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(23/04/2008 12:26:06)

Les serveurs iDataplex d'IBM s'attaquent aux grands du Web 2.0

Les grands du Web 2.0 comme Facebook ou Myspace, dont les sites accueillent un trafic très important, font face à de nouveaux problèmes avec leurs datacenters. Il leur faut plus de puissance, plus de flexibilité mais aussi moins de consommation d'énergie et de dissipation de chaleur. IBM a décidé de proposer à ces entreprises des serveurs en rack spécialement conçus pour elles, censés concurrencer les PC en marque blanche que ces sociétés installent pour l'instant en grappe par milliers. Les iDataplex sont des quadri-coeurs Xeon sous Linux au format 1U ou 2U et ils consommeraient 40% de moins d'énergie que des systèmes en rack classiques tout en apportant plus de puissance. IBM joue par exemple sur l'organisation des racks pour optimiser leur ventilation. En effet, si la hauteur des serveurs en rack ne change pas (1U ou 2U), ils sont de plus en plus profonds. Or, comme les systèmes de refroidissement soufflent de l'air de l'arrière vers l'avant des serveurs, plus ceux-ci sont profonds, plus ils ont besoin de ventilateurs puissants et donc gourmands en énergie. Pour pallier le problème, IBM installe tout simplement ses serveurs dans les racks en les faisant pivoter à 90°C horizontalement. Résultat selon le constructeur : 67% d'économie d'énergie ! Un compromis entre économies d'énergie et tolérance aux pannes Un seul rack comprend jusqu'à 84 serveurs iDataPlex, ce qui permet entre autres d'installer une porte arrière de refroidissement à eau qui extrait toute la chaleur émise par le système. Toutes ces machines partagent seulement trois groupes de câbles d'alimentation contre quatre précédemment. Un compromis entre économies d'énergie et tolérance aux pannes revendiqué par IBM. Selon Big Blue, les entreprises du Web 2.0 utilisent toutes des logiciels qui permettent, de toutes façons, de basculer d'un serveur à l'autre en cas de problème. Avec ses nouveaux serveurs, IBM cible aussi des applications complexes d'analyse financière, de traitement de la vidéo et de HPC (calcul haute performance) en général. Ils ne seront vendus qu'aux entreprises les commandant en très grand nombre (de l'ordre du millier). Et le constructeur proposera 22 configurations différentes avec des options pour l'environnement réseau, les commutateurs et le stockage. (...)

(22/04/2008 16:41:52)

Des chercheurs anglais fabriquent un transistor d'un nanomètre d'épaisseur

Alors que l'industrie du semiconducteur s'interroge encore sur la façon dont elle parviendra à aller au-delà de la barrière des 10 nanomètres, deux chercheurs anglais sont parvenus à fabriquer un transistor d'un nanomètre d'épaisseur. Le docteur Kostya Novoselov et le professeur Andre Geim de l'Ecole de physique et d'astronomie de l'Université de Manchester ont publié les résultats de leurs travaux dans la dernière édition du magazine Science. Quatre ans après avoir découvert les propriétés du graphene - extrait du graphite (la simple mine de carbone d'un crayon noir), il peut compter plusieurs milliards d'atomes mais reste plan, présentant donc l'épaisseur d'un atome - le professeur Geim et son équipe ont réussi à démontrer que les règles actuelles de fabrication des semi-conducteurs pouvaient s'appliquer peu ou prou grâce à ce matériau. Le défi : industrialiser la découpe à cette échelle L'industrie des semi-conducteurs sait en effet que d'ici quelques années, elle sera bloquée par les propriétés des matériaux utilisés actuellement : quand la miniaturisation atteindra les 10 nanomètres, les circuits deviendront instables. La possibilité d'obtenir un transistor dix fois plus petit ouvre donc des perspectives intéressantes. Seul problème, découper les matériaux à cette échelle (pour rappel, un cheveu humain fait 100 000 nanomètres d'épaisseur) relève plus de l'art que l'industrie. « Dans nos travaux, avoue le professeur Geim, nous nous sommes appuyés sur la chance pour parvenir à des transistors aussi fins. Malheureusement, il n'existe pas de technologie pour couper les matériaux avec une précision de l'ordre du nanomètre. Nous sommes confrontés au même défi que l'ensemble de l'électronique. Mais au moins, nous disposons maintenant d'un matériau capable de relever un tel défi. » (...)

