Flux RSS

Infrastructure serveur

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2924 documents trouvés, affichage des résultats 1371 à 1380.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(26/05/2009 17:52:48)

Unisys met des Xeon dans ses nouveaux grands systèmes

Unisys continue de faire évoluer ses deux lignes de grands systèmes Clearpath et d'y instiller des processeurs Xeon. Les systèmes Libra (OS MCP d'origine Burroughs) s'enrichissent des modèles jumeaux 780/790 qui succèdent aux 680/690 en apportant un gain de puissance d'environ 10%. Ces systèmes, dont la configuration de base est proposée à 3,3 M$, peuvent accueillir des cartes animées par des Xeon 7400 ("Dunnington", quadri et hexacoeur). Côté systèmes Dorado (OS 2200 d'origine Sperry), Unisys propose un système d'entrée de gamme, le 4050, animé par des processeurs Xeon. Il ne repose pas sur l'architecture du Monster Xeon qui embarque jusqu'à 16 Xeon 7400, mais semble bien être un serveur Dell repackagé. Cette machine quadriprocesseur équipée de Xeon 7350 (Tigerton) peut faire tourner OS2200. Son prix d'entrée s'établit à plus de 400 000 dollars. (...)

(25/05/2009 18:02:13)

Virtualisation : le banc d'essai vApus Mark I relativise les performances des Intel Xeon 5500

Un nouveau banc de mesure de l'évaluation vient d'apparaître. Mis au point par le Sizing Server lab (un laboratoire universitaire hollandais), vApus Mark I est destiné à mesurer les performances d'applications lourdes virtualisées sous différents hyperviseurs. Très étonnants, les premiers résultats, réalisés sous ESX 3.5 de VMware, portent sur la comparaison des performances des Xeon 5500 (Nehalem) avec les autres processeurs d'Intel et leurs concurrents de chez AMD. A l'aune de vAPUs Mark I, le gain de performances qu'apporte la génération Nehalem n'est pas aussi net que celui que l'on peut constater avec VMmark, l'outil de benchmarking de VMware. Là où le test VMmark trouve une différence de performance de plus de 100% entre Xeon 5570 et Opetorn 8389, vApus Mark I ne trouve que 21% d'écart. Les testeurs soulignent qu'ils ont réalisé leur mesure avec ESX 3.5 et non avec l'ESX 4 de vSphere. Un choix logique étant donné qu'ESX 4.0 est encore loin d'être l'hyperviseur majoritaire en entreprise. Or, seule cette version 4.0 d'ESX sait tirer profit des Extended Page Tables (ETP) des Xeon 5500. Tout aussi étonnant, alors que si l'on prend en compte les chiffres du VMmark, un biprocesseur Xeon 5500 affiche des performances nettement supérieures à celle d'un quadriprocesseur Opteron, ce n'est plus le cas avec vApus Mark I. (...)

(25/05/2009 11:35:59)

La sortie de l'Itanium quadricoeur reportée au premier trimestre 2010

Intel retarde encore la sortie du premier processeur Itanium quadricoeur. Le Tukwila ne verra pas le jour avant le premier trimestre de l'an prochain. Difficile d'avoir des explications "objectives" à cet énième retard. Intel met, bien sûr, en avant les améliorations qu'il ne cesse d'apporter à la puce. Il évoque des performances multipliées par deux, l'exploitation de la technologie mémoire DDR3 et la mise au point d'un socket qui favorisera la migration vers la génération suivante. Tous ces arguments sont les mêmes qu'au mois de février, lorsque six mois de retard avaient déjà été annoncés. Mais à la décharge d'Intel, les concurrents directs de l'Itanium quadricoeur progressent aussi à la vitesse d'un escargot. Ni IBM, avec son Power 6+ anémique, ni Sun, empêtré dans un flottement stratégique qui a entraîné le départ du patron de sa R&D processeur le mois dernier, ne peuvent profiter des lenteurs d'Intel. Mais l'enthousiasme des adeptes de l'Itanium s'étiole au fil des retards et des progrès des processeurs Xeon, Ainsi Unisys a clairement montré en février dernier qu'il se focalisait désormais sur ces derniers. Seul HP n'a d'autre choix que de continuer à dépendre de l'Itanium pour faire migrer ses bases installées qui tournent encore sur processeurs HP PA-Risc et Alpha. (...)

(22/05/2009 12:57:59)

Soutenue par Intel, la bêta 2.0 de Moblin séduit

Intel craindrait-il que Microsoft tarde trop à mettre au point un système d'exploitation performant sur netbooks pour succéder à un XP obsolète ? S'inquiète-t-il des promesses d'Android, l'OS de Google ? Cherche-t-il par tous les moyens à éviter qu'ARM le distance sur la prochaine génération de netbooks et qu'il l'exclut définitivement des téléphones mobiles ? Se demande-t-il si les projets d'Apple en matière de processeur graphique embarqué porteront les prochains iPhone et autre iPod aux nues ? Bref, prend-il ombrage du cruel manque d'un OS digne de sa ligne de processeurs Atom qu'il destine à tous les équipements mobiles ? Aucune réponse à ces questions n'a filtré de chez Intel. En revanche, la présentation de la bêta de Moblin 2.0, système d'exploitation optimisé pour Atom et auréolé d'une superbe et conviviale interface graphique ne laisse aucun doute. Même si en avril, il a confié à la Linux Foundation l'avenir du Mobile Linux qu'il couvait en son sein depuis 2007, le fondeur travaille d'arrache-pied à doter ses Atom de la meilleure couche logicielle possible pour lui donner le droit de cité sur les équipements numériques mobiles, seul créneau à être en croissance en cette douloureuse période de crise. Moblin 2.0, résultat du mariage entre un noyau Fedora et l'interface Clutter, issue du savoir-faire ergonomique d'Opened Hand, acheté par Intel en janvier 2008, se fait tisser des louanges par tous ses premiers utilisateurs. Il le trouve à la fois très rapide, ergonomique et bien adapté à la fois à la communication et au "social networking" sans fil. Deux activités vieilles comme le monde et qui justifient bien d'acheter un nouvel équipement. (...)

(20/05/2009 10:49:49)

EMC ouvre son système Atmos de stockage en cloud en libre-service

Aux Etats-Unis, EMC propose désormais en libre-service sa plateforme Atmos onLine de stockage en cloud, annoncée en novembre dernier. Ce système apparaît comme un concurrent direct de celui d'Amazon, S3 (Simple Storage Service). EMC ne donne pas de prix, mais déclare évidemment, être compétitif avec les tarifs d'Amazon. On peut donc parler d'un prix tournant autour des 10 cents par Go. McAfee serait aussi sur les rangs des revendeurs potentiels. La rumeur court sur un accord avec EMC mais on ignore encore s'il porte sur Atmos onLine, service de stockage en ligne pour les grandes entreprises, ou sur Mozy, sa déclinaison pour les PME et les particuliers qui se trouve sous la responsabilité de Decho, filiale d'EMC créée en novembre 2008. (...)

(19/05/2009 17:40:16)

Intel ouvre son service de téléchargement payant de logiciels en France

Un an après avoir lancé le site de téléchargement payant de logiciels Intel Business Exchange Software Download (Intel BX) aux Etats-Unis, la division Software and Services du fondeur s'attaque à l'Allemagne, le Royaume-Uni et la France. Dans l'hexagone, la boutique est en ligne depuis le 17 avril. Le fabricant de processeurs ne commencera à communiquer réellement autour de son nouveau service qu'à la fin du mois, lorsque son intégration avec le site d'information pour PME Zenentreprise d'Intel aura été réalisée. Les entreprises de 10 à 500 salariés représentent le coeur de cible d'Intel BX. "Contrairement à ce que l'on observe dans le grand public, les sites capables de proposer à ces sociétés des logiciels en téléchargement sont peu nombreux,», commente Marie Pinon, la responsable du marché PME-PMI chez Intel France. Face à une concurrence qu'il juge peu importante sur le segment professionnel, le fabricant pense donc avoir une carte à jouer. Encore faut-il qu'il se dote d'un catalogue plus étoffé. A l'heure actuelle, la version française d'Intel BX ne propose qu'un peu plus de 80 applications réparties en neuf catégories (utilitaires, bureautique, Antivirus et sécurisation, réseaux et administration...). Pour élargir cette offre, la division Software and services compte sur son Software Partner Program qui fédère des ISV certifiés autour des technologies Intel. En Europe, 4500 y adhèrent dont 300 sont en France. Pour autant, ce vivier n'est pas la seule base de prospection du fondeur. Actuellement, ce dernier discute aussi avec des acteurs du logiciel qui n'adhèrent pas à son programme tels les éditeurs de logiciels gestion Ciel et EBP. D'ici fin 2009, les trois sites européens visent environ 500 000 visiteurs «De par son image et sa place, Intel joue un rôle de fédérateur sur le marché de l'informatique, avec une vision globale sur le matériel et les logiciels, explique Marie Pinon. Une initiative comme Intel BX correspond à un besoin du marché et favorise l'usage des technologies de l'information ». Et donc l'achat de PC et de serveurs embarquant des processeurs Intel. Mais la vente de matériel n'est pas la seule motivation du fondeur qui prend sa commission sur chaque téléchargement de logiciels effectué depuis son site. Il est toutefois encore bien trop tôt pour savoir si ce commerce est susceptible de devenir une partie non négligeable des revenus du fondeur. Dans un premier temps, Intel France se fixe plutôt des objectifs de fréquentation. D'ici fin 2009, les trois sites européens visent environ 500 000 visiteurs. A titre de comparaison, les sites Intel BX américains, chinois et indiens ont cumulés 1 millions de visiteurs environ depuis le début du mois de mai. Autant de curieux dont une partie a été transformé en clients et qui, de ce fait, ne sont pas allés s'approvisionner chez leurs revendeurs. Concurrent des distributeurs de logiciels, Intel le devient en effet. Mais pas de tous. « L'achat d'une solution implique de faire appel à un prestataire de services pour réaliser son intégration dans l'entreprise. Ça n'est pas notre rôle. De fait, Intel BX se limite à la commercialisation d'applications qui ne nécessitent pas de phase d'intégration poussée », conclut Marie Pinon. (...)

(18/05/2009 18:03:27)

Dell propose des "micro-serveurs dédiés" de la taille d'un disque dur

Avec les serveurs XS11-VX8, la division DataCenter Solutions (DCS) de Dell propose de prendre le contre-pied de la consolidation. Plutôt que de faire appel au partage des ressources d'un puissant système - le principe de la virtualisation - l'architecture proposée se compose de "micro-serveurs" à base de processeur Via Nano destinés à une seule tâche. DCS propose des racks 2U qui peuvent contenir une douzaine de ces modules serveurs. Les baies Fortuna peuvent accueillir douze de ces racks. Une impressionnante densité qui s'accompagne d'une consommation électrique réduite. Chaque module ne consomme plus que le dixième de ce que réclame un serveur standard 1U, soit seulement 15 watts en veille et 20 à 29 watts en pleine charge. On arrive donc à un maximum d'environ 4 000 watts par rack. DCS, qui s'adresse à une poignée de clients (une cinquantaine dans le monde aujourd'hui), a conçu ces XS11 pour répondre à la demande d'hébergeurs qui veulent à la fois proposer des serveurs dédiés à leurs clients et limiter au maximum leur consommation électrique. Jusqu'à 3 Go de mémoire Les modules XS11-VX8 ont le même encombrement qu'un disque dur 3,5 pouces au détail près que le boîtier est plus long de quelques centimètres. Chaque serveur est bâti sur un processeur Via Nano 64 bits U2250 (à 1,3 ou 1,6 GHz) et le jeu de composant VX800. Il embarque 1 Go en standard et son slot mémoire peut accueillir jusqu'à 2 Go supplémentaires de mémoire DDR2 à 667 MHz. Il peut aussi recevoir un disque dur 2,5 pouces de 500 Go ou un disque électronique. Deux ports Gigabit Ethernet ouvrent le serveur au réseau et à un système de stockage iSCSI. Chaque module embarque un outil d'administration (baseboard management controller - BMC) et une interface d'administration IMPI 2.0. Rempli de douze serveurs, un rack 2U est annoncé à 4 800 dollars, soit 400 dollars par serveur. Dell prévoit de commencer la livraison de ces machines à la fin du mois de juin. Ces "micro-serveurs" Fortuna XS11 s'inscrivent dans la tendance à proposer non pas des serveurs de plus en plus performants, mais, grâce à la puissance atteinte par le moindre processeur, si l'on peut dire, à commercialiser des systèmes minimalistes capables de supporter une charge dédiée en entreprise. SuperMicro s'est, de son côté, lancé dans l'aventure avec des serveurs à base de processeurs Intel Atom. (...)

(18/05/2009 17:28:13)

La norme Energy Star pour serveurs dévoilée et déjà contestée

Le processus d'adoption fut laborieux, mais la norme Energy Star pour les serveurs voit enfin le jour. Initialement prévue pour le début de l'année, elle a fait l'objet d'intenses discussions entre les tenants du programme Energy Star (l'Agence pour la protection de l'environnement et le Département de l'énergie américains) et les constructeurs pour aboutir finalement à l'adoption de la quatrième version du texte. Celle-ci inclut pour l'instant les serveurs avec un disque dur et de 1 à 4 processeurs, mais ne tient pas compte des lames, pourtant particulièrement gourmandes. Elles devraient rejoindre la norme dans les deux prochains mois. Les principaux critères d'évaluation des machines sont la performance de l'alimentation (la quantité de chaleur dissipée doit rester raisonnable par rapport à l'électricité consommée) et la consommation d'énergie en veille. La présence ou l'absence d'outils d'administration à distance entrent également en ligne de compte. Mais certains, notamment chez Intel et Sun, contestent déjà l'utilité du standard. Pour eux, avec le développement de la virtualisation, le temps passé en veille des appareils est de moins en moins significatif pour l'utilisateur final. L'EPA prévoit déjà dans une prochaine version de sa norme de proposer des mesures non seulement pour la veille, mais également pour différents niveaux de charge de travail. En attendant, les constructeurs pourront désormais apposer le logo Energy Star sur leurs serveurs (aux côtés de la fiche détaillée rappelant la configuration qui a obtenu le label, afin d'éviter toute tricherie). Tout en poursuivant son travail sur les serveurs, l'EPA s'attaque aussi désormais à l'élaboration d'une norme Energy Star pour le stockage informatique, avant de passer à une norme globale pour les centres serveurs. (...)

(15/05/2009 17:23:29)

Les plateformes de virtualisation représentent près de 20% des serveurs livrés

En 2008, le nombre de serveurs livrés en Europe pour servir de plateforme de virtualisation a augmenté de 26,5% en 2008, affirme IDC, pour atteindre le chiffre de 358 000 unités, soit plus de 18% des livraisons totales (19,5 millions). En 2007, les serveurs destinés à la virtualisation ne représentaient que 14,6% des livraisons. En 2010, IDC estime que ce taux devrait atteindre 21%. Sachant que les dépenses en serveurs baissent mais que chacun peut faire tourner plusieurs VM (machines virtuelles), IDC pense que dès cette année, on comptera 10% de plus de VM que de serveurs physiques livrés. C'est, bien sûr, le développement de la virtualisation sur l'architecture X64 qui explique cette forte accélération. IDC souligne que l'accroissement du parc virtualisé entraîne la nécessité de s'équiper en outils d'administration adéquats. Sans une gestion précise, la virtualisation peut entraîner une dangereuse prolifération ("sprawling") des VM. Les directions informatiques risquent de perdre le contrôle de leur création et de leur utilisation. La virtualisation a aussi des conséquences sur la répartition des rôles et des tâches au sein des équipes informatiques. Les barrières physiques disparaissant, les responsables des différentes activités (administration, gestion des serveurs, du réseau et du stockage) doivent ré-inventer des organisations et des méthodes de travail adaptées. IDC constate aussi que les fournisseurs, conscients que la virtualisation va entraîner une diminution relative du nombre de machines vendues, révisent leur stratégie en conséquence afin de trouver d'autres sources de revenus. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >