Flux RSS

Infrastructure serveur

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2924 documents trouvés, affichage des résultats 2341 à 2350.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(08/11/2006 17:35:58)

VMWorld 2006 : VMware lance un marché des appliances virtuelles

VMWare, le numéro un mondial des solutions de virtualisation de serveurs x86, a profité de l'ouverture de sa conférence utilisateurs VMWorld 2006 à Los Angeles pour annoncer officiellement l'ouverture du Virtual Appliance Marketplace, son marché aux "appliances logicielles" prêtes à l'emploi. L'objectif de la firme est de promouvoir les conteneurs virtuels préconfigurés comme un nouveau mode de distribution des applications d'entreprise. L'intérêt de ces conteneurs étant de pouvoir être déployés et redéployés indépendamment de l'infrastructure serveur. Le Virtual Appliance Marketplace est une extension du programme actuel d'appliances de VMware disponible à l'adresse www.vmware.com/vmtn/appliances. Un modèle proche de celui du couple iPod/iTunes Désormais VMware ne se contente plus de pointer simplement vers les appliances développées par des partenaires ou des utilisateurs enthousiastes. L'éditeur a mis en place un processus de certification qui assure que les appliances disponibles sont fonctionnelles. "Notre modèle est similaire à celui du couple iPod/iTunes, a expliqué Srinivas Krishnamurti, le directeur du développement produit de VMware lors d'une session de questions/réponses avec la presse, à Los Angeles. L'idée de la firme est d'attirer les utilisateurs vers ses solutions de virtualisation au travers du marché des appliances virtuelles, tout en réalisant une petite marge sur la vente des appliances logicielles. "Les sociétés présentes sur le marché nous versent une petite commission sur leurs ventes", a ainsi expliqué Krishnamurti. Les appliances, la passerelle entre OS et applications Ce dernier a également indiqué que les appliances gomment la frontière entre applications et systèmes d'exploitation. La plupart des fournisseurs d'appliances compilent un OS préinstallé et leur application prête à l'emploi et s'engagent à supporter l'ensemble. Selon lui, cette fusion progressive entre OS et applications est l'un des bénéfices accessoires des appliances virtuelles. Krishnamurti a toutefois reconnu que le modèle était particulièrement viable avec Linux (et notamment les outils et distributions de Rpath), mais qu'il restait problématique sous Windows du fait du modèle de licence de Microsoft. Parmi les fournisseurs d'applications prêtes à l'emploi en conteneurs figurent un grand nombre de solutions basées sur Linux comme le serveur collaboratif de Zimbra, l'appliance de gestion de trafic de Zeus, les outils de routage financier de Cohesive FT, les distributions de Red Hat et la distribution Linux sécurisée d'Astaro. Des éditeurs comme Oracle ou IBM utilisent aussi le système pour proposer des versions démos de leur SGBD ou dans le cas d'IBM de sa solution de collaboration web WorkPlace. Ingres propose également sa base Open Source en "appliance logicielle" grâce à Rpath. Ironiquement, Microsoft a été mis en avant comme un exemple de l'intérêt des appliances virtuelles. L'éditeur de Redmond a annoncé la veille du lancement du Virtual Appliance Marketplace de VMware son programme Virtual Hard Disk Test Drive qui va permettre d'évaluer certains de ses produits phares, comme Exchange ou SQL Server, sous la forme d'appliances prépackagées avec Windows. (...)

(08/11/2006 12:42:02)

