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(14/05/2009 16:34:14)

Annuels CA : chiffre d'affaires étal mais la réduction des dépenses paye

L'éditeur américain CA (ex Computer Associates) a terminé son exercice fiscal 2009 sur un chiffre d'affaires de 4,271 Md$, étal par rapport à l'an dernier. En revanche, les coupes opérées dans les dépenses (-8% sur l'année, ce qui a conduit à les ramener à 3,14 Md$) ont permis au fournisseur de dégager une augmentation de 39% de son bénéfice net, à 694 M$. Sur l'année, l'éditeur de logiciels d'administration gagne également 6 points sur sa marge opérationnelle par rapport à l'an dernier. Celle-ci atteint 26% du chiffre d'affaires, en progression de 32%, à 1,127 Md$. A l'instar des autres éditeurs américains, CA dit avoir pâti des variations de taux de change. Il indique que le chiffre d'affaires de son quatrième trimestre fiscal, 1,03 Md$, recule de 5% à taux de change courant, mais augmente de 2% à taux de change constant. Sur cette période, l'éditeur enregistre un recul de 17% sur ses activités internationales (seulement -4% à taux de change constant), alors que ses ventes augmentent de 6% en Amérique du Nord. Enfin, le carnet de commandes de CA baisse également à taux de change courant sur ce dernier trimestre, de 3% à 1,465 Md$ (+6% à taux constant). En novembre dernier, l'éditeur a présenté son initiative « Mainframe 2.0 » destinée à simplifier l'administration des mainframes pour des directions informatiques directement touchées par les réductions de coûts. Parmi les avancées proposées figurent notamment l'unification des interfaces de ses solutions d'administration de mainframes. Même s'il prévoit un début d'exercice 2010 difficile, John Swainson, PDG de CA, dit vouloir réaliser des investissements significatifs dans de nouveaux produits et dans l'amélioration des solutions existantes, ainsi que dans ses ressources commerciales. Il reste confiant sur la capacité de CA à renouveler ses contrats de licence à long terme dans de bonnes conditions (sans être contraint à des remises trop fortes). Les prévisions de l'éditeur pour l'exercice qu'il vient d'entamer s'établissent entre -1 à -3% à taux de change courant (+2 à +4%, à taux de change constant). (...)

(14/05/2009 15:32:38)

Axum, tentative de Microsoft pour développer des applications multi-coeurs

Le plus grand défi pour la programmation aujourd'hui est représenté par le multi-coeur (lorsque les CPU ont plusieurs coeurs, ce qui se généralise dans tous les PC et serveurs) et le 'many-core' (lorsque l'application tourne sur des puces de nature différente, par exemple des CPU et des GPU, ce qui commence à se généraliser dans le monde du calcul haute performance). Or jusqu'à présent, Microsoft n'avait pas franchement pris le problème à bras le corps. Voilà qui est réparé : l'éditeur propose de tester Axum, un langage spécifiquement conçu pour réaliser des applications parallèles, capables de s'exécuter dans des configurations multi-coeurs et 'many-cores'. Axum, explique sur son blog Soma Somasegar, vice-président senior responsable de l'entité développement chez Microsoft, doit permettre à des développeurs .Net de concevoir facilement de telles applications, le framework Axum gérant lui-même, par exemple, les problématiques de parallélisme. Parréliser les calculs entre CPU et GPU augmenterait les performances de 30% Utilisable dès à présent avec Visual Studio 2008, Axum n'en est encore qu'à un stade expérimental : Microsoft ne s'engage pas à sortir le produit et a fortiori ne donne aucune date ; ses concepteurs cherchent pour l'heure à valider leur modèle en faisant appel à la communauté des utilisateurs. La programmation parallèle pour multi-coeur et 'many-core' est aujourd'hui un marché de niche, mais prometteur. Le Français Caps Entreprise, issu du projet Caps de l'Inria de Rennes, s'est ainsi spécialisé dans le 'many-core' pour le calcul haute-performance. Caps s'est aussi donné pour objectif de cacher la complexité aux développeurs, mais a pris pour ce faire une autre voie : sa boîte à outils prend le code source original et l'annote avec des directives qui permettront de distribuer les calculs. Selon Caps, paralléliser les calculs sur un processeur classique (CPU) et un coprocesseur graphique (GPU) multiplie par 30 les performances par rapport à l'exécution du code sur un CPU seul. Alors qu'aujourd'hui, les capacités de calcul parallèles des machines sont complètement ignorées par les applications. (...)

(13/05/2009 16:22:03)

En moyenne, un administrateur gère près de 80 machines virtuelles

Combien de machines virtuelles un administrateur système est-il capable de gérer ? En ces temps de vaches maigres et de mutation technologique dans les datacenters, la question vaut de l'or puisque plus de 53% des responsables informatiques interrogés par le cabinet d'étude américain EMA (Enterprise management associates) voient dans la virtualisation le moyen crucial de réduire les coûts d'administration et de gestion. 43% d'entre eux la jugent "importante". De plus, le ratio administrateur/machine virtuelle est un bon indicateur de l'efficacité d'un service informatique. C'est aussi le poste budgétaire le plus facilement ajustable. Le coût salarial de l'ajout d'une machine virtuelle varie entre 452 $ et 3770 $ Selon les données recueillies par Andi Mann, consultant chez EMA, il faut, en moyenne, un administrateur pour 77 machines virtuelles. Mais l'écart type derrière ce chiffre est significatif. Ainsi, un ratio de 155 machines virtuelles par administrateur n'est pas rare. Mais certains responsables ne s'occupent que de 18 machines virtuelles quand d'autres ont la charge de 1800. Passé au crible d'un coût salarial de référence de 68 000 $ pour l'administration d'un datacenter, le ratio machine virtuelle / administrateur se traduit par d'importants écarts sur le coût unitaire d'ajout d'une machines virtuelle. Pour les services informatiques les plus automatisés, l'ajout d'une machine virtuelle revient à 452 $. Pour ceux qui sont moins performants, une machine virtuelle supplémentaire revient à 880 $ et peut atteindre la somme vertigineuse de 3 770 $ dans le pire des cas. Selon Andi Mann, les outils d'administration jouent un rôle important dans la "productivité" des administrateurs. 39% des entreprises interrogées utilisent des logiciels de suivi des configurations, ce qui évite les modifications sauvages. 37% font appel à des outils d'inventaire pour vérifier l'utilisation des équipements et des licences logicielles achetés. 36% se servent d'outils de gestion de capacité pour optimiser la répartition de charge des machines virtuelles. 27% n'hésitent pas à s'équiper de systèmes de télétravail pour intervenir à distance jusqu'au niveau matériel le plus bas des serveurs. Enfin, 24% administrent leurs environnements virtualisés avec les outils de VMware (Infrastructure, vCenter), de Citrix (XenCenter) et de Microsoft (VMM). Un taux étonnamment bas. (...)

(12/05/2009 15:24:34)

Rackable endosse le nom de SGI qu'il vient de racheter

Ne l'appelez plus jamais Rackable Systems, mais SGI. A peine après avoir conclu le rachat des actifs de Silicon Graphics International pour la modique somme de 42,5 M$, ce spécialiste des serveurs x64 pour datacenters a choisi d'adopter le nom de SGI qu'il juge plus connu que le sien, tout particulièrement en dehors des Etats-Unis. SGI est présent dans 25 pays. La direction de Rackable a aussi affirmé que SGI allait continuer de faire évoluer ses systèmes haut de gamme. SGI est encore considéré comme un spécialiste des architectures mémoires cc-Numa (cache-coherent non-uniform memory access) qui permettent à des systèmes en noeuds d'évoluer plus facilement que ceux en cluster ou massivement parallèles. Ces deux nouvelles ont de quoi rassurer les 4 500 à 5 000 utilisateurs (selon les sources) de systèmes SGI et ses 1300 salariés. Fort de 300 salariés et d'autant de clients, Rackable Systems a clos le 3 janvier dernier son exercice fiscal sur un CA de 247 M$ (-29%), assorti d'une perte de 54 M$ (en diminution de 21% par rapport à 69 M$). Quant à Silicon Graphics, qui avait atteint une capitalisation boursière de 7 Md$ en 1996, son dernier trimestre s'est clos en décembre sur un CA de 82 M$ (-11%), une perte de 49 M$ et près de 160 M$ de dettes. Ces dettes n'ont pas été reprises par Rackable. (...)

(11/05/2009 18:28:40)

Virtualisation : Oracle fait grincer des dents chez VMWare

Le refus d'Oracle de supporter officiellement d'autres hyperviseurs que le sien fait grincer des dents. Chez EMC, la maison mère de VMware, deux vice-présidents ont pris la plume sur leur blog pour appeler les utilisateurs à une fronde contre la politique d'Oracle. L'éditeur, qui rechigne à accorder son support sur ses logiciels installés en VM, pratique aussi une politique de prix très dissuasive. Même si la VM Oracle n'utilise qu'une partie des processeurs physiques disponibles, Oracle facture l'ensemble de la configuration. Par exemple, même si une VM Oracle n'utilise que deux processeurs sur les huit présents, le prix à payer sera celui pour utiliser les huit. Il est ainsi très difficile de faire usage de VMware VMotion (déplacement des VM) sans enfreindre les licences accordées par Oracle. En mars dernier, les analystes du Gartner ont pondu une note sur le sujet. Ils préviennent que si les utilisateurs ne respectent pas scrupuleusement les règles édictées par Oracle, ils s'exposent à des surcoûts conséquents. Ils expliquent que l'attitude d'Oracle exige d'y regarder à deux fois avant de se lancer dans une opération de virtualisation et d'envisager des solutions alternatives comme le portage sur un autre serveur ou la mise en place de configurations parallélisées. Oracle a aussi choisi de proposer son propre hyperviseur, Oracle VM, en choisissant le code open source Xen. En mars dernier, il a renforcé son hyperviseur avec Oracle Enterprise Manager 10g Release 5 (10gR5), une suite de gestion des VM. Le projet de rachat de Sun par Oracle et la déclaration de Larry Ellison d'avoir une offre globale qui s'étend de "la base de données au disque" montre que l'éditeur n'est pas près de changer d'attitude. Dans la corbeille de Sun, Oracle va récupérer l'ensemble xVM qui se compose d'un hyperviseur, d'un outil d'administration (Ops Center), d'un gestionnaire de connexion (VDI) et d'un outil de virtualisation des postes de travail (VirtualBox).

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(11/05/2009 17:54:33)

Les salariés d'Altis manifestent devant le siège d'IBM

Quelque 300 salariés d'Altis Semiconductor ont manifesté la semaine dernière leur inquiétude et leur mécontentement devant le siège social d'IBM, au pied de la Tour Descartes à La Défense. Créé en 1964 par Big Blue, Altis est à vendre depuis près de trois ans. Aux salariés qui se sont déplacés, IBM s'est contenté de confirmer qu'une restructuration attendait Altis Semiconductor après sa vente, et ce quel que soit son repreneur. En août 2007, il était question d'un rachat par le Suisse AES, filiale d'un groupe russe. Ensuite silence radio pendant plusieurs mois avant d'apprendre que la direction actuelle d'Altis souhaite reprendre la société avec le soutien d'investisseurs français. Au final, les 1364 salariés d'Altis ne savent toujours pas comment, par qui, quand et à quelles conditions se fera le rachat. « Ce n'est pas la vente d'Altis qui inquiète le plus les employés mais le flou complet qui règne autour et qui traduit le profond mépris d'IBM à notre encontre », s'indigne Didier Lecas, délégué syndical CFTC chez Altis. Daniel Chaffraix, PDG de la filiale française de Big Blue, a promis qu'il se déplacerait dans les huit jours au sein même des locaux d'Altis, à Corbeil-Essonnes. Il devrait - enfin - apporter des précisions sur le projet de vente. (...)

(11/05/2009 14:57:22)

Un groupe d'actionnaires de Sun s'oppose au rachat par Oracle

Un groupe d'actionnaires de Sun a déposé trois plaintes auprès de la SEC (Securities and exchange commission), le gendarme de la bourse américaine, dans le but de bloquer le rachat de la société par Oracle. Ils estiment que la proposition de l'éditeur à7,4 Md$ est injuste et insuffisante. Dans leur volonté des faire capoter les négociations, tous les moyens sont bons. Les actionnaires accusent ainsi Sun d'avoir bafoué l'US Foreign Corrupt Practice Act (loi portant sur les pratiques de corruption à l'étranger). Le constructeur n'a pas cherché à nier les faits. Il a indiqué vendredi avoir peut-être violé cette loi « dans certains pays », sans préciser lesquels, tout en indiquant qu'il avait mis en place des mesures correctives et qu'il tenait au courant les autorités américaines. Oracle de son côté, s'est contenté de préciser qu'il avait eu connaissance de ces entorses à la loi avant de proposer de racheter Sun. Les efforts des actionnaires devraient donc, au pire, retarder la conclusion du rachat. Larry Ellison veut conserver l'activité matérielle de Sun Le géant californien a par ailleurs précisé qu'il ne comptait pas abandonner la partie matérielle de l'activité de Sun. Interrogé par Reuters, le PDG Larry Ellison a tenu à affirme qu'il « ne s'intéressait pas seulement au système d'exploitation Solaris comme le pensent certains analystes mais également aux serveurs Sun et aux microprocesseurs Sparc. » Oracle souhaite développer un modèle hybride, à l'instar d'Apple ou de Cisco. « [Ces sociétés] réalisent des marges importantes car elles font en sorte que leurs matériels et leurs logiciels fonctionnent bien ensemble, rappelle Larry Ellison. Une fois que nous serons propriétaires de Sun, nous allons augmenter nos investissements dans Sparc. Concevoir nos propres puces est véritablement très important. » Le patron d'Oracle a également indiqué qu'il continuerait de travailler avec Fujitsu qui produit des lignes de serveurs basées sur ces puces « pour mettre au point des fonctions avancées dans le microprocesseurs destinées à exécuter plus efficacement le SGBD Oracle. Selon moi, cela permettra aux mainframes ouverts Sparc-Solaris de défier la domination d'IBM dans le datacenter. »

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(11/05/2009 12:36:38)

Antitrust : Intel pourrait écoper d'une amende de plusieurs milliards d'euros

La Commission européenne pourrait prononcer mercredi contre Intel l'une des condamnations les plus lourdes jamais infligées dans le cadre d'une procédure antitrust. Le fondeur, dont les supposées pratiques anticoncurrentielles font l'objet d'une enquête lancée en 2000 après une plainte déposée par AMD, encourt une condamnation pécuniaire équivalant à 10% de son chiffre d'affaires. Si l'exécutif européen n'a encore jamais prononcé de sanction aussi lourde, des sources proches de Bruxelles révèlent que les 27 pourraient frapper un grand coup cette semaine. Si cela était confirmé, l'amende de 899 M€ à laquelle Bruxelles avait condamné Microsoft l'année dernière pour son abus de position dominante sur le marché des OS - et qui s'ajoutait aux 497 M€ déjà infligés en 2004 - ferait presque pâle figure : le fondeur a en effet réalisé un CA de 37,6 Md$ l'an passé, ce qui l'expose à une sanction pouvant atteindre 3,7 Md$. Dans l'attente du prononcé de sa peine, le géant des processeurs affiche un bel optimisme et claironne que les sommes record évoquées par les observateurs ne sont que « des rumeurs lancées par les journalistes ». L'enquête menée par la Commission a mis en lumière de nombreuses pratiques commerciales d'Intel faussant le jeu de la libre concurrence. Le numéro un des processeurs aurait notamment accordé des remises à plusieurs constructeurs de PC pour qu'ils n'intègrent pas de puces AMD dans leurs machines, ou qu'ils retardent le lancement des CPU concurrents. Bruxelles reproche également à Intel de s'être montré généreux avec le distributeur Media Markt afin qu'il déréférence tout PC équipé de composants AMD. Ce type de pratiques ne serait pas l'apanage des activités d'Intel en Europe : en 2005, le fondeur s'est arrangé à l'amiable avec les autorités antitrust japonaises après avoir été poursuivi pour des faits similaires. L'an dernier, le régulateur sud coréen a condamné le géant à une amende de 20 M€. Et une enquête est en cours aux Etats-Unis, toujours pour des pratiques commerciales outrepassant le cadre de la saine concurrence. Selon IDC, Intel bénéficiait à la fin de l'année dernière d'une part de marché de 81,9% sur le segment des processeurs pour PC, contre 17,7% pour AMD. (...)

(07/05/2009 17:54:25)

Citrix revisite toute son offre virtualisation

Même superbe, l'annonce du support de l'iPhone comme client léger n'est que la cerise sur le gâteau de nouveautés que Citrix a présenté à sa conférence Synergy à Las Vegas. L'éditeur a aussi pré annoncé d'autres évolutions de son offre, toutes orientées vers la virtualisation, comme il se doit. Citrix a ainsi fait la démonstration technologique d'une version virtualisée de NetScaler, son cache/accélérateur d'applications Web. L'actuel NetScaler MPX, qui utilise du matériel dédié, continuera d'être proposé dans le cadre de déploiements d'envergure. L'appliance virtualisée VPX visera les configurations moins exigeantes. MPX et VPX pourront cohabiter dans une même infrastructure. VPX est promis d'ici la fin de l'année. XenServer 5.5 se voit enrichi d'un répartiteur de charge (load balancing) et de l'intégration d'Active Directory de Microsoft. Citrix promet la mise à disposition d'ici la fin de l'année d'un switch virtuel, probablement comparable à celui présent dans vSphere, l'offre de son concurrent VMware. Citrix fait aussi passer sa suite d'administration Essentials en version 5.5. Le fournisseur revendique plus d'une vingtaine de participants à Storage Link, son programme de certification des solutions de stockage avec la suite d'administration Citrix Essentials. Tous les grands noms y figurent, à l'exception, semble-t-il, de Sun, de Cisco et d'IBM. A noter que les efforts d'administration de Citrix excluent les environnements VMware. L'éditeur se concentre exclusivement sur le sien et celui de Microsoft. Citrix a aussi pris langue avec Amazon pour interfacer C3 (Citrix Cloud Center) - suite pour la suite qui intègre XenServer, NetScaler, XenApp et XenDesktop- avec les API d'Amazon Web Services. (...)

(07/05/2009 16:09:01)

AMD simplifie son organisation autour de quatre pôles

Après s'être séparée de ses unités de production, AMD poursuit sa réorganisation. Entamée il y a près de trois ans, cette restructuration est la conséquence du rachat d'ATI, le fabricant de puces graphiques ATI, pour un montant de 5,4 Md$. Le fondeur réunit les activités CPU (microprocesseurs) et GPU (graphiques) d'AMD et d'ATI au sein de deux mêmes entités. AMD compte désormais quatre divisions. Rick Bergman (vice-président senior, ancien responsable des produits graphiques chez AMD) pilotera la division Produits et se chargera de la fusion entre processeurs centraux et graphiques des deux marques. Chekib Akrout se chargera du pôle R&D au sein d'Advanced Technology Group, Nigel Dessau s'occupera du marketing, et Emilo Ghilardi des relations avec la clientèle. Cette réorganisation laisse sur le tapis une victime remarquée, Randy Allen. Employé par AMD depuis 24 ans, il avait pris la place de Mario Rivas à la tête du groupe Computing solutions après la réorganisation de mai 2008. Aucune précision n'a été donnée pour expliquer son départ. (...)

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