(21/04/2008 16:53:58)

Novell offre une réduction aux utilisateurs de System Z

Pour convaincre encore davantage les propriétaires de mainframes de passer à Linux, Novell a une proposition toute simple : solder son SuSE Linux Entreprise. Ainsi, durant tout le reste de l'année, les propriétaires de System Z d'IBM pourront acheter trois ans de support technique basique pour SuSE Linux Entreprise au prix de deux ans (soit 33 % de réduction) ou cinq ans de support technique au prix de trois (soit 47 % de réduction). Ces offres disponibles aussi bien directement auprès de Novell que des revendeurs conjoints IBM/Novell, s'adressent aux nouveaux clients qui veulent consolider sur leur mainframe la charge de travail d'autres plate-formes que des System Z, mais aussi aux clients actuels qui veulent renouveller leurs abonnements. (...)

(18/04/2008 09:40:44)

Le CEA et le CNRS donnent des ambitions européennes à leur supercalculateur

Le CEA et le CNRS réunissent leurs deux supercalculateurs de l'Essonne au sein du Centre National Jacques Louis Lions de Calcul Haute Performance de l'Essonne et en augmentent la puissance. L'ensemble devrait proposer plus de 500 Tflops (200 au CNRS et 300 au CEA) dès l'an prochain aux chercheurs français pour étudier en particulier le domaine de la simulation numérique. Cerise sur le supercalculateur, le centre de calcul est candidat pour accueillir un noeud du réseau européen Prace (Partnership for Advanced Computing in Europe) destiné aux machines de capacité pétaflopique. A la clé une subvention à hauteur de 10% pour l'infrastructure. Le projet d'un montant de 10M€ est financé par le Genci (Grand Equipement National de Calcul Intensif), société civile créée pour coordonner les politiques françaises d'équipement en supercalculateurs. un mélange de processeurs classiques et graphiques Le Centre Jacques Louis Lions est adossé d'une part à l'Institut du Développement et des Ressources en Informatique Scientifique du CNRS (Idris) et d'autre part au Centre de calcul « recherche et technologie » du CEA (CCRT). Le premier, destiné à la recherche académique, développera ses 200 Tflops dès septembre et le second, ouvert aux industriels, ses 300 Tflops en 2009. Les deux seront reliés par un lien haut débit. Pour atteindre 300 Tflops l'an prochain, le CEA (CCRT) va installer un nouveau supercalculateur, un cluster Bull NovaScale, pour compléter la configuration actuelle (des serveurs Bull scalaires de 48 Tflops et une machine vectorielle Nec de 2 Tflops.) « Nous allons désormais disposer d'une machine hybride et c'est une première mondiale, » insiste Christophe Béhar, président du CCRT et directeur du centre CEA de Bruyères le Châtel où se situe le supercalculateur. Cette architecture, originale, réunira en effet 1068 noeuds Intel de 8 coeurs chacun pour une puissance totale de 103 Tflops avec 48 noeuds GPU Nvidia de 512 coeurs chacun. La puissance supplémentaire théorique devrait atteindre 192 Tflops. Spécialisés dans le traitement graphique, les GPU excellent dans le traitement simultané d'un très grand nombre d'instructions. Le supercalculateur accède à 25 To de mémoire et au pétaoctet de disques de stockage du CCRT. Sous Linux, il exploite la gestion de fichiers libre Lustre. Répondre aux enjeux de la simulation numérique [[page]]La simulation numérique est devenu un enjeu fondamental dans de nombreuses industries et domaines d'application, qu'il s'agisse de reproduire un crash automobile, de simuler le climat ou de reproduire des expériences trop dangereuses à réaliser en réel. Reproduire les comportements physiques (aérodynamique, acoustique, effets électromagnétiques, etc.) est une opération particulièrement complexes à reproduire. Que dire de la simulation multiphysique qui tente de reproduire des phénomènes de domaines physiques différents intervenant simultanément (aérodynamique et comportement routier d'une automobile en cas de coup de vent latéral par exemple). Que dire de la climatologie ou de l'ingénierie nucléaire... Si les moyens de calcul manquent à la simulation, il en va de même des ressources humaines. Trouver des compétences dans le domaine est un casse-tête. Pour résoudre le problème, le CEA et le CNRS installeront à coté de supercalculateur une «Maison de la Simulation» pour former des scientifiques en calcul de haute performance. (...)

(17/04/2008 17:48:58)

Barcelona envahit les serveurs

Finalement, c'est une bonne nouvelle pour AMD. Malgré six mois de retard, le quadricoeur Barcelona fait son entrée chez presque tous les fabricants de serveurs. Dell l'utilise pour cinq de ses serveurs PowerEdge Line et HP a annoncé le Proliant DL 785 G5. Quant à Sun, il devrait en équiper ses Galaxy X4140 et X4440. Des constructeurs plus spécialisés comme Rackable Systems, Server Micro (spécialiste des cartes mères pour serveurs) et Appro ont d'ores et déjà annoncé leur support pour ce nouveau processeur. De quoi rendre le sourire à AMD, qui vient de subir un début d'année tourmenté avec l'annonce du licenciement de 10% de son personnel et le départ de son directeur technique, Phil Hester. « Cela sera une bonne année pour nous sur les serveurs, » veut croire John Fruehe, directeur marketing serveurs et stations de travail chez AMD. « Nous nous sentons plutôt bien sur ce marché. Nous sommes attendus et nous sommes prêts. » Il faut dire que les Opteron quadricoeurs d'AMD partagent les mêmes sockets que leurs prédécesseurs bi-coeurs « Santa Rosa ». Pour les constructeurs de serveurs, il n'est alors pas très difficile de rénover sa gamme rapidement. Ainsi, chez HP, outre le Proliant DL 785 G5 déjà annoncé, ce ne sont pas moins de huit serveurs existants (dont deux lames) qui pourront passer assez à Barcelona. John Fruehe promet que cette simplicité d'échange restera possible avec la prochaine génération - nom de code Shanghai. Celle-ci est attendue pour la fin de l'année et marquera le passage à la gravure à 45 nanomètres. Utilisant la même architecture et encore une fois les mêmes sockets, elle ne devrait pas générer de grands changements de plateforme. (...)

(17/04/2008 15:45:40)

Le président de Samsung inculpé d'abus de confiance

Lee Kun-hee, PDG du groupe sud-coréen Samsung, a été inculpé aujourd'hui pour abus de confiance et évasion fiscale, à l'issue d'une enquête lancée en janvier dernier. Un ancien cadre de la direction juridique avait en effet accusé une dizaine de dirigeants d'avoir constitué en douce une caisse noire de 200 M$. Une partie de cette cagnotte devait servir à corrompre de hauts fonctionnaires, l'autre devait être transférée sur un compte au nom du fils de Lee Kun-hee. Les procureurs n'ont pas retenu de charges concernant la corruption, mais Lee Kun-hee risque la prison à perpétuité pour les deux accusations dont il fait l'objet. Le PDG restera en liberté provisoire jusqu'au procès, la justice sud-coréenne estimant qu'une mise en détention immédiate ne pourrait qu'avoir un impact négatif sur l'économie du pays. Cette clémence n'est toutefois pas anodine. La justice sud-coréenne est réputée pour faire preuves d'indulgence vis à vis des « chaebols », ces grands conglomérats familiaux qui dominent le marché. Samsung génère 20% des exportations de la Corée du Sud, ce qui devrait jouer en la faveur de son PDG, d'après les analystes. En février 2007, le patron du constructeur automobile Hyundai avait été condamné à trois ans de prison pour des raisons similaires. Sept mois plus tard, sa peine était réduite en appel à un sursis. (...)

(16/04/2008 17:21:03)

Trimestriels Intel : légère perte de vitesse

Intel a indiqué hier que son bénéfice net trimestriel était en baisse de 12% par rapport à l'an dernier (1,44 Md$). Le fondeur reste toutefois dans le vert, avec un chiffre d'affaire en hausse de 9% (9,67 Md$) par rapport au premier trimestre 2007. Ces chiffres sont toutefois en deçà des attentes des analystes. Pour rappel, Intel est également en proie à de nombreux procès depuis 2001. Pour le deuxième trimestre 2008, la société reste optimiste, et table sur un chiffre d'affaires stable, entre 9 et 9,6 Md$. Cette prudence tient compte d'une baisse significative des revenus rapportés par les mémoires flash NOR, en raison de la transaction portant sur la société Numonyx. (...)

(16/04/2008 09:42:09)

HP propose puissance et logiciels de calcul à la demande pour les PME

L'Essonne est un territoire de prédilection pour le calcul. Le département héberge le CEA et son gigantesque centre de calcul Ter@tec, mais aussi le Génopôle, une grande partie du pôle de compétitivité System@tic, le plateau de recherche Digiteo ou encore l'Ecole Polytechnique, etc. C'est donc tout naturellement à Evry que HP a installé la deuxième moitié de son nouveau centre de calcul à la demande. La première moitié a déjà trouvé place depuis mars dernier à Grenoble, non loin du pôle de compétitivité des nanotechnologies, Minalogic. Loin du Petaflop envisagé au CEA, le centre HP développera néanmoins une puissance supérieure à 8 Tflops. Une performance suffisante pour s'adresser aux PME, en particulier dans les mondes de l'industrie ou de l'image, auxquelles il offrira des services de calcul de simulation (résistance des matériaux, calculs de structure, images, etc.). Les PME et PMI n'ont en général ni les moyens de s'offrir de gros serveurs, ni ceux de se payer des logiciels dont les prix se chiffrent en dizaines voire centaines de milliers d'euros. Le constructeur leur proposera plusieurs types de services couplant puissance et location de logiciels de simulation du marché. Il a déjà des accords avec des grands du domaine tels que Ansys ou Fluent. La puissance gratuite pour les gazelles de l'Essonne [[page]]Pour les PME et les laboratoires de recherche membres de System@tic, de Medicen et du Génopôle, ainsi que pour les gazelles de l'Essonne, la puissance sera gratuite. Pour les autres, il n'en coûtera pas plus de 50 cents de l'heure. La location d'applications devrait, elle, être proposée à 20€ par jour. Les entreprises pourront aussi exécuter leurs propres applications sur le centre serveur. Dans ce cas, HP leur propose d'optimiser leur code pour accélérer les performances des traitements. « Nous avons par exemple recruté des experts de l'ENS Cachan pour paralléliser certains programmes, par exemple, détaille Sylvain Sadier, directeur de développement économique de HP, en charge du projet. » Pour la gestion de cette location applicative, HP s'appuie sur les compétences de son partenaire Oxalya. Cinq entreprises utilisent déjà la moitié grenobloise du calculateur et selon HP, les PME de l'Essonne s'intéressent de près à la moitié sise dans leur département. Ce nouveau cerveau HP a donc deux lobes quasi identiques, l'un à Grenoble et l'autre à Evry, reliés entre eux par une liaison à haut débit. Il compte un total de 73 serveurs lames bi-processeurs, des quadricoeurs Intel Xeon, 8 Go de mémoire par processeur et 2 disques de 46 Go par lame. Ces disques dédiés et rapides servent au calcul et non au stockage. Enfin, comme dans la plupart des centres de ce type, les connexions entre serveurs utilisent Infiniband. Du coté des systèmes d'exploitation, HP peut bien sûr exécuter son Unix, HP-UX et réfléchit même aux environnements Window. « Mais c'est Linux que les utilisateurs réclament dans ces environnements, » insiste Sylvain Sadier. HP propose donc une dizaine de distributions. Pour le téléchargement, Evry présente un avantage non négligeable sur Grenoble : il bénéficie du réseau Renater de la recherche et de la boucle Gigabit de l'Essonne. Enfin, qui dit centre de calcul dit forcément chasse au gaspi. HP s'est donc attaché à ce que les trois armoires de serveurs et leur système de climatisation ne nécessitent pas une alimentation supérieure à 50 kWatt. « A peine plus que la consommation de deux maisons particulières, » se réjouit Sylvain Sadier. (...)

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