Microsoft devra payer 308 M$ à son nouvel ami Novell

308 M$: c'est la somme que devra débourser Microsoft selon les termes de l'accord scellé avec Novell en fin de semaine dernière. Novell a levé un coin du voile sur le volet financier du surprenant partenariat qui lie les deux parties, dans un document remis à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine. Jeudi 2 novembre, les deux éditeurs avaient annoncé un accord d'interopérabilité portant sur Suse Linux et Windows, couvrant également des aspects juridiques, marketing et commerciaux. L'éditeur de Redmond, dans un premier temps, devrait verser 240 M$ à Novell en guise de redevances d'abonnements ("subscriptions certificates") à Suse Linux Enterprise Server. Une somme qui lui permet, selon Novell, de revendre et de redistribuer l'OS pendant la durée de l'accord (5 ans) et qui donne accès aux utilisateurs au support Novell. A cela s'ajoutent 94 M$ supplémentaires portant sur la promotion des "scenarii de virtualisation Linux et Windows" (60 M$) et sur la formation d'une branche commerciale dédiée aux offres communes (34 M$). Enfin, selon les termes de l'accord portant sur les échanges de brevets, Novell et Microsoft sont parvenus à un compromis. L'éditeur de Redmond versera une première salve de 108 M$ à Novell qui, de son côté, reversera à Microsoft 40 M$ par an, calculés sur le pourcentage des revenus générés par Open Platform Solutions et Open Enterprise Server. (...)

(08/11/2006 12:40:13)

Dell lance ses premiers serveurs à base de quadri-coeurs Intel

Un peu plus d'une semaine après avoir lancé son premier portable équipé d'un processeur AMD, Dell annonce la sortie prochaine de serveurs et de stations de travail dotés de Kentsfield, les quadri-coeurs d'Intel. Réservés pour l'instant au marché américain, les PowerEdge 1900, 1950, 2950, 2900, ainsi que les serveurs lames SC1430 et 1955 seront pourvus de la famille de processeurs Xeon 5300, qui rassemble sur une même puce deux Xeon 5100 Woodcrest. Des processeurs Xeon chausseront également les stations de travail Precision 690 et 490, alors que la machine estampillée Precision 360 embarquera un Core 2 Extreme QX6700. Selon Dell, la technologie quadri-coeurs permet à ses serveurs d'enregistrer des gains de performance de 63% par rapport à une configuration à base de bi-c?urs. De même, la consommation électrique semble réduite : la performance par watt serait ainsi améliorée de 40%. Avec cette annonce, Intel entend damer le pion à son rival AMD qui, s'il est présent sur les serveurs Dell avec son processeur Opteron, ne devrait lancer de puces à quatre coeurs qu'en 2007. (...)

(03/11/2006 17:55:52)

SQL Server 2005 ne sera pas supporté sur Vista et Longhorn Server

Microsoft ne supportera pas les versions antérieures à SQL Server 2005 Service Pack 2 sur ses prochains OS, Vista et Longhorn Server. Dans un bulletin publié le 27 septembre, Microsoft explique que cela s'inscrit dans une initiative "destinée à renforcer la sécurité de ses produits". Et encourage dans la foulée les actuels utilisateurs des versions 6.5, 7.0 et 2000 de son serveur de base de données à migrer vers SQL Server 2005. Seule exception, la version Express Edition (ex-MSDE, la version gratuite de SQL Server) sera supportée sur Vista et Longhorn dans sa version SP1. Les principales améliorations apportées par le SP2, prévu pour début 2007, seront étroitement liées aux fonctionnalités de Vista et Longhorn, explique Microsoft. Notamment au niveau de la plate-forme de développement .Net. Les versions qui ne seront pas supportées pourront toutefois fonctionner sur Vista et Longhorn, précise l'éditeur. Mais aucun test n'aura été effectué au préalable. Reste que l'arrêt du support de SQL Server 2000 (versions Entreprise, Développeur et Standard) est prévu pour août 2008, avant d'entamer la période de support étendu sur 5 ans, selon le processus de maintenance Microsoft. (...)

(03/11/2006 08:12:53)

Microsoft recommande Suse aux amateurs de Linux

Microsoft et Novell ont tenu hier une conférence de presse pour annoncer un accord d'interopérabilité sans précédent, aux termes duquel l'éditeur de Windows recommandera Suse aux entreprises "désirant utiliser simultanément des solutions Windows et Linux". Les deux entreprises s'entendent également sur l'administration de leur environnement respectif, et ont conclu un accord sur l'utilisation des technologies brevetées. Pour simplifier, les clients de Suse seront protégés de tout risque lié à une possible violation de brevets Microsoft. Bien sûr, Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a tenu à rappeler qu'il ne s'agissait pas de sa part d'encourager à acquérir plus de Linux, mais bien de respecter la volonté de choix des clients. "Si vous voulez quelque chose, a-t-il dit, je continuerai de vous dire Windows, Windows, Windows." Davantage de détails dans la journée. (...)

(02/11/2006 18:09:33)

PHP Conference Expo : Zend va optimiser PHP pour Windows

Zend, le développeur originel du langage open source PHP, a annoncé hier un partenariat avec Microsoft afin d'optimiser les performances de sa plate-forme applicative sur Windows. L'objectif des deux sociétés est de collaborer pour assurer que PHP fonctionnera de façon optimale avec la prochaine version de l'OS, Windows "Longhorn" Server. "Nous allons utiliser des APIs spécifiques de Windows pour obtenir la performance optimale sur cette plate-forme" a expliqué Andi Gutmans, le CTO de Zend, tout en ajoutant que "la façon dont fonctionne PHP aujourd'hui sur Windows est suboptimale en termes de performances". Pour résoudre le problème, Microsoft va développer une interface spécifique à IIS, baptisée FastCGI (Common Gateway Interface) qui devrait permettre d'accroître de façon très sensible les performances du couple IIS/PHP. Zend, de son côté, opérera un laboratoire de test sous Windows afin d'optimiser sa technologie pour l'OS de Microsoft. Si le partenariat semble logique pour Zend, qui a tout à gagner à optimiser plate-forme pour Windows, il est plus surprenant côté Microsoft. Les outils de développement Web de Zend sont en effet en concurrence directe avec la technologie maison, ASP. En fait, le duo Linux/PHP a taillé des croupières au couple Windows/ASP en matière de développement Web. La plate-forme de Zend compterait ainsi plus de 4 millions d'utilisateurs/développeurs dans le monde et la collaboration entre Microsoft et Zend pourrait encore renforcer l'attrait des développeurs pour PHP au détriment de la plate-forme ASP. Le voile se lève sur la roadmap PHP L'annonce du partenariat avec Microsoft n'était toutefois pas la seule nouvelle de la société. Zend a ainsi officiellement dévoilé PHP 5.2, la dernière version de son langage de scripting Web ainsi qu'une roadmap pour l'année à venir. PHP 5.2 apporte des améliorations en termes de performance et de sécurité. Le langage supporte aussi mieux les technologies AJAX (Asynchronous JavaScript and XML) grâce aux extensions JSON (JavaScript Object Notation). Zend a aussi levé le voile sur PHP 6.0 dont une pré-version sera disponible à la fin 2006. Attendu en version finale pour 2007, PHP 6.0 supportera notamment Unicode. Séparément Zend a annoncé que Zend Platform 3.0, qui est sa plate-forme serveur d'applications pour PHP, sera disponible en février ou mars 2007. Cette mouture incorporera trois serveurs : le premier optimisé pour les performances, le second pour les déploiements en clusters et le troisième optimisé pour les problèmes d'intégration. Un pilote natif pour la base de données MySQL sera aussi lancé en 2007 afin d'améliorer encore les performances de PHP avec la base de données libre. Signalons enfin que Zend a annoncé que le projet PHP Eclipse est toujours attendu pour juin 2007 et permettra aux utilisateurs de l'IDE libre de disposer de tous les outils nécessaires pour développer en PHP. (...)

(31/10/2006 15:38:11)

SPEC travaille sur un benchmark des environnements virtuels

Le consortium SPEC (Standard Performance Evaluation Corp) a créé cette semaine un groupe de travail pour la création d'un benchmark portant sur les outils de virtualisation. Le groupe a trois mois pour déterminer si la création d'un tel outil est nécessaire et, si oui, pour établir les principes d'un tel benchmark. SPEC est une organisation à but non-lucratif qui réunit les principaux acteurs de la high-tech et propose des tests de performances dans un large nombre de domaines. La virtualisation progresse au sein des datacenters et les solutions logicielles se multiplient sur le marché. Si VMware est aujourd'hui l'acteur dominant, les hyperviseurs de Microsoft et Xen devraient arriver à maturité au cours des 24 prochains mois. Intel et AMD devraient aussi étendre la portée de leurs solutions d'assistance à la virtualisation et l'un pourrait prendre l'avantage sur l'autre en termes de performances. De même, certains constructeurs devraient intégrer des hyperviseurs maison directement dans le firmware de leurs serveurs (ce que feront par exemple Egenera et Fujitsu-Siemens dans certains de leurs châssis de serveurs lames). L'existence d'un benchmark de performance en environnements virtualisés devrait alors être très utile pour aider les clients à départager les différentes solutions du marché. En attendant, le test de performance intéresse sans doute plus les fournisseurs que les clients. Comme l'explique Brian Byun, un vice-président de VMware, "Pour l'instant, sur la base du taux d'adoption de la technologie, le test de performance n'est pas la première des préoccupations de nos clients(..) Le fait qu'une solution de virtualisation soit 5 ou 10% plus rapide qu'une autre n'est que secondaire par rapport aux gains apportés par les environnements virtualisés sur les environnements traditionnels". La société est néanmoins partie prenante des travaux de SPEC. Avec Robert Mullins, notre correspondant d'IDG News Service à San Francisco (...)

(30/10/2006 14:54:16)

Dopé par ses ventes de serveurs, Sun s'approche de la rentabilité

Poursuivant son redressement, Sun Microsystems a annoncé la semaine passée un net recul de sa perte nette trimestrielle dans un contexte de hausse générale de ses ventes de systèmes, logiciels et services. Par rapport à l'an passé, les ventes sont en hausse de 17 % à 3,19 Md$, portées par la croissance en Amérique Latine (+53,9%), en Asie-Pacifique (+19,5%) et en Europe (+16,6%), tandis que les ventes aux Etats-Unis ne progressent que de 11,8%. La perte nette, quant à elle, continue de reculer et s'établit à 56 M$ pour le trimestre écoulé (dont 21 M$ de provisions pour restructurations et 79 M$ de coûts d'acquisition). Ce chiffre est à comparer aux 123 M$ perdus l'an passé. Sans ces provisions, Sun aurait affiché un profit pour le trimestre. Histoire de se consoler, la firme note que sa trésorerie s'est encore accrue de 157 M$ et qu'elle dispose désormais de 4,7 Md$ de réserves en banque. Les ventes tirées par la bonne santé de l'activité systèmes Globalement, les ventes de services se portent bien (+20%), notamment portées par les services d'intégration et de formation (+39%). Mais la meilleure nouvelle pour Sun est sans doute le redécollage de ses ventes de serveurs, qui tirent les autres activités. Sur un an, les ventes de serveurs ont progressé de 15% avec une mention toute particulière pour les ventes de serveurs x86 qui ont bondi de 54%, contre seulement 10% pour les ventes de serveurs Unix. L'activité serveurs x86 de Sun pèse désormais près de 600 M$ en rythme annuel, tandis que celle basée sur les puces T1 multi-coeurs "Niagara" a pour la première fois franchi la barre des 100 M$ par trimestre. Dans les deux cas, ces nouvelles activités ont des chiffres d'affaires supérieurs à celui du "nouveau" Silicon Graphics, preuve que le choix de l'Opteron plutôt que d'Itanium s'est avéré payant pour Sun et que les quelque 2 Md$ dépensés chaque année en R&D peuvent être source de nouveaux revenus. Une autre bonne nouvelle pour Sun est la hausse de ses ventes de produits de stockage (+14% sur un an) et notamment la progression des systèmes de milieu de gamme StorEdge 5000 et 6000. Sun souligne aussi la bonne santé de l'activité sauvegarde sur bande de StorageTek et la livraison de son millième système SL8500. Enfin, l'activité logicielle poursuit sa croissance (+17% sur un an) tirée par les ventes de contrats de maintenance Solaris et par le succès de l'offre Java Entreprise System (+25% d'abonnements sur un an). Selon Jonathan Schwartz, le patron de Sun, près de 6 millions de licences Solaris seraient aujourd'hui en exploitation dans le monde, dont 70% sur des serveurs tiers signés Dell, HP ou IBM. Il est à noter que Sun espère renouer avec les profits au cours des prochains trimestres du fait des efforts continus de réduction des coûts et notamment des effets escomptés de la suppression de 5000 emplois annoncée en juin par Jonathan Schwartz. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >