrastructure. Il estime que 5% des données vont être stockées sur SSD, les autres resteront sur des disques magnétiques. Cela concernera les métadonnées, les index et toutes les données qui requièrent un accès rapide pour améliorer les temps de réponse. Bien sûr, le coût des disques SSD, encore 25 fois plus élevés que celui des disques magnétiques par Go, ne justifie leur utilisation que dans des environnements très performants. En l'occurrence, celui de datacenters consacrés au cloud computing qui sont sollicités par de nombreuses entreprises clientes. Autre atout des disques électroniques, ils occupent moins de place que leurs cousins magnétiques et consomment moins d'énergie. La plupart des grands fournisseurs de stockage ont désormais une offre de stockage électronique dont la technologie repose le plus souvent sur le savoir-faire de la société STEC. (...)

(25/08/2009 12:27:37)

Semestriels : Gemalto améliore son CA de 1% grâce à la sécurité

Dans un climat économique particulièrement difficile pour les fabricants de cartes à puces, le Français Gemalto parvient à maintenir ses résultats dans le vert. Le chiffre d'affaires dépasse les 800 M€, en hausse de 1% par rapport à la même période un an plus tôt. Le résultat opérationnel grimpe de 6,5%, à 74 M€. Seul le résultat net accuse une légère baisse, de 0,2%, à 62,3 M€. La téléphonie mobile représente toujours la principale source de revenu du groupe avec 416 M€, même elle accuse une chute de 11% à taux de change constant. La sécurité en revanche enregistre une belle progression (+26%) avec un chiffre d'affaires semestriel de 130 M€, notamment grâce à l'accélération de programmes gouvernementaux concernant la généralisation des pièces d'identité numériques aux Etats-Unis mais aussi dans certains pays en Afrique et en Australie. Le coup de pouce du FSI, en France En juin dernier, Gemalto a par ailleurs bénéficié d'un coup de pouce financier non négligeable de la part de l'Etat français, via le Fonds stratégique d'investissement (FSI) créé en novembre 2008 par Nicolas Sarkozy. Le FSI a racheté 8% du capital de la société, pour un montant de 160 M€. Cette opération (la sixième du genre depuis la création du Fonds) a ainsi mis fin aux tentatives de prise de contrôle de Gemalto par l'ancien premier actionnaire du groupe, l'Américain TPG Capital, longtemps soupçonné de chercher à s'approprier la technologie biométrique mise au point par la société française. Au cours du premier semestre, la société a racheté 0,1% de son capital, pour 2 M€ (ce qui correspond à 112 716 actions). Elle détient désormais 6,4% de son capital. Dans un entretien accordé à Reuters, Olivier Piou, DG du groupe, a par ailleurs que Gemalto comptait poursuivre dans cette voie. -Le 2 juin : L'Etat français met un pied dans le capital de Gemalto
-Le 23 octobre 2007 : Troisième semaine de grève pour les salaries de Gemalto Orléans
-Le 4 juillet 2005 : Les Etats-Unis intéressés par la biométrie de Gemplus
(...)

(24/08/2009 16:37:58)

Malgré la crise, Salesforce.com revoit ses prévisions de chiffre d'affaires à la hausse

A contre-courant des autres acteurs de l'industrie informatique, Salesforce.com a revu à la hausse ses prévisions pour son exercice qui s'achèvera en janvier 2010. Le spécialiste du logiciel de gestion de la relation client en ligne table désormais sur un chiffre d'affaires annuel de 1,28 Md$, contre 1,27 Md$ auparavant. Fondé il y a 10 ans, Salesforce.com figure à la première position du "magic Quadrant" publié en juillet par le Gartner sur les logiciels destiné aux forces de vente (SFA, sales force automation). La société a su s'associer avec Amazon, Google et Facebook, qu'elle utilise comme bras de levier pour promouvoir ses offres. AMR Research décerne aussi un satisfecit au groupe. S'il occupe la dixième place au classement général des fournisseurs d'applications avec un chiffre d'affaires 2008 de 1,02 Md$, loin derrière SAP (15 Md$) et Oracle (8,5 Md$), il se hisse au troisième rang si l'on ne s'intéresse qu'au chiffre d'affaires généré par les ventes de licences ou d'abonnements. Marc Benioff, PDG du groupe, explique le succès de son entreprise par son modèle. Selon lui, il attire les entreprises par son rapport coûts/prestations. Au cours de son deuxième trimestre, clos fin juillet, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 316 M$ (+20%) et plus que doublé son bénéfice net à 21,2 M$. A cette date, le groupe revendiquait 63 000 clients. (...)

(20/08/2009 15:35:05)

A peine acheté par VMware, SpringSource s'offre Cloud Foundry

Alors qu'il vient tout juste d'être acheté par VMware, le champion du framework Java, SpringSource, acquière de son côté Cloud Foundry. L'offre de PaaS (Platform-as-a-service) de ce dernier, qui porte le même nom que son éditeur, permet de concevoir, de déployer et d'administrer des applications Spring, Java ou Grails sur le cloud EC2 d'Amazon. Une version finale et payante est attendue pour début 2010. Cloud Foundry, qui repose sur le projet libre Cloud Tools, utilise les briques Apache, MySQL et les deux outils maison tc Server (Tomcat) et Hyperic de SpringSource. Cloud Foundry sera rapidement associé à vSphere, l'environnement de virtualisation que VMware voudrait voir devenir une infrastructure de cloud. Le portage sur Azure de Microsoft, voire le Sun Cloud, n'est pas non plus exclu. Les analystes saluent cette approche par les couches hautes du cloud computing. Selon Rod Johnson, PDG de SpringSource, Cloud Foundry met ce type de ressources à la portée des petites entreprises qui s'en trouvaient tenues à l'écart par manque de compétences internes en matière d'infrastructure. (...)

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