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(14/04/2008 18:50:35)

Le directeur technique d'AMD s'en va

Vendredi, Phil Hester a démissionné de son poste de directeur technique d'AMD, pour un autre poste dans une société encore inconnue. Pour l'instant, le fondeur californien n'a pas l'intention de le remplacer à ce poste. L'un des porte-parole d'AMD, Drew Prairie, explique ce choix par la structure même de la société : « Chacune de nos division a eu et continuera d'avoir ses propres directeurs techniques. Ces personnes sont responsables du développement des produits, de feuilles de routes des processeurs, etc... » Le rôle de Phil Hester, arrivé en septembre 2005 chez le fabricant de processeurs, après 23 ans passés chez IBM, était totalement différent, selon Drew Prairie : « Il ne dirigeait pas les opérations au jour le jour pour la société. Lui et son équipe voyait plus loin et aidaient à trouver une direction de développement, avec comme objectif premier l'accélération de la vitesse de calcul (NDLR : notamment en intégrant des processeurs spécialisés dans les puces AMD comme la fusion entre processeurs classiques et puces graphiques). » Par conséquent, l'équipe montée par Phil Hester devrait être dissoute et son personnel réaffecté en grande partie dans les différentes divisions du groupe. Pour les porte-parole d'AMD, ce départ n'a rien à voir ni avec les différents retards dans la sortie des produits, ni avec l'annonce de licenciements à venir. Ces derniers mois, le fondeur avait déjà vu partir deux autres dirigeants, David Orton, ex-directeur général d'ATI, et Henry Richards, vice président, responsable des ventes et du marketing. (...)

(14/04/2008 16:30:30)

Deloitte livre son Top 10 des tendances technologiques de 2008

Quelles seront les grandes tendances technologiques de 2008 ? Deloitte apporte ses réponses sous la forme d'un Top 10, publié dans un PDF gratuit d'une vingtaine de pages. L'analyse établie par le cabinet, « à partir de recherches et de l'expérience de ses 6000 experts, de ses clients, d'analystes et d'acteurs mondiaux du secteur », met notamment en avant trois thèmes qui impactent directement les entreprises. Deloitte rappelle d'abord que le format d'échange de données financières XBRL (Extensible Business Reporting Language) fêtera cette année son dixième anniversaire, et qu'il a une maturité telle qu'il devrait être largement déployé et rendu obligatoire par les principales grandes puissances économiques. Le cabinet appelle donc les entreprises à s'y préparer, car cela impactera non seulement leur système informatique, mais aussi les compétences en interne et les processus. Côté compétences, justement, Deloitte conseille aux grandes entreprises de se préoccuper de la formation des employés aux environnements mainframe. Dans un chapitre intitulé « Gérer les compétences lorsque l'héritage devient l'avenir », Deloitte explique que les mainframes continuent de très bien se porter. « Chaque jour en 2008, on s'attend à ce que les mainframes réalisent 30 milliards de transactions, représentant 70% des données d'entreprise dans le monde », écrit Deloitte. Et de noter que la base installée croît de 5% par an. Mieux, le marketing écologique, très tendance en ce moment, serait de leur côté : « la consommation d'énergie, mesurée en nombre de Watts par transaction, est plus faible que tout autre type de serveur ». En conséquence, il faut d'urgence former des administrateurs et des développeurs rompus à ces environnements. Et au besoin rappeler les anciens pour des emplois à temps partiel, préconise Deloitte. Pas de précipitation vers la virtualisation Deloitte cite encore la virtualisation comme une des grandes tendances de 2008. Toutefois, « alors que 2007 était caractérisé par une ruée pour tester ou déployer», Deloitte estime qu'un peu de prudence sera de mise cette année. Le cabinet appelle les entreprises à ne pas se précipiter, et à bien évaluer où la virtualisation peut leur être bénéfique, à la fois en termes de technologie mais aussi de coût. Sans cela, indique Deloitte, les clients risquent de mauvaises surprises lorsque les éditeurs leur présenteront la facture. De même, Deloitte prévient qu'il vaut mieux être sûr de pouvoir bien gérer un parc de serveurs virtualisés, en expliquant que ce n'est pas parce qu'ils sont virtuels que les serveurs n'existent pas. Autrement dit, il pourrait être simple, faute de processus d'administration suffisamment aguerris, de sombrer dans un chaos générateur de coûts inutiles. L'écologie et la sauvegarde de l'environnement font bien sûr aussi partie de ce Top 10 des tendances technologiques. Deloitte explique par exemple que 2008 pourrait être l'année où les diodes électro-luminescentes (LED) remplaceront les ampoules à incandescence classiques, qui présentent un faible ratio énergie consommée / lumière délivrée, et contiennent en outre du mercure. Deloitte note que dans la mesure où les LED font partie de la famille des semiconducteurs, elles devraient bénéficier de la loi de Moore, et voir leur prix de production divisé par deux tous les dix-huit mois. Les nanotechnologies, meilleures amies de l'environnement, selon Deloitte [[page]] Deloitte estime que 2008 pourrait aussi être l'année des nanotechnologies. Ou du moins l'année d'une meilleure compréhension si les fabricants se donnaient la peine de mieux informer le public, inquiet, note Deloitte, des risques de dissémination incontrôlée de nanoparticules, ou d'autres risques pour la santé. Or, précise Deloitte, les nanotechnologies peuvent être bénéfiques à l'environnement, lorsqu'elles sont employées pour purifier de l'eau, par exemple, ou pour remplacer les piles classiques par des batteries de longue durée. Développement durable toujours, Deloitte lance un appel aux fournisseurs de technologies face aux pénuries d'eau potable. Expliquant qu'il s'agit là d'un formidable défi - mais aussi d'une grande opportunité - Deloitte incite les industriels à trouver des moyens plus économes en énergie de désaliniser l'eau, et des moyens plus économes en eau de pratiquer l'agriculture. Deloitte s'intéresse aussi à l'internaute-consommateur, estimant que l'anonymat, naguère de règle sur Internet, devrait laisser de plus en plus la place à un environnement où chacun s'identifiera, pour une sécurité accrue. De même, un nouvel équilibre commercial devrait être trouvé pour la collecte d'informations personnelles par les sites gratuits. Enfin, l'explosion de la quantité de données créée et gérée par chacun va conduire, indique Deloitte à l'émergence de nouveaux services de protection et de récupération des données. Une opportunité, note le cabinet, pour les fabricants de PC aux marges déclinantes de proposer des services à valeur ajoutée. Green IT, réseaux sociaux et homme bionique en 2007 En 2007, le rapport de Deloitte (ou plus précisément, la branche Technology, Medias & Telecommunications de Deloitte Touche Tohmatsu) avait identifié : la prise de conscience écologique et la montée des solutions 'vertes' ; la progression d'interfaces utilisateurs recourant à la voix ou aux gestes ; la nécessité tant pour les entreprises que pour les particuliers de mettre en place des politiques de stockage en fonction du coût relatif des supports ; les déploiements de plus en plus fréquents de systèmes biométriques ; la prise de conscience chez les consommateurs que le gratuit n'est pas forcément le plus confortable ; la nécessité pour les industriels de se prémunir contre le vaste niveau de fraude à la TVA en Europe ; l'importance de se focaliser sur les besoins non comblés des consommateurs, les nouvelles technologies permettant tout et n'importe quoi ; l'attention à porter aux réseaux sociaux, afin de les rendre le plus rapidement possible générateurs de revenus ; le besoin de réduire la facture énergétique des appareils électroniques et de trouver des sources d'énergie alternatives ; et enfin le début d'un débat de société qui pourrait à terme déboucher sur « l'homme bionique ». (...)

(14/04/2008 11:48:15)

Fujitsu surveille la température des salles serveurs par fibre optique

Pour refroidir efficacement une salle serveurs, il faut savoir précisément où se trouvent les sources de chaleur et de combien de degrés elles élèvent la température. Pour ce faire, Fujitsu vient de mettre au point un prototype d'outil de cartographie de salles serveurs. Le système utilise pour cela une fibre optique de 10 kilomètres circulant dans toute la salle serveurs et à l'intérieur des racks. Ce labyrinthe de fibre est relié à un appareil de mesure. Régulièrement, une impulsion lumineuse est envoyée au travers. Il suffit ensuite de mesurer l'intensité des impulsions lumineuses en provenance des différents points de relevé et leur temps de parcours pour obtenir une estimation précise de la température. Le prototype de Fujitsu est capable de relever simultanément la température à 10 000 endroits différents avec une précision supérieure à un mètre de distance, et de l'ordre du dixième de degré (de -10 ° à 300° C). (...)

(11/04/2008 17:37:07)

SNW 2008 : le stockage doit passer au vert

D'après un sondage réalisé auprès des participants du salon Storage Networking World, qui se déroulait cette semaine à Orlando, 51% d'entre eux reconnaissent que la réduction des coûts est la raison numéro un qui les poussent à freiner leur consommation d'énergie. Ce que Mark Showers, DSI de Monsanto, résume simplement : « Pour une approche durable de la protection de l'environnement, il doit y avoir un incitatif financier. » L'accroissement de la consolidation de données et de la virtualisation répondent à cette nécessité, mais selon Hu Yoshida, directeur technique d'Hitachi Data Systems, ils ne suffisent pas face à la pénurie d'énergie qui menace : « Il y a des risques, nous manquons d'énergie. Il est probable que des coupures se produiront. » Notant que la plupart des systèmes n'utilisent que 20 à 30% de leur capacité de stockage, il recommande un meilleur usage des capacités de stockage actuelles avec des techniques comme le 'thin provisionning', une réservation plus fine des ressources. Le CTO de HDS recommande aussi un audit serré des données de l'entreprise, pour éliminer celles qui sont en double et mettre les plus anciennes sur des supports moins gourmands en énergie. En effet, une donnée vieille de plus de 60 jours n'a plus que 7% de chances d'être réutilisée, selon Hu Yoshida. A l'heure actuelle, d'après le cabinet d'études Gartner, seules 3% des entreprises ont réalisé un tel audit et savent exactement quelle est leur dépense énergétique. Pour celles-ci, Mark Showers a une solution assez simple : « Il y a plein de fruits un peu blets. vous n'avez pas besoin de connaître tous les détails. Si vous débrancher un appareil, vous consommerez moins d'énergie. » (...)

(11/04/2008 13:50:59)

Intel dans le collimateur de l'UFC-Que Choisir

Après la Commission européenne et la justice américaine, c'est au tour de l'UFC-Que Choisir de s'en prendre à Intel. L'association de consommateurs a en effet déposé hier une requête auprès du juge de l'Etat du Delaware. Elle ne pointe pas directement du doigt les pratiques anti-concurrentielles du fondeur vis à vis d'AMD, mais estime que ces méthodes nuisent finalement aux acheteurs. Trois raisons sont invoquées : Intel bride le choix du consommateur, profite de sa position dominante pour faire flamber les prix et freine l'innovation dans ce secteur. Intel est placé sous la loupe de la Commission européenne depuis 2001, pour abus de monopole sur le segment des microprocesseurs x86 (le fondeur détient 80% des parts de marché). Enquêtes, perquisitions et accusations se sont multipliées ces sept dernières années, en Europe mais aussi aux Etats-Unis et au Japon. En juillet 2005, AMD saisissait la justice américaine pour abus de position dominante. Intel aurait en effet soudoyé de nombreux constructeurs de PC pour qu'ils intègrent ses puces, et non pas celles d'AMD. Il aurait également fait pression sur de grands revendeurs pour placer de préférence dans leurs rayons des PC équipés en Intel. En juillet 2007, le rapport de l'enquête réalisée par Bruxelles confirmait que le fondeur bafouait les lois anti-trusts et concurrentielles. , via des pratiques commerciales douteuses. Plus récemment encore, ce sont les bureaux d'Intel en Allemagne qui ont été examinés par la Commission européenne. Dans un communiqué, l'UFC-Que Choisir a indiqué que si Bruxelles condamne Intel, l'association envisagerait de « demander réparation, éventuellement par voie judiciaire ». (...)

(10/04/2008 18:25:58)

La gamme Power d'IBM trouve son haut de gamme

IBM enrichit déjà sa gamme toute fraîchement unifiée de serveurs Power. Après l'annonce de deux premiers modèles d'entrée de gamme la semaine dernière, Big Blue s'attaque au sommet de son catalogue. Le Power 595 comprend 32 Power6, soit 64 coeurs capables de traiter un total de 128 threads - tout comme les derniers Sparc Enterprise de Sun. Bien sur, là où le constructeur californien installe ses Ultrasparc T2 Plus, IBM place son tout nouveau Power6 5.0 GHz. Equipé en option de PowerVM, il peut accueillir jusqu'à 254 partitions virtualisées sous Aix ou Linux. IBM a par ailleurs mis en place un fort sympathique programme de fidélité à destination de ses clients équipés de serveurs de la concurrence. Ceux-ci seront récompensés chaque fois qu'ils remplaceront des coeurs HP ou Sun par des Power... La prime à l'Ultrasparc qui rapportera 1000 points. En échange de ces points, les clients obtiendront des réductions sur le matériel, le logiciel ou le service. (...)

(10/04/2008 13:10:23)

Sun présente deux serveurs autour de son UltraSparc T2 Plus

Sun présente ses deux premières machines équipées d'UltraSparc T2 Plus, successeur des T1 et T2. La force des Sparc Enterprise T5140 et T5240 réside dans leur capacité à traiter jusqu'à 128 séquences d'instructions simultanées (threads). Chacun compte deux octocoeurs et chaque coeur peut s'occuper de huit threads en parallèle. Sun devrait proposer des quadriprocesseurs avant l'été. Le constructeur californien parie sur l'équilibre entre la puissance, la consommation énergétique et l'encombrement. Les deux serveurs annoncés sont au format 1U et 2U et consomment moins de 700 watts. Depuis quelques temps, dans le monde des processeurs, chacun choisit sa voie pour éviter la surchauffe, la surconsommation et... le mur de la loi de Moore. Et Sun a opté pour une stabilité de la fréquence et l'utilisation de techniques pour augmenter la puissance sans voir exploser la consommation électrique. Sun promet « un serveur sur une puce » Les deux machines annoncées restent à 1,2 et 1,4 GHz et consomment entre 500 et 700 Watts. La puce UltraSparc T2 Plus se contente de 100 Watts pour une puissance plus que doublée par rapport au T2 pourtant mesuré à 80 Watts. « De nombreuses fonctions sont intégrées directement dans le processeur - deux ports 10Gbps, une connexion PCI Express, par exemple -, détaille Jean-Yves Migeon, responsable de l'offre serveurs chez Sun France. Cela évite d'ajouter ces éléments gourmands en électricité au niveau du serveur et d'augmenter ainsi la consommation globale de la machine. » Au moment de la présentation de la puce, nom de code Niagara 2, Sun parlait d'un serveur sur une puce. Sun destine principalement ses nouveaux modèles à la consolidation de serveurs x86 ou Itanium. Il s'appuie pour cela sur ses deux environnements de virtualisation. L'hyperviseur inscrit dans le firmware des puces permet de créer des domaines logiques (Ldom). Techniquement, il est possible d'en créer un par thread. Une démarche cependant difficilement exploitable dans la réalité, pour cause de dégradation de la performance. Exécuter 128 instances parallèles de Solaris par exemple paraîtrait plutôt déraisonnable... Bien entendu, Sun propose aussi ses containers dans Solaris 10 (théoriquement, jusqu'à 8 000) pour une virtualisation plus classique. Mais au delà de la consolidation, le constructeur annonce également d'excellents résultats pour les traitements transactionnels pour ces T5140 et T5240 avec des applications comme celles d'Oracle, de SAP ou Notes de Lotus. (...)